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Quartier Sainte-Marie (Faubourgs Est): projets et nouvelles


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18:08 19 juin 2019By: Zacharie GoudreaultMétro

Un premier «placottoir» inauguré dans Ville-Marie

https://journalmetro.com/actualites/montreal/2338233/un-premier-placottoir-inaugure-dans-ville-marie/

 

Le premier placottoir de Ville-Marie a été inauguré mercredi dans le cadre d’un projet pilote qui entraînera la mise en place cet été d’une terrasse publique verdie dans chacun des districts électoraux de l’arrondissement.

Aménagé sur la rue Parthenais, à l’angle de la rue Larivière, ce placottoir, composé de banquettes de couleur bleue entourés de plantes et d’herbes, est situé en face d’une école secondaire du quartier Sainte-Marie.

«Le verdissement, c’est vraiment une priorité dans notre district parce qu’il y a beaucoup d’îlots de chaleur. C’est très minéralisé ici», a souligné à Métro la conseillère du district de Sainte-Marie, Sophie Mauzerolle, rencontrée mercredi après-midi dans ce placottoir, situé à proximité de plusieurs ateliers d’artistes.

Cet aménagement, dont la facture totale s’élève à un peu plus de 21 000$ en incluant son entretien périodique cet été, fait partie d’un projet pilote de l’arrondissement qui comprend également l’aménagement dans les prochaines semaines d’une terrasse publique verdie sur la rue Sainte-Catherine Ouest, à l’angle de la rue Peel, de même que sur la rue Saint-Jacques, à l’angle de la rue Saint-Pierre.

«On espère pouvoir multiplier ce genre d’initiatives de réappropriation de l’espace public dans les prochaines années.» -Sophie Mauzerolle, conseillère du district de Sainte-Marie

Placottoir démontable
L’arrondissement ignore actuellement si ces placottoirs seront de retour l’été prochain, mais l’agence de paysage et de design urbain Castor et Pollux, qui est derrière le concept du placottoir de la rue Parthenais, assure que celui-ci a été réalisé en différents modules afin de pouvoir facilement être retiré à l’arrivée de l’hiver et réinstallé à temps pour la belle saison.

«Le placottoir a été conçu pour être monté et démonté. On a fourni un petit guide de démontage à l’arrondissement», a indiqué la designer urbain, Jeanne Faure.

L’arrivée de ces placottoirs nécessitera toutefois le retrait de quelques places de stationnement, a reconnu l’arrondissement.

«On veut qu’il y ait de la place pour tout le monde et ça passe par un meilleur partage de l’espace public», a commenté Mme Mauzerolle, qui estime que la «répartition de l’espace public» entre les voitures, les piétons et les cyclistes «n’est pas équitable» actuellement à Montréal.

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https://www.lapresse.ca/actualites/environnement/201906/26/01-5231793-montreal-songe-a-faire-renaitre-des-rivieres.php?fbclid=IwAR1QixLmD53IDWtyI4C6Gz3uxGb77p4FoWT4_ECM90zLSKihxiLqJdbWs7s

EXCLUSIF

Publié le 27 juin 2019 à 05h00 | Mis à jour à 08h17

Montréal songe à faire renaître des rivières

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JEAN-THOMAS LÉVEILLÉ
La Presse

Montréal envisage de faire renaître certains de ses anciens cours d'eau afin d'améliorer et de simplifier sa gestion des eaux pluviales, à l'instar de ce que font de plus en plus de villes dans le monde.

Cette volonté est encouragée par les conclusions de trois études de faisabilité qui seront dévoilées en juillet, et que La Presse a obtenues.

Elles ont été réalisées par la section canadienne du Fonds mondial pour la nature (WWF-Canada), de concert avec la firme d'éco-ingénierie de Québec Écogénie, dans le cadre d'un projet baptisé Bleue Montréal.

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Le parc Jarry

PHOTO BERNARD BRAULT, ARCHIVES LA PRESSE

La Ville de Montréal y a également participé en fournissant données et informations, mais c'est la Fédération canadienne des municipalités et Intact Assurance qui ont assuré l'essentiel du financement.

« Si on voit des occasions de le faire, nous les saisirons », a déclaré à La Presse Sylvain Ouellet, responsable des services de l'eau au comité exécutif de la Ville de Montréal.

Les possibilités sont toutefois limitées, tempère-t-il, mais il y voit une avenue prometteuse pour les « grands secteurs à transformer » comme l'ancien hippodrome Blue Bonnets et l'ancienne gare de triage de l'échangeur Turcot, qui est justement concernée par l'une des trois études de faisabilité.

La « libération » de certains cours d'eau permettrait de réduire la pression sur le réseau d'égouts actuel, qui est « vieillissant et inadapté », explique la directrice pour le Québec du WWF-Canada, Sophie Paradis.

