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Né entre les rapides

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Tout ce qui a été posté par Né entre les rapides

  1. Pas certain. La moitié sinon davantage des personnes et des organisations passionnées par le sujet le sont d'abord à cause des implications et des retombées urbanistiques et immobilières du projet de stade. Qui plus est, ces personnes sont généralement plus influentes que les simples amateurs de baseball. La dimension "sportive" vient en second. Le développement immobilier (rattaché au projet de stade) prime.
  2. Super idée sur papier vite transformée en cauchemar! Pas d'apport d'air frais, pas de vue, une prison bétonnée qui s'étire à l'infini. Certainement le confinement absolu pour un photographe chevronné. Comment doit-on appeller un tunnel surélevé? -- La ligne grise? Il faudrait implorer les artistes-graffiteurs de dessiner des fenêtres (trompe-l'oeil) offrant des vues bucoliques. Demander aux chimistes-parfumeurs de composer des odeurs enivrantes (artificielles bien sûr). Et quoi d'autres pour mettre le REM sur la mappe des gourous des jeux d'animation? Le jeu pourrait s'appeller "La Randonnée Infernale en Vélo dans les Entrailles du REM". Ceux qui ne font pas de vélo mais recherchent les sensations fortes assis devant leur écran seraient ravis.
  3. C'est amusant de penser que l'enfer existe vraiment. Heureusement, il n'est pas partout à la fois -- il se déplace d'un endroit à l'autre et y reste pour un temps limité. Il y a juste que certains endroits sont plus propices à des apparitions répétées et de longue durée. A éviter autant que possible.
  4. Il est apparent que l'usage d'un chiffre (nombre) rond ne découle pas d'un processus sérieux d'estimé des coûts, alors ce que je retiens de l'annonce (ou du message) est simplement que c'est un "gros projet". Cependant, si on veut s'amuser, on peut imaginer que l'inflation des coûts se poursuivra à un rythme tel que le milliard sera atteint. Si cela s'avérait, le promoteur perdrait sa chemise s'il avait vendu plusieurs unités à des prix établis en fonction d'un estimé réel inférieur tout en se réservant un profit concurrentiel. D'un autre côté, la hausse des coûts peut aller de pair avec les prix de vente du marché -- jusqu'à un certain point. C'est quand le projet sera terminé qu'on connaîtra sa valeur du marché. Ce qu'il aura coûté en définitive devra être comparé avec cette valeur. Si vous aviez payé 500,000$ pour une maison en 2019 et que votre beau-père trouvait que vous aviez payé trop cher, c'est vous maintenant qui pouvez rire. Un million n'est plus ce que c'était. Un milliard non plus.
  5. Tu recules trop loin dans le passé. C'est vrai qu'il y a eu des hésitations et des retards, mais à ma connaissance les risques inhérents au creusage des tunnels n'ont jamais été évoqués comme raison. Si on avait vraiment peur des tunnels, personne n'oserait proposer quelque chose d'aussi gigantesque que le Troisième Lien à Québec sous le lit du fleuve et le Cap Diamant. Je ne vois pas comment l'accident survenu hier affecterait le prolongement du REM jusqu'à Dorval; s'il est retardé, ce sera pour d'autres raisons. P.S. Ton intuition serait encore plus spectaculaire si tu avais écrit qu'en conséquence de l'accident, le REM de l'Est ne pourrait pas être en tunnel au centre-ville!
  6. Merci de l'avoir souligné. Ça m'arrive moi aussi. Et ton message est plus complet que le mien, parce qu'il identifie des exemples spécifiques.
  7. Une espèce en voie de disparition, Dieu merci, avec une attente trop longue. Mon premier patron décrivait justement ces stationnements en pleine ville comme étant des trous -- et je lui donnais raison sur ce point, sauf que j'étais plus positif et que j'anticipais le jour où ils feraient place à des immeubles (élégants je l'espérais).
