Aller au contenu
publicité

Normand Hamel

Membre
  • Compteur de contenus

    6 024
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    31

Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. Le Canada dispose de 367 chercheurs en intelligence artificielle, dont 700 travaillent au Mila. 😜 Le premier cliché date du 30 octobre dernier et fait référence à un rapport livré par Element AI en 2020. https://betakit.com/canada-punches-above-its-weight-with-ai-researchers-in-new-element-ai-report/?utm_source=twitter&utm_medium=lickstats&utm_campaign=24-11-20canada&utm_term=&utm_content=5fc69457ce8e2916d3a5dd91 Le deuxième cliché date d'aujourd'hui, 1er décembre. Il inclut toutefois les étudiants gradués qui sont particulièrement nombreux au Mila car ils proviennent de deux universités: Université de Montréal et Université McGill. https://mila.quebec/en/drw-establishes-strategic-alliance-with-mila/
  2. Message du président, Jean-François Gagné: A new milestone for Element AI ELEMENT AI has always been on a mission to help more organizations harness the power of AI and to reinvent how humans and machines collaborate. From the earliest of days, our vision was to democratize AI through a collaborative model that aimed to bring cutting-edge research into real life applications, and to shape a world where our innovative technology would support, rather than hinder, humankind. After four years of seeing the market mature, and the impact that our know-how and technology assets have brought to customers, we believe that we have an opportunity to achieve our objectives and apply our talent and technology to the most significant challenges facing the enterprise today. I am therefore excited to announce that we have agreed to be acquired by ServiceNow. We believe this is our best path to reach our initial ambition, to make AI accessible to the enterprise, and to help people and machines work smarter, together. As part of this transition, I will continue to lead the Element AI team within the ServiceNow organization. This is an enormous commitment to our mutual vision of making the enterprise a better place, helping people have greater impact and ultimately driving more value for all stakeholders. Element AI’s team, products, and technologies, combined with the power of ServiceNow’s leading workflow engine, offer the promise to shape the future of work. Element AI will help ServiceNow deliver workflows that learn more efficiently from smaller datasets, improve the quality of existing AI capabilities like content and language understanding, and expand new capabilities like image recognition and cognitive search. Together we will enable customers to surface and summarize information, make predictions and recommendations, and automate repetitive tasks so employees and customers can focus on areas only humans excel at – creative thinking, customer interactions, and unpredictable work. I am incredibly grateful and proud of what we have accomplished as a team over the years. Armed with ambition and grit, we have broken through the noise of this space early on, and we continue to do so every day. We have built a culture of curiosity and collaboration that uniquely allowed us to become an influence in our field. We can only continue to achieve this if we are true to the essence of our brand, use our influence to shape conversations, dare to dream big, and continue to be bold. JF
  3. Pourquoi nos ambitions seraient trop grandes? Lion a cinq ans d'avance sur ses concurrents nord-américains et pour maintenir son leadership elle projette de construire une usine d'assemblage de véhicules électriques aux États-Unis. Elle n'a pas vraiment le choix car les Américains sont de plus en plus protectionnistes. Or, pour construire cette usine elle a besoin de 500 millions de dollars et c'est pourquoi elle a l'intention de s'inscrire à la bourse de New York. Cependant pour ce faire elle avait besoin d'un partenaire américain, une firme d'investissement du nom de Northern Genesis à qui elle a offert en retour de sa participation une part de 30% dans l'entreprise.