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Sophie Paradis, directrice pour le Québec du WWF-Canada

PHOTO MARCO CAMPANOZZI, ARCHIVES LA PRESSE

« C'est la résilience qui est importante ici », dit-elle, évoquant les changements climatiques qui entraîneront notamment des épisodes de pluie plus intenses, plus longs.

« Ça va aider à alléger le réseau », qui est en ce moment « tout à l'égout », relève-t-elle.

Il ne s'agit cependant pas du seul avantage de ce concept, aussi appelé « exhumation » de cours d'eau, ou daylighting en anglais, qui consiste à réexposer à la lumière du jour ruisseaux et rivières afin qu'ils puissent à nouveau jouer leur rôle écologique.

En plus d'éviter d'avoir à canaliser les eaux pluviales, ce qui a généralement pour conséquence supplémentaire de les acheminer inutilement aux usines de traitement des eaux usées, le retour des cours d'eau naturels régénère des écosystèmes et revitalise la biodiversité aquatique.

Les études démontrent que l'impact se fait sentir « en dedans de six mois », affirme Sophie Paradis, qui souligne que la disparition des cours d'eau des villes a des conséquences insoupçonnées sur la faune.

« Les petits mammifères, ils ont soif en ville », illustre-t-elle, ce qui explique notamment que les écureuils s'attaquent aux potagers, ciblant les légumes gorgés d'eau. « Ce n'est pas tant qu'ils aiment les tomates ! »

Lorsque l'exhumation n'est pas possible, la création de « nouvelles rivières urbaines », à proximité de l'endroit où se trouvait un cours d'eau à l'origine, est une autre avenue possible qui offre le même genre d'avantages.

Si de nombreux cours d'eau ont été « réhabilités » au pays, comme la rivière Saint-Charles, à Québec, Montréal pourrait réaliser une première en allant de l'avant avec les projets d'exhumation et de recréation étudiés par le WWF-Canada, affirme Sophie Paradis.

« Travailler avec la nature »

Enfouir et canaliser les cours d'eau « n'était pas l'idée du siècle », s'exclame Pascale Biron, professeure au département de géographie, d'aménagement et d'environnement de l'Université Concordia.

Il faut cependant se remettre dans le contexte de l'époque, où les cours d'eau servaient d'égouts et de dépotoirs, note-t-elle, alors « ce n'était pas idiot de s'assurer que les gens n'aient pas accès à cette eau insalubre ».

Mais il n'est pas trop tard pour bien faire, croit-elle.

« C'est ça qui est bien avec l'eau : ça peut se régénérer assez facilement. »

- Pascale Biron, professeure à l'Université Concordia

La canalisation des cours d'eau est également à l'origine d'autres problèmes que ceux liés à la gestion des pluies, souligne Isabelle Thomas, professeure à l'École d'urbanisme et d'architecture du paysage de l'Université de Montréal.

« Ça a entraîné une pollution accrue des aquifères et des rivières », explique-t-elle, parce que le ruissellement des précipitations entraîne des polluants dans les cours d'eau, alors qu'ils pourraient être filtrés par des infrastructures vertes.

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Voici les cours d'eau de l'île de Montréal dans leur état estimé du 17e siècle, selon des documents historiques.

IMAGE FOURNIE PAR VALÉRIE MAHAUT DE LA FACULTÉ DE L'AMÉNAGEMENT DE L'UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL

L'exhumation de rivières, qui se pratique depuis une vingtaine d'années, notamment en Europe, exige « un changement de paradigme », notent les deux professeures, qui parlent d'un passage de l'ingénierie lourde à l'ingénierie douce.

« Il faut travailler avec la nature plutôt que contre elle. »

Écologique... et économique

Exhumer ou recréer des cours d'eau coûte parfois moins cher que de les canaliser, affirment les professeures Biron et Thomas.

« Les rivières fortement atrophiées requièrent des entretiens récurrents coûteux, souligne Pascale Biron. Plus on se rapproche de la nature, moins c'est coûteux. »

Il faut aussi prendre en considération les autres avantages à long terme de ces infrastructures vertes dans le calcul coûts-bénéfices, ajoute Isabelle Thomas, qui évoque la diminution des îlots de chaleur ainsi que la réduction des refoulements d'égout et des inondations.

Ces aménagements engendrent une augmentation de la valeur foncière des propriétés, au même titre que la présence d'arbres, affirme Sophie Paradis.

« Ramener la nature, c'est payant. »

- Sophie Paradis, WWF-Canada

Les interventions proposées à Montréal sont modestes si on les compare à d'autres réalisées ailleurs dans le monde, mais elles auraient tout de même un impact notable, croit Sophie Paradis.