  8. Au moins on ne voit pas d'amoncellement de détritus, signe d'un certain entretien. Et imagine si les abribus étaient "convertis" en villages pour les sans-abris. On trouve toujours pire quelque part ailleurs. Le Japon, Singapour sont des exceptions qui relèvent d'une culture différente. Ici, je ne serais pas surpris si les "bons citoyens ordinaires" en venaient à préférer attendre l'autobus à l'extérieur plutôt qu'à l'intérieur dans une atmosphère répugnante -- ce qui est mon cas. La STM va néanmoins continuer à ériger des abribus, parce que ne pas le faire l'exposerait à d'autres types de critiques. La STM fait sa part, aux citoyens de faire la leur.
  9. Parfois. Il ne faudrait pas accorder des délais sans raisons ni conditions.
  10. En bref, les conditions se rapportent à une vision globale, probablement moins axée sur le profit mais plus dans le sens du développement d'un quartier diversifié sur les terrains aux alentours du stade. Indirectement, cela interpelle tous les propriétaires de terrains concernés. Un peu plus compliqué, mais possiblement plus socialement acceptable.
  11. "L'échéancier tient toujours": sinon quoi? -- On laisse tout tomber? Parfois, il est plus sage d'accorder un délai supplémentaire, pour s'assurer que le résultat correspondra mieux à nos attentes.
  12. J'aime bien ton argument ayant recours à l'ironie et l'exemple de Boston. Nous faisons une croisade pour la réhabilitation des "trous", et nous voulons les qualifier d'une manière plus flatteuse, parce qu'ils le "méritent". Les espaces libres (parcs, plans d'eau) ou occupés par des bâtiments de hauteur modeste sont des facteurs importants du découpage de la ligne d'horizon d'une ville: c'est ce qui permet de les distinguer. Autrement, quand tout l'espace central est occupé par des immeubles en surhauteur, ça crée une forme plus ou moins conique difficilement reconnaissable. Et de toute façon, on n'aime pas une ville en fonction de sa ligne d'horizon. C'est tout juste bon pour une carte postale (ou des versions plus techno).
  13. Il me semble que le pont Gédéon-Ouimet devra être reconstruit parce qu'il se fait vieux, indépendamment des intentions concernant des voies réservées. Le montant de 1,5 milliard me semble disproportionné s'il ne s'agit que d'élargir des voies. Ne manquez surtout pas de remarquer que l'article mentionne "à compter de 2022", ce qui n'est pas du tout la même chose que d'investir un tel montant sur une période de deux ans. On va nous répéter les mêmes gros montants pendant des années, alors que les investissements dans l'année sont beaucoup plus modestes. -- C'est plus impressionnant, mais c'est trompeur. Concernant la géométrie: j'abhorre les goulots d'étranglement, mais je dois constater qu'ils sont chose courante.
  14. Les trous dominent l'Univers. Et les seigneurs en sont les trous noirs. Manhattan vue du côté droit comme du côté gauche exhibe un grand espace comparativement vide entre Midtown et Lower (Manhattan) -- des constructions plus basses pour des raisons géologiques. La Défense à Paris est "décentrée", établie sur son flanc ouest, à l'extérieur des limites de la ville intra muros. A Montréal comme ailleurs, la forme de la ligne d'horizon varie considérablement selon l'angle de la prise de vue. Je ne crois pas que les lignes d'horizon soient dessinés délibérément dans la recherche d'une quelconque "harmonie", sauf quand on confie la tâche à un architecte (pas un urbaniste!) pour une ville nouvelle, par exemple Brasilia (Niemeyer). À tout moment dans le développement graduel d'une ville, des "trous" apparaissent sous l'effet des constructions hautes nouvellement construites. La suite du développement est une affaire de cas par cas; on peut chercher à compléter une ligne brisée dans un axe, mais on peut aussi préserver des espaces libres ou de faible hauteur, pour favoriser un découpage intéressant. Que seraient les constellations d'étoiles s'il n'y avait pas de "trous"!
