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Normand Hamel

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Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. Le tramway de Montréal désigne un réseau de tramways canadiens existant à Montréal, de 1861 à 1959. Il débute au centre-ville puis se développe vers la banlieue pour devenir le moyen de transport collectif principal de la métropole canadienne, atteignant 510 kilomètres de rails en 1933. Extrait de Wikipédia J'ouvre ce fil de discussion pour permettre au membres de MTLURB d'échanger leurs souvenirs du tramway à Montréal et pour faire des commentaires à ce sujet.
  2. Le basilaire semble avoir une plus grande surface vitrée.
  3. Depuis que je fréquente le site de MTLURB (2017) j'ai l'impression de revivre la vibe des années 60.
  4. Il y a sûrement des études qui ont été faites à ce sujet. Mais une chose est certaine en ce moment, c'est que si l'ouverture de la station du REM de l'aéroport est retardée on pourra toujours se rabatte sur Turcot pour acheminer les voyageurs de ou vers l'aéroport. Pour l'instant, comme je le disais, il n'y a rien d'urgent. Cependant une reprise économique forte s'annonce dès que la population aura commencée à se faire vacciner.
  5. On peut dire la même chose du pont Samuel-De Champlain (sauf pour les essais qui s'en viennent). Quoiqu'il en soit on sait que tôt ou tard ces voies réservées seront mises en service. Pour le pont il faudra attendre que le REM accueille ses premiers passagers. Et pour le projet Turcot, il faut bien le dire, le besoin d'une liaison rapide entre l'aéroport et le centre-ville devient beaucoup moins urgent avec la pandémie.
  6. C'est presque la question de l'oeuf et de la poule car on peut dire que le pont a, fort heureusement, dû être conçu avec une voie centrale afin d'accommoder le REM en même temps que l'on peut affirmer que le pont a offert une chance unique au REM. Quoiqu'il en soit on aura su saisir l'occasion au bon moment, et ce tant au provincial pour le REM qu'au fédéral pour le pont. Quand on s'arrête pour y penser, la concordance entre le projet Turcot, le pont Samuel-De Champlain et le REM est absolument remarquable. Ce qui n'est pas sans nous rappeler l'époque où on a créé l'Île Notre-Dame pour Expo 67 avec la terre excavée lors de la construction du métro. En bout de ligne on se retrouvera alors avec un magnifique parc, le Parc des Îles, qui nous offre aujourd'hui le plus vaste amphithéâtre naturel en Amérique du Nord et le Circuit Gilles-Villeneuve qui accueille à chaque année l'un des évènements sportifs les plus médiatisés au monde. Et on peut justement s'y rendre avec notre fabuleux métro dont la terre de son excavation aura également servie a accueillir de partout sur la planète 20 millions de visiteurs en six mois ainsi que toute une grappe de personnalités internationales lors de la tenue de la plus grande exposition universelle de tous les temps. Pour ce qui est du trio REM-Champlain-Turcot on ne peut certes pas en retirer autant de prestige mais le pont lui-même signale déjà à ceux qui le traverse qu'ils entrent dans une ville qui comme dans les années 60 bascule à nouveau dans la modernité. Et c'est d'ailleurs tout un symbole de voir l'ancien pont Champlain être déconstruit pièce par pièce pour permettre au nouveau de rayonner. Quant au REM qui traverse ce magnifique pont il dynamisera encore davantage Montréal comme le métro le fait si bien depuis plus de 50 ans. Et pour le projet Turcot il s'agit bien plus qu'une simple remise à niveau car il offre désormais, comme le pont Samuel-De Champlain, une voie réservée au centre pour le transport en commun, incluant les taxis qui pourront, grâce au réaménagement du rond-point Dorval, relier le centre-ville à l'aéroport en aussi peu de temps que le REM lui-même.
  7. À ma connaissance ce projet sera terminé (ou presque) avant la fin de l'année 2020, selon l'échéancier qui était prévu au départ. De plus, il n'y a pas eu de dépassements de coûts importants sauf pour des travaux autour du pont Saint-Jacques qui ont nécessité la relocalisation imprévue d'un immense collecteur qui passait sous la rue. C'est pourquoi le pont a été livré avec plus de deux ans de retard et à un coût au moins 50% plus élevé que ce qui avait été calculé initialement. Sinon globalement le projet est on time et on budget. Je profite de l'occasion pour dire que ce projet a eu la chance, et ce par pure coïncidence, d'être réalisé simultanément, pour ne pas dire conjointement, avec le pont Samuel-De Champlain, qui lui-même a eu la chance d'être construit en même temps que le REM, un autre projet qui avance plutôt bien malgré les ralentissements engendrés par la pandémie et quelques difficultés techniques. Not bad at all.