« Notre milieu urbain est tellement cimenté que chaque geste qu'on fait aide. »

Les types d'interventions possibles

Exhumation ou libération : décanaliser des cours d'eau qui ont été canalisés

Restauration : réhabiliter ou améliorer les fonctions écologiques d'un cours d'eau existant, mais malmené

Nouvelle rivière urbaine : création d'un cours d'eau en fonction de la topographie pour permettre le ruissellement naturel des eaux, généralement là où un cours d'eau antérieur a été enfoui ou canalisé

Trois lieux étudiés

Trois endroits à Montréal ont été ciblés par le WWF-Canada pour étudier la faisabilité du projet de libération ou de recréation des cours d'eau. Il s'agit de parcs ou de terrains en cours de réaménagement, choisis précisément parce qu'il serait simple de les réaménager. La réalisation de ces projets, que recommande l'organisation, serait une première au Canada.

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Le parc des Faubourgs, situé à l'entrée du pont Jacques-Cartier

PHOTO OLIVIER PONTBRIAND, LA PRESSE

Pont Jacques-Cartier

Le ruisseau Saint-Martin traverse le parc des Faubourgs, au bout du pont Jacques-Cartier, mais il est canalisé, si bien que le terrain est « toujours inondé et boueux » après la pluie, explique Sophie Paradis. Exhumer le ruisseau lui permettrait de jouer son rôle à nouveau, en drainant l'eau du secteur. Ce n'est pas le seul endroit problématique des environs ; la ruelle Harmonie, près de la bien nommée rue Larivière, est souvent le théâtre d'inondations. « Ce secteur-là est tellement asphalté, il n'y a pas d'espace vert, l'eau ne sait pas où aller », lance Sophie Paradis, qui propose d'y créer une « nouvelle rivière urbaine » afin d'absorber l'eau du secteur. Elle serait connectée au ruisseau Saint-Martin libéré ainsi qu'à une autre intervention, celle-là dans le parc Walter-Stewart. L'étude pour le secteur du pont Jacques-Cartier, qui a été financée en grande partie par la Fédération canadienne des municipalités, prévoit une phase de présentation au public qui aura lieu l'automne prochain.

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Aperçu des terrains de l'Institut Douglas à Verdun

PHOTO OLIVIER PONTBRIAND, LA PRESSE

Lac à la Loutre

La reconstruction de l'échangeur Turcot offre une occasion rare de repenser la gestion des eaux dans ce secteur de la ville, estime le WWF-Canada. Là où se dressaient encore tout récemment la gare de triage ferroviaire et les bretelles d'autoroute, au pied de la falaise Saint-Jacques, se trouvait jadis le lac à la Loutre, un élargissement de la rivière Saint-Pierre qui se jetait dans le fleuve à la pointe à Callière. La Ville de Montréal projette la création à cet endroit d'un parc de 30 hectares, le parc Turcot-La falaise, qui comprendra un bois, un plan d'eau, des milieux humides et une prairie. Le WWF-Canada propose de connecter ce grand espace vert au parc des Rapides, à Verdun, en passant par le parc Angrignon et l'Institut Douglas, aux prises lui aussi avec des problèmes de terrains inondés. C'est un plan plus « ambitieux », reconnaît Sophie Paradis, qui permettrait de créer un « corridor vert et bleu » et, ainsi, de recréer « un écosystème important ».

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La plaine du parc Jarry après une averse

PHOTO OLIVIER PONTBRIAND, LA PRESSE

Parc Jarry

Les utilisateurs du parc Jarry, dans le quartier Villeray, auront aussi remarqué de fréquentes accumulations d'eau dans la plaine centrale. Il y avait là, anciennement, le ruisseau Provost, qui allait se jeter dans la rivière des Prairies. Or, il a été canalisé ou enfoui, de sorte qu'il ne peut plus recueillir les eaux du parc. Ici, le WWF-Canada ne recommande pas d'exhumer le cours d'eau, qui passe maintenant sous l'actuel étang artificiel, mais plutôt de créer une « nouvelle rivière urbaine » suivant un parcours légèrement modifié, essentiellement d'ouest en est, mais avec de petits méandres qui bifurqueraient vers le nord et le sud. L'organisme propose également l'aménagement d'un jardin de pluie ou d'une combinaison d'étang et d'aire de biorétention pour favoriser « l'évapotranspiration et la filtration de l'eau ». Sophie Paradis ajoute que le « gros stationnement » situé au nord de la rue Jarry, qui est un îlot de chaleur, pourrait plus tard faire l'objet d'une autre intervention qui serait connectée à celle du parc Jarry.

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  • 3 mois plus tard...

Nouveau resto italien au coin de Fullum et de Maisonneuve

http://www.montreal.tv/2019/10/le-rose-marie-un-tout-nouveau-restaurant-avec-une-equipe-dynamique/

Le Rose-Marie: un tout nouveau restaurant avec une équipe dynamique et expérimentée à Montréal

16OCT

Situé dans l’emplacement du populaire restaurant Le Petit Bistro (1550 Rue Fullum), le Rose-Marie ouvrira ses portes dès le 17 octobre, du mardi au samedi.

