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Normand Hamel

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Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. Cela s'intègrera dans l'écosystème montréalais de la biotechnologie et attirera éventuellement d'autres entreprises de même nature qui n'auront pas de difficulté à recruter du personnel expérimenté dans ce créneau.
  2. Interconnexion vers le Massachusetts Le projet d’Hydro-Québec toujours en suspens Hydro-Québec et son partenaire américain ont obtenu gain de cause devant la Cour suprême du Maine, qui reconnaît que le référendum qui a dit non au projet d’interconnexion vers le Massachusetts était inconstitutionnel. Mais la route vers ce lucratif contrat est toujours bloquée par d’autres embûches judiciaires. Hélène Baril - La Presse Le tribunal a en effet renvoyé la cause devant une instance inférieure, qui devra déterminer si les permis et les autorisations obtenus par Avangrid, le partenaire américain d’Hydro-Québec, l’ont été conformément aux lois et règlements et si l’entreprise a agi de bonne foi dans le processus. Des délais supplémentaires qui pourraient mettre le contrat d’Hydro-Québec en péril sont à prévoir. Les travaux de construction de la ligne de 233 kilomètres devant relier le Québec à l’État du Massachusetts, en passant par le Maine, étaient déjà bien avancés quand des opposants de l’État du Maine ont obtenu le feu vert pour permettre à la population de se prononcer sur le projet par référendum. À 59 %, les opposants ont rejeté le projet d’interconnexion et décidé que cette interdiction devait s’appliquer rétroactivement au début des travaux lors de la consultation populaire tenue le 2 novembre 2021. C’est cette rétroactivité que la Cour suprême vient de juger illégale. Toutefois, le renvoi de la cause devant la Cour supérieure de l’État causera des délais supplémentaires qui risquent d’être fatals pour le contrat d’Hydro-Québec. Il est trop tôt pour s’avancer sur cette question, fait toutefois savoir la porte-parole d’Hydro-Québec, Lynn Saint-Laurent. Ce qu’on peut dire, c’est que la décision de la Cour suprême du Maine est favorable pour la suite des choses, mais on est encore au milieu d’une démarche judiciaire. Il faut prendre le temps d’analyser la décision. - Lynn Saint-Laurent, porte-parole d’Hydro-Québec En plus du renvoi devant un tribunal de première instance, Hydro-Québec et son partenaire attendent une autre décision de la Cour suprême du Maine concernant un bail controversé sur une portion de 1,4 kilomètre du tracé sur des terres publiques. « Hydro-Québec et son partenaire américain NECEC Transmission LLC étudient actuellement les décisions du tribunal afin de déterminer la suite à donner, ainsi que les impacts potentiels sur le calendrier de construction de la ligne de transport », ont fait savoir officiellement les deux entreprises. Le Massachusetts s’attend à recevoir ses premières livraisons d’électricité québécoise en 2024. Il y a de ce côté « une certaine marge de manœuvre », a fait savoir Hydro-Québec. Les opposants au projet, de leur côté, espèrent que les délais supplémentaires décourageront le Massachusetts, qui se tournera vers d’autres options que celle offerte par Hydro-Québec. L’un d’eux, Tom Saviello, a indiqué aux médias locaux que la lutte contre le projet d’interconnexion est un « marathon » dont les dernières étapes sont les plus difficiles. Hydro-Québec et Avangrid se sont heurtés à l’opposition de plusieurs environnementalistes, mais aussi à un front commun des producteurs d’électricité de la région, dont Calpine, qui craignent de perdre du terrain au profit des énergies renouvelables. Travaux stoppés Avangrid, société mère de Central Maine Power, principal fournisseur d’électricité de l’État, affirme avoir déjà dépensé 450 millions US dans les travaux de construction de la ligne de transport, dont le coût total est estimé à 1,2 milliard US. Des travaux de déboisement ont été réalisés et des pylônes ont été érigés sur des portions du tracé, avant d’être stoppés en raison du référendum. Au Québec, les travaux estimés à 600 millions sur la portion québécoise de la ligne de transport jusqu’à la frontière du Maine, longue de 103 kilomètres, ont été mis sur pause en raison du blocage du côté américain. La mise en service de la ligne de transport a été reportée plusieurs fois. Hydro-Québec s’est engagée à livrer 9,45 térawattheures d’électricité au Massachusetts pendant 20 ans, un contrat qui doit lui rapporter plusieurs milliards de dollars de revenus supplémentaires. Le prix de vente moyen de l’électricité est de 8,8 cents le kilowattheure, soit le double du tarif industriel au Québec. Le projet de ligne de transport qui passe par le Maine est la solution de rechange élaborée par Hydro-Québec et son partenaire américain après que leur premier tracé à travers le New Hampshire, connu sous le nom de Northern Pass, a été rejeté. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2022-08-30/interconnexion-vers-le-massachusetts/le-projet-d-hydro-quebec-toujours-en-suspens.php
