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Normand Hamel

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Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. Le risque d’une récession augmente, prévient Eric Girard Les probabilités qu’une récession frappe le Québec sont à la hausse, selon le ministre des Finances Eric Girard, qui reste malgré tout optimiste quant aux perspectives économiques de la province. « La probabilité d’une récession est de l’ordre de 35 % », a lancé M. Girard mercredi à l’entrée du conseil des ministres. En mars, les chances d’un recul de l’économie étaient plutôt de 25 %. « Il y a eu un rebond synchronisé de l’économie mondiale et ça, ça amène des tensions inflationnistes. Les banques centrales augmentent les taux d’intérêt pour resserrer les conditions monétaires. En même temps, les actifs financiers réagissent, et ça, ça va ralentir l’économie », a expliqué M. Girard. Le ministre des Finances souligne qu’il en saura davantage à la fin de l’année. C’est à ce moment que l’on pourra savoir si la hausse des taux d’intérêt de la Banque du Canada réussira à ralentir l’inflation. Si ce scénario se concrétise, « ça va nous permettre d’éviter une récession », a-t-il indiqué. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/2022-06-15/le-risque-d-une-recession-augmente-previent-eric-girard.php
  2. C'est l'emplacement aussi qui est exceptionnel.
  3. La tour tôt ce matin (2022-06-15). L'éclairage en provenance du sud-est fait ressortir la section des atrium.
  4. En Europe, une remontée des taux spectaculaire L’Italie emprunte de nouveau au niveau le plus haut depuis 2014, la France à 2,2 %, contre zéro il y a six mois. Cette hausse brutale des taux réduit la marge de manœuvre des gouvernements. C’est l’histoire de la grenouille que l’on fait cuire : si vous la mettez dans l’eau froide et augmentez la température progressivement, elle ne sautera pas de la casserole et se laissera bouillir. Le même lent supplice est en cours sur les taux d’intérêt en Europe. Mardi 14 juin, le taux des obligations italiennes à dix ans a dépassé 4 %, pour la première fois depuis décembre 2013, alors en pleine crise de la zone euro. L’Espagne a touché 3 %, une première depuis début 2014. La France, qui empruntait encore à 0 % il y a six mois, doit désormais payer 2,2 %. Cela s’accompagne d’une sévère correction des marchés boursiers : le CAC 40 a perdu 16 % depuis le début de l’année. Mercredi matin, alarmée par ce regain de tension, la Banque centrale européenne a annoncé une très inhabituelle réunion d’urgence de son conseil des gouverneurs. Avant même la moindre annonce, cela a provoqué immédiatement un repli des taux sur les marchés. La remontée des taux est spectaculaire, mais régulière. Plus qu’un soudain krach obligataire, il s’agit d’un changement complet d’univers. De quoi faire bouillir les finances publiques des pays européens ? Et de provoquer un retour de la crise dans la zone euro ? Non seulement tous les taux d’intérêt remontent, mais l’écart entre ceux payés par les différents pays (le spread, dans le jargon financier) s’agrandit. En décembre 2021, celui entre les taux allemand et italien était de 0,9 point. Il est aujourd’hui de 2,4 points. En clair, les investisseurs estiment que le risque sur la dette italienne est aujourd’hui nettement plus fort que celui sur l’Allemagne. Le danger d’une « fragmentation » de la zone euro, pour reprendre le terme utilisé par la Banque centrale européenne (BCE), ressurgit. La cause de cette remontée des taux est bien entendu l’inflation. A 8,1 % en zone euro en mai, elle atteint un niveau inconnu depuis la création de la monnaie unique. La BCE, dont le mandat est de conserver la hausse des prix autour de 2 %, se doit d’agir. Depuis six mois, elle durcit progressivement sa politique monétaire, en mettant fin à ses achats d’actifs sur les marchés. Cette politique, utilisée abondamment depuis 2015, et plus encore pendant la pandémie, sera entièrement