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Normand Hamel

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Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. Photo: Scuderia Ferrari
  2. Cette définition n'est pas correcte d'un point de vue scientifique. Il s'agit certes de l'acceptation du terme dans le langage populaire mais ce n'est pas de cette façon que je l'entendais car il s'agissait d'une discussion technique et on ne peut pas parler techniquement de vélocité si la vitesse n'est pas accompagnée d'un changement de direction. Wikipédia: Vélocité, en physique, pour désigner le vecteur vitesse — combine la notion de vitesse et celle de direction d’un mouvement, par opposition à la vitesse, qui ne comprend pas la direction.
  3. Tout changement de direction est nécessairement accompagné d'une augmentation de la force G qui en retour témoigne de sa vélocité: voici une vidéo du Grand Prix de Melbourne 2017, un circuit de ville avec plusieurs virages lents. La force G est indiquée en haut à gauche de l'écran. https://www.youtube.com/watch?v=zJRh9FG83d0
  4. C'est d'ailleurs pourquoi j'ai employé le terme vélocité plutôt que vitesse. La nuance étant que la vélocité est une vitesse accompagnée d'un changement de direction. Il faut comprendre que les Formule 1 ont énormément d'énergie lorsqu'elles négocient ces virages lents, et même si la pression sur la chaussée est répartie sur une plus grande surface à cause de leurs pneus larges il n'en demeure pas moins que l'asphalte est extrêmement stressée à chaque passage. Pour en avoir une idée il s'agit de regarder la voiture de sécurité lorsqu'elle est déployée: les pilotes de Formule 1 ont l'impression d'être arrêtés derrière elle alors qu'elle négocie les virages au maximum de ses capacités qui sont pourtant beaucoup plus élevées qu'une voiture conventionnelle car elles sont dotées de suspensions spéciales et de moteurs gonflés.
  5. Cela n'a rien à voir avec l'état des routes à Montréal. Il s'agit d'un resurfaçage obligatoire de la ligne de course empruntée par les bolides qui l'ont endommagé après plusieurs passages à haute vélocité. Le resurfaçage étant exigé par la FIA afin de répondre aux normes de la Formule 1. La ligne des puits a également été entièrement resurfacée suite aux dommages causés par les véhicules lourds lors des travaux.
  6. Et ce sera encore mieux en 2025 car plusieurs mega projets en cours de réalisation seront alors complétés. Cela fera aussi 10 ans à ce moment-là que Montréal est en feu.
  7. D'un autre angle un peu moins éloigné.
  8. La tour visible aujourd'hui du haut des airs lors d'un survole du circuit Gilles-Villeneuve de l'Île Notre-Dame.
  9. Aujourd'hui au circuit Gilles-Villeneuve de l'Île Notre-Dame.
  10. Formule 1 Les bolides sous la loupe du savoir-faire québécois Chaque millimètre compte lorsqu’on tente d’améliorer la performance d’une monoplace en Formule 1. Pour niveler le terrain de jeu entre les écuries, c’est vers le savoir-faire québécois que la Fédération internationale de l’automobile (FIA) s’est tournée. Depuis le début de la saison, c’est un logiciel conçu par InnovMetric qui passe les voitures au peigne fin. JULIEN ARSENAULT - LA PRESSE Travail de précision On ne le remarque pas dans les paddocks du circuit Gilles-Villeneuve, mais derrière une des nombreuses portes de garage, il y a un passage obligé pour les monoplaces. C’est là qu’elles passent sous la loupe de l’équipe pilotée par Nuria Encinas, ingénieure en sécurité du chien de garde de l’application des règlements. « Notre travail, c’est d’essayer qu’elles [les écuries] ne trichent pas », raconte-t-elle, au cours d’une entrevue dans les paddocks. « Si elles trichent, c’est parce qu’on ne l’a pas bien fait. » Traditionnellement, c’était avec des gabarits physiques – des outils conçus sur mesure – que la FIA mesurait les ailerons, le châssis, la garde au sol et la distance entre les roues, pour s’assurer que tout était conforme. Difficile de voir les différences à l’œil nu, mais dans la catégorie reine du sport automobile, tricher d’un millimètre peut changer la donne quand on cherche à doubler ses rivaux sur la