Installé dans l’effervescent quartier Ville-Marie, le Rose-Marie comptera sur une toute nouvelle équipe expérimentée, jeune et dynamique, un nouveau chef ainsi qu’un nouveau menu.


Le Rose-Marie doit son nom au romarin (Rosemary en anglais) qui inspirera la nouvelle décoration tendance du restaurant et la fraîcheur du menu. On y trouvera également un tout nouveau lounge avec foyer, deux salles de réception privées de différentes grandeurs, et une terrasse sur le toit.

La nouvelle équipe propose une cuisine italienne locale et abordable. Un menu divisé en quatre sections : amuses-bouches, petits plats, plats et desserts. Influencé par les recettes traditionnelles de sa grand-mère italienne (de Calabre), le Chef servira des classiques tels des pâtes maisons aux saveurs des produits bien de chez-nous.


À propos des propriétaires

Trois co-propriétaires assureront la gestion du restaurant.

Marie-Michèle Fecteau
Marie-Michèle développe une passion pour la restauration très jeune. Dès la fin de son secondaire, elle entreprend des études en Gestion d’hôtellerie internationale à l’ITHQ, ce qui l’amène à voyager beaucoup (France, Caraïbes, Ontario). Elle poursuit ses études en sommellerie professionnelle tout en travaillant comme serveuse chez Toqué! Après sa rencontre avec Julien Roy-Sinclair, ils décident de s’envoler ensemble pour l’Australie afin de travailler au prestigieux hôtel Relais et Château Jonah’s Boutique Hôtel et de faire le tour des vignobles.

De retour à Montréal, elle est prête à attaquer le monde de la gestion, tout d’abord chez Accords Bar à vin, ensuite chez Maison Boulud du Ritz Carlton, et dernièrement à la direction du restaurant de l’Auberge St-Gabriel.

Forte de toute cette expérience, elle est fin prête, à 30 ans, à réaliser son rêve de posséder son propre restaurant.

Julien Roy-Sinclair
Julien Roy-Sinclair découvre la restauration en travaillant deux ans au Saloon et y développe un amour pour les spiritueux et le bar. En revenant de son voyage en Australie avec Marie-Michèle, où il travaille au Jonah’s Relais et Château, Julien décide de pousser ses connaissances en entreprenant un BAC en gestion de restauration à l’ITHQ. Entre temps, il développe ses talents au bar et en service en travaillant Chez Sophie, au Accords le bistro et finalement au Moleskine.
Dernièrement, Julien termine son BAC en travaillant en tant que maître d’hôtel à la Terrasse sur l’Auberge, il est fin prêt à ouvrir son propre restaurant.

Julien Comtois
Julien est passionné par le corps humain et les arts martiaux dès son jeune âge. Lors de ses études en entraînement et nutrition, la restauration lui offre un environnement de travail flexible et dynamique à la hauteur de son énergie. Il débute sa carrière à L’Assommoir Bernard, avant de quitter pour les Caraïbes pendant un an afin de mettre le plein sur l’entraînement. À son retour, il débute au sein du Restaurant Sinclair où il évolue rapidement au sein de l’entreprise, prenant finalement la tête de la terrasse, du bar et des banquets. Il se découvre là une forte passion pour le management, tout en faisant simultanément un certificat en Mandarin afin d’aller en Chine pendant un an s’entraîner au Kung Fu sous la tutelle d’un moine Shaolin de 32ème generation. À son retour, l’opportunité s’offre à lui de prendre place à la réception de L’Hôtel Saint-Sulpice où il deviendra Directeur-adjoint. Il quitte ensuite pour devenir Superviseur au Mount Stephen durant l’ouverture du prestigieux hôtel nouvellement construit. Il rejoindra éventuellement l’équipe de son amie de longue date, Marie-Michèle, à l’Auberge Saint-Gabriel, où le projet du Rose-Marie prendra forme, leur permettant de s’épanouir à la direction d’un projet bien à eux.

À propos du Chef
Michael Lemme
Michael, originaires des Abruzzes et de Calabre en Italie, a été élevé par sa mère et ses grands-mères qui lui ont appris la cuisine à partir d’un très jeune âge. Après ses études en cuisine, il travaille dans plusieurs établissements tel que Sel Gras, La salle à manger et leMoleskine sous le chef Frédéric St-Aubin.
Il dirige également depuis déjà deux ans sa propre compagnie de traiteur nommée Sud-Est qui se spécialise en cuisine du Sud-Est de l’Asie.
Les trois propriétaires sont très fiers de l’accueillir à la tête de l’équipe de cuisine du Rose-Marie.

Le Rose-Marie est situé au 1550 rue Fullum et l’ouverture officielle est prévue pour le 7 novembre.

Visionné 802 fois.

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  • 2 semaines plus tard...

