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Windex

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Tout ce qui a été posté par Windex

  1. Je pense qu'une de tes deux tours souhaitées est déjà en construction
  2. C'est surtout son 2e indice qui limite à l'extrême laquelle pourrait être cette compagnie. Massive redevelopment? À part CN/gare centrale, vous imaginez un autre site au centre-ville qui pourrait être massivement re-développé?
  3. J'ai repris l'angle de photo de @Yabucoa77 en utilisant des repères (carrés rouges) pour être le plus près possible. Il semble qu'on pourra apercevoir le Dorchester (6) de cet angle. À voir si le 1025 Lucien L'Allier (2) va décoller bientôt. On peut oublier celui à l'est de Enticity (4), le 1175 Mackay qui lui semble bien mort...
  4. Ouf. Je suis sûr qu'ils savent ce qu'ils font mais... personne ne s'inquiète d'un affaissement?
  5. https://parcolympique.qc.ca/toiture/2019/11/18/un-documentaire-inedit-sur-la-construction-du-stade-olympique/ Un documentaire inédit sur la construction du Stade olympique 18 novembre 2019 | Nouvelles | J’ai vu naître un chef-d’œuvre : le chantier du Parc olympique comme vous ne l’avez jamais vu Ingénieur passionné, Raymond T. Cyr était conseiller technique au Service des travaux publics de Montréal au début du chantier du Parc olympique en 1973. Émerveillé par le « monstre modulaire » qui prenait forme devant lui, il a eu l’idée de coordonner la production du documentaire J’ai vu naître un chef-d’œuvre, qui détaille chacune des étapes de la construction. Une véritable ode au génie technique de l’architecte Roger Taillibert. Alors que le film est disponible depuis peu sur la chaîne officielle du Parc olympique, on discute avec ce témoin de la première heure. Avec ce film, vous vouliez exposer l’ampleur du chantier et le génie des technologies innovantes de l’époque… Raymond T. Cyr : « Il me semblait essentiel de produire un tel document d’archives, car ce chantier était vraiment historique. Chaque fois que je regarde ce film, encore aujourd’hui, ça me rend très ému tellement c’est grandiose. À l’époque, c’était la première fois que nous utilisions au Québec une technique très moderne, aujourd’hui très répandue : la précontrainte par post-tension. Il fallait montrer aux Québécois cette intelligence technique et faire d’eux les témoins de la magnificence de cette façon de travailler. » L’autre grande innovation était le toit du Vélodrome, dont le film vante les qualités… « Cette voûte sphérique autoportante était vraiment un exploit. Pendant le chantier, la toiture avait été montée sur des échafaudages immenses, sans aucun appui intermédiaire. Au fil de l’évolution des travaux, on prenait conscience chaque jour plus fermement de la merveille architecturale que cela constituait. C’était d’une beauté inouïe. La structure de béton était l’une des plus complexes du monde entier, et il a fallu faire preuve d’inventivité pendant toute la durée des travaux. » Le film ne raconte pas les bouleversements et les retards du chantier, se contentant d’exposer les qualités techniques de cette construction. Pourquoi ? « Nous ne voulions pas faire un reportage sur la construction, mais bien une sorte d’hommage au projet architectural pur, tel que l’avait imaginé Roger Taillibert. Je me suis servi d’une brochure technique et architecturale que j’avais rédigée pour synthétiser les principales caractéristiques du Stade et du Vélodrome. C’est le maire Doré qui a trouvé le titre, J’ai vu naître un chef-d’œuvre, et ce titre rend tout à fait justice aux intentions du film, qui étaient de mettre en lumière l’avant-garde, la beauté formelle et la précision technique de ces constructions. » Quel regard portez-vous aujourd’hui sur le Parc olympique ? « Même si je serai toujours attristé par la transformation du Vélodrome [NDLR : transformé en 1992 pour accueillir le Biodôme de Montréal], je continue à vivre de beaux moments quand je me rends dans les installations olympiques aujourd’hui. Même si la mission sportive de ces installations a parfois été délaissée, elles ont pu servir à toutes sortes de choses. Je suis par exemple enchanté du nouveau centre de natation. Il faut en prendre soin, car ces installations sont exemplaires. Je peux en tout cas vous dire que les structures de base sont bonnes pour encore 50 ans ! Le béton ne s’effrite pas, autant sur le mât que dans les charpentes. Je suis très content de ça ! » Pour plusieurs raisons, votre film a été peu vu. Comment accueillez-vous son retour dans la lumière ? « J’en suis ravi. Chaque fois qu’il a été projeté par le passé, notamment devant des étudiants et professeurs de l’École de technologie supérieure (ÉTS), il a été considéré comme un document historique de grande valeur. Tant mieux si les générations actuelles en prennent connaissance. » Le documentaire J’ai vu naître un chef-d’œuvre peut être visionné sur YouTube.