piste. « C’est beaucoup ! », s’exclame Mme Encinas. La saison actuelle marque une rupture avec le passé. Avec tous les changements en matière d’aérodynamisme, la FIA a décidé de ranger pour de bon les gabarits physiques. Le travail de haute précision a été confié à un capteur laser. « Chaque voiture est différente, raconte l’ingénieure en sécurité de la FIA. On ne pouvait pas avoir un gabarit pour chaque monoplace. Désormais, tout peut être mesuré. » Comment ça fonctionne ? La FIA a adopté la plateforme PolyWorks, vaisseau amiral d’InnovMetric. Essentiellement, ce logiciel permet d’effectuer du mesurage de haute précision. Garées sur un élévateur, les monoplaces sont mesurées grâce à une multitude de réflecteurs sphériques installés à des endroits précis. Aux commandes d’un traqueur laser, les données sont acheminées dans une base de données pour être comparées à un modèle numérique homologué. L’objectif : en cinq minutes, s’assurer que tout est conforme. « C’est vraiment très simple pour la personne qui le fait », explique Jean-Sébastien Blais, ingénieur et expert en déploiement de la solution d’entreprise chez InnovMetric. « Avec un ordinateur portable et un traqueur laser, une personne peut réaliser l’inspection. C’est ce que notre plateforme permet de faire. » Un changement de règlement en cours de saison ? Pas de problème, dit M. Blais. Il suffit d’ajuster les données du logiciel. La FIA n’a pas besoin de commander de nouveaux gabarits, qui sont souvent volumineux et coûteux. Relation naturelle Comment la FIA a-t-elle opté pour InnovMetric ? Dans l’industrie automobile, l’entreprise québécoise est bien connue. Les grands constructeurs automobiles utilisent PolyWorks pour s’assurer que diverses pièces, comme des portes, sont conformes à la réglementation. L’entreprise affirme que plus de « 80 % » des écuries utilisent la plateforme. « En maîtrisant cette technologie, quand [les constructeurs automobiles] ont une écurie de course comme Ferrari, ils peuvent l’appliquer de différentes façons, dit M. Blais. La FIA s’est rendue à l’évidence que pour être efficaces, il leur fallait ce genre de technologie. » En apprentissage Le Grand Prix du Canada est la neuvième épreuve de la saison. Propriétaire d’une licence de PolyWorks, la FIA poursuit son travail afin de peaufiner le logiciel pour l’adapter à ses besoins. Des améliorations sont donc encore attendues au chapitre de l’exécution. « Il faut interpréter les données et comprendre comment tout fonctionne, souligne Mme Encinas. C’est plus compliqué pour cela, mais on peut en faire beaucoup plus au chapitre des vérifications. » InnovMetric compte un réseau de filiales présentes un peu partout dans le monde. En cas de pépins, des spécialistes de l’entreprise sont donc disponibles rapidement. En technologie, « il y a toujours des ajustements à faire », ajoute M. Blais. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2022-06-17/formule-1/les-bolides-sous-la-loupe-du-savoir-faire-quebecois.php
  11. F1 : un engouement sans pareil pour les portes ouvertes Les amateurs de course automobile se sont bousculés aux portillons pour la première journée d’activités du Grand Prix de Formule 1 du Canada, aux abords du circuit Gilles-Villeneuve. Malgré des épisodes de pluie, les organisateurs ont enregistré une affluence record pour les portes ouvertes, jeudi. Les Québécois et les visiteurs internationaux s’étaient ennuyés de l’événement montréalais. Environ 20 000 partisans ont été admis sur le site et la nuée a dû être refoulée vers 10 h 15, une heure seulement après l’ouverture des portes. L’immense foule s’agglutinait même aux abords du Casino, de l’autre côté du rivage. Habituellement, 5000 ou 6000 personnes franchissent les tourniquets pour cette journée. Le précédent record était de 10 000 personnes, d'après les organisateurs. https://www.journaldemontreal.com/2022/06/16/f1--un-engouement-sans-pareil-pour-les-portes-ouvertes
  12. Quelques années plus tard a été construit le Château Champlain à la place du stationnement que l'on voit sur la photo précédente. Les deux photos ayant été prises en sens inverse. Celle-ci date de 1967 environ.