Enfin ça démarre à l'est du pont!

Esplanade Cartier, aperçu du nouveau projet signé Prével

Un milieu de vie rassembleur s'intégrant au quartier Sainte-Marie

http://www.prevel.ca/fr/blogue/esplanade-cartier-apercu-du-nouveau-projet-signe-prevel

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22 OCTOBRE 2019

AU CŒUR DU PROJET, UN QUARTIER VIBRANT.

Ce qui a avant tout guidé la création du projet Esplanade Cartier? L’ADN du quartier Sainte-Marie dans lequel il est implanté. Et au-delà du béton, rappelons aussi que la mission de Prével a toujours été de contribuer au développement urbain, au patrimoine bâti ainsi qu’à l’accession à la propriété, et ce, en créant des milieux favorisant l’interaction humaine et à la rétention des Montréalais dans les quartiers centraux.

Avec Esplanade Cartier, Prével a poussé encore plus loin cette volonté en misant sur une démarche de co-création qui vise à penser les espaces publics en collaboration avec des experts et des parties prenantes — la ville, les commerçants, les résidents, les organismes communautaires, etc. Ensemble, on cherche à comprendre le quartier pour bâtir autour de ses points forts et miser sur ce qui est déjà en place. L’objectif de cette démarche? Créer un impact positif pour l’ensemble des citoyens.

Cette démarche de co-création nous a permis de bonifier les principes directeurs du projet. En voici ici un aperçu.

La richesse de la diversité

Tenir compte du quartier dans lequel un projet est implanté, c’est aller dans le sens de sa personnalité. Sainte-Marie est un quartier éclectique et c’est ce qu’Esplanade Cartier veut véhiculer.

Pour miser sur cette diversité, on a privilégié la mixité. La mixité sociale (logements sociaux, maisons de ville, condos, etc.), mais aussi la mixité des usages (habitation, bureaux, commerces ou encore espaces communautaires). Ici, les premiers acheteurs côtoient les familles et les travailleurs croisent les résidents. Ici, pas de projet-dortoir, mais un lieu animé et vivant, de jour comme de soir. Résultat : un environnement vibrant, mais aussi plus sécuritaire, où la mixité se crée en favorisant l'intéraction des gens du quartier.

La vie en ville à son meilleur

Permettre à plus de gens d’habiter au cœur de la ville, c’est la rendre toujours plus humaine et vivante. Densifier les quartiers permet d’avoir accès à plus de services, de commerces de proximité, de transports en commun, ou encore d’activités culturelles, sportives, etc.

Dans cette optique, Esplanade Cartier s’est inspiré de l'effervescence des villes européennes en favorisant l’animation urbaine et la vie de quartier grâce à sa placette centrale entourée de commerces, de bureaux et de terrasses. Avec l’aide d’intervenants clés, nous travaillons à retisser la trame commerciale de Sainte-Catherine Est afin d’y amener de la vitalité.

Croquis d’inspiration pour la placette de Esplanade Cartier

Perspective préliminaire de la placette de Esplanade Cartier

Le respect de la trame urbaine existante

D'un point de vue architectural, le projet s’intègre de façon harmonieuse au quartier existant. Son design veut bien sûr marquer son époque, mais pas au détriment de la trame urbaine en place. Sa conception a donc été pensée à échelle humaine. 

Ainsi, au niveau du trottoir, seuls trois étages s’érigent, les étages supérieurs du projet s’élevant ensuite en retrait de la rue. Cette densification vertueuse permet de loger plus de gens sans dénaturer le quartier. Autre élément contribuant à l’expérience piéton, la « découpe » du bâtiment en plusieurs façades pour créer des volumétries à plus petite échelle, typiques du quartier. On ne se sent donc pas oppressé par les bâtiments quand on marche sur le trottoir.

D’un point de vue esthétique aussi, certains détails se veulent un clin d’œil aux classiques de l’architecture de Montréal, comme les escaliers en colimaçon permettant d’accéder à certaines unités, l’aménagement pensé pour laisser voir le pont Jacques Cartier, ou encore l'inspiration industrielle des façades qui rappelle le passé de la ville.

Perspective préliminaire des escaliers en colimaçon d'Esplanade Cartier

La durabilité revisitée

Pour Prével, un projet dit « durable » va bien au-delà de sa certification LEED. La durabilité se veut écologique, bien sûr, mais aussi sociale. Elle se répercute dans les habitudes de vie : pouvoir se passer de voiture grâce au métro à deux pas, ou encore profiter de la vie de quartier et encourager les commerces de proximité. Mais elle prend aussi forme grâce aux différentes initiatives du projet : la mise en place d’un potager pour les enfants du quartier, la promotion d’un mode de vie sain avec l’organisme Le carrefour alimentaire pour favoriser les changements de mentalité, ou encore la création d’une Maison de projet sur le site, un espace communautaire et collaboratif permettant aux gens du quartier d’échanger et de s’acclimater à Esplanade Cartier au fil des années. Bref, l’aspect durable du projet prend aussi forme par des initiatives qui ont un impact direct et positif sur la communauté.