  3. Moderna aurait pu choisir Montréal pour sa nouvelle usine Moderna est passé à deux doigts de s’installer sur un terrain détenu par le géant immobilier Broccolini dans l’arrondissement de Saint-Laurent, avant d’annoncer jeudi, le jour même où les démarches administratives aboutissaient à Montréal, qu’elle s’installera plutôt à Laval, a appris Le Devoir. Zacharie Goudreault - Le Devoir La mairesse de Montréal, Valérie Plante, ne s’était pas égarée dans ses propos lorsqu’elle avait déclaré, à la fin du mois d’avril, que le géant pharmaceutique établirait son usine « à Montréal » — et non pas dans la région métropolitaine. Plusieurs sources proches du dossier confirment au Devoir que l’unique option qui était alors étudiée par Moderna était est un immense terrain appartenant à Broccolini sur le site du Technoparc, dans l’arrondissement de Saint-Laurent. « Pour nous, la région de Montréal, c’était le Technoparc », illustre au Devoir le responsable du développement économique à la Ville de Montréal, Luc Rabouin. Ce terrain vacant à vocation industrielle est situé près d’une future station du Réseau express métropolitain, d’un hôtel du secteur et de l’autoroute 40. « Tout ça faisait en sorte que le site répondait aux objectifs de Moderna », indique en entrevue le président du groupe immobilier Broccolini, Roger Plamondon. Des inquiétudes avaient alors été soulevées par Montréal International, l’arrondissement et Moderna, comme quoi ce projet d’usine pourrait nécessiter des modifications au plan d’urbanisme de la Ville de Montréal, impliquant un délai pouvant s’élever à six mois, indiquent nos sources. Or, cette option n’était pas envisageable pour le géant pharmaceutique, qui voulait commencer la construction de cette usine le 1er septembre. Le chantier aurait été mené par Broccolini après que ce dernier aurait vendu son terrain à Moderna, a-t-on appris. La Ville a alors fait des pieds et des mains afin que le service de l’urbanisme étudie ce dossier de manière accélérée. Résultat : 48 heures plus tard, le projet était jugé conforme au plan d’urbanisme et pouvait passer aux étapes suivantes. « Il n’y avait plus d’enjeu », se rappelle M. Rabouin. « Tout le monde était très content qu’on ait débloqué ça et que le projet avançait très très bien pour le Technoparc », souligne-t-il. Course contre la montre Le dossier a ensuite été transféré à l’arrondissement, qui s’occupe des demandes de permis et des dossiers reliés au zonage. Celui-ci s’est d’ailleurs affairé dans les dernières semaines à faire adopter rapidement le projet de Moderna par ses élus. Un avis de motion avait d’abord été approuvé le 28 juin par les élus locaux. Le projet a ensuite été soumis en juillet au Comité consultatif d’urbanisme de l’arrondissement, qui a soumis ses recommandations aux élus locaux, avant que ces derniers approuvent à l’unanimité en deuxième lecture le projet d’usine de Moderna, le 3 août. « On a assuré au client non seulement qu’on est intéressé, mais que, deuxièmement, on va faire des efforts pour que les questions de réglementation et d’architecture ne soient pas un enjeu » pour l’installation de Moderna, affirme le maire de Saint-Laurent, Alan DeSousa, qui a travaillé « tout l’été » en ce sens. La dernière étape d’adoption réglementaire, après quoi un permis de construction aurait pu être délivré dans ce dossier, était d’ailleurs prévue ce jeudi, en soirée. Cette séance extraordinaire du conseil d’arrondissement a toutefois été annulée lorsque ses membres ont appris, dans les médias, que Moderna avait finalement choisi Laval pour construire son usine de fabrication de vaccins. « Côté réglementaire, on était prêt aussi tôt qu’hier pour s’assurer que tous les aspects réglementaires aient été tous atteints », relève M. DeSousa. Mais il était trop tard, se désole Luc Rabouin, qui blâme l’arrondissement de Saint-Laurent d’avoir tardé, selon lui, à approuver le projet de Moderna tel quel après avoir d’abord tenté d’y imposer des modifications. Or, le géant pharmaceutique a l’habitude de faire construire un modèle générique d’usine partout où il s’installe et n’était pas ouvert à ces modifications, selon nos informations. « S’il y a une raison qui fait que Moderna n’est pas à Montréal, c’est parce que l’arrondissement, tout seul, sans jamais nous consulter ou nous aviser, a mis des exigences pour le projet de Moderna dans le Technoparc », lance M. Rabouin, visiblement irrité. Des propos que rejette Alan DeSousa. « À toutes fins de pratiques, tant dans l’acceptation du projet que dans les changements réglementaires, les élus du conseil [d’arrondissement] se sont prononcés par des votes