  8. Scoop: la Ville de Montréal a l'intention de construire un complexe culturel et artistique au coin des rues Sainte-Catherine et Jeanne-Mance. Une fois achevé ce sera le plus vaste complexe du genre au Canada. Le bâtiment principal, que l'on aperçoit sur le panneau publicitaire, s'appellera la Grande Salle. Mais la corporation du Centre Sir-George-Étienne-Cartier songerait déjà à la rebaptiser salle Wilfrid-Pelletier en l'honneur du célèbre pianiste et chef d'orchestre Québécois qui a notamment dirigé au Metropolitan Opera pendant plus de 20 ans (1929-1950). Les travaux pourraient débuter dès l'hiver 1961 et si tout se déroule bien la nouvelle salle de spectacle sera prête à temps pour la rentrée culturelle à l'automne 1963.
  9. Tu as probablement raison. D'ailleurs si tu regardes la réponse précédente de Wave Arts à mon post j'avais initialement identifié la rue comme étant Saint-Jacques et je me suis ravisé sans doute inconsciemment pour justifier un post dans un fil dédié au Rodier. Les deux tramways ne seraient donc pas sur la même rue. Je profite de l'occasion pour dire que sur ta photo du Rodier l'édifice de l'autre côté de la rue Notre-Dame, celui à côté du Essex, est bien plus joli que ceux que l'on peut voir sur la rue Saint-Jacques dans ma photo. D'ailleurs cet édifice arbore lui aussi une couronne comme le Rodier à l'époque et ils allaient donc très bien ensemble.
  10. En lien avec la photo précédente, on voit le même stationnement en 1964, derrière le poste de police qui a malheureusement été détruit depuis.
  11. Le Vieux-Port au début des années 60.
  12. Le Port de Montréal a un nouveau patron Martin Imbleau n’aura fait que passer chez Hydro-Québec. Il deviendra président-directeur général de l’Administration portuaire de Montréal. Hélène Baril - La Presse L’ancien dirigeant d’Énergir avait été nommé vice-président, Stratégies d’entreprise et développement des affaires chez Hydro-Québec par sa nouvelle PDG, Sophie Brochu, qui travaillait avec lui depuis 20 ans. Chez Hydro, il avait hérité de la lourde responsabilité du développement des exportations. Martin Imbleau succèdera à Sylvie Vachon, qui a annoncé son départ à la retraite, en janvier 2021. « C'est un privilège pour moi de prendre les rênes de l'APM après avoir travaillé pendant plus de vingt années dans le secteur public, a-t-il fait savoir par voie de communiqué. Le Port de Montréal est la porte d'entrée commerciale de l'est du Canada, un moteur économique puissant et un modèle de développement durable. C'est avec beaucoup de fierté que je m'engage aujourd'hui à garder le cap sur l'excellence et la performance qui font la réputation du Port de Montréal à l'échelle internationale». Sylvie Vachon restera au sein de l'organisation «au cours des prochains mois afin d'assurer une saine transition», a fait savoir le Port de Montréal. La PDG d’Hydro-Québec a choisi un autre vétéran d’Énergir, Pierre Despars, pour lui succéder. Pierre Despars a été chez des Finances de Gaz Metro, devenu Énergir, de 2003 à 2017. Il était président du conseil d’administration de Standard Solar, une entreprise qui développe des parcs solaires aux États-Unis. Martin Imbleau arrive aux commandes du Port de Montréal au moment où l’organisation est prête à réaliser son projet majeur d’expansion à Contrecoeur. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2020-11-24/le-port-de-montreal-a-un-nouveau-patron.php
  13. Sur cette photo la reine de Griffintown porte encore fièrement sa couronne. Je me demande bien pourquoi elle l'a perdue et depuis quand exactement. Je me demande aussi pourquoi après avoir pris tant de soins à restaurer l'éperon et la façade avant de la tour on n'a pas cru bon de lui refaire une nouvelle couronne. Je ne connais pas de photos postérieures à 1956 où l'on peut encore voir la couronne.
  14. C'est drôle, quand j'ai réalisé ce montage lorsque je regardais la photo du Café Beaver je ne pouvais pas m'empêcher de voir le rendu ci-après. Le Beaver étant devenu Le Parloir.
  15. La petite histoire avant le Maestria. Cliché 1 - Les années 50: le cinéma Alouette a ouvert ses portes sur la rue Sainte-Catherine en 1952. Cliché 2 - Les années 60: le célèbre Café Beaver, coin de Bleury, que l'on voit ici en 1961. Cliché 3 - Les années 70: des années un peu sombres, comme la photo. Le cinéma Alouette change de nom et devient le cinéma Pigalle en 1974, puis Le Carrefour en 1976. Cliché 4 - Les années 80: apparition d'une boite de nuit nommée Le Club Montréal qui laissera bientôt sa place au fabuleux Spectrum qui ouvrira ses portes en 1982.