  15. Les objections et les critiques sont souvent justifiées, mais des idées constructives susceptibles de concilier des impératifs distincts devraient être exigées en retour. Sinon on ne va nulle part. Mais ce n'est pas si facile. Un projet mirifique faisant abstraction des coûts ne passe pas l'épreuve (test). Un projet esthétique qui ne satisfait pas les besoins de déplacement non plus. Il y a des cas où la meilleure solution soit un compromis comportant des éléments ou des aspects moins plaisants et sujets à la critique. Alors, si les décideurs craignent d'emprunter cette voie, on reporte la décision à plus tard, ce qui n'est pas loin d'une décision de ne rien faire.
  16. QFT? -- Quantum Field Theory? --very unlikely within the context of the discussion. Or perhaps Question Formulation Technique? --would make more sense. It's amazing how frequently we resort to this technique without even being aware that there is a term for it. It must be innate; even children do it all the time. Now, what was the original point? -- Prével good, Devimco not so much. Simple.
  17. En effet. Et même "planifié" n'est pas une assurance de réalisation. "I'm from Missouri. Show me" est une expression qui en dit long. En français, "Il y a loin de la coupe aux lèvres", sans être synonyme, exprime bien le doute aussi. Avec votre permission (ah! ah!), je cite une autre expression qui peut contribuer à augmenter les chances qu'un projet se réalise: "Battre le fer quand il est chaud". Dans le contexte de notre discussion, ça peut vouloir dire qu'il est parfois préférable d'accepter un projet quand il est offert, même s'il ne correspond pas parfaitement à nos désirs; en demandant toujours plus "d'améliorations", on retarde la prise de décision, et puis, le temps passant (ou le gouvernement changeant), les priorités vont ailleurs et on reporte la discussion à (beaucoup) plus tard. Par ailleurs, ce qui est "exclu" aujourd'hui peut revenir à l'ordre du jour dans l'avenir, sous un autre régime et/ou dans des circonstances ou des perspectives différentes. La seule chose qu'on peut envisager avec certitude est notre mort, un de ces jours. Même pas nécessaire de la "planifier". C'est vrai. La Caisse "peut", ce qui est plus fort que "quand on veut on peut". Mais quand on peut, veut-on toujours? -- La Caisse est soumise à des exigences de rentabilité dont sont exempts, en pratique, les pouvoirs publics.
  18. C'est "sûr", sauf que c'est plus difficile au vent de s'engouffrer dans un espace espace clos. Les balcons le long de René-Lévesque sont dans une situation très différente de ceux situés dans l'interstice, pour lesquels @DavidGat77se préoccupe.
  19. Par chance, ce mur aveugle fait face au nord géographique, et il n'aura eu guère le temps de chauffer quand quelques rares rayons de solei s'infiltrant par l'Est le matin pourraient l'avoir éclairé brièvement. C'est surtout le manque de circulation d'air qui fera problème, mais selon mon expérience personnelle, ça demeurera la partie la moins chaude en après-midi.