unanimes et dans un délai record » d’un mois et demi, réplique le maire de Saint-Laurent. Roger Plamondon, de Broccolini, assure pour sa part que le prix de vente du terrain à Moderna dans le secteur du Technoparc — qui fait l’objet d’ententes confidentielles — ne représentait « pas un enjeu » pour la multinationale. « Ce qui était nécessaire, c’était l’obtention des permis et des autorisations nécessaires au projet », ajoute le promoteur. Ce dernier estime ainsi qu’une réflexion s’impose pour améliorer la communication entre la Ville et ses arrondissements pour éviter que d’autres grands projets glissent des mains de la métropole. Le promoteur Broccolini entend d’ailleurs prendre part à l’appel de propositions dans l’espoir de devenir responsable de la construction de l’usine de Moderna à Laval, a appris Le Devoir. Le géant pharmaceutique n’a pas répondu à nos questions, vendredi. https://www.ledevoir.com/economie/744663/moderna-aurait-pu-choisir-montreal
  4. Laval Cité de la Biotech : Moderna, c’est bien, mais les défis sont encore nombreux Le géant pharmaceutique américain Moderna l’a choisie pour y bâtir une usine de production de vaccins, mais le développement de la Cité de la Biotech ne s’arrêtera pas là. « Nous sommes très heureux de la venue de Moderna, mais nous aurons aussi à faire face à un enjeu important, celui de répondre à la croissance », affirme Jean-Marc Juteau, commissaire, sciences de la vie, à la Cité de la Biotech. Moderna avait plusieurs bonnes raisons de choisir la Cité de la Biotech de Laval pour poursuivre son développement, explique le commissaire. D’abord, elle aura accès à un important groupe de travailleurs de talent pour les sciences de la vie. L’endroit idéal Mais aussi, l’emplacement est idéal. « La Cité est un vrai parc industriel qui est le seul au Canada consacré entièrement aux sciences de la vie », dit Jean-Marc Juteau. Sans compter qu’elle est située près d’un aéroport, avec accès à une station de métro, et qu’elle est entourée d’un réseau routier bien développé. Et à cela s’ajoute la présence du Centre Armand-Frappier Santé Biotechnologie de l’Institut national de la recherche scientifique (INRS), où se développe le talent. Les chiffres concernant l’industrie des biotechs à Laval sont certes impressionnants. L’industrie fournit 5000 emplois à l’intérieur d’un rayon de trois kilomètres. On y compte près de 130 entreprises en biotechnologie et sciences de la vie et 11 centres de recherche et organisations. Plus de quatre milliards de dollars ont été investis depuis la création de la Cité en 2001, et elle s’étend sur 1 200 000 mètres carrés entièrement voués à la science et à la haute technologie. Répondre à la croissance À la Cité de la Biotech, on s’enorgueillit de cette croissance phénoménale. Mais pour répondre à l’enjeu de la croissance que rencontre toute l’industrie de la biotechnologie et des sciences de la vie, il en fallait plus. Et à ce compte, on annonçait en avril 2021 le lancement de la deuxième phase. Le projet porte sur plus de 100 000 mètres carrés d’espace à développer. Moderna devrait en être le premier résidant en 2024, si tout se passe comme prévu. Cette deuxième phase consiste en une offre de terrains à l’industrie privée afin que les entreprises puissent y bâtir leurs installations. On a le terrain pour les recevoir, et nous sommes à la recherche de compagnies autant nationales qu’internationales. - Jean-Marc Juteau, commissaire, sciences de la vie, à la Cité de la Biotech Faciliter la venue de PME Mais un autre enjeu de croissance se situe sur le plan des PME, explique le commissaire. Tout l’espace disponible dans les installations déjà existantes est occupé. Les coûts de construction de ces installations – souvent très sophistiquées – sont très élevés, ce qui les rend souvent inaccessibles aux PME dont les activités se situent pour la plupart au stade de la recherche. « Il nous faut ces installations physiques afin de pouvoir les recevoir, et à cette fin, nous discutons avec des promoteurs immobiliers qui pourraient construire des édifices multi-locatifs permettant d’accueillir ces PME », dit Jean-Marc Juteau. Bien qu’il s’agisse du plus grand enjeu auquel fait face la Cité de la Biotech de Laval, ce n’est pas le seul. « Un autre tout aussi important est d’attirer les chercheurs de talent et de leur offrir tous les outils nécessaires à leur développement », dit le commissaire. « Et tout cela dans un contexte extrêmement concurrentiel », conclut-il. https://www.lapresse.ca/affaires/portfolio/2022-08-30/laval/cite-de-la-biotech-moderna-c-est-bien-mais-les-defis-sont-encore-nombreux.php
  5. Le chantier ce matin (2022-08-26)
  6. Cette rue de Montréal est nommée la plus cool au monde, ni plus ni moins ARRÊTEZ ABSOLUMENT TOUT! Le classement des rues les plus cool au monde selon Time Out est sorti et ce n’est nul autre qu’une rue montréalaise qui se trouve au sommet! Oui, oui. Voir l'entrevue ici: https://www.tvanouvelles.ca/2022/08/26/cette-rue-de-montreal-est-nommee-la-plus-cool-au-monde-ni-plus-ni-moins