  6. Après avoir atteint le niveau du sol au début de l'automne, ce chantier semble abandonné. Il était pourtant en avance sur son voisin, le 1250 Thérèse-Lavoie-Roux.
  7. Petit vidéo sur un événement pour promouvoir les penthouses. On pousse les vues, les vues, les vues... "Nothing can be built around Humaniti" J'ai ajouté une petite screeshot de tout ce qui ne peut pas se construire autour 😛
  8. Windex

    REM de l'Est

    Carte intéressante: % utilisation du TC pour aller travailler (toutes les données sont du recensement de 2016)
  9. Windex

    REM de l'Est

    @greg16 m'a demandé en privé la carte de densité que j'ai utilisé. Il y a plusieurs autres données que l'on peut cartographier, le tout basé sur le recensement du Canada https://censusmapper.ca/maps/591#12/45.5090/-73.6884
  10. Puisque tu as re-partagé ce plan dans le fil du transport à Lachine, je me suis permis de le transposer sur une carte de densité de population (les cercles ont des rayons de 500 m). Le problème principal que je vois, c'est que malgré une toute nouvelle ligne rose, une extension de la ligne verte et une extension de la ligne bleue, le "core" de NDG n'est toujours pas desservi en métro (carré jaune). NDG, c'est le Montréal-Nord des quartiers centraux; bien dense et mal désservi. Vous aurez compris que mon domicile se situe dans ce carré jaune 😂 La station Turcot sur la ligne rose, bien qu'on s'attendait (surtout en 2017 quand tu as fait ce plan) à ce qu'elle désserve de millier de nouveaux logements, ce sera dorénavant un parc. C'est bien pratique une station dans un parc mais difficile à justifier à lui seul. La station Berge du canal non plus ne désert pas grand chose. Dollard, Lacharité et Roussillon, on en reparlera. La station bleue sur Cavendish, je suis convaincu que la majorité des gens qu'elle déssert vont vouloir aller au centre-ville, donc continueront d'utiliser la 105 vers Vendôme plutôt que faire un détour vers le nord. Moi je verrais plutôt la ligne rose cannibaliser la ligne de train, la ligne bleue bifurquer vers le nord (peut-être jusqu'à BB et Royalmount) et étendre la ligne verte pour désservir Lasalle. La petite connexion entre la ligne rouge et la ligne verte et la station en extra à Lasalle ouest est un bonus. Si on doit aller sur la rive-sud, on passe par le pont existant. Peut-être faire un maillage entre la ligne bleue et la rose dans NDG
  11. Webcam pour l'Îlot Saint-Thomas. On peut y apercevoir d'autres projets de Griffintown 👍 https://www.devisubox.com/dv/dv.php5?pgl=Project/interface&sRef=597X2UC55
  12. Franchement acpnc, @Mike Rivest est un membre qui s'amuse à faire des vidéos en utilisant google earth et les partagent avec nous. Ce n'est absolument pas du marketing et certainement pas de bas étage. Mike fait aussi de superbes "vrais" vidéos avec son drone au dessus de Turcot et autres endroits, tu devrais jeter un coup d'oeil à son poste youtube.