terminée le 1er juillet. Après cette première étape, la BCE a annoncé, jeudi 9 juin, qu’elle allait augmenter son taux directeur, actuellement de – 0,5 % : celui-ci va augmenter de 0,25 point en juillet, puis sans doute de 0,5 point en septembre. Ce ne sera qu’un début : Klaas Knot, le président de la banque centrale néerlandaise, expliquait, dans une interview au Monde, qu’il souhaitait continuer les hausses à chaque réunion suivante du conseil des gouverneurs, en octobre et décembre. Après huit ans dans le négatif, la BCE devrait afficher un taux d’environ 1 % à la fin de l’année – une petite révolution. https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/06/15/les-taux-remontent-fortement-en-europe_6130365_3234.html
  5. Yoshua Bengio récompensé en Espagne pour son travail sur l’intelligence artificielle https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1891236/yoshua-bengio-prix-intelligence-artificielle-pionniers
  6. Tu as raison de t'inquiéter car la situation est réellement préoccupante. Ce qui se pointe à l'horizon est anticipé depuis plus de dix ans par ceux qu'on appelle les prophètes de malheur, comme Georges Ugeux par exemple. Cependant rien de ce qui a été prédit ne s'est manifesté jusqu'à maintenant. Il se pourrait bien cependant que cette fois-ci toutes les conditions soient réunies. Mon impression personnelle est que la crise économique, si crise il y a, sera d'autant plus grave qu'elle aura été retardée longtemps par une succession d'évènements fortuits. Viendra donc un temps où il faudra passer à la caisse.
  7. Revenu Québec Son efficacité plombée par un logiciel Vous trouvez le fisc lent à traiter votre déclaration de revenus ? Prenez votre mal en patience. Revenu Québec a perdu cinq ans de travail et 34 millions de dollars en essayant de faire fonctionner un logiciel qui devait accélérer l’analyse des dossiers de contribuables, mais qui se révèle « inutilisable », selon des documents judiciaires consultés par La Presse. VINCENT LAROUCHE - LA PRESSE C’est ce qu’affirme une poursuite en dommages déposée par Revenu Québec contre Fujitsu. Cette multinationale de l’informatique est le fournisseur et vendeur de la plateforme DXP, qui devait faciliter la vie des fonctionnaires en leur donnant aisément accès à toutes les informations concernant un contribuable et en automatisant l’attribution des tâches au fur et à mesure que des dossiers étaient traités. Dans sa poursuite déposée au palais de justice de Montréal, Revenu Québec affirme que Fujitsu l’a trompée en lui faisant de fausses représentations sur les capacités réelles de sa plateforme. En 2015, lorsque Revenu Québec a lancé son appel d’offres pour une nouvelle plateforme informatique, l’agence gouvernementale avait des exigences claires : le produit devait pouvoir prendre en charge le travail de 8500 fonctionnaires utilisateurs, dont 3000 en permanence, avec un temps de réponse maximal de trois secondes pour chaque requête dans le système. Car avec le volume astronomique d’informations à traiter par les fonctionnaires, chaque seconde compte. Une réponse trop lente, multipliée par des millions d’opérations, peut alourdir sérieusement la réponse de la machine fiscale québécoise. « C’est la norme interne à Revenu Québec. On essaie de ne pas excéder trois secondes par requête, mais déjà, trois secondes, c’est la limite. Ça devrait être une ou deux secondes », explique une source à l’interne qui s’est confiée à La Presse sous couvert de l’anonymat, car elle n’est pas autorisée à parler publiquement de ce dossier. Dans sa poursuite, Revenu Québec affirme que Fujitsu lui avait promis une plateforme performante, capable de traiter beaucoup plus d’informations que ce que réclamait le fisc. « Il n’y a pas de limite dans le nombre de cas ou d’utilisateurs », aurait assuré un représentant de l’entreprise aux fonctionnaires lors d’une présentation. « On n’a pas de doute sur la performance de la solution. On a des endroits où ils gèrent six millions