  7. Le fromage à la crème Liberté disparaît des tablettes après plus de 85 ans Compagnon favori des bagels montréalais depuis 1936, le fromage à la crème Liberté n’est plus. Son fabricant a décidé d’en arrêter la production, causant la consternation auprès de ses adeptes. Je travaille ici depuis 40 ans, et d’aussi loin que je me souvienne, le fromage à la crème Liberté avait toujours été ici, a réagi Saul Restrepo, gérant de St-Viateur Bagel, l’une des deux plus célèbres boulangeries montréalaises servant le petit pain en forme d’anneau, avec sa rivale de la rue Fairmount. Sur son site web, Liberté affirme, sans autres explications, que ce produit a été supprimé, car il n’est plus possible pour Liberté de continuer à fournir le produit de haute qualité et la valeur à laquelle s’attendent les consommateurs. Tout comme le bagel, le fromage à la crème Liberté tire son origine à Montréal des communautés juives immigrantes de l'Europe de l'Est. Il a été l’un des premiers produits vendus par l’entreprise fondée par les Kaporovsky, une famille juive originaire de la Russie, à Montréal en 1936. C’est la statue de la Liberté qui a inspiré les Kaporovsky lorsque est venu le temps de nommer leur laiterie, d’abord Liberty Dairy Products, puis Liberté. Liberté a depuis diversifié son offre avec, notamment, des yogourts en tout genre. L’entreprise a été acquise en 2010 par Yoplait, puis la multinationale General Mills en a pris le contrôle en décembre dernier. Un grand deuil La Montréalaise Kat Romanow, qui tient un blogue spécialisé dans l’histoire culinaire juive, a été l’une des premières à faire remarquer que le fromage à la crème Liberté était devenu introuvable. Aujourd’hui, nous avons perdu un produit qui avait d’importants liens avec la culture culinaire juive de Montréal, un produit chéri qui nous manquera énormément. » — KAT ROMANOW De nombreux internautes ont partagé leur désarroi sur les réseaux sociaux à la suite de l'annonce de la nouvelle. Que seront nos bagels saumon fumé sans leur fromage à la crème Liberté?, s'est désolé un utilisateur de Twitter. Tout un deuil..., a réagi un autre internaute. Mes déjeuners du dimanche ne seront plus jamais les mêmes! https://ici.radio-canada.ca/mordu/4550/fromage-a-la-creme-liberte-arret-production
  8. Hydro-Québec double ses profits La hausse généralisée des prix de l’énergie due à la guerre en Ukraine a eu un impact favorable sur la performance d’Hydro-Québec, qui a doublé ses profits pour les six premiers mois de l’année comparativement à la même période l’an dernier. Hélène Baril - La Presse La société d’État affiche un bénéfice net de 680 millions au deuxième trimestre, en hausse de 328 millions par rapport aux mois d’avril, mai et juin de l’an dernier. Cette hausse des profits s’explique surtout par l’augmentation des prix des kilowatts exportés sur le marché américain, qui sont fixés en fonction du prix du gaz naturel. Le prix du gaz a fortement augmenté depuis l’invasion russe en Ukraine, surtout en Europe mais aussi aux États-Unis. Ainsi, Hydro-Québec a obtenu un prix moyen de 7,2 cents par kilowattheure exporté contre 4,6 cents l’an dernier. Comme le niveau d’eau dans les réservoirs est adéquat et que les prix sur le marché américain devraient rester élevés au cours des prochains mois, les exportations continueront d’être très rentables, a indiqué Jean-Hugues Lafleur, vice-président exécutif et chef de la direction financière d’Hydro-Québec. Le bénéfice net d’Hydro-Québec a aussi été gonflé par l’augmentation des tarifs de 2,6 % en vigueur depuis le 1er avril. De plus, l’augmentation des prix de l’aluminium sur les marchés internationaux a profité à l’entreprise dont le prix d’une partie des ventes aux alumineries est indexé au prix du métal. La tempête du mois de mai, connue sous le nom de derecho, a retranché 55 millions aux profits de l’entreprise. Il s’agit du pire évènement climatique à survenir au réseau électrique depuis la tempête du verglas de 1998, a mentionné M. Lafleur en conférence téléphonique. Au total, les ventes au Québec ont rapporté des profits supérieurs de 201 millions à ceux du deuxième trimestre de l’an dernier et les exportations ont ajouté 268 millions de plus. Les ventes d’électricité et le bénéfice net ont atteint un sommet historique dans la première moitié de l’année. À mi-chemin de son exercice, Hydro-Québec affiche un profit net de 2,7 milliards, en hausse de 749 millions sur celui des six premiers mois l’an dernier. Le bénéfice cible de l’année complète, fixé à 3,4 milliards, sera probablement dépassé. « Je pourrais dire avec une certaine certitude qu’on va avoir une année record », a dit Jean-Hugues Lafleur.