  13. Un texte publié il y a une semaine qui explique la péréquation et comment s'en débarrasser. Pas facile. https://www.lapresse.ca/affaires/201911/05/01-5248525-25-ans-pour-se-debarrasser-de-la-perequation.php 25 ans pour se débarrasser de la péréquation Notre dépendance envers la péréquation horripile beaucoup de Québécois, presque autant que les Albertains. Dès que j’aborde le sujet, une horde de lecteurs me rappelle cette tache à notre dossier et m’exhorte à trouver des façons de s’en débarrasser. Dans le contexte de notre remontée économique sur le reste du Canada, le moment est opportun. Seulement voilà, il faudra être très patient et déterminé pour accéder à notre indépendance financière. Si la tendance se maintient, comme dirait l’autre, il faudra… de 25 à 35 ans pour y parvenir ! Pardon ? Eh oui, puisque la péréquation a pour objectif de redresser la richesse relative des provinces pauvres au niveau de la moyenne canadienne, la seule façon d’en sortir est de ne plus figurer parmi les provinces pauvres. Et pour y arriver, il faut donc avoir une croissance plus rapide qu’ailleurs. En prenant la tendance des dernières années pour lesquelles nous disposons de données — très bonne pour le Québec et très mauvaise pour l’Alberta —, on peut estimer qu’il faudra de 25 à 35 ans pour mettre une croix sur la péréquation. Décourageant ? Oui et non. Le chiffre nous montre l’ampleur du travail à faire, semblable à celui dont on a eu besoin pour ramener notre dette à un niveau raisonnable. Pour parvenir à 35 ans, j’ai comparé l’évolution de la donnée centrale de la péréquation, soit la capacité fiscale des provinces. Attention, je ne parle pas de la ponction fiscale, mais de la capacité des provinces à tirer des recettes en supposant des taux de taxation égaux partout. Cette capacité dépend, évidemment, de l’importance des sources qui peuvent être taxées dans chaque province. Cinq sources servent à déterminer cette capacité : le revenu des particuliers, le profit des entreprises, les dépenses de consommation, la valeur des immeubles et les ressources naturelles. Ces sources de revenus sont bien différentes d’une province à l’autre. Prenez l’immobilier. Les maisons à Vancouver valent bien davantage qu’ici, si bien que l’État est à même de prélever bien plus avec un même taux de taxation qu’ici. Même constat pour les revenus des ménages : malgré la crise pétrolière, les revenus moyens des particuliers sont bien supérieurs en Alberta (73 100 $ en 2017) qu’au Québec (55 500 $), et à taux de taxation égal, la capacité de l’Alberta à emplir les coffres est bien supérieure. Vous me suivez ? En 2017-2018, donc, la capacité fiscale du Québec pour ces cinq composantes s’élevait à 7922 $ par habitant, selon des données du ministère des Finances du Canada. Ce niveau est inférieur d’environ 1600 $ à la moyenne canadienne (9525 $ par habitant). C’est cet écart de 1600 $, multiplié par le nombre d’habitants au Québec, qui se traduit par un versement de péréquation de quelque 13 milliards pour le Québec, grosso modo (1). Plus riches Depuis trois ans, ai-je constaté, la richesse relative du Québec s’est améliorée, après plusieurs années de déclin. En 2014, notre capacité fiscale équivalait à 81,7 % de la moyenne canadienne, un creux historique. Elle est passée à 83,2 % en 2017 (dernière année disponible), soit un bond de 1,5 point de pourcentage (0,5 point par année). Se débarrasser de la péréquation signifie qu’il faut effacer complètement cet écart de richesse et, autrement dit, passer de 83,2 % de la moyenne en 2017 à 100 %. Pour combler ce fossé de 16,8 points, à raison de 0,5 point par année, il faudrait donc près de 35 ans (2). Je vous épargne les calculs, mais pour y arriver, la richesse du Québec par habitant devrait croître en moyenne de 1,9 % par année pendant 35 ans, après inflation, contre 1,3 % dans l’ensemble canadien. Le défi est donc colossal. Maintenant, il est possible de soustraire 10 ans à l’objectif et de parvenir à le faire en 25 ans. En effet, sur les 13 milliards en péréquation qu’a touchés le Québec du fédéral cette année, par exemple, une bonne partie vient des impôts payés par les Québécois au fédéral (3,7 milliards). Si