La volonté de favoriser le « vivre ensemble »

Pour créer un milieu de vie animé, il faut que tous les gens du quartier puissent y circuler et que des lieux favorisent les rassemblements. Esplanade Cartier est loin d’être un projet replié sur lui-même. La perméabilité du site a été pensée pour favoriser la circulation des piétons. Avec ses commerces et ses bureaux, la placette stimule les échanges et les interactions spontanées de tous les gens du quartier. De même, un vaste espace vert public appelle à se retrouver. Ils se greffent au quartier existant pour une cohabitation harmonieuse.

Au-delà de ces lieux et espaces de circulation, nous souhaitons créer mille et une raisons de s’y retrouver grâce à des animations : des terrasses commerciales au cinéma en plein air, en passant par les jeux pour enfants ou encore les expos d’art éphémères.

En conclusion

Il y a plusieurs années, Prével était précurseur grâce aux espaces communs de ses projets (toits-terrasses, chalets urbains, cours intérieures, etc.). Aujourd’hui, il l’est grâce à ses lieux de rencontre publics qui favorisent une densification à échelle humaine.

Avec le projet Esplanade Cartier, comme avec chaque projet Prével, nous souhaitons faire une différence et avoir un impact positif sur la vie du quartier, toujours dans le plus grand respect de ses spécificités.

 

 

 

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Resto Les coudes sur la table sur le marché.

Le timing est bon. Le Théâtre Cartier va ouvrir bientôt et 3000 fonctionnaires sont supposés de déménager dans les anciens bâtiments de Télé-Québec juste en face.

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https://www.remax-quebec.com/fr/fonds-de-commerce-a-vendre/2275-rue-ste-catherine-e-ville-marie-central-11925100.rmx?fbclid=IwAR0F8VonQ3wfd67VuUt2uch1MGX1UZTO1p8Uaj-_-2-Kd-yk_g-iShG6tAw

 

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  • 1 mois plus tard...

Bonne critique!

https://journalmetro.com/art-de-vivre/2408584/rose-marie-restaurant-italien-a-la-rescousse/

 

Art De Vivre

03:30 23 décembre 2019Par:  Maryse DeraîcheMétro

Rose-Marie: l’italien à la rescousse!

Photo: Maryse DeraîcheRestaurant Rose-Marie: le nouvel italien de quartier, situé au 1550, rue Fullum, à Montréal.

Cerné par les édifices gouvernementaux, surgissant miraculeusement au milieu d’un environnement gastronomique aride, le restaurant Rose-Marie est une bénédiction pour les gourmands du coin.

Abrité dans un vieux bâtiment datant de 1883, le restaurant Rose-Marie propose aux résidants du Centre-Sud la cuisine italienne du chef Michael Lemme. Les copropriétaires Marie-Michèle Fecteau (Maison Boulud, Toqué!, Accords), Julien Roy-Sinclair (Chez Sophie, Moleskine) et Julien Comtois (Sinclair, Mount Stephen, Auberge Saint-Gabriel) forment une équipe motivée et compétente, prête à se retrousser les manches pour offrir une cuisine italienne locale et dynamique aux affamés du quartier.

Renaître de ses cendres

Situé dans le défunt Petit Bistro aux allures masculines et sombres, le Rose-Marie s’est refait une beauté en mettant la féminité aux premières loges, tout d’abord par son nom. Qui, d’ailleurs, n’est ni celui de la grand-mère du chef ni celui d’un des propriétaires; il a été choisi après mûre réflexion par l’équipe pour son côté féminin et délicat, mais aussi pour rappeler le mot «romarin» (rosemary en anglais), une herbe de prédilection dans la cuisine italienne. Une jolie branche de romarin orne d’ailleurs les verres du resto.

Quant au mobilier, il revêt un style rétro. De vieilles chaises ont été repérées dans les petites annonces, achetées, puis adroitement revampées. Un énorme buffet en bois massif décore le deuxième étage et fait office de bar. Le rose pastel et les plantes vertes apportent la touche féminine désirée, et l’espace lounge, où trônent de magnifiques fauteuils en vieux cuir rivetés, donne le goût de s’asseoir pour déguster le digestif (et fumer un cigare, mais bon…).

À boire!

Anciennement mixologue au Moleskine, Julien Roy-Sinclair a élaboré la carte des cocktails. Alors que le 5 à 7 est merveilleusement honoré par la présence du négroni blanc et du sour d’hiver, un cocktail composé de gin, de chartreuse verte, d’orange, de romarin, de citron et d’une belle émulsion de blanc d’œuf, on ne peut qu’envisager une suite réussie.