  4. L’actionnariat québécois de Lion bien servi par le saut à Wall Street Lion fera le saut à Wall Street cet hiver, ce qui permettra au constructeur de véhicules électriques de Saint-Jérôme de récolter un demi-milliard américains pour financer son expansion tout en créant de la valeur au passage pour ses actionnaires québécois. Richard Dufour - La Presse Le début des transactions à la Bourse de New York sous le symbole « LVE » est attendu en février ou en mars. L’inscription en Bourse de Lion s’effectuera par l’entremise d’une fusion avec Northern Genesis, une société d’acquisition à vocation spécifique dont les actions sont actuellement déjà inscrites à New York. Le financement privé accompagnant la transaction permet d’accorder une capitalisation boursière de 1,9 milliard US à Lion. Selon nos informations, les principaux actionnaires de Lion à la clôture de l’opération seront Power Corporation (31 %), les fondateurs Marc Bédard et Camile Chartrand (15 %), et le fonds d’investissement XPNDCroissance d’Alexandre Taillefer (10 %). Lion a été fondée il y a 12 ans par Marc Bédard et Camile Chartrand. L’investissement initial de quelques millions seulement par XPND dans Lion date de 2015 alors que celui d’environ 50 millions de Power Corporation remonte à 2017. La valeur de la participation dans Lion détenue par Power Corporation s’élève donc aujourd’hui sur papier à environ 600 millions US. La participation des fondateurs vaut ainsi quelque 285 millions US et celle détenue par XPNDCroissance, près de 190 millions US. Toujours selon nos informations, les principaux investisseurs du fonds XPNDCroissance sont la Caisse de dépôt (20 %), Investissement Québec (20 %), le Fonds de solidarité FTQ (13 %), Fondaction (7 %) et Claridge (7 %). Un certain nombre de partenaires privés compose le reste de l’actionnariat d’XPNDCroissance. Lion prévoit principalement utiliser les 500 millions US récoltés pour établir une usine de fabrication de véhicules aux États-Unis dans un État américain qui reste à confirmer, et construire une usine de fabrication de batteries au Québec, fort possiblement à Saint-Jérôme. Les choix des emplacements seront annoncés prochainement. « Il fallait aller chercher des bons montants parce que si on veut compétitionner dans ce marché-là, il faut pas mal de capitaux », commente le PDG de Lion, Marc Bédard. « Jusqu’à maintenant, on a fait beaucoup avec un capital modeste, disons-le. Là, on a deux gros projets [l’usine de fabrication de véhicules et l’usine de batteries] et on veut continuer à investir dans la recherche et développement. » Le cofondateur de Lion explique qu’il est primordial dans le contexte commercial actuel que Lion assemble aux États-Unis les véhicules vendus aux Américains. « On veut ouvrir cette usine au cours des deux prochaines années », dit-il. Lion compte s’installer dans une usine déjà existante aux États-Unis. « Ça risque d’être une usine fermée par un constructeur automobile dans les dernières années. On est en négociations. » Lion continue de concentrer ses efforts sur les camions urbains et les autobus. L’entreprise évalue la taille du marché électrique cible en Amérique du Nord à 100 milliards US pour les camions urbains et à 10 milliards US pour les autobus. Les grands exploitants de parcs de camions comme UPS, FedEx, Pepsi, etc. sont tous dans la ligne de mire de Lion. L’ambition de Lion est de générer en 2024 un chiffre d’affaires de 3,5 milliards US et des ventes de 18 000 véhicules. Marc Bédard assure que Lion frôle déjà la rentabilité. L’usine de fabrication actuelle de Saint-Jérôme a une capacité de production de 2500 véhicules par année. Il y a présentement un peu plus de 300 véhicules Lion sur les routes, et la société prévoit livrer 650 véhicules l’an prochain. Le chiffre d’affaires anticipé cette année est d’environ 30 millions US. Si les autobus et les camions urbains demeurent le pain et le beurre de Lion, la prochaine étape est l’intégration d’équipement spécialisé sur les camions électriques. Dans les prochains mois, Lion entend commencer à livrer des camions de collecte de déchets ou de matériaux recyclables 100 % électriques et équipés de bennes électriques. Lion s’apprête aussi à entreprendre la livraison de camions avec des boîtes réfrigérées 100 % électriques. Plus tard en 2021, des camions nacelles 100 % électriques seront livrés à Hydro-Québec. Des ambulances électriques sont également dans les cartons. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2020-12-01/l-actionnariat-quebecois-de-lion-bien-servi-par-le-saut-a-wall-street.php
  5. Il y a deux choses que je n'aime pas voir dans une ville: 1- Les poteaux et les fils électriques dans les rues, comme on voit encore par exemple dans Griffintown. 2- Le réseau de fils aériens pour alimenter les tramways comme l'on voit encore aujourd'hui dans certaines villes, comme Toronto notamment.
