paulwillyjean

Je pensais que, comme les calculs de densité d'arrondissement, les calculs de densité des régions métropolitaines excluaient les terrains zonés non résidentiel ou commercial.

Ensuite, pour autant qu'on ait un niveau de tolérance au bruit plus élevé au centre-ville, je ne suis pas sûr que tout le monde serait chaud à l'idée d'avoir un héliport à côté de chez eux.

C'est la première fois que j'entends parler de la fédération canadienne des contribuables. Par ailleurs, n'est-ce pas l'administration en cours qui a mis en place une baisse de taxes pour les petites entreprises? Finalement, en ce qui concerne les locaux vacants, le problème principal de plusieurs rues commerçantes, vient du manque de contrôle sur les baux commerciaux et la spéculation immobilière sur les locaux commerciaux qui amènent certaines compagnies, comme ShillerLavy, à doubler, voir tripper le bail de commerces établis dans le quartier depuis plusieurs années, les forçant à déménager boutique, dans l'espoir de trouver un locataire institutionnel. Dans le cas de Saint-Denis, les causes sont plus complexes.

Et la 121 connecte directement Sauvé, Côte-Vertu et Montpellier.

C'est parce que ce Transgesco n'est pas responsable de l'îlot Rosemont. L'OMHM est responsable de ce projet. Transgesco était cependant le donneur d'ouvrage du complexe immobilier Frontenac avant que la STM mette le projet sur pause. https://www.tvanouvelles.ca/2019/10/10/le-projet-complexe-immobilier-frontenac-mis-sur-pause-par-la-stm

La STM a déjà une filiale immobilière, Transgesco. http://www.transgesco.ca/

Peut être qu'on devrait passer à une unité de mesure composite correspondant sommairement aux coûts par km et nombre de stations. On sait déjà que les stations sont les éléments les plus dispendieux de tous projets de construction de métro.

Nord-Ouest pour le soleil de l'après-midi et la vue sur le centre-ville.

Dans le tweet de dévoilement des espaces du bureau de projets, la STM avait laissé entendre que d'autres projets pourraient suivre. À suivre alors.

C'est aussi un moyen de s'assurer de ne pas voir de développement résidentiel en zone hautement inondable et se créer une réserve pour absorber une partie des débordements de la rivière.

Je me demande si un nouveau bureau de projet est constitué chaque fois qu'ils se transfèrent le projet ou si les employés sont juste déplacés d'une organisation à l'autre.

Je trouve ça étrange aussi vu que la STM compte, à terme, juste utiliser la carte OPUS comme identifiant pour des comptes clients qui seront facturés à tarif préférentiel à la fin du mois. Je vois mal pourquoi l'intégration avec Apple/Google/Samsung pay et les fournisseurs de cartes de crédit n'est pas envisagée.

C'est le point sur lequel j'ai le plus de doutes. J'ai eu le malheur de prendre la 141E en heure de pointe de l'après-midi et la situation était invivable tellement les bus étaient bondés. J'ai l'impression que les études de déplacement sous-estiment l'importance en tant que pôle de destination des Galeries d'Anjou et la Place Versailles, ainsi que leur potentiel de déplacement pour les résidents du secteur. Je suis parfaitement d'accord pour dire que le prolongement de la ligne 2 jusqu'à Bois-Franc, voir Laval est beaucoup plus prioritaire que celui de la ligne 5 vers Anjou. Je ne pense pas pour autant que ce dernier prolongement est inutile ou qu'on devrait l'annuler.

Il me semble que les rails seraient aussi à changer. Quand la la compagnie CRRC a répondu à l'appel d'offre de remplacement des MR-63 en proposant un des trains fer-sur-fer, la STM avait répliqué que ce n'était pas possible parce que les rails auraient à être renforcés et les coûts étaient trop prohibitifs.

Merci pour la correction. Je me trompe toujours entre les deux.

De ce que j'ai entendu par rapport au Bourbon, (le vieux) dans le Village, il n'est pas tombé en état de décrépitude. Il ne respectait déjà pas les codes de la construction à son inauguration et n'avait pas reçu tous les permis nécessaires pendant la construction. Je ne me rappelle pas si le bâtiment du club sandwich était dans la même situation, mais il a récemment été réaménagé. Il est maintenant périodiquement ouvert pour la tenue d'événements privés ou communautaires. On pouvait y entrer au dernier défilé de la fierté, cette année.

