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Megafolie

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Tout ce qui a été posté par Megafolie

  1. ?? Quel est le lien avec le pont mercier?
  2. Je pense qu'il voulait dire qu'il n'y a aucune encre utilisée puisque nous sommes sur un forum numérique
  3. C'est moi qui parle de 40% et ce n'est qu'un exemple, basé sur le fait que la TRAM est 40% plus chère que pour le BUS seulement, actuellement. Ce n'est qu'un hypothèse, bien sûr, mais qui est valide à mon avis en se basant sur le reste. À Londres, on paie le TUBE en fonction de la distance parcourue. Scan au départ, scan à l'arrivée. On devrait peut-être valider si on pourrait faire quelque chose de semblable ici.
  4. Peut-être, mais s'il s'agit d'une hausse de 40% (ce qui est très probable, car la carte mensuelle de bus est de 96$ et la TRAM est 135$ dans l'exemple que j'ai donné), ce sera difficile pour le REM de se faire des amis alors qu'on demande aux gens non seulement de changer leurs habitudes de transport (ce leur sera bénéfique en bout de ligne, on s'entend), mais aussi de changer RADICALEMENT leur budget famillial de transport (dans le cas de 2 adultes, 2 étudiants à l'université par exemple). Désolé, mais ce n'est pas rien! Oui, il y aura des avantages. Mais on ne peut pas nier que la hausse de coûts sera difficile à avaler pour plusieurs. Équitable ou pas, ils devront payer plus! C'est ça le point. et une hausse de 40%, ce sera difficile à digérer pour la plupart des gens! Méchante différence dans le budget....
  5. Je ne suis pas certain de cela. Comme je l'ai dit, aujourd'hui ils ne paient que pour le BUS. PAS la carte TRAM qui permet de voyager avec le bus ET le métro. Si demain matin ils doivent payer pour l'équivalent des 2, puisque 2 modes de transports seront nécessaires dès la mise en service du REM, c'est là que le bas blaisse. On viendra augmenter les tarifs pour tout le monde instantanément, ce qui est un "turn-off" pour bien du monde. Hâte de voir cette intégration tarifaire....
  6. Je suis un banlieusard. J'ai la chance (en fait j'ai FAIT ma chance) d'habiter à 5 minutes à pieds du train et mon bureau se trouve à 5 minutes à pieds de la gare centrale. Plusieurs de mes collègues habitent sur la rive-sud et l'arrivée du REM en inquiète plusieurs. La principale raison pour les inquiétudes à mon avis réside dans le CHANGEMENT DES HABITUDES. Plusieurs personnes montent au front dès que leurs HABITUDES de vie changent. Et c'est comme ça dans plusieurs sphères, pas juste pour les TEC. Par exemple, un collègue habite Carignan. Ce dernier prends sa voiture chaque matin pour se rendre au stationnement incitatif Chevrier (aucun bus ne passe près de chez lui), puis prends le bus jusqu'au TCV. Cette habitude est bien encrée depuis des années et il profite donc de la voie réservée du pont Champlain. Demain matin, le REM arrive. Que se passe t-il pour lui? Il devra prendre sa voiture pour aller au terminus rive-sud. Dans son cas, ce n'est pas un gros changement. J'ai d'autres collègues qui habitent St-Hubert. Depuis toujours, ils prennent le bus au coin de la rue près de chez eux et le bus les emmènent directement au TCV sans aucun transfert. c'est leur HABITUDE et elle est bien encrée. Demain matin, le REM arrive. Que feront-ils? La logique veut qu'ils prendront le même bus près de chez eux mais qu'au lieu de se rendre au TCV, ils se rendront au terminus rive-sud pour ensuite sauter dans le REM à destination du centre-ville. Ils perdront peut-être quelques minutes, mais à peine. Leur questionnement, c'est qu'aujourd'hui ils ne paient que pour leur passe de bus qui les emmène directement au TCV. Demain, devront-ils payer pour une passe de bus qui les emmène au REM en plus de devoir payer une passe pour le REM? Dans ce cas, tout le monde est perdant! Et ça n'encouragera certainement pas les banlieusards qui vivent cette situation à se ruer vers le REM, surtout si dans certains cas ils doivent payer pour le stationnement en plus (s'ils décident de se rendre au REM en voiture). La problématique est réelle, les questionnements aussi!