  6. Dans le passé une telle acquisition aurait représenté un certain danger que nos talents soient expatriés aux États-Unis. Mais ce n'est plus le cas aujourd'hui car l'exode des cerveaux s'est en fait inversé, surtout en intelligence artificielle. C'est que Montréal est maintenant reconnu internationalement comme l'endroit où il faut aller si on veut travailler en IA. C'est d'ailleurs pourquoi ServiceNow va amener 200 chercheurs additionnels à Montréal pour développer sa plateforme existante. Montréal est l'endroit présentement où l'on retrouve la plus grande concentration au monde de chercheurs académiques en intelligence artificielle. C'est ce qui attire ici des compagnies comme ServiceNow. La seule chose qui nous manque c'est l'argent et c'est justement ce qu'apportera ServiceNow. Là où c'est le plus difficile pour nous c'est de transférer notre savoir académique en applications pratiques qui mèneront à la commercialisation de produits. Car pour y arriver ça prend beaucoup d'argent. Et où cet argent se trouve-t-il? Surtout aux États-Unis où il y a plein de gens qui ne savent plus quoi faire avec leur argent tellement ils en ont et cherchent à investir dans des entreprises prometteuses.
  7. La firme montréalaise Element AI vendue à l'américaine ServiceNow L’entreprise montréalaise Element AI, considérée comme un des fers de lance dans le domaine de l’intelligence artificielle, sera achetée par la compagnie technologique américaine ServiceNow pour une somme non révélée. Stéphane Bordeleau - Radio-Canada Fondée en octobre 2016 par un groupe de scientifiques et d’experts montréalais, dont le Dr Yoshua Bengio, figure de proue de l’industrie québécoise de l’intelligence artificielle, Element AI se spécialise dans l’application de l’intelligence artificielle dans le domaine des langues, de l’écriture, du clavardage, des images et des recherches. Très avancée dans le domaine de l’intelligence artificielle, Element AI a attiré l’attention de l’industrie informatique et technologique dès sa création en raison du potentiel immense que représentent les technologies qu’elle développe. Mais malgré un avenir rempli de promesses, Element AI ne générait que peu ou pas de bénéfices depuis sa création en raison notamment d'un manque de ressources pour assurer sa commercialisation. Dans un communiqué publié lundi matin, l’entreprise de la Silicon Valley ServiceNow a annoncé qu'elle avait conclu une entente en vue de l’acquisition d’Element AI dans le but d’accélérer l’intégration de l’intelligence artificielle à sa plateforme Now. Le montant de la transaction n'a pas été révélé. 200 employés de plus à Montréal L'entreprise américaine compte également maintenir l'ensemble des activités d'Element AI à Montréal en plus d'y déménager 200 de ses propres employés, a confirmé à Radio-Canada Marcus LeCuyer, directeur général pour le Canada chez ServiceNow. La firme prévoit aussi investir au Canada, où elle compte créer un nouveau carrefour de l'IA dans le but de développer des recherches sur l'intelligence artificielle destinées à sa plateforme Now. Le Dr Yoshua Bengio, cofondateur d’Element AI, agira pour sa part à titre de conseiller technique pour ServiceNow. Lauréat du prestigieux prix A.M.Turing de l’Association for Computing Machinery en 2018 pour sa contribution révolutionnaire à l'intelligence artificielle, Yoshua Bengio est actuellement professeur à l'Université de Montréal et directeur scientifique de l’Institut québécois d'intelligence artificielle (MILA). Yoshua Bengio est considéré comme l'une des sommités mondiales dans le domaine de l'intelligence artificielle. Une bonne nouvelle, selon la Caisse de dépôt Bien que le fait de voir passer une étoile montante de la technologie québécoise à des intérêts étrangers peut faire sourciller, la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ), qui détient une participation évaluée entre 30 et 50 millions de dollars dans Element AI, estime qu'il s'agit plutôt d'une bonne nouvelle pour le pôle technologique de Montréal en intelligence artificielle. On a agi dans l'intérêt de nos déposants. On a accompagné Element AI de façon intensive ces dernières années, a expliqué Maxime Chagnon, porte-parole de la CDPQ au micro de Radio-Canada. La seule issue [pour Element AI] était de trouver un partenaire stratégique qui allait lui permettre de poursuivre ses activités. Ça va renforcer Element AI dans sa croissance, a poursuivi M. Chagnon, qui assure qu'il y a eu un rendement pour les actionnaires dans cette transaction. Rappelons qu'Element AI a récolté par le passé près de 340 millions de dollars lors de deux rondes de financement (en 2017 et 2019) à laquelle ont contribué la CDPQ, le gouvernement du Québec, BDC Capital, RealVentures et McKinsey & Company, pour n'en nommer que quelques-uns. Quant à ServiceNow, une entreprise évaluée à plus de 100 milliards de dollars américains sur les marchés boursiers, elle a généré pour sa part des revenus de 3,5 milliards de dollars. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1753370/intelligence-artificielle-element-ai-vendue-service-now
  8. Je ne dirais pas never. Je crois plutôt que les choses reviendront graduellement à l'anormal.😜
  9. J'ai souligné en caractères gras la phrase qui me fait tiquer dans ton commentaire. En fait ce qui s'est produit dans les années qui ont suivi le déménagement à l'aéroport c'est qu'on a déménagé les opérations techniques de Montréal à Toronto, et à terme on a fermé les installations de maintenance des avions qui employaient plus de 2000 travailleurs à la base de Dorval à une certaine époque.