  20. On aime qu'une grande ville comme Montréal ait des sites consacrés aux festivités, et on aime aussi qu'elle dispose de sites où des édifices prestigieux se trouvent en bonne compagnie (pas perdus au milieu de nulle part ou entourés de médiocrité). Les deux n'ont pas besoin de se cotoyer. Tout ce qui importe, c'est que l'accessibilité aux uns et aux autres soit excellente, et que les environs offrent des attraits et des services conséquents; ceux-ci ne sont pas typiquement les mêmes pour les premiers et les seconds. La cas du Maestria situé aux abords de la Place des Festivals est particulier. Il prétend combiner prestige et convivialité débonnaire. Je doute que ce site a été sélectionné par les promoteurs à cause de la proximité de la Place; ce serait plutôt parce que c'est un des rares grands sites disponibles au centre-ville, probablement à prix moindre qu'au coeur de celui-ci, et aussi parce qu'il permet des vues raisonnablement dégagées; par contre, les environs immédiats n'offrent pas les établissements de prestige (magasins, restaurants) auxquels on s'attend normalement. L'opportunité d'avoir une vue directe sur les scènes de la Place des Festivals me semble être une bien piètre compensation, d'abord parce que les événements sont occasionnels: que fait-on le reste du temps sur son balcon? Je pense que le site de la Place des Arts convenait assez bien pour les activités intérieures qui y sont présentées; de plus, il permettait de rehausser le standing d'un secteur qui en avait besoin. Les Festivals qui s'y sont tenus en profitant des espaces extérieurs disponibles, allaient poser problème quand le succès est devenu "monstre", au point de réclamer encore plus d'espace. Cela a donné naissance à la "Place des Festivals" Le défi, pour supporter l'attractivité des Festivals, est de maintenir, voire d'encourager la prolifération d'établissements fréquentés par les festivaliers -- par exemple, je te cite: "prendre un café, une bière, un burger...", idéalement dans un contexte relax, informel, bon enfant, surtout pas "high class" avec des prix à l'avenant. Si tous les établissements de ce genre devaient céder leur place à du plus haut de gamme, à cause notamment de la pression immobilière, je crains fort que la Place perdrait de son attrait. Il y a des jours je porte jeans et t-shirt; d'autres, des vêtements plus raffinés (pas nécessairement complet- cravate comme avant). Idem pour ma compagne. C'est pour des occasions différentes, dans des établissements différents, situés dans des quartiers différents. On est dans la mixité sociale, mais pas encore dans la mixité des occasions. Le Maestria? -- J'ai hâte de voir l'interaction avec les environs.
  21. Indépendamment de la signalisation, l'A-20 dans la région de Montréal continue d'être une autoroute sur papier joignant par des liens faibles des segments distincts. D'ouest en est: - segment avec feux de circulation à Dorion et sur l'île Perrot; - une seule voie à la sortie 66 pour rejoindre l'A-15S en duplex; -une seule voie à la sortie du pont S-D Champlain pour rejoindre la r-132E en duplex (autoroute René-Lévesque), y compris une zone de chevauchement avec la sortie de l'A-15N en direction du pont; - une seule voie à la sortie 89E pour rejoindre l'autoroute Jean-Lesage. Dans l'échangeur Turcot, seuls trois mouvements dans l'une et l'autre direction comportent deux voies de circulation: A-20/r-136, A-15/A-15 (Champlain/Décarie), et Décarie/r-136. Tous les autres mouvements sont à une voie par direction; c'est vraisemblablement (?) un reflet de leur moindre importance. En fait, je comprends assez bien dans le cas du mouvement A-15N/r-136, parce qu'en provenance du pont, il est généralement plus pratique de se diriger sur l'A-10 ouest à partir de l'île des Soeurs jusqu'au centre-ville, mais pour le mouvement A-15N (en duplex avec A-20 ouest) vers l'A-20 ouest et inversement, la voie unique peut surprendre quand on pense que la principale traversée par voie ferrée du Saint-Laurent dans l'axe est-ouest canadien est à proximité (pont Victoria). Ça revient à confirmer que la principale voie routière dans l'axe est-ouest dans la région de Montréal demeure A-40/A-25 (p-t L-H Lafontaine)/A-20(Jean-Lesage). L'A-30 en contournement sud complète le tableau. L'importance de l'échangeur Turcot dans le réseau routier national ne doit pas être exagérée.