  7. Ça prendra toute la Humaniti pour payer ça!
  8. Merci pour les photos @Memphis 22. Je dois avouer que c'est un chantier qui m'impressionne et qui m'intéresse beaucoup! Ceci dit, à me retrouver sous la travée principale qui traversera la voie maritime, j'aurais tendance à me dire "j'espère que ça va tenir et qu'aucun ouvrier n'échapera son marteau le temps que j'y suis!"
  9. ...Tant que c'est pas toutes des tours Rogers ou des jardins windsor!
  10. Je commence à croire qu'ils vont finir par y arriver pour le 21 décembre....
  11. 23 avril, c'est parti Vive le printemps!
  12. Est-ce un bureau de vente qu’on peut voir sur l’avenue Viger?? Je n’avais jamais remarqué....
  13. Eh boy. On a pas fini d'entendre les opposants du projet monter au front pour tenter de démolir en pièces le projet... Ce qui est fascinant dans tout ça, c'est que si ça avait été un projet piloté à 100% par les gouvernements, on aurait probablement peu ou pas entendu les opposants. Ce qui est fascinant aussi, c'est qu'on dirait que les opposants considèrent la CDPQi comme un gros méchant promoteur privé qui nous volera notre argent... Mais bon... Ça prends des opinions de toutes sortes pour faire une société comme on dit. Le projet est en réalisation anyway.
  14. Coucou! Comment ça va? Vous êtes à cours d’idées on dirait? Et les avocats, ils sont trop cher? En tout cas, merci pour le divertissement, bonne journée!!
  15. Megafolie

    Expos de Montréal

    Comment Valérie Plante a-t-elle pu tomber amoureuse avec l’idée d’un stade de baseball? Publié aujourd'hui à 14 h 07 Valérie Plante, mairesse de Montréal Photo : Radio-Canada BILLET - Qu'est-ce qui a bien pu se produire, il y a deux semaines, quand Stephen Bronfman et Mitch Garber sont allés rencontrer Valérie Plante à l'hôtel de ville de Montréal? UN TEXTE DE MARTIN LECLERC Repensez-y deux secondes. Voilà une politicienne qui a été élue en faisant campagne contre l’implication financière (possible) de la Ville de Montréal dans la construction d’un nouveau stade de baseball au centre-ville. Et voilà que cinq mois plus tard, après une seule rencontre, la nouvelle mairesse, fort enthousiaste, descendait l’escalier de l’hôtel de ville au bras de M. Bronfman. L’image ne pouvait être plus forte. « Les juridictions et les possibilités de la Ville, ça touche le transport collectif, trouver un terrain qui pourrait faire l’affaire. Moi, ce que j’ai manifesté aujourd’hui, c’est mon désir de soutenir un projet comme celui-là qui peut être très bon pour les Montréalais », a expliqué la mairesse, visiblement ravie par le plan qu’on venait de déballer devant elle. Qu’est-ce qui a bien pu autant l’enthousiasmer? Pierre-Marc Bruno, un jeune urbaniste passionné par le projet entourant l’éventuel retour des Expos, est catégorique. « L’implantation d’un nouveau stade au centre-ville, ça surpasse largement le retour du baseball. C’est presque un projet de société. C’est une occasion unique de redynamiser un secteur névralgique de Montréal », plaide-t-il. Deux types de vie bien différents s’offrent aux urbanistes. Le premier, plutôt ennuyant, consiste à s’assurer que les projets immobiliers survenant dans une ville soient conformes à la réglementation existante. Le deuxième volet, quand des projets majeurs surgissent, laisse place à la créativité. Il permet aux urbanistes de se projeter dans l’avenir, d’avoir une vue d’ensemble et d’orienter le développement de manière à améliorer la qualité de vie des citoyens. Stephen Bronfman lors de la visite des Blue Jays à Montréal Photo : Radio-Canada *** Bientôt père de famille, Pierre-Marc Bruno est à l’emploi de la ville de La Prairie. Engagé dans son milieu, il est membre du comité de la relève de l’Ordre des urbanistes du Québec et aussi, dans ses temps libres, membre du comité consultatif d’urbanisme de Saint-Constant. Bref, c’est un passionné. Au point où, l’été dernier, Pierre-Marc a même profité de ses vacances à San Francisco pour rencontrer