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Canadiens de Montréal


mtlurb

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Je trouve ça désolant qu'une gang de pas bon ait raison d'un bon coach. Mon rêve serait que les joueurs soient accueillis d'un bon gros "chouuuuu" bien senti de 10-15 minutes à leur arrivée sur la patinoire au prochain match. S'ils sont pas trop souls, ils comprendraient peut-être le message...

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Carbo had and was one of the worst coaching minds the Montreal Canadiens ever had. Every game he coached was riddled with stupid decisions or indecisions. He just didn't have it as a coach. He was a great player in his time and who knows perhaps he will someday be associated with his son-in-law in Dallas in some way or fashion but please don't anyone tell me he was a good coach because he wasn't. Anyone with a little bit of hockey knowledge in this town will tell you he is not coach material especially in this market. The number one tool in coaching is communication and that he did not have. His constant line juggling, never knowing when to call a time out, consistantly playing 4 lines when we're loosing the game, having the wrong players on the ice at crucial moments of the game, never established a checking line to offset the opponents top line.... I could go on on and on. I know it pains Gainey big time to let Carbo go and this is why it took him until yesterday to make that decision. Again, Carbo was a great player in his time but he's no coach that's for sure.

I will put this question out there and I'm sure you heard it many times because in the market we live in; is it really necessary to go after a francophone coach? I understand the fact for the media sake it would be wise but we are depriving ourselves of excellent coaches elsewhere. The key here is to go after the best coach available whether he's french or not and if he's not than God dammit go after him and sign him to coach the habs. We can always sign a francophone assistant coach to handle the media relations. This is what I would do.

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cal***

 

 

tout le temps la même histoire, les maudits joueurs gâtés qui gagnent sur l'entraineur... checkez ben ça, dans quelques années, carbo est à la tête d'une équipe qui va massacrer les habs...

 

I seriously doubt that Malek:eek: . Carbo is NOT A HOCKEY mind. He will never coach again. He's front office material and that's as far as I'll go. Claude Julien is the real deal. He is a fulltime coach...although he never played the game, he coached from minor hockey, to midget, to Junior, to the American Hockey leaugue, to the world juniors to the big leagues. That's a coach! No Carbo.

Hockey players regardless of their salary are like clay, it takes a great coach to teach and mould them to fit into the coach's system.

Please don't tell me that Carbo will haunt the habs... he he he ha ha ha, i'm laughing soooo hard my spleen hurts!! LOL:goodvibes:

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Carbonneau est congédié.... toujours la même rengaine avec cette franchise.

 

Il se trouve qu'il va toujours y avoir des 'fefans' pour soutenir les décisions ridicules de la haute direction.

 

Vivement le retour des... Nordiques!

 

 

That's the problem with this city, you think too much with your hearts and not enough logic. This was the most logical thing to do. It had to be done. Carbonneau was the captain of the Titanic slowly taking his team out of the playoffs. He lost control of the bench. The assistant coaches never spoke with him behind the bench which is extremely odd. Again, it all comes down to communication ladies and gents and Carbo never had it... yeah he kept saying my door is always open if they want to talk with me but come on folks this is just a ploy for the media. He was God awful and frankly the Montreal Canadiens do no deserve a coach like him running the show.

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Publié le 12 mars 2009 à 05h00 | Mis à jour à 05h00

 

Le bon citoyen

 

Réjean Tremblay

La Presse

 

Les grandes compagnies qui oeuvrent au Québec ont un rôle de bon citoyen à remplir. À une certaine époque, on se contentait d'envoyer quelques dollars au curé de la paroisse et au maire du village, en anglais, et le tour était joué.

 

Est arrivée la Révolution tranquille, qui a été suivie par l'éveil des francophones symbolisé par le 15 novembre 1976.

 

Les grandes compagnies se sont adaptées et ont favorisé la présence de francophones chez les dirigeants. Ça faisait partie du rôle de bon citoyen. Et comme dans d'autres entreprises dans le monde, ç'a donné de bons présidents et de moins bons présidents.

 

Le Canadien a joué son rôle à la perfection. En faisant encore plus. Je me rappelle comment les dirigeants de l'équipe, des anglophones à l'époque, se sont pliés à la loi 101. Soit dit en passant, je n'ai jamais discuté en anglais avec Toe Blake, Sam Pollock ou Scotty Bowman. Ils parlaient fort bien français. Même chose pour Peter et Edward Bronfman, les propriétaires de l'équipe avant qu'ils ne la vendent à Molson.

 

Puis, Ronald Corey et Serge Savard ont favorisé le hockey québécois autant chez les joueurs que chez les entraîneurs. Pendant que les Nordiques faisaient de même à Québec.

 

Jacques Martin, Michel Bergeron, Bob Hartley, André Savard, Jacques Demers sont devenus des dirigeants dans la Ligue nationale par Québec. Michel Therrien, Jacques Lemaire, Mario Tremblay, Alain Vigneault, Pat Burns, Jean Perron, Claude Julien et Guy Carbonneau ont accédé à la Ligue nationale grâce au Canadien. L'entreprise ne se contentait pas d'accumuler des profits, elle favorisait les gens qu'elle servait et dont elle touchait les dollars.

