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Megafolie

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Tout ce qui a été posté par Megafolie

  1. Je pense que le toit en pente est l'immeuble à condos, tandis que l'immeuble juste en face/à côté serait celui de la BNC. Même hauteur pour les 2 sur cette image.
  2. Megafolie

    Expos de Montréal

    Ça va clouer le bec à ceux qui croyaient que le dossier était mort dès que Denis Coderre a été écarté de l'Hôtel de ville aux dernières élection... Publié le 06 avril 2018 à 15h34 | Mis à jour à 15h34 Valérie Plante se voit «très bien» partenaire d'un retour du baseball Agrandir Quelques heures avant de rencontrer le groupe d'hommes d'affaires mené par Mitch Garber et Stephen Bronfman, la mairesse de Montréal Valérie Plante a publié sur Instagram une photo d'elle arborant une casquette des Expos. PHOTO TIRÉE DU COMPTE INSTAGRAM DE VALÉRIE PLANTE FRÉDÉRIC DAIGLE La Presse Canadienne La mairesse de Montréal, Valérie Plante, voit «très bien» la Ville de Montréal être partenaire du retour du Baseball majeur à Montréal. Mme Plante a semblé enchantée par la mise à jour que Stephen Bronfman et Mitch Garber, les deux principaux acteurs du retour éventuel des Expos, lui ont fourni, au point où elle précisé que si le projet avait besoin de l'appui de Montréal, «We're in!». Elle a toutefois rappelé que si jamais l'argent des contribuables était nécessaire, elle consulterait la population. La mairesse a souligné que l'appui de Montréal pouvait prendre plusieurs formes, que ce soit par le transport collectif ou encore l'octroi d'un terrain. La mairesse s'est aussi dite prête à rencontrer les dirigeants du Baseball majeur si cela pouvait servir la cause. Contrairement à son prédécesseur, elle a mentionné qu'elle ne se déplacerait toutefois pas pour les visiter, mais qu'elle les accueillerait avec joie à l'hôtel de ville s'ils venaient à Montréal. La rencontre d'environ 45 minutes, la première entre Bronfman et la mairesse, la deuxième dans le cas de M. Garber, a eu lieu à l'hôtel de ville de Montréal et visait à faire une mise à jour du dossier baseball auprès de la nouvelle administration. Cette rencontre n'a pas pu avoir lieu avant en raison de l'agenda chargé de tous les acteurs. Mme Plante a souligné que très rapidement, le trio s'est rendu compte qu'il souhaitait tous des projets visant à faire rayonner Montréal et que le retour du baseball s'inscrit dans cette lignée.
  3. Plutôt moche... On dirait le Dix-30 ou le 15-40.
  4. Ouais, bon... J'imagine qu'ils n'y ont pas pensé.... Faudrait leur dire, non?
  5. C'est certain que pour 1 million de pieds carrés, ça donne de très grandes surfaces d'étages si on en reste à 36 étages au total. Pour référence, les étages de la PVM font 36,000 pieds carrés, ceux du 1000 de la gauchetière font environ 21,000 pieds carrés. À 21,000 pieds carrés, ça nous donnerait 47 étages. Mais bon, on en a déjà parlé sur ce fil je crois... Désolé si je radote!
  6. Agace... Tu t'exposes à de graves conséquences si ce que tu avances ne se concrétise pas! Tu risques de te retrouver avec une peine de travaux forcés avec Denis pour finir le TOM.