Je me demande quel impact le RER de Go Transit aura sur le classement futur.

À moins que je me trompe, les infrastructures résidentielles sont beaucoup moins demandantes en resources que les infrastructure commerciales ou industrielles.

J'encourage, autant que possible, les gens que je côtoie à éviter de consulter ou référencer Mtlbl*g. C'est une terrible source d'information qui se donne régulièrement dans la mésinformation et le plagiat.

Merci. J'avais oublié que le E en avait aussi un. Par ailleurs, il me semble que le stationnement en surface du Centech n'a pas encore été décommissioné et plusieurs commerces environnant, comme Adonis offrent des stationnements souterrains payants.

J'espérais voir le raisonnement qui pousse la mairie de Ville Mont-Royal à revoir la portion résidentielle à la baisse, mais il n'y en a aucune. C'est d'autant plus absurde que l'augmentation de la part résidentielle est l'un des nombreux éléments que la Ville centre et l'OCPM demandaient de Carbonleo lorsqu'ils ont annoncé le projet. Le maire Roy semble faire bande à part dans ce dossier dans ce qui ressemble à une obsession dépassée à strictement séparer le zonage sur l'ensemble du territoire de sa ville.

C'est une bonne chose aussi. Je trouve passablement absurde d'engager une procédure de scrutin référendaire pour forcer une école à mettre plus de cases de stationnement. Deux des pavillons ont un stationnement souterrain, la majorité des étudiant.es se déplacent en transport en commun (bus, métro, train) et actifs ou habitent dans le quartier. De plus, le REM aura une station encore plus près de l'école que la station Bonaventure. Si les résidents du coin craignent des problèmes de congestion et de déplacement, ils devraient mettre plus de pression sur la STM pour la forcer à enfin augmenter les fréquences de passage des lignes de bus qui traversent le quartier et pour faire passer un bus (la 36 Monk par exemple) sur Notre-Dame. Parlant de la 36, je ne comprends toujours pas pourquoi la STM s'obstine à la faire rouler entre un terrain vague et le tallus d'une voie ferrée et d'une autoroute au lieu de la faire passer sur Notre-Dame.

Je fais des cauchemards juste à y penser. Québec devrait revoir la loi sur l'Autorité Régionale de Transport Métropolitain pour lui permettre d'alléger plusieurs de ses structures et lui concéder certains des privilèges alloués à la CDPQi (au niveau des exemptions de taxe par exemple). Le fait qu'on soit aussi dépendants des paliers provincial et fédéral pour autoriser et financer les transports structurants est un problème.

Faut quand-même admettre que dans un contexte de pénurie de logements à la grandeur de la ville, il devient plus difficile (pas impossible, mais plus difficile) de faire la fine bouche sur un nouveau logement sur la seule base de sa pauvreté architecturale. Il en reste que ce rendu est une horreur. En supposant qu'on garde (malheureusement) la même forme, j'aurais au moins une brique avec une couleur plus vibrante (j'ai un biais favorable pour le rouge brique), un meilleur alignement des fenêtre et un meilleur travail sur le relief de la façade en brique. Présentement, j'ai l'impression de voir le rendu une résidence pour personnes âgées.

Il y aura effectivement une question de l'accéleration de l'embourgeoisement que l'arrondissement de Mercier Hochelaga-Maisonneuve devra prendre en compte le plus vite possible. Le but du métro est de débloquer de nouvelles zones où les résidents peuvent s'établir tout en espérant un déplacement efficace vers leurs différentes destinations (école, travail, loisirs, etc). L'est de Sainte-Catherine risque effectivement de voir les mêmes tensions monter que Ontario Est en ce qui concerne l'abordabilité des logements et de l'offre commerciale. L'arrondissement devrait, dès maintenant, commencer à travailler avec la Ville centre pour s'assurer que les organismes communautaires existants puissent rester là où ils sont et réserver des terrains pour les infrastructures municipales et le logement social qu'ils devront mettre en place dans les prochaines années.