C’est en effet ce qui se produit; la carte des vins est originale, teintée des goûts de sa créatrice Marie-Michèle. On y trouve des nectars italiens, bien sûr, mais aussi une carte à l’image de la jeune équipe. Plusieurs beaux classiques français y figurent, comme La Myotte Rouge, un bourgogne issu d’une très vieille vigne de pinot noir. Plusieurs vins audacieux se sont également taillé une place sur la carte. Le vignoble autrichien Meinklang, par exemple, un domaine biologique et biodynamique dirigé par une jeune vigneronne et son mari, propose des vins jeunes, élevés en cuves inox et béton, sans filtration. Quant au Gruner Libre 2018, une importation privée, il possède une belle effervescence et des notes de pommes vertes à peine mûries. D’une fraîcheur incomparable, ce vin est parfait pour s’essayer à quelque chose de nouveau.

Les Italiens disent que le prosciutto est la dernière viande qu’on voudra manger avant de mourir. Celui du Rose-Marie est certainement à la hauteur de l’adage.

À manger!

La carte du Rose-Marie se divise en quatre services: les bouchées, les petits plats, les plats et les desserts. Les origines abruzzaises et calabraises du chef Lemme se ressentent dans le choix des plats. Le Rose-Marie est jeune et audacieux, tout comme son équipe, mais sa cuisine est authentique. On n’y sert pas une version américanisée de la cuisine italienne. Le chef tente d’intégrer sa vision personnelle de la gastronomie, tout en s’inspirant de la cuisine régionale de sa mère et de sa grand-mère. Il est facile de constater cette double identité en regardant son menu.

Étrangement, l’apothéose du repas s’atteint au début! La ricotta fouettée, que le chef a étalée sur un bout de pain de campagne de La Fabrique Arhoma marqué au gril, puis recouverte d’un filet de miel d’ail fermenté, est incroyable! Douce, légèrement rehaussée d’un zeste de citron et à peine sucrée par le miel (qui est une véritable révélation d’ailleurs)… Bellissima!

Et cela se poursuit au premier service… Le prosciutto, simplement recouvert d’huile d’olive et agrémenté de quelques noisettes crues, est d’une qualité telle qu’il se fendille à la pression légère des doigts et fond littéralement dans la bouche. L’assiette du chef, généreuse, n’était tout de même pas suffisante tellement chaque bouchée était jouissive.

Deuxième service

En guise de petits plats, le carpaccio de bœuf est à choisir assurément! Encore une fois, la qualité de la viande est impeccable, le bœuf est fondant et savoureux. Cette qualité permet au chef de ne pas travestir la pièce maitresse; le carpaccio est donc uniquement relevé d’un peu de citron et de parmesan, puis recouvert d’un jaune d’œuf fermenté râpé à peine perceptible à l’œil, mais bien senti en bouche.

Au troisième service, on voit arriver les plats de pâtes réconfortants des régions montagneuses de l’Italie: les tagliatelles au ragoût de champignons sauvages en sauce tomate, les cavatelli au porc braisé bien relevé et le plat de gnocchi de ricotta aux lardons et au tallegio, un fromage au lait de vache italien qui gagne à être connu des Québécois.

On y retourne?

Absolument! Pour son accueil et son service impeccables, son ambiance feutrée et intime, pour ses alcools qui marient avec adresse le classicisme et l’audace et pour la cuisine simple et généreuse du chef.

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  • 1 mois plus tard...

Conseil du 11 février 2020

CA 30.10

Préparation des plans et devis des travaux de
réaménagement de la rue Parthenais dans l'arrondissement de
Ville-Marie

CONTEXTE
La Division de la Voirie des Travaux Publics de l'Arrondissement de Ville-Marie procède
annuellement à un programme de réfection routière (PRR) dans diverses rues de
l'arrondissement. Dans le cadre du réaménagement de la rue Parthenais, entre les rues
Ontario et Logan, il a été prévu d'élargir les trottoirs, de construire des saillies et de planter
58 arbres avec des fosses de 10 mètres cubes. Il est donc requis de préparer les plans et
devis pour lancer un appel d'offres pour la construction du projet.
Les services professionnels de Les services EXP inc. sont donc requis pour effectuer ces
plans et devis.

La Direction des Travaux Publics a déjà effectué un processus de sollicitation des marchés et
a octroyé 3 contrats de type ententes-cadres. 
Suite à l'offre de service MTR-00019016-AO en date du 24 janvier 2020, le présent mandat
sera effectué par Les services EXP inc. conformément à l'appel d'offres VMP-19-016 et la
convention s'y rattachant.

DÉCISION(S) ANTÉRIEURE(S)
Résolution CA19 240450_ _Conclure trois (3) ententes cadres d’une durée de trente-six
(36) mois, à compter de la date de leur octroi par le Conseil d'arrondissement, pour la
fourniture sur demande de services professionnels en ingénierie pour la conception, la
préparation des plans et devis et la surveillance de travaux sur divers projets de la Direction
des travaux publics de l'arrondissement Ville-Marie.