  9. Un record d’immigrants sous Legault Jamais le Québec n’a accueilli autant d’immigrants. Un bilan contraire aux promesses faites par François Legault en 2018. Petit à petit, le nombre d’immigrants permanents accueillis au Québec est revenu à des niveaux similaires vus avant la prise de pouvoir caquiste. Un nombre record de nouveaux résidents permanents devrait même arriver d’ici la fin de l’année. Pour compenser les effets de la crise sanitaire, le gouvernement a promis d’accueillir 18 000 personnes supplémentaires. Il devrait donc y avoir près de 70 000 nouveaux arrivants en 2022. En cumulant les résidents permanents et les temporaires, la barre des 100 000 immigrants – hors étudiants étrangers – sera donc aisément franchie cette année. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1907823/immigration-legault-bilan-quebec-travailleurs-temporaires-caq
  10. Le photographe à l'origine de cette photo est Jacques Nadeau, qui travaille pour Le Devoir depuis nombre d'années. Grâce à lui Le Devoir a souvent des photos urbaines plus pertinentes que ce que l'on voit dans les autres quotidiens montréalais.
  11. Avec la place des Montréalaises tout juste en face ce sera un endroit extraordinaire pour les visiteurs et les touristes.
  12. Je ne parlais pas du vieillissement de la population, qui est inéluctable pour encore plusieurs décennies. Selon diverses études, à partir de 2031 la population active (20-64 ans) devrait recommencer à augmenter et c'est ça qui est important lorsque l'on considère la pénurie de main d'oeuvre. Radio-Canada: Les Québécois de 20 à 64 ans, qui représentent le principal bassin démographique où se situe la main-d’œuvre, se feront quant à eux plus rares dans la population au moins jusqu’en 2030, prévoit l’Institut de la statistique. Leur nombre devrait cependant remonter un peu au-dessus de l’effectif actuel par la suite, estiment les démographes. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1218895/population-quebec-demographie-vieillissement-2066
  13. L'installation des fenêtres se poursuit sur les façades ouest et sud de la tour. Le déshabillage progressif de la tour est très excitant et j'ai bien hâte de la voir toute nue. 😛
  14. La courbe démographique qui est à l'origine de cette pénurie de main d'oeuvre devrait s'infléchir à partir de 2031, donc dans neuf ans environ. Mais si dans l'interval il y a une récession cela diminuera quelque peu la pression sur le marché de l'emploi pendant les quelques années que pourraient durer la récession; ce qui fait que la pénurie de main d'oeuvre devrait durer moins de neuf ans au total, soit neuf années moins la période d'une éventuelle récession. C'est bon aussi pour le PIB du Québec dont l'écart avec celui de l'Ontario s'est rétréci de 3% au cours des quatre dernières années. C'est qu'on attribue une certaine part de cet écart à la différence des salaires entre les deux provinces, les Ontariens étant souvent payés plus cher pour un travail semblable. Sur le plan économique le Québec poursuit donc sont rattrapage.
  15. Je suis totalement d'accord. Je me souviens très bien de cette décision prise dans la foulée de l'accident de Fukushima. J'étais alors consterné et le suis encore aujourd'hui. Cela m'a d'autant plus surpris que l'Allemagne est reconnue pour être un pays écologique et le nucléaire est avec l'hydroélectricité l'une des sources d'énergie parmi les plus écologiques. Il y a bien sûr le problème des déchets nucléaires mais il s'agit d'un sujet à part (comme c'est aussi le cas pour l'extraction minière) qui n'a pas de rapport direct avec la production d'électricité. Grâce au nucléaire la France est aujourd'hui le pays européen le mieux positionné par rapport à la production d'énergie. Ici c'est l'inverse, je suis en total désaccord avec ce que tu dis. Le problème de l'Allemagne n'a rien à voir avec le commerce et concerne plutôt la sécurité des approvisionnements. C'est ce que les USA viennent eux-mêmes de réaliser avec notamment la production de semi-conducteurs et c'est pourquoi ils construisent présentement plusieurs usines à cet effet. Les échanges commerciaux entre pays peuvent jouer un rôle de régulateur des relations diplomatiques. Cependant en cas de conflit il s'agit de s'assurer de ne jamais être dépendant de quelle que manière que ce soit. L'un n'empêche pas l'autre.