deux confrères américains qui ont travaillé de près sur l’aménagement du stade de baseball des Giants, l'AT&T Park, dans un quartier qu’on appelle SoMa (South of Market). Les terres industrielles en friche convoitées par les Giants étaient situées aux abords de la baie, à courte distance du quartier des affaires. L’urbaniste québécois a obtenu une rencontre de deux heures avec José Campos, qui dirige le département de planification urbaine de San Francisco depuis 1996. Puis, le lendemain, il a fait le même exercice avec Dean Macris, qui a été le conseiller principal des Giants en matière d’urbanisme durant tout le projet. Grâce à une communauté d’intérêts de la ville de San Francisco et des propriétaires des Giants, le nouveau stade de baseball a été bâti sur un terrain loué par la Ville (un bail emphytéotique) et pour lequel l’équipe paie un loyer annuel. Les Giants ont construit leur stade sans avoir recours à des fonds publics et ils en sont les propriétaires. En revanche, la Ville a versé des sommes importantes pour que ce nouveau pôle d’attraction soit parfaitement desservi par des infrastructures de transport actif et de transport en commun. Il est ainsi possible de se rendre à SoMa en voiture, à vélo, à pied, en train léger, en tramway et même à bord d’un traversier! Le stade des Giants de San Francisco Photo : Getty Images/Ezra Shaw Devenus promoteurs immobiliers, travaillant de concert avec la Ville, les Giants ont ensuite piloté l’une des plus belles transformations urbanistiques survenues aux États-Unis au cours des 50 dernières années. « Les développeurs ont pensé aux gens. Aucune cassure n’a été faite entre les citoyens et leur milieu. Par exemple, les berges n’ont pas été privatisées. Ce sont des espaces publics que les gens peuvent fréquenter à leur guise. L’architecture et la hauteur du stade s’intègrent aussi parfaitement avec celle des résidences et autres édifices qu’on retrouve dans le quartier », souligne Bruno. Résultat : SoMa est non seulement devenu une extension du quartier des affaires et un pôle de divertissement, mais aussi un endroit où les gens ont décidé de s’installer et de vivre. Pas moins de 5323 unités d’habitation y ont été construites entre 2000 et 2015, selon les données transmises à Pierre-Marc Bruno. « Tout ça est survenu parce que le stade a servi de levier pour revitaliser un secteur en déclin. Les deux urbanistes rencontrés m’ont dit la même chose : l’expérience s’est avérée un tel succès que les Giants sont devenus beaucoup plus gros que le baseball à San Francisco. Ils sont maintenant des partenaires et des développeurs immobiliers importants pour les autorités municipales », raconte Pierre-Marc Bruno. L’expérience s’est avérée un tel succès que les Giants pilotent un deuxième projet semblable, appelé Mission Rock, juste en face de leur stade de l’autre côté de la baie. On prévoit y aménager un milieu urbain foisonnant de places publiques et de parcs. On y retrouvera encore des espaces à bureaux, des commerces et des condos, mais 40 % des habitations qui y seront construites seront « abordables » et accessibles aux familles moyennes, ce qui vaut son pesant d’or dans une ville aux prises avec une forte crise du logement. *** Un dessin par ordinateur d'un futur stade dans le bassin Peel, à Montréal Photo : Étienne Coutu Après avoir vu et entendu ce qui a été fait à San Francisco, Pierre-Marc Bruno rêve tous les jours de voir un projet semblable surgir à Montréal. Il comprend mal que l’enthousiasme entourant le projet de retour du baseball majeur à Montréal ne surpasse pas davantage le côté sportif. Quand nous avons pris le petit-déjeuner ensemble, la semaine dernière, l’urbaniste est arrivé équipé de tableaux, schémas et cartes de toutes sortes. « Ce stade, si on le construit un jour, sera bien plus qu’un bâtiment situé aux abords du bassin Peel. Ses impacts vont se faire sentir à plusieurs niveaux. Ce sera une occasion de créer une vie de quartier dynamique