de cas en même temps », aurait renchéri un expert de Fujitsu dans la même présentation. Plusieurs minutes au lieu de trois secondes Revenu Québec a donc acheté la plateforme DXP en 2016. Le contrat initial était d’environ 11 millions, mais il y a eu des ajouts par la suite. « Le but, c’était de gagner du temps, de faciliter la gestion de la tâche », affirme une source au sein de l’organisme gouvernemental. Les fonctionnaires ont commencé à tester la plateforme avec un faible volume d’opérations, bien en deçà de ce dont ils auraient besoin à terme. Les résultats ont été catastrophiques, explique Revenu Québec. Au lieu de trois secondes, le temps de réponse pour une requête dans le système était parfois de « quelques minutes », lit-on dans la requête déposée en cour. « Ces problèmes engendrent beaucoup de plaintes de la part des usagers et cette situation n’est pas viable à court, moyen ou à long terme », aurait précisé un cadre de la fonction publique dans un courriel à Fujitsu cité dans les documents judiciaires. « En plus des problèmes de performance, plusieurs autres exigences prévues au contrat ne semblent toujours pas respectées », précise la poursuite. C’était un vrai cauchemar de travailler avec DXP. Il y a plein de bogues et d’anomalies, et ça nous a retardés fortement dans le développement. - Une source interne qui s’est confiée à La Presse Le logiciel s’est révélé « inutilisable », « contre toute attente », affirme Revenu Québec dans un nouvel avis public destiné à obtenir une solution de rechange et publié l’hiver dernier. Revenu Québec affirme que lors d’une rencontre en février 2021, des représentants de Fujitsu Conseil ont avoué qu’ils n’étaient pas en mesure de garantir que la plateforme répondrait aux exigences du fisc et qu’elle n’avait jamais été implantée chez un client ayant des besoins semblables, ce qui contredisait les représentations antérieures de l’entreprise. « À ce moment, cela faisait près de cinq ans que Revenu Québec attendait vainement une plateforme rencontrant les exigences prévues », explique la requête déposée en cour. La poursuite précise que l’entreprise ne pouvait ignorer que sa plateforme ne peut pas répondre adéquatement aux besoins du fisc québécois. Revenu Québec réclame maintenant 34 millions à Fujitsu pour compenser ses pertes dans cette affaire, notamment l’achat de la plateforme, le soutien technique et l’implantation, dont la rondelette somme de 4,5 millions de pertes en bénéfices de récupération fiscale qui ne se sont jamais matérialisés puisque sa nouvelle plateforme n’avait pu être implantée. Relations mises à mal La poursuite risque de mettre à mal les relations entre l’organisme public et l’un de ses importants fournisseurs. Fujitsu a remporté de nombreux contrats au fil des ans avec Revenu Québec. En 2013, Le Journal de Montréal avait d’ailleurs révélé que la firme avait remporté à quatre reprises des appels d’offres pour Revenu Québec, qu’elle avait aidée à élaborer à titre de consultante. Dans son offre pour vendre la plateforme DXP, Fujitsu avait d’ailleurs mis en valeur « sa grande connaissance de Revenu Québec en regard de son environnement technologique, son organisation et ses lignes d’affaires ». « Nous sommes au courant de cette poursuite, mais ne commentons pas les litiges en cours », a déclaré Tamara Keserovic, cheffe du marketing par intérim pour Fujitsu North America, lorsque jointe par La Presse. Chez Revenu Québec et au bureau du ministre des Finances, Eric Girard, on se refuse aussi à tout commentaire sur cette affaire. https://www.lapresse.ca/actualites/2022-06-15/revenu-quebec/son-efficacite-plombee-par-un-logiciel.php
  8. Le chantier plus tôt aujourd'hui (2022-06-14).
  9. En effet cela ne s'applique plus au Canada, mais seulement depuis que le Québec est sorti de la Grande Noirceur, période où les Québécois étaient utilisés par la classe dominante comme du cheap labour au même titre que les Chinois ou les Vietnamiens le sont encore aujourd'hui.