  16. La contribution des diplômés universitaires évaluée à 28,9 G$ à Montréal La contribution de l’ensemble des diplômés universitaires à l’augmentation du produit intérieur brut (PIB) du Grand Montréal serait évaluée à 28,9 milliards $. C’est ce qui ressort d’une étude publiée mardi par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM). Celle-ci s’intéressait au rôle des universités sur l’économie de la métropole. Il s’agit d’une mise à jour d’un rapport publié en 2016. «L’étude montre le lien étroit entre le dynamisme de Montréal et la bonne santé de ses universités. Les secteurs clés de notre économie sont en effet caractérisés par une forte proportion des emplois qui requièrent un diplôme universitaire», a souligné Michel Leblanc, président et chef de la direction de la CCMM. À cette grande contribution sur le PIB, la CCMM calcule que les retombées économiques liées aux dépenses des universités seraient de 4,3 milliards $. Celles liées aux dépenses des étudiants internationaux seraient de 427 millions $. Le secteur universitaire supporte directement 43 660 emplois, et jusqu’à 52 350 en comptabilisant également les emplois indirects. Près de 173 000 étudiants universitaires seraient présents à Montréal. Il s’agirait d’une proportion de 73% de la communauté étudiante du Québec. Les étudiants internationaux représenteraient pour leur part 18% de l’effectif étudiant montréalais. L’étude note cependant que la proportion de diplômés universitaire croît plus rapidement dans la plupart des autres villes, une tendance jugée «préoccupante».
  17. Baisses d’impôt Où la CAQ prendra-t-elle l’argent Il y aura donc une baisse d’impôt au Québec. Et même une importante baisse, si vous voulez mon avis, qui se chiffrera en milliards de dollars sur quelques années. Francis Vailles - La Presse Lundi, le ministre des Finances, Eric Girard, a répété que son parti, s’il est réélu, réduira l’impôt sur le revenu des particuliers, sans donner plus de détails. Comme la CAQ a une très forte avance dans les sondages, cette promesse a toutes les chances de se réaliser. Mais où la CAQ prendra-t-elle les fonds ? Et quels contribuables en bénéficieront vraiment ? D’abord, le constat, tel que présenté lundi dans le rapport préélectoral : les finances publiques du Québec sont dans un excellent état. Le gouvernement du Québec prévoit un surplus à chacune des cinq prochaines années s’il n’a pas à utiliser la provision annuelle de 2 milliards qui a été inscrite pour tenir compte des risques économiques. Le renversement est majeur par rapport aux déficits prévus au dernier budget (6,5 milliards cette année). Il s’explique par la forte croissance au Québec et par les effets très favorables de l’inflation sur les recettes du gouvernement. Cette prévision de surplus vaut malgré l’important ralentissement économique au Québec prévu dans le rapport entre 2023 et 2026. Le Vérificateur général du Québec a essentiellement confirmé la validité du rapport. Il s’agit du deuxième rapport préélectoral du ministère des Finances, après celui de 2018. Le rapport sert de base aux divers partis pour bâtir leur cadre financier électoral. Avant ces documents vérifiés par le VG, les partis de l’opposition étaient moins outillés que le parti au pouvoir pour chiffrer leurs promesses et leurs effets sur les finances publiques, au détriment des électeurs. Il est maintenant plus gênant pour les politiciens d’« inventer » d’éventuels surplus magiques en campagne électorale et de découvrir des trous financiers en prenant le pouvoir. La dernière baisse majeure d’impôt sur le revenu remonte à la période 2000-2002 (3,5 milliards), sous un gouvernement péquiste. Il y a bien eu d’autres allégements, mais ils étaient soit moins importants, soit périphériques à l’impôt sur le revenu (taxe scolaire, frais de service de garde, etc.). Les Québécois ont le plus lourd fardeau fiscal en Amérique et l’un des plus élevés au monde, faut-il le rappeler. Nos impôts et taxes équivalent à 38,8 % de notre économie, mesurée par le produit intérieur brut (PIB), soit 5,4 points de pourcentage de plus qu’ailleurs au Canada. Ailleurs dans le monde, seuls 8 pays industrialisés ont un fardeau plus lourd que le nôtre, notamment la Suède, la France et le Danemark, où les pressions fiscales excèdent 42 % du PIB, mais avec qui le Québec n’est pas en concurrence directe. En comparaison, les États-Unis sont à 25,5 % de leur PIB. De façon concrète, si les particuliers du Québec avaient le même fardeau fiscal que les Ontariens, par exemple, ils paieraient l’équivalent de 10 milliards de moins. Oui, les Québécois ont une gamme de services publics plus étendue, mais l’écart demeure imposant. Où la CAQ prendra-t-elle l’argent (sans faire de coupes dans les services, selon les affirmations du ministre Girard) ? D’abord, la CAQ – comme les autres partis d’ailleurs – aura tendance à dépenser la provision annuelle de 2 milliards inscrite dans le rapport. Les partis pourraient aussi être tentés de réduire les versements au Fonds des générations, qui sont destinés à réduire la dette. Cette année, le gouvernement versera 3,4 milliards dans ce fonds, et cette somme sera engraissée de près de 1,8 milliard, ou 50 %, d’ici 4 ans, à 5,2 milliards. Qu’est-ce qui justifie une telle hausse, maintenant que la dette est maîtrisée ? La CAQ invoquera