  7. https://www.dezeen.com/2008/09/14/56-leonard-street-by-herzog-de-meuron/
  8. Megafolie

    Expos de Montréal

    Publié le 04 avril 2018 à 12h27 | Mis à jour à 12h27 Plante rencontrera les promoteurs du retour du baseball vendredi Agrandir La mairesse Valérie Plante rencontrera Stephen Bronfman et Mitch Garber vendredi pour discuter de leur rêve de ramener une équipe de baseball à Montréal. PHOTO ANDRÉ PICHETTE, LA PRESSE PIERRE-ANDRÉ NORMANDIN La Presse La mairesse Valérie Plante rencontrera vendredi les promoteurs du retour d'une équipe professionnelle de baseball à Montréal. Son administration se dit prête à servir de «facilitatrice», mais pas de «promotrice» du projet. «J'ai hâte de reprendre ce dossier et aller de l'avant», a déclaré ce matin la mairesse lors d'une rencontre de comité exécutif, confirmant qu'elle rencontrera sous peu Stephen Bronfman et Mitch Garber pour discuter de leur rêve de ramener une équipe de baseball à Montréal. Son administration dit surtout vouloir savoir où en est le dossier pour voir ce que les promoteurs attendent de la Ville. «On a beaucoup parlé de baseball, mais on n'avait pas toute l'information quand on était dans l'opposition. Maintenant, on veut connaître le plan de match, a indiqué Robert Beaudry, élu responsable du développement économique. Qu'est-ce que la Ville peut faire? Ce sont eux les promoteurs, ce n'est pas la Ville. Si on ne veut pas répéter le fiasco de la Formule E, la Ville ne doit pas être un promoteur. C'est un facilitateur.» L'administration Plante écarte ainsi l'idée de rencontrer directement les dirigeants de la Ligue de baseball majeur, comme l'avait fait l'ex-maire Coderre. «Ce n'est pas à nous de le faire, on n'est pas promoteur. Nous, on représente les citoyens de la Ville de Montréal. C'est aux promoteurs de rencontrer les dirigeants de la Ligue de baseball», a insisté M. Beaudry. En campagne, Projet Montréal s'était opposé à l'idée d'investir de l'argent public dans le retour du baseball sans tenir un référendum. Aujourd'hui, l'administration Plante insiste pour dire que les promoteurs ne souhaitent pas d'investissement public. «M. Bronfman a dit qu'il ne souhaitait pas d'argent public pour le retour du baseball, alors la question ne se pose même pas», a indiqué M. Beaudry. Et qu'en est-il de la possibilité de donner un terrain pour permettre la construction d'un nouveau stade de baseball? «On n'est pas rendu au terrain, on ne sait même pas si on a une équipe de baseball», répond M. Beaudry. Par cette rencontre, l'administration Plante entend également contrer l'image d'un parti opposé au retour d'une équipe professionnelle. «On aime le baseball, on trouve que ça a un impact positif», assure Robert Beaudry. Celui-ci estime que Montréal est une assez grande ville pour aligner plusieurs équipes professionnelles. L'administration Plante se dit ainsi ouverte à l'idée d'une équipe de basketball, évoquée par la chambre de commerce. «S'il y a des promoteurs, la Ville est ouverte à les rencontrer», assure M. Beaudry.
  9. Certains se font des images et ont beaucoup trop d’attentes face à ce projet. Inévitablement, il y aura des gens déçus à cause de leurs attentes trop élevées. Je suggère d’attendre la proposition, les évocations, et finalement la complétion du projet avant de le décrier. C’est meilleur pour la santé!
  10. N'oubliez pas une chose: cette tour sera peut-être construite en collaboration avec Broccolini, mais ultimement c'est la BNC qui décidera du design final et qui en sera propriétaire. C'est LOIN d'être la même chose que de construire une tour dans le but d'y louer des surfaces de plancher..... Alors on dira ce qu'on voudra, Broccolini ne fera que proposer et construire. La décision du design final appartient à la BNC. Et au prix qu'ils veulent mettre, je parie qu'il voudront quelque chose qui se démarque.