l’on cherchait à combler seulement la part venant des impôts des résidants des autres provinces (environ 9 milliards), il faudrait 25 ans. Dans un cas comme dans l’autre, le budget du Québec en sentirait les conséquences. Effacer progressivement des milliards de péréquation signifie une réduction récurrente de 350 millions chaque année. Ainsi, après cinq ans, le Québec devrait se priver de près de 1,8 milliard de revenus de péréquation par rapport à l’année de départ. Cette somme équivaut à 24 000 employés de l’État (3). Évidemment, pour atteindre ces objectifs de richesse relative plus grande, il faudrait qu’il n’y ait pas un autre boom pétrolier dans l’Ouest, qui enrichirait davantage l’Alberta que le Québec. Il faudrait aussi que le Québec croisse davantage que l’Ontario, ce qui n’est pas une évidence. Le Québec parviendra à les dépasser au cours des quatre prochaines années, selon moi, compte tenu des compressions budgétaires dans ces deux provinces. Ce sera plus difficile par la suite, surtout avec le vieillissement plus rapide de notre population. Les solutions pour croître plus vite sont connues, mais difficiles à entendre. Entre autres, les Québécois doivent augmenter leur productivité, en investissant dans les nouveaux procédés et outils et en misant sur des industries à valeur ajoutée. Ils doivent aussi travailler plus longtemps et davantage. Rappelons que c’est au Québec que la semaine de travail des 25-54 ans est la plus courte au Canada (33,6 heures, contre 35,1 en Ontario) et où la retraite commence le plus tôt. Il faut aussi innover, en misant sur nos forces. Alors, on retrousse nos manches ? 1. La formule est un peu plus complexe : l’écart de capacité fiscale qui sert au calcul des versements est une moyenne de trois années (50 % pour l’année la plus récente et 25 % pour chacune des deux années précédentes). 2. Les différences de temps du calcul sont expliquées par les arrondissements. 3. L’exemple est purement hypothétique, puisque c’est la richesse du Québec qui augmenterait et permettrait de se priver de ces milliards, et non les compressions pures. Il donne néanmoins une idée de l’importance des sommes.
  14. C'est des membres de mtlurb qui font les diagrammes sur SSP la plupart du temps. Peut-être quelqu'un travaille dessus. C'est du boulot quand même... J'imagine qu'on nous montre seulement la phase 1 sur maquette...?
  15. J'espère bien que l'ouest ne sera pas oublié (NDG, Lachine). La caisse aime piquer les corridors existants de train de banlieue donc j'ai bon espoir 😜
  16. Elle est déjà accessible, tu n'as rien à faire. J'ai beaucoup apprécié ta carte et j'ai bookmarké le lien pour la consulter encore, tout comme j'apprécie beaucoup la carte de scarlet sur les projets de Griffintown. J'espère que tu vas continuer de la mettre à jour. Tu pourrais même ajouter différente couleurs pour le zonage (65, 120, etc.) Tu pourrais même faire un fil dans Resources avec une screen-shot de la carte. Après les terrains, tu pourrais identifier les bâtiments à gros potentiel qui risquent de ne pas faire long feu dû à la sous-utilisation de leur localisation (i.e. école concordia Crescent/RL). Belle job! Edit: tu peux aussi consulter la Carte Interactive de Ville-Marie, il y a des "layers" pour les bâtiments vacants et les terrains à potentiel de développement
  17. Il est drôle ce pieux planté au beau milieu du terrain 🤔
  18. Sur ces petits lots, on peut construire de plein droit jusqu'à une vingtaine d'étages (65m). M. Burak n'est pas fou; TQS et Maestria voulaient acheter pour raser et ouvrir l'accès à leurs tours (j'imagine). Maintenant quelqu'un va payer le plein prix pour faire des condos archi bien situés aux premières loges.
  19. Un espace commercial à louer, annoncé sur Centris. L'unité #8 pour la modique somme de 122 000 $ par année. Il y avait aussi des rendus de l'immeuble: j'espère que ce sont de vieux rendus car pas mal plus laids que ceux qu'on a vus... Le rendu sur la clôture dans la photo de @Mondo_Grosso a aussi changé quelque peu des rendus qu'on avait vus. https://www.centris.ca/en/commercial-units~for-rent~ville-marie-montreal/17038135
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