probablement que son plan fera croître l’économie davantage que prévu dans le rapport, en plus de procurer des gains d’efficacité à l’État. Les baisses d’impôt, dira-t-on, stimuleront l’économie en ralentissement, non seulement par une hausse des dépenses de consommation, mais aussi en raison de ses effets sur l’effort de travail. En fin de compte, une baisse d’impôt annuelle de 3 milliards, par exemple, ne coûterait pas cette somme au Trésor public. Comme toujours, c’est la classe moyenne qui sera visée pour les allégements fiscaux, que la CAQ pourrait cette fois définir comme les ménages gagnant moins de 150 000 $, par exemple. Le plan de la CAQ dépendra de la résilience de l’économie du Québec et de la maîtrise de l’inflation. Le rapport préélectoral voit passer le taux d’inflation de 6,5 % cette année à à peine 3,2 % en 2023 et 2,0 % en 2024, ce qui serait une bénédiction. Ce dégonflement de l’inflation – et donc un apaisement des taux d’intérêt – repose sur l’hypothèse que les travailleurs n’exigeront pas de hausses de salaires similaires à l’inflation récente. Et que les demandes syndicales des employés de l’État, dont plusieurs conventions collectives viennent à échéance le 31 mars 2023, seront raisonnables et semblables aux sommes enfouies dans le rapport préélectoral. J’ai un gros doute, tout à coup… https://www.lapresse.ca/affaires/chroniques/2022-08-16/baisses-d-impot/ou-la-caq-prendra-t-elle-l-argent.php
  18. Merci pour ce parfait complément à ma description sommaire des lieux et de l'ambiance que l'on y trouvera. Ce que je trouve le plus remarquable, outre l'emplacement stratégique au coeur du Quartier international, c'est l'intégration de l'école dans son milieu. Le défi était de taille et les contraintes nombreuses. Au départ il fallait composer avec la présence de certains bâtiments indépendants que l'on ne pouvait pas démolir et que l'on devait intégrer. Pour y arriver on a joué sur la géométrie et les proportions de sorte que l'ancien et le nouveau se côtoient harmonieusement. Il n'en demeure pas moins une inévitable lourdeur mais l'intégration demeure optimale selon moi. Ce que peu d'observateurs semble avoir remarqué c'est le total décloisonnement du quadrilatère qui s'en est suivi. Le campus étant accessible à partir des quatre rues qui forment ce quadrilatère. On pourra donc le traverser comme bon nous semble et dans la direction que l'on voudra bien emprunter. Comme en témoigne le plan ci-joint cela se reflète dans la configuration même du bâtiment. Je suis heureux de constater que ce chef-d'oeuvre ne laisse personne indifférent.
  19. Quelques clichés éloquents pris pendant la construction. Non seulement l'architecture est remarquable mais le site est lui-même exceptionnel. Photos: HEC
  20. Depuis le début de ce projet je n'y vois personnellement qu'ordre et beauté, luxe, calme et volupté justement. Et puisqu'il est ici question de Baudelaire c'est à mon tour à une Invitation au voyage que je vous convie. Il faut d'abord imaginer ce projet une fois terminé avec des étudiants et des professeurs qui déambulent dans ses corridors, le personnel de soutien vaquant à ses tâches et obligations, puis tous ces visiteurs émerveillés qui n'en reviennent tout simplement pas que l'on ait construit un tel temple dédié au savoir en plein coeur de la ville. Mon invitation au voyage commence discrètement sur la rue Saint-Alexandre que l'on peut emprunter jusqu'à l'escalier secondaire en pierre de la Saint-Patrick's basilica (l'escalier principal étant sur de la Gauchetière). Une fois arrivé sur le parvis de l'église on est frappé par la beauté des angles de la façade est de l'édifice avec ses immenses fenêtres du rez-de-chaussée qui offrent une interaction immédiate avec l'environnement. De là on peut longer les fondations restantes du St. Bridget's Refuge sur lesquelles on peut flâner quelques instants près de la spectaculaire entrée donnant sur la rue de la Gauchetière et d'où apparait dès que l'on entre à l'intérieur un escalier monumental d'une splendeur inouïe. On peut aussi tourner sur la droite pour aller à l'intersection de l'ancienne ruelle qui menait jadis au stationnement et le romantique chemin longeant la basilique que l'on peut emprunter à partir du boulevard René-Lévesque. Nous nous trouvons alors au pied de la pyramide où une entrée alternative nous permet d'accéder au bâtiment sur sa façade nord. C'est le plus sobre des trois principaux accès mais c'est en même temps le plus dynamique, car il s'agit d'un véritable carrefour où peuvent se rencontrer des gens arrivant de partout sur le campus en provenance soit de la ruelle elle-même ou René-Lévesque, de la Gauchetière ou Saint-Alexandre. On peut aussi choisir d'arriver par l'entrée principale sur la Côte du Beaver Hall qui donne elle aussi sur un vaste escalier à l'intérieur. C'est sans doute par là que l'on accueillera la grande visite ou ceux qui voudraient accéder plus directement à un local quelconque. Je ne compte plus les fois où je me suis promené en imagination sur ce campus pour y respirer la vie étudiante, visualisant des élèves découvrant leur propre chemin parmi tous les sentiers qu'ils pourraient y emprunter. Je demeure à ce jour convaincu que HEC Centre-Ville sera un endroit magique pour ceux qui auront le privilège d'y étudier, d'y enseigner ou d'y travailler.