  11. Le promoteur a oublié de dire que c'était 45 étages en sous-sol.
  12. Intrigant. On voit même des aérateurs de toit. Une maison de hobbit peut-être?
  13. Encore LOIN d'être terminé. Triste pour les acheteurs. Mais bon pour le chiro à Denis.
  14. Parlant d'arbres, je suis plutôt inquiet pour l'avenir des magnifiques arbres matures qu'on retrouve sur le terrain de ce futur immeuble et de celui de la future BNC. Par contre, j'ai un petit espoir en voyant le plan de Broccolini, on peut voir que des arbres sont présents du côté de Robert-Bourassa et aussi dans le parc entre les 2 futures tours. Tous les espoirs sont permis peut-être? Ce serait dommage de tous les abattre....
  15. Doh!! C'est moi qui l'a mis ici en plus.... eh boy, la mémoire...
  16. De quoi parles-tu? Le tunnel existant sera utilisé pour le REM, donc on ne parle pas d'un nouveau tunnel...
  17. J'ai tellement hâte de voir cette tour lever de terre. Ce sera probablement mon projet le plus suivi pour 2018 (en construction).
  18. Très bonne nouvelle. Maintenant, si quelqu'un sait comment clôner Broccolini, qu'il se manifeste. Maintenant.
  19. Pendant ce temps.... http://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201803/28/01-5159004-une-etude-demandee-pour-un-deuxieme-tunnel-sous-le-mont-royal.php Publié le 28 mars 2018 à 07h45 | Mis à jour à 07h45 Une étude demandée pour un deuxième tunnel sous le mont Royal Agrandir Le projet de train électrique automatisé de la Caisse de dépôt et placement, le REM, fera en sorte que le train de l'Est se rendra jusqu'à la station A40, à proximité de l'Université de Montréal. De là, les passagers pourront effectuer une correspondance vers le REM pour poursuivre leur chemin. PHOTO MARTIN TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE KATHLEEN LÉVESQUE La Presse Des municipalités situées au nord-est de Montréal demandent à Québec d'étudier la possibilité de construire un deuxième tunnel sous le mont Royal afin de maintenir le service du train de l'Est, qui devra laisser la place au Réseau express métropolitain (REM). L'idée sera soumise officiellement aujourd'hui lors d'une rencontre prévue avec l'Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM), la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM), le Réseau de transport métropolitain (RTM) et les villes de Terrebonne, Mascouche, Charlemagne et Repentigny. « On va pouvoir faire part de nos inquiétudes relativement au train de l'Est. Ce qui est important pour nous, c'est que nos citoyens continuent d'avoir la qualité de service », a indiqué hier à La Presse le maire de Mascouche, Guillaume Tremblay. Son collègue de la ville voisine de Terrebonne, Marc-André Plante, soutient que toutes les possibilités permettant au train de l'Est de continuer à se rendre directement à la gare Bonaventure, au centre-ville de Montréal, doivent être envisagées, y compris la construction d'un deuxième tunnel sous le mont Royal. « Combien ça coûte, un deuxième tunnel ? On veut une étude indépendante du consortium parce que, comme élu, je ne veux pas qu'on me dise que ça coûte trop cher ou que ce n'est pas possible sur le plan technique », a indiqué le maire Plante. MM. Tremblay et Plante rappellent l'investissement de quelque 800 millions pour la mise en place du train de l'Est, ce qui justifie selon eux qu'on en assure maintenant la pérennité. Le projet de train électrique automatisé de la Caisse de dépôt et placement, le REM, fera en sorte que le train de l'Est se rendra jusqu'à la station A40, à proximité de l'Université de Montréal, tout juste avant le tunnel sous le mont Royal. De là, les passagers pourront effectuer une correspondance vers le REM pour poursuivre leur chemin. Les municipalités du nord-est de Montréal veulent une ligne directe. « Les études nous démontrent que chaque fois qu'un utilisateur doit faire un transfert pour embarquer dans un autre mode de transport, on perd jusqu'à 30 % des utilisateurs. Mais en même temps, il faut reconnaître que l'arrivée du REM va enrichir l'offre de services », a indiqué M. Plante. NE RIEN PRÉCIPITER Tout va trop vite, estime le maire Tremblay, qui plaide pour ne rien précipiter. « On veut manger la patate avant de l'éplucher. Et ça, ce n'est pas toujours bon. Il faut prendre le temps de bien faire les choses pour bien digérer », a-t-il lancé avec un sourire dans la voix. De son côté, le maire Plante a présenté lundi soir, à la séance du conseil municipal, une résolution concernant le REM. Outre la demande d'une rencontre - qui a été obtenue -, Terrebonne souhaite discuter des enjeux financiers du projet, qui comporte une part d'inconnu. « L'arrivée du REM, c'est comme une hypothèque sur 100 ans. [...] Comme maire, j'ai besoin de savoir quels sont les impacts financiers du REM. Ça me prend des chiffres, parce que je gère un compte de taxes », a-t-il rappelé.