  10. C'est exact et cela est essentiellement dû à la robotisation et à l'automatisation qui sont beaucoup plus avancées en Allemagne qu'au Canada. Le principe étant le suivant: plus une économie est automatisée et robotisée plus la productivité augmente. Les petits boulots ne disparaîtront jamais en effet et le plus souvent ce sont les immigrants qui occupent ces emplois. On ne peut donc pas se priver de ces immigrants. En même temps on a aussi besoin d'immigrants qualifiés pour occuper des postes mieux rémunérés et ainsi augmenter le PIB global; cependant le PIB par habitant reste le même car chaque nouvel arrivant a besoin de biens et services comme tout autre citoyen et cela requiert de la main d'oeuvre additionnelle qui vient ainsi diluer l'effet dans l'ensemble de l'économie. Pour le première fois dans l'histoire de Montréal le salaire moyen des immigrants est plus élevé que celui des citoyens nés ici. Cela est attribuable aux politiques gouvernementales qui favorisent les immigrants qualifiés pour occuper des postes hautement rémunérés.
  11. Lorsque j'ai vu cette nouvelle hier je ne savais pas où la partager et j'ai donc créé un nouveau fil dédié à l'IATA comme il en existe déjà un consacré à l'OACI.
  12. Analyse du progrès : le Québec a évolué positivement malgré certains bémols La société québécoise a évolué positivement à de nombreux égards, selon l'Institut de la statistique du Québec (ISQ) qui a publié lundi, pour la première fois, une étude sur le progrès du Québec en tenant compte de 15 indicateurs clés, complémentaires au produit intérieur brut (PIB). Si le taux d'emploi et le revenu des personnes ont augmenté dans les 16 dernières années, et que la pauvreté et la gravité des crimes déclarés ont diminué, la santé mentale des Québécois est en déclin. En outre, les émissions de GES augmentent, ce qui constitue deux tendances défavorables au progrès, selon l'ISQ. Le PIB ne permet pas de mesurer toutes les dimensions du progrès; donc, l'objectif fondamental de cette analyse, c'est d'offrir un complément au PIBen tenant compte de ce qui est le plus important pour la population. Par exemple, la santé, l'éducation, l'environnement, la confiance qu'on a aussi envers les autres, a expliqué l'économiste Stéphanie Uhde, qui a participé à l'étude. « On a fait la comparaison avec le reste du Canada et on a constaté que le Québec affichait de meilleurs résultats que le reste du Canada pour plusieurs dimensions. » - Stéphanie Uhde, économiste et coauteure de l'étude Par exemple, le taux de personnes à faible revenu a diminué; il était de 13,7 % en 2015, comparativement à 8,7 % en 2019 au Québec. Dans le reste du Canada, il était de 10,5 % en 2019. Ce taux est calculé selon la Mesure du panier de consommation (MPC) qui comprend cinq composantes : l'alimentation, le logement, les vêtements et chaussures, le transport et les autres nécessités. Par contre, le revenu des particuliers et le capital économique sont plus élevés dans le reste du Canada. Comme les chercheurs ont étudié les données économiques jusqu'en 2018, les conséquences de la récente flambée du prix des denrées ne sont pas incluses dans l'analyse. Taux de diplomation et espérance de vie à la hausse La proportion de personnes de 24 à 35 ans possédant un diplôme d'études postsecondaires est passée de 72 % en 2006 à 80 % en 2021. Dans le reste du Canada, cette proportion était de 74 % en 2021. L'espérance de vie est en hausse depuis 2003, mais elle a connu une baisse d'environ une année en 2020, partout au pays. Par exemple au Québec, l'espérance de vie était de 83 ans juste avant la pandémie; elle est baissée à 82 ans en 2020, pour revenir à 83 ans en 2021. Les données, pour le reste du