  13. On ne la voit pas sur la photo mais la PVM ne devait être très avancée non plus. La photo ci-jointe ayant été prise en 1960 également, mais je ne sais pas à quel mois exactement.
  14. Carlos Saints au circuit Gilles-Villeneuve. Il pleut aujourd'hui mais on annonce beau toute la fin de semaine. Il se pourrait cependant qu'il y ait des orages dans les puits de Ferrari... 😜
  15. Contrairement à nous il dispose de certaines données que lui et ses collègues du Canada et des États-Unis, et même ailleurs dans le monde, se partagent entre eux. Le fait est que les drapeaux rouges commencent à se lever.
  16. Québec limitera l’augmentation des taxes scolaires pour 2022 Alors que la session parlementaire a pris fin la semaine dernière et qu'une campagne électorale sera déclenchée à la fin de l'été, le gouvernement caquiste de François Legault annonce que les hausses de taxes scolaires qui seront confirmées par avis aux propriétaires le mois prochain ne dépasseront pas « 2 ou 3 % en moyenne ». En point de presse, mercredi après-midi, le ministre des Finances, Eric Girard, a fait savoir que, sans l'intervention de son gouvernement, les centres de services scolaires – qui ont vu leurs besoins exploser à la suite de la pandémie – auraient dû décréter des hausses de taxe pouvant atteindre 17 % pour certains contribuables. Le manque à gagner sera finalement comblé par Québec, qui évalue son aide financière additionnelle à 173 millions de dollars. Questionné par les journalistes, le ministre Girard a assuré que ce geste n'avait rien à voir avec l'approche des élections ou la promesse du Parti libéral de baisser les impôts s'il accède au pouvoir en octobre. Il a plutôt expliqué que sa sortie était coordonnée avec la publication des taux de taxe scolaire dans la Gazette officielle du Québec en vue de la transmission des avis d'imposition, en juillet. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1891287/quebec-limitera-laugmentation-des-taxes-scolaires-pour-2022
  17. Inovia lance un fonds de démarrage de 325 millions US Disposant déjà d’un capital sous gestion de près de 2 milliards US, la montréalaise Inovia annoncera ce mercredi un de ses plus importants fonds de démarrage, doté cette fois de 325 millions US. KARIM BENESSAIEH - LA PRESSE Ce cinquième fonds de démarrage depuis la fondation d’Inovia Capital en 2007 vise à recruter jusqu’à 25 jeunes entreprises technos d’ici quatre ans. On en cherche entre 13 et 15 en phase dite « d’amorçage », et de 8 à 10 pour un premier financement important de série A. Deux entreprises ont déjà été trouvées pour ce « Fonds de capital de risque Inovia V ». Signal1, une jeune pousse de Toronto qui établit les risques d’aggravation de l’état de patients hospitalisés par l’intelligence artificielle, a eu droit à un financement de démarrage de 10 millions US à l’issue d’une ronde menée par Inovia. Flare, spécialisée en cybersécurité des entreprises, a également profité d’une ronde de financement de série A de 9,5 millions. En plus des investisseurs existants comme Investissement Québec et la Caisse de dépôt et placement du Québec, le nouveau fonds compte un quart de nouveaux investisseurs comme BCI, de Colombie-Britannique, et la montréalaise Trans-Canada Capital. « Le principe, c’est qu’on recherche des équipes fortes, qui développent des technologies dans des marchés très gros, explique Magaly Charbonneau, associée chez Inovia. On veut que nos entreprises deviennent éventuellement des entreprises mondiales. » https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2022-06-15/inovia-lance-un-fonds-de-demarrage-de-325-millions-us.php
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