  20. Moi ce qui m'inquiète c'est le manque de détails et d'échéancier....
  21. Ça dépends avec quelle énergie le PQ va se battre contre le REM d'ici aux élections à l'automne. On risque d'en entendre parler en mal pendant au moins quelques mois malheureusement.
  22. Megafolie

    Expos de Montréal

    http://www.lapresse.ca/sports/baseball/201803/27/01-5158894-ladministration-plante-interessee-par-le-projet-de-retour-du-baseball.php Publié le 27 mars 2018 à 11h56 | Mis à jour à 11h56 L'administration Plante intéressée par le projet de retour du baseball Agrandir Plusieurs observateurs ont reproché à Valérie Plante de ne pas avoir pu se dégager de ses engagements afin de venir accueillir les Blue Jays de Toronto et les gens d'affaires impliqués dans le projet. PHOTO RYAN REMIORZ, LA PRESSE CANADIENNE FRÉDÉRIC DAIGLE La Presse Canadienne L'administration de Valérie Plante affirme être intéressée par le projet du retour du baseball majeur à Montréal, même si la mairesse n'a pas pu assister aux deux rencontres préparatoires des Blue Jays de Toronto au Stade olympique. Plusieurs observateurs ont reproché à la mairesse de ne pas avoir pu se dégager de ses engagements - une session du conseil municipal lundi soir et l'adoption du budget provincial de mardi - afin de venir accueillir les Jays et les gens d'affaires impliqués dans le projet. «Il y a déjà eu des rencontres entre des membres de l'exécutif de Mme Plante des représentants du groupe de gens d'affaires, a noté le conseiller municipal Éric Alan Caldwell, membre du comité exécutif de la Ville de Montréal et responsable des transports et de l'urbanisme. La mairesse et Stephen Bronfman se rencontreront d'ailleurs dans deux semaines: s'il y a rencontres, c'est qu'il y a intérêt.» M. Caldwell précise par le fait même que cela n'aura pas pris cinq mois à la mairesse avant de rencontrer le groupe d'investisseurs, comme il a été rapporté. «Mme Plante souhaitait d'abord prendre connaissance du dossier. Il fallait également savoir où en étaient les promoteurs et le baseball majeur», souligne-t-il. Questionné au sujet de l'entretien accordé lundi par M. Bronfman au Réseau des Sports, dans lequel il a indiqué ne pas demander une contribution financière de la ville, mais bien son appui, M. Caldwell a réitéré la ligne de parti. «Mme Plante a été très claire: il y aura un débat public sur la participation de la Ville de Montréal.» Il n'a par contre pas pu expliquer pourquoi la mairesse avait laissé entendre pendant la campagne électorale que la contribution de Montréal à la construction d'un nouveau stade aurait pu être de l'ordre de 500 millions. «Il s'agissait d'une mise à jour du chiffre avancé par l'étude de faisabilité d'EY en 2013, qui parlait alors de 400 millions», explique-t-il. Mais quand on lui fait remarquer que l'étude parlait d'une participation public-privé de l'ordre de 67%-33% et que trois paliers de gouvernement constitueraient la partie publique, il a indiqué que la mairesse «commenterait en temps et lieu». À titre de conseiller de l'arrondissement Mercier-Hochelaga-Maisonneuve - où se trouve le Stade olympique -, M. Caldwell ne manque pas de signaler à quel point ce stade est un actif de grande valeur pour Montréal, mais que l'administration Plante écouterait ce que le groupe Bronfman aura à lui proposer. «Si les promoteurs du