  21. La raison semble-t-il serait que les Américains sont entrés dans la marché montréalais récemment et auraient relevé les prix des loyers.
  22. Immobilier industriel La montréalaise Brasswater acquiert un portefeuille de 100 millions La société Brasswater, en partenariat avec Vista Properties, a acquis d’une société privée un portefeuille industriel de 23 bâtiments, à Montréal. Les bâtiments totalisent 55 000 m2 (588 000 pieds carrés) de surface locative et sont loués à 99 % à 166 locataires. Après la vente d’actifs industriels de Cominar à Blackstone en mars dernier, cette transaction, d’une valeur de 100 millions de dollars, est l’une des plus importantes de l’année dans le marché industriel de Montréal, tant en termes de surface locative brute que de prix d’achat total, soutiennent les acquéreurs dans un communiqué. Dix-sept des propriétés sont situées dans l’arrondissement de Saint-Laurent, regroupées le long des rues Bégin, Guénette et Thimens. Le reste du portefeuille est situé à LaSalle, rues Lapierre et Clément. Le vendeur est la société DHP, dirigée par Denis Paquin. Les bâtiments datent d’une cinquantaine d’années avec des plafonds à environ 6 mètres (20 pieds), ce qui est plutôt bas par rapport aux normes actuelles. Ils offrent des locaux d’un minimum de 2500 pieds carrés, ce qui est idéal pour de jeunes et de petites entreprises. Il n’est pas question de démolir les vieux bâtiments pour en construire des nouveaux d’un volume plus imposant, comme on voit à l’occasion, a assuré Ian Quint, président de Brasswater. Ce sont des actifs irremplaçables. Les emplacements sont inégalés, et les propriétés de petite taille de cette nature ont un coût de construction prohibitif, surtout dans un quartier comme Saint-Laurent. Presque toutes les nouvelles constructions industrielles à Montréal proposent une superficie de 9200 mètres carrés (100 000 pieds carrés) et plus. - Ian Quin, président de Brasswater Il entend plutôt rénover la façade de certains d’entre eux et d’augmenter les budgets alloués à l’entretien d’actifs. Le contexte est favorable aux hausses de loyer dans le secteur industriel. En raison de la rareté de l’offre, le taux de disponibilité des locaux est au plancher et les loyers sont à la hausse. De nouveaux propriétaires actifs au Québec sont particulièrement incisifs dans les hausses de loyer auprès des PME, comme le rapportait La Presse vendredi. Opportuniste, Brasswater ne se gênera pas pour leur emboîter le pas. Comme la plupart des baux en vigueur dans le portefeuille nouvellement acquis exigent un taux de loyer en bas du loyer marchand, le but de Brasswater est de signer au fur et à mesure des baux ou des renouvellements au prix courant. Il demande 15 $ du pied carré, plus les frais et les taxes pour un bail d’une durée de 5 ans, a-t-il expliqué dans un entretien téléphonique. Les nouveaux baux contiennent des clauses d’augmentation automatique des loyers une fois l’an de l’ordre d’environ 3 à 4 % par an. Lire la suite ici: https://www.lapresse.ca/affaires/marche-immobilier/2022-08-13/immobilier-industriel/la-montrealaise-brasswater-acquiert-un-portefeuille-de-100-millions.php
  23. Hier (premier cliché) on a posé la dernière fenêtre du côté ouest de la galerie d'observation et aujourd'hui (second cliché) on commence à voir la jolie teinte qu'aura l'observatoire lorsque la tour sera terminée.
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