Aller au contenu
publicité

mtlurb

Administrateur
  • Compteur de contenus

    18 735
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    15

Tout ce qui a été posté par mtlurb

  1. De mémoire à -20c c’est trop loin. Et c’est l’un des parkings les plus mauvais où j’ai été lol. Un vrai labyrinthe à pieds.
  2. En coupant le parking, ils se coupent l’herbe sous les pieds aussi pour le cinéma et ils le savent… le cinéma deviens moins attrayant et ils vont perdre une certaine clientèle. Ils ont choisis l’hôtel au lieu du cinéma. Peut être un autre cinéma va prendre le « slack » mais ça me surprendrais. Le cinéma est en déclin solide depuis 20 ans. Une nuit à 200$++ ou 2/3 paires de billets de cinéma perdus. Le calcul est simple.
  3. J’ai eus plusieurs amis ayant travaillés chez HQ et tous me disaient la même chose. C’est hyper complexe avec au delà de 10000 systèmes informatiques de toute sortes jusqu’à au plus ancien. Vous pensiez que la situation bordélique de la SAAQ était quelque chose… vous n’avez encore rien vus. Bref, Sabia a pas tord, c’est complexe et il y a de plus en plus de pannes et c’est pas OK.
  4. C’est la fin pour les miniroulottes Hélio Mathieu Boulay Dimanche, 12 novembre 2023 00:00 Mauvaise nouvelle dans le milieu des véhicules récréatifs. À la surprise des intervenants de l’industrie et de ses créanciers, le fabricant québécois de miniroulottes Hélio a déclaré faillite dans les dernières semaines. Fondée en 2014 par Jean-Roch Lacroix, Jérémy Leblanc et Marco Leblanc, Hélio se démarquait par la fabrication de miniroulottes qui avaient la forme d’une goutte d’eau. Une dizaine d’employés ont perdu leur emploi au sein de l’entreprise qui était basée à Lavaltrie. Selon nos informations, l’un des actionnaires de la compagnie, Jean-Roch Lacroix, a racheté la majorité des parts de ses partenaires, Jérémy et Marco Leblanc, l’été dernier. Cependant, après cette transaction, on a assisté à une tempête parfaite. Hélio a commencé à connaître des ennuis financiers alors que M. Lacroix a été aux prises avec des ennuis de santé importants. Écoutez le segment économique d'Yves Daoust via QUB radio : Devant cette situation, l’entreprise n’a pas eu d’autre choix que de se placer à l’abri de ses créanciers. Un mois plus tard, Hélio a été officiellement placée en faillite. Joint par Le Journal, Marco Leblanc n’a pas voulu commenter la vente de ses parts à Jean-Roch Lacroix et la suite des événements. À l’instar de Leblanc, Lacroix n’a pas été en mesure de répondre à nos questions. Jean-Roch Lacroix (à droite) a racheté les parts de Jérémy Leblanc (