 

* * *

 

Depuis que Pierre Boivin est président et surtout que Bob Gainey est directeur général, c'est tout le hockey québécois qui se fait étrangler par le Canadien.

 

Je sais que pour de nombreux fans, le respect de la langue de la majorité n'a aucune valeur. Je sais aussi qu'une génération de fans se moque éperdument de l'existence et de la progression du fait français au Québec. Je sais que des milliers de partisans n'ont cure que le Québec devienne une Louisiane où quelques Zachary Richard vont tenter de perpétuer une langue mourante.

 

Et pour de nombreux fans, que les joueurs et les dirigeants de hockey issus de la société québécoise perdent leur seul point d'entrée dans le hockey majeur, n'a aucune importance. Même si l'organisation qui les trahit ainsi empoche des dizaines de millions qui prennent le chemin de Denver et qu'elle n'est même pas foutue de gagner deux séries de suite depuis plus de 12 ans. Comme elle ne sera pas foutue d'aligner plus de trois Québécois la saison prochaine.

 

* * *

 

Il se peut que Bob Gainey décide de rester coach la saison prochaine. Mais il se peut aussi qu'il tente d'imposer Don Lever. Ce dernier a déjà entrepris l'opération charme en confiant à François Gagnon qu'il comprenait le français. J'espère que François a décidé de poser toutes les questions suivantes en français. J'aurais été curieux d'entendre les réponses.

 

Je ne partage pas le cynisme de plusieurs hommes d'affaires montréalais qui appellent Pierre Boivin «Peter Boivinnne» quand ils parlent du président du Canadien. Je suis conscient que M. Boivin est dans une situation difficile dans une organisation qui pompe les dollars au max pour nourrir les entreprises Gillett. Je suis conscient qu'il n'a aucun contrôle et sans doute aucune influence sur Bob Gainey, qui poursuit un véritable grand ménage chez les joueurs francophones qui survivent chez le Canadien. L'objectif ultime étant, semble-t-il, des joueurs qui ne s'expriment qu'en anglais, dirigés par des anglophones pour que ce soit moins difficile à gérer avec les médias du Québec.

 

* * *

 

Dans la vie, la liberté des uns s'arrête là où commence la liberté des autres. Et en politique comme en affaires, on peut envahir tout un territoire si personne ne pose de balises. Comme une nouvelle génération de fans est prête à accepter tout ce que fait le Canadien et tout ce qu'il dit et vend à RDS, l'entreprise de M. Gillett occupe tout le territoire qu'on le laisse envahir. En niant au maximum les obligations sociales qu'une entreprise vénérée par la population devrait remplir. On jette de la poudre aux yeux avec des fondations qui, heureusement, rendent des enfants plus heureux. Et qui, comme c'est bien connu en publicité, véhiculent le mieux la bonne image de l'entreprise.

 

* * *

 

L'idéal serait que le Canadien déniche un bon entraîneur capable de respecter la langue du Québec. Il y en a un à Hawksberry qui a gagné la Coupe Stanley avec l'Avalanche du Colorado. Il y a également Mario Tremblay qui, fort d'une expérience enrichissante avec Jacques Lemaire, serait un candidat fort.

 

Non seulement le coach du Canadien doit être capable de s'exprimer tous les jours dans la langue officielle de cette nation mais en plus, le devoir du Canadien est de s'ouvrir au hockey mineur québécois. Je sais que l'entreprise de M. Gillett n'est pas une oeuvre de charité et que l'homme d'affaires américain a besoin des millions de dollars de profits générés par le Canadien, mais il est plus que temps que Pierre Boivin, s'il est un vrai président, se demande ce qu'il peut faire pour sa clientèle la plus passionnée. Celle qui joue et celle qui dirige le hockey québécois.

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Chu pu capable d'entendre Réjean tremblay bitcher sur tout! Il chiale constamment et n'est jamais content!

 

Je trouve ça assez particulier qu'il ne parle pas des 5 patinoires extérieurs que le Canadiens va construire à travers la grande région de Montréal. Il ne parle pas de al fondation du Ch pour les enfants. Il ne parle pas de toutes les autres choses que cette organisation fait pour la communautée!

 

Je suis bilingue, donc pour moi que le coach soit franco ou anglo ça ne change rien. Je suis conscient que le coach du Ch devrais parler français, par contre ou je ne suis pas d'accord avec tremblay c'est que si il y a un coach mieux qualifié et qu'il ne parle pas français, il devrait quand même être embauché... on aura qu'a s'assurer qu'il y a un assistant coach francophone!

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Là ou je rejoins Tremblay c'est quand il affirme que le Canadien a un rôle à jouer dans l'ascension des coachs Québécois à la ligue Nationale. Je veux dire, soyons réaliste, très peu de coach 'frenchies' ont atteint les grands honneurs sans le Canadien, pour des raisons que je ne qualifiais pas, car ceci pourrait peut-être s'avérer offensant pour certains gens.

 

Si on veut regarder la parade en tant que Québécois et voir notre implication dans cette ligue être fragmentaire, so be it. Avec des affirmations du genre, la compétence n'est pas une question de langue, of course, enfin pour moi Montréal a un devoir afin de promouvoir les coachs francophones.

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