DESCRIPTION
La rue Parthenais entre les rues Logan et Ontario est en mauvais état et les trottoirs doivent
être reconstruits dans la quasi-totalité. Comme la fondation de la chaussée est dégradée,
celle-ci doit être entièrement reconstruite. Afin de procéder à une reconstruction, les actifs
d'aqueduc et d'égouts ont été inspectés et il en ressort que l'égout doit être réhabilité. Un
gainage de l'égout sera effectué avant la reconstruction de la rue. Étant donné la
reconstruction complète, il a été décidé de bonifier l'aménagement. Il est à noter que le rue
Parthenais se trouve dans une zone d'îlot de chaleur. Il a été décidé d'élargir les trottoirs,
de construire des saillies aux endroits possibles et de planter 58 arbres sur l'espace public
qui en compte actuellement un seul. L'éclairage sera également évalué afin de déterminer
s'il doit être réaménagé.

JUSTIFICATION
L'élargissement des trottoirs permet d'aménager des aires de détentes pour les citoyens.
L'ajout de saillies améliorera la sécurité des déplacements des usagers et contribuera à
l'apaisement de la circulation. La plantation d'arbres sera maximisée pour augmenter la
canopée et réduire l'effet d'îlot de chaleur.

 

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15:53 14 février 2020

Par: Henri Ouellette VézinaMétro

https://journalmetro.com/actualites/montreal/2420478/terrasses-centre-ville-30-000-economies-commercants/

Terrasses au centre-ville: jusqu’à 30 000$ d’économies pour les commerçants

Photo: Archives MétroLes terrasses, comme partout ailleurs, sont fort achalandées pendant la saison estivale à Montréal.

L’arrondissement de Ville-Marie promet «d’alléger le fardeau financier» des commerçants voulant installer des terrasses au centre-ville. En fonction de la superficie de celles-ci, de la valeur du rôle foncier et de la durée de l’autorisation demandée, les entrepreneurs pourront économiser jusqu’à 30 000$ par année, en vertu d’un nouveau cadre réglementaire adopté vendredi.

«On veut vraiment simplifier la vie des commerçants. Donc réduire le coût lié à ces aménagements-là et offrir un centre-ville qui est plus agréable, plus animé», a expliqué la mairesse de Montréal – qui est aussi mairesse de Ville-Marie –, Valérie Plante.

Pour «pallier» la hausse de la valeur foncière prévue en 2020, Ville-Marie abaissera aussi le taux de taxation des terrasses. Il passera de 9,5% à 4% pour les commerçants.

«Il fallait trouver des solutions intéressantes, et cette mesure représente des économies importantes», a fait valoir Mme Plante.

«Ce n’est pas toujours facile pour les commerçants. On comprend les différentes réalités. Que ce soit par rapport aux changements d’habitudes de consommation ou la difficulté pour la clientèle de se déplacer pendant les travaux.» – Valérie Plante, mairesse de Ville-Marie

Plus de place, plus de placottoirs

Ville-Marie permettra enfin aux propriétaires d’établissements «d’occuper le trottoir». Un maximum de trois tables et de douze chaises pourront  être installés sur les trottoirs du centre-ville. Le but étant d’en faire des terrasses «à l’européenne».

«Ça devra se faire en respectant des conditions de sécurité et d’accessibilité bien sûr», a indiqué l’arrondissement.

Le responsable de l’habitation et de la stratégie immobilière, Robert Beaudry, a précisé que la distance avec la rue devra être d’au moins 1,8 mètres.

«On se réserve le droit d’accepter ou de refuser toutes les demandes. Surtout si ça ne répond pas à nos critères d’accessibilité universelle», a-t-il prévenu. Aucun alcool ne sera non plus servi sur les trottoirs, selon lui.

En plus de terrasses, les placottoirs – ces espaces de vie intégrés au domaine public – doivent par ailleurs être multipliés au centre-ville, d’après Valérie Plante.

«À partir d’aujourd’hui, un commerçant qui désire en avoir un dans son local commercial pourra réserver un espace sans frais», a-t-elle promis. La croissance des placottoirs permettra selon elle aux citoyens de se «réapproprier l’espace» dans un contexte de densification urbaine.

Toutes les nouvelles terrasses seront systématiquement universellement accessibles, assure la Ville. Les anciennes terrasses auront jusqu’en 2021 pour s’y conformer. Montréal assure qu’elle prévoit déjà des espaces de mobilier adaptés pour les personnes à mobilité réduite.

Deux inspecteurs sillonneront d’ailleurs la métropole pour s’assurer que les critères d’accessibilité universelle soient respectés. Ceux-ci seront aussi exigés dans tous les plans de construction à partir de maintenant.

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