dossier croient devoir explorer une autre avenue, nous allons au moins les écouter», a-t-il dit. Lisée veut le Stade olympique Venu rencontrer les journalistes sur la galerie de presse lundi soir, le chef du Parti québécois, Jean-François Lisée, a de son côté été beaucoup plus catégorique: le Stade olympique serait son premier choix, bien qu'il ne semblait pas avoir toutes les données. «Le [nouveau tracé du] REM a fait en sorte qu'une hypothèse du stade au centre-ville ne soit plus disponible, alors moi je suis en faveur du Stade olympique. [...] Il faudrait qu'on me fasse l'absolue démonstration de la nécessité d'un nouveau stade. Je sais que c'est ce qu'ils [les investisseurs] proposent, mais qu'on essaie de faire revivre le Stade olympique. C'est un centre d'attraction sportif majeur. Mon premier choix, c'est le Stade. Je suis ouvert à d'autres possibilités. Des partisans ailleurs en Amérique font des déplacements importants pour aller dans des stades de baseball, je trouve que le Stade n'est pas si loin de sa clientèle et qu'on devrait lui donner une autre chance. «Ce que j'avais compris, c'est que c'était sorti de l'équation. Si c'est encore possible, une chose est sûre, c'est que ça rend le montage financier plus compliqué», offre-t-il comme réponse quand on lui a fait remarquer que le nouveau tracé du REM n'empêchait pas la construction éventuelle d'un stade au Bassin Peel. Il ne bronche pas plus quand on lui souligne que le baseball majeur ne veut plus de dôme et qu'il privilégie le développement de quartiers autour de ses nouveaux stades. «Je comprends que le MLB ne veut plus de toit fixe. Dans l'appel d'offres lancé par le gouvernement, cette solution fait partie des options. Voyons ce que ça donne. [...] Est-ce qu'on peut plaider? Je plaiderais. Le Stade olympique, ça coûte moins cher que de construire un nouveau stade.» Le chef de l'oppostion officielle a également indiqué que s'il remportait les prochaines élections, un gouvernement du Parti québécois participerait au projet du retour des Expos, mais à plusieurs conditions. «Il faut que ça vienne avec une mobilisation des fans et du privée. Est-ce que l'État québécois doit aider? Oui. Mais il doit ajouter sa pierre à une construction qui est essentiellement privée et appuyée par les fans. Ça ne peut pas être la fondation. S'il en manque un petit bout et que ça fait la différence, un premier ministre du Parti québécois, dans cette situation-là, je serais prêt à faire une contribution pour aider à compléter un montage.» M. Lisée propose par contre que les partisans de baseball québécois deviennent en majorité actionnaires de l'équipe, une solution qui n'est pas envisagée par le groupe Bronfman pour l'instant. «C'est un modèle qui existe en Amérique du Nord, mais qui n'est pas très utilisé. J'aimerais que ça fasse partie du 'mix'. On verra ce qui nous sera proposé quand je serai au pouvoir, mais ça me satisferait grandement de savoir que les partisans eux-mêmes ont investi dans le partage financier. Je ne sais pas si c'est une hypothèse qui est envisagée par le groupe [de Stephen Bronfman], mais je les invite à regarder ça. Ça m'inclinerait encore davantage et ça assurerait la stabilité du club: tu es sûr que le club ne partira pas au plus offrant [quand les partisans sont engagés].»
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