Canada, ne sont pas disponibles pour l'année 2021, mais la tendance des dernières années montre que l'espérance de vie est légèrement plus élevée au Québec qu'ailleurs au pays. La criminalité est à la baisse La gravité des crimes déclarés par les services policiers a diminué depuis 16 ans, ce qui témoigne d'une amélioration de la sécurité des personnes, selon les auteurs de l'étude. L'indice de gravité de la criminalité, qui tient compte à la fois du volume et de la gravité des crimes déclarés, était de 52 au Québec en 2020, comparativement à 79 dans le reste du pays. La santé mentale est plus fragile En 2019, donc avant la pandémie, 72 % des Québécois âgés de 12 ans et plus percevaient leur santé mentale comme très bonne ou excellente. En 2015, c'est 75 % de la population qui considérait avoir une bonne santé mentale. Cette tendance à la baisse est également observable dans l'ensemble du pays. Les auteurs de l'étude n'avaient pas pour mandat de déterminer pour quelle raison le bien-être des citoyens diminuait. Les GES sont en hausse, mais la qualité de l'air s'améliore L'Institut de la statistique du Québec note que l'ampleur des anomalies de température a augmenté depuis 100 ans et, depuis 1998, nous observons une série ininterrompue d'années plus chaudes que la normale du 20e siècle. L'ISQ souligne également que les émissions de gaz à effet de serre (GES) au Québec ont fluctué entre 2009 et 2019, mais depuis 2016, elles sont à la hausse, contrairement à ce qui était attendu pour contenir les changements climatiques. Le rapport souligne que les émissions de GES constituent une mesure de la pression de l'économie sur l'environnement. Si ces deux tendances sont défavorables au progrès, l'Institut de la statistique du Québec souligne toutefois que la qualité de l'air s'améliore. Le Québec a connu 96 jours en 2020 lors desquels la concentration de particules fines dans l'air était supérieure au seuil international. En 2009, la province avait enregistré 254 jours où l'air était de mauvaise qualité. Le bon résultat de 2020 ne semble pas s'expliquer par la pandémie, car cette tendance à la baisse s'observe depuis plusieurs années. Le nombre de jours de dépassement du seuil de concentration de particules fines dans l'air au Québec a diminué en moyenne de 7,8 % entre 2009 et 2020. Ailleurs au Canada, les auteurs de l'étude notent qu'aucune tendance significative ne se dégage entre 2009 et 2020 quant à la concentration de particules fines dans l'air. La confiance envers les autres augmente L'ISQ a observé qu'en 2020, près de 45 % de la population du Québec affirmait avoir confiance en la plupart des gens. Cette proportion représente une hausse par rapport à celle observée pour 2003, où elle était d'environ 35 %. Les auteurs soulignent que le niveau de confiance généralisée est plus faible au Québec que dans le reste du Canada, où près de six personnes sur dix avaient confiance en la plupart de gens en 2020. Le rapport indique également que la représentation des femmes en politique s'accentue depuis 2006, même si elles demeurent sous-représentées parmi les élus en 2021. L'Institut de la statistique du Québec compte mettre à jour son analyse chaque année, en y ajoutant au besoin de nouvelles mesures. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1890685/progres-quebec-institut-statistique-pib
  13. Le plus important c'est le traitement de la surface sous les pavés pour s'assurer d'un bon écoulement de l'eau afin de prévenir le soulèvement des pavés par le gel. Les techniques ont évolué et lorsqu'elles sont mises en oeuvre minutieusement cela donne d'assez bons résultats. Dans le cas présent, comme dans tous les autres, c'est le temps qui nous le dira.