  22. Pour ma part je souhaite que Montréal devienne plus prospère et plus agréable à vivre. Mais je ne souhaite pas qu'elle redevienne la Métropole du Canada, si ce statut est défini en fonction de la taille de la population; pour y arriver, même dans l'hypothèse peu vraisemblable où la population de Toronto stagnerait à son niveau actuel pendant 50 ans, il faudrait un taux de croissance démographique très élevé à Montréal durant toute cette période, ce qui ne serait pas sans entraîner de grands chambardements et fort probablement des retards continuels dans la nécessaire progression parallèle des services publics. Mais supposons quand même que Montréal dépasse Toronto: je serais très perplexe quant à la place qu'elle occuperait dans la société québécoise. Elle écraserait le reste. Aussi, la Métropole du Canada ne peut pas aujourd'hui être majoritairement francophone; quand elle l'était, les postes de commande revenaient aux anglophones; le reste du Québec ne servait que de réservoir de main-d'oeuvre bon marché pour les entreprises montréalaises essentiellement tournées vers la desserte et le développement de l'Ontario dans un premier temps, puis l'Ouest jusqu'au Pacifique dans un second temps. Aujourd'hui, Montréal peut s'affirmer sur la scène internationale, y compris dans le contexte nord-américain, dans ses spécialités. San Francisco-San Jose n'est pas la métropole des USA, mais elle réussit très bien. Qu'il en soit de même pour Montréal. Si Montréal avait un taux de croissance plus élevé que Toronto, ce ne serait pas un vrai revirement, juste une fluctuation, même si elle perdurait pendant quelque temps. Un vrai revirement, ce serait de voir les plus importants centres de décision canadiens venir ou revenir* à Montréal: cela je ne le vois pas, et je n'en verrais pas la raison. Qu'une entreprise fasse ce chemin (de Toronto à Montréal) oui je sais que ça arrive, mais c'est pour des raisons spécifiques qui ne peuvent pas être généralisées; c'est anecdotique. Quand Toronto a dépassé Montréal, ce n'était pas un revirement; c'était l'aboutissement d'une tendance déjà décelable vers la fin du 19e siècle, perceptible dans les années 1930, vraiment sentie dans les années 1950, puis finalement confirmée au milieu des années 1970. Durant toute cette longue période, Montréal avait continué de croître, et conservé son statut de métropole jusqu'à la tenue des Jeux Olympiques; mais on savait où était le vrai pouvoir, si on brassait des affaires plus grosses que la petite épicerie du coin, ou si notre connaissance du monde n'était pas limitée à ce que le Grand Maire voulait bien nous faire croire. Ce que je trouve vraiment intéressant, "formidable" en termes de revirement, c'est que Montréal n'est plus l'unique locomotive urbaine ** du Québec: d'autres villes (je ne parle pas des banlieues) font preuve d'un grand dynamisme et ne sont plus confinées dans des activités traditionnelles qui les définissaient, pafois même caricaturellement. * D'ailleurs, la plupart n'existaient pas ou n'étaient pas établis au Canada quand Montréal était la métropole. ** Pour ne pas oublier que l'exploitation des ressources naturelles en région a été et demeure une importante locomotive de l'économie du Québec, et que Montréal en profite aussi.
  23. Peut-être aurait-il mieux valu être très vieux et avoir ressenti l'atmosphère de Montréal à son apogée au début du 20e siècle. Évidemment, j'admets que Montréal connait présentement une période faste, après un long déclin qui l'a vue être nettement dépassée par Toronto en termes de population et de puissance économique. L'actuel regain doit être attribué en partie à un effet de rattrapage, qui ne se prolonge pas indéfiniment. Je sais aussi que Montréal a ajouté quelques nouvelles cordes à son arc, notamment dans l'économie du savoir; mais elle n'en a pas le monopole; les données exprimées en termes de pourcentage des emplois occupés par secteur dissimulent celles exprimées en valeur absolue. Et ce n'est pas non plus comme si Montréal n'avait pas ses propres problèmes et déficiences, qui ne semblent pas être en voie de disparition. L'apogée de Montréal dans le futur, ce serait comment? -- Métropole du Canada? Et quelle place dans la société québécoise?
  24. Beaucoup beaucoup plus qu'à l'automne 2020, mais encore moins qu'à l'automne 2019. Pour les restaurants je comprends: même avec moins de travailleurs de retour (qu'il n'y en avait en 2019), leur propension à aller au restaurant aura normalement augmenté, après un an et demi de privation. La folie ressentie découle du contraste. Dis-nous, est-ce que les visages sont plus souriants qu'en 2019? -- Ça devrait.
  25. (ci-dessus un extrait du texte cité) Que veut dire "tirer un trait" quand ce ne sont pas eux (les élus de l'Est) qui décident?
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