  10. C'est ce que je voulais montrer dans mon post précédent. La photo que j'ai prise le 14 novembre dernier nous montrait effectivement la préparation de la surface de la première tour afin d'accueillir la nouvelle structure parallèle à la première.
  11. J'ai trouvé une autre photo dans mes dossiers qui nous montre ce qui semble être une rampe d'accès pour les piétons.
  12. J'ai retrouvé dans mes dossiers un commentaire que j'avais capté il y a environ cinq ans et qui explique très bien la problématique.
  13. Sans doute parce que c'était un endroit plus urbain avant et que soudain les résidents du quartier se sont retrouvés avec une autoroute.
  14. Et on a démoli cet échangeur afin de désenclaver le secteur, tout comme on a démoli la portion nord de l'autoroute Bonaventure pour désenclaver le secteur Griffintown/Faubourg des Récollets.
  15. Lorsque l'on cite quelqu'un on ne doit jamais changer le contenu ni la langue. Si on a à traduire on le fait dans son propre post.
  16. Merci pour cette information. C'est ce que je voulais savoir. J'en profite pour dire qu'en ce qui me concerne que l'on soit à l'heure d'été ou d'hiver m'importe peu en autant qu'on reste à la même heure toute l'année. Cela dit j'aimerais bien entendre les divers arguments en faveur des deux options, à moins qu'il y ait unanimité à l'effet qu'il serait préférable de rester à l'heure d'été en tout temps.
  17. Air Canada a occupé les dix derniers étages de la Place Beaver Hall dès son ouverture en 1983 et celle-ci sera aussitôt rebaptisée Place Air Canada.
  18. La tour en question s'appelle Place Ville-Marie. S.V.P. un peu de respect pour la grande dame.
  19. Merci @acpnc, si tu n'avais pas partagé cet article je l'aurais manqué car ces derniers jours je n'ai pas pris le temps de lire les journaux attentivement. Ceci étant dit, je ne suis pas surpris de ce résultat car ayant suivi de près l'évolution de l'économie ces dernières années il est clair pour moi que le Québec est sur une trajectoire ascendante qui nous permet de combler peu à peu l'écart avec les autres provinces qui pour plusieurs raisons serait trop long à expliquer ici. Je dirais que cette tendance se maintient, et s'accentue même, depuis plus de dix ans maintenant. On le voit d'ailleurs dans les rues de Montréal où les grues n'ont jamais été aussi nombreuses.
  20. J'espère qu'un journaliste posera la question au premier ministre. J'aimerais aussi voir des sondages de la population sur cette question.
  21. It appears to have a similar setting as the Maestria.
  22. L'Ontario cessera le changement d'heure... si le Québec et New York font de même L'Ontario a décidé d'arrêter de changer l'heure deux fois par an - à condition que le Québec et l'État de New York emboîtent le pas. Un projet de loi présenté par le politicien conservateur Jeremy Roberts a été adopté mercredi à l'Assemblée législative. Le procureur général aura le pouvoir discrétionnaire de promulguer la loi si les deux autres gouvernements font une démarche similaire. M. Roberts se dit ravi et demandera au Québec et à New York de mettre fin à cette « pratique dépassée ». Au cours du débat sur son projet de loi, M. Roberts a cité des études indiquant des effets négatifs sur la santé et une perte de productivité liés au changement d'heure. Certaines régions canadiennes ont déjà pris des mesures pour mettre fin au changement d'heure, notamment le Yukon et des parties de la Saskatchewan et du Nunavut. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1752554/changement-heure-ontario-quebec-new-york
  23. J'ai ouvert un fil de discussion dédié au tramway de Montréal.
×
×
  • Créer...