  14. Normand Hamel

    IATA

    L’IATA reçoit 20 millions pour rester à Montréal Après avoir signalé son intention de délaisser Montréal au profit de Genève, l’Association du transport aérien international (IATA) recevra 20 millions de Québec et Ottawa pour maintenir sa présence dans la métropole québécoise. Julien Arsenault - La Presse Le soutien financier, qui s’échelonnera sur 10 ans, a été confirmé lundi, dans les bureaux de ce lobby des compagnies aériennes fondé en 1945, en présence de son directeur général, Willie Walsh, Pascale St-Onge, responsable de l’Agence de développement économique du Canada et Nadine Girault, ministre des Relations internationales et de la Francophonie. Le siège social de l’IATA est à Montréal dans la Tour de la Bourse, au centre-ville. L’an dernier, l’organisation avait fait part de son intention de déplacer du travail vers Genève, en Suisse, où se trouve son autre bureau principal. Avec l’argent des deux ordres de gouvernement, l’association qui représente quelque 290 compagnies aériennes conservera son empreinte à Montréal jusqu’en 2032, ce qui devrait soutenir 250 postes dans les créneaux de l’aviation civile, du droit, de la finance et des technologies de l’information. Depuis le début de la pandémie, l’IATA a critiqué à plus d’une reprise le gouvernement Trudeau parce qu’il maintenait en place des protocoles sanitaires jugés trop rigides par l’organisation pendant que d’autres pays procédaient à des allégements. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2022-06-13/lobby-aerien/l-iata-recoit-20-millions-pour-rester-a-montreal.php
  15. Mine de rien, ils sont rendus au 18e étage (2022-06-13). Je dirais que ça avance plutôt bien.
  16. On discerne bien la structure aujourd'hui sur le dernier cliché de la caméra de chantier (2022-06-13).
  17. La façade nord est pas mal complétée tant au niveau du revêtement blanc que rouge (2022-06-13).
  18. Le triple chantier aujourd'hui en début de matinée (2022-06-13).
  19. Progressivement la nouvelle infrastructure prend forme: le chantier aujourd'hui (2022-06-13).
  20. Le chantier cet après-midi (2022-06-13).
  21. Tu as raison c'est la réalité, mais pas pour l'ensemble de l'économie. Car seulement certains secteurs sont sensibles à l'apport d'immigrants. Par contre presque tous les secteurs de l'économie peuvent bénéficier de la robotisation et de l'automatisation.
  22. Je respecte ton opinion. 😜
  23. L'institut du Québec (HEC) vient de produire une vaste étude qui confirme ce que dit Pierre Fortin (UQAM). Ce qui ressort de cette étude c'est que outre certains domaines de l'économie, comme par exemple l'agriculture, l'immigration n'a qu'une faible incidence sur les besoins de main d'oeuvre. Ce qu'il faut comprendre c'est que les économistes regardent la situation dans son ensemble et ne se limitent pas aux quelques secteurs qui bénéficient énormément de l'apport permanent ou temporaire de l'immigration. Tout le conflit actuel vient de là: certains observateurs basant leurs impressions sur certains secteurs qui peuvent en effet bénéficier grandement de l'apport d'immigrés mais qui ne prennent pas en compte l'ensemble de l'économie qui elle est peu sensible à l'augmentation ou à la diminution de l'immigration. Pour solutionner le problème de la pénurie de main d'oeuvre ce qui fait vraiment une différence ce n'est pas l'immigration mais la robotisation et l'automatisation. En résumé, il a été démontré scientifiquement que: 1- L'immigration a une faible incidence sur le marché de la main d'oeuvre. 2- La solution au problème de la pénurie de main d'oeuvre passe par la robotisation et l'automatisation. La morale de cette histoire c'est qu'une opinion basée sur l'expérience personnelle ne prouve rien, tandis que la connaissance qui peut ressortir de plusieurs études approfondies sur un sujet donné est beaucoup plus fiable.
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