et des places publiques, de combattre l’étalement urbain, de générer du tourisme et de faciliter l’implantation de logements abordables (Griffintown manque clairement de diversité à ce niveau). Ça permettrait aussi d’étendre la portée du quartier des affaires vers le sud et de contribuer à l’identité et au rayonnement de Montréal à l’échelle nord-américaine », plaide-t-il. « Regardez! La voie ferrée au Vieux-Port est encore carrossable. En créant un quatrième pôle d’intérêt comme le stade (outre le REM), on pourrait créer un circuit local de tramway, semblable au loop de Chicago, qui relierait directement les principaux pôles d’attraction de Montréal, comme la rue Sainte-Catherine, les quartiers d’affaires et des spectacles et le Vieux-Port... » Vu sous cet angle, avouez que le projet de retour des Expos est encore plus enthousiasmant. Si c’est à ce genre de présentation et de vision que la mairesse a eu droit, il y a deux semaines, on peut comprendre qu’elle soit aussi soudainement devenue une ambassadrice du retour du baseball majeur à Montréal.
  16. Publié le 20 avril 2018 à 14h42 | Mis à jour à 14h42 Des personnalités demandent l'abandon du REM de la Caisse de dépôt Agrandir En entrevue avec La Presse canadienne, un des signataires de la lettre, le président de l'Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA), André Belisle, soupçonne que le gouvernement veut enfoncer le projet dans la gorge des gens pour des raisons électoralistes. IMAGE FOURNIE PAR CDPQ PATRICE BERGERON La Presse Canadienne QUÉBEC Une vingtaine de personnalités du domaine des transports et de l'écologie demandent l'abandon du Réseau express métropolitain (REM), le projet de train léger de la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ). Dans une lettre ouverte à paraître dans les journaux de Québecor samedi, mais que La Presse canadienne a obtenue vendredi, le groupe fait valoir que malgré sa facture «de plus de 7,4 milliards», le REM ne diminuera pas la congestion routière et infiniment peu, soit un millième de pour cent, la pollution attribuée aux transports dans la région de Montréal. En entrevue avec La Presse canadienne, un des signataires de la lettre, le président de l'Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA), André Belisle, soupçonne que le gouvernement veut enfoncer le projet dans la gorge des gens pour des raisons électoralistes. Il trouve curieux que SNC-Lavalin, qui faisait autrefois partie de la liste noire des entreprises bannies pour leurs manoeuvres douteuses, obtienne aussi rapidement des contrats que la Caisse veut faire réaliser à toute vapeur, pour une entrée en service en 2021. Les signataires de la lettre appellent à remplacer le REM par le projet proposé par le Parti québécois s'il prend le pouvoir, appelé le «Grand Déblocage». Ils font valoir que pour un investissement identique, le projet péquiste desservirait mieux l'ensemble de la région métropolitaine, notamment l'est de l'île et la Montérégie, et permettrait d'enlever l'équivalent de 133 000 automobiles de la route, soit 100 fois plus que le REM.
  17. http://www.lapresse.ca/affaires/economie/immobilier/201712/06/01-5146084-cure-de-jouvence-de-60-millions-a-la-tour-de-la-bourse.php
  18. Si l'idée est de déplacer les terrasses de restaurants au centre de la place comme sur les rendus, je plains tellement les serveurs et serveuses!!! Ça n'a aucun sens de les faire traverser la foule en plein mois de juillet avec des plateaux de bouffe et breuvages!!!!
  19. Non, mais tu pourrais rentabiliser le tout sur AirBnB!!!!!!
  20. Ce serait apprécié que les sources auxquelles vous faites référence soient citées. Tout le monde n'a pas les mêmes connaissances et ça permettrait de mettre la table pour une discussion ayant les même bases pour tout le monde. Merci! note: ce commentaire ne concerne évidemment pas seulement ce fil, mais d'une façon plus globale le forum au complet
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