  16. Les travaux ont pour but d'intégrer l'édicule de Bleury Nord au sein de l'hôtel Art de vivre. Ils en profiteront pour ajouter des ascenseurs.
  17. Le même contexte, plus ou moins au même endroit mais un peu plus loin, en 1956.
  18. Le boulevard Décarie, le 7 juin 1961.
  19. Rue Notre-Dame, coin de L'inspecteur, le 1er septembre 1951. Comparez avec la photo dans le post précédent.
  20. Et grâce aux travaux en cours elle sera bientôt désenclavée comme le souhaitaient à l'origine les architectes du projet.
  21. La Fondation Riopelle étudie d’autres sites Isabelle Paré - Le Devoir Malgré la décision du Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) d’abandonner son projet d’aile destinée à accueillir l’œuvre de Riopelle, la fondation consacrée au peintre automatiste entend bel et bien aller de l’avant avec son projet visant à créer à Montréal « une vitrine internationale » d’ici 2023 pour accueillir le legs du célèbre peintre. Tel est du moins ce qu’a fait savoir dimanche Manon Gauthier, directrice générale de la Fondation Riopelle, sur la page Facebook de l’organisme. « Toute l’équipe de la Fondation Riopelle poursuit le travail, en collaboration avec nos partenaires philanthropiques et institutionnels, afin d’offrir à la métropole qui a vu grandir Jean Paul Riopelle une vitrine internationale entièrement dédiée à l’œuvre incroyable de l’artiste dans le cadre des célébrations de son centenaire en 2023 », a-t-elle précisé. L’organisme soutient que ce legs demeurait la raison d’être de la fondation. « Nous maintenons plus que jamais le cap sur cet objectif. Plusieurs sites sont toujours à l’étude en vue d’accueillir ce nouvel espace grandiose, à la hauteur de l’artiste et de son riche héritage culturel », a-t-elle souligné. Après des semaines d’incertitude, le MBAM a fait savoir samedi par la voix de son nouveau directeur général, Stéphane Aquin, et du président du conseil d’administration, Pierre Bourgie, que le Musée renonçait à aller de l’avant avec le projet d’aile consacrée à l’œuvre de Jean Paul Riopelle, en raison de la conjoncture économique difficile et de la situation financière du musée. Compte tenu des pertes de revenus engendrées par les fermetures dues à la pandémie, l’institution s’estime « fragilisée », et son nouveau directeur a indiqué qu’il serait « déraisonnable » de compromettre l’avenir du musée avec un projet dont les coûts de construction et les délais ont augmenté. Malgré cet abandon, le Musée dit vouloir continuer de travailler avec la Fondation Riopelle et maintient l’exposition majeure consacrée à l’artiste, prévue à son programme dès que la réouverture sera possible. Par ailleurs, le ministère de la Culture et des Communications du Québec a fait savoir dimanche que la décision du MBAM ne remettait aucunement en cause sa participation dans ce projet et que les 10 millions de dollars promis pour financer un « espace Riopelle » seront disponibles dès qu’un projet tangible sera sur la table. Rappelons que le projet d’aile consacrée aux œuvres du peintre automatiste avait été proposé par l’ex-directrice, Nathalie Bondil, congédiée abruptement en juillet dernier par le conseil d’administration du MBAM. Celle-ci avait contacté il y a un an le collectionneur et homme d’affaires de Vancouver Michael Audain et la Fondation Riopelle pour leur proposer d’intégrer la collection personnelle de M. Audain à une nouvelle aile du musée. Entièrement consacrée au peintre à l’occasion du 100e anniversaire de naissance de Jean Paul Riopelle, l’aile devait être érigée sur le toit du pavillon Jean-Noël Desmarais et accueillir plusieurs des 400 œuvres du peintre détenues par le MBAM ainsi que celles d’autres collectionneurs privés. Mais, coup sur coup, la bisbille qui a éclaté au MBAM puis la pandémie ont eu raison du projet caressé par l’ex-directrice. Dimanche, Manon Gauthier a affirmé que l’équipe de la Fondation Riopelle restait « tournée vers l’avenir » et poursuivrait les collaborations en cours avec le MBAM pour mener à bien les projets de collaboration, notamment le projet d’exposition Riopelle : à la rencontre des territoires nordiques et des cultures autochtones. https://www.ledevoir.com/culture/arts-visuels/590246/la-fondation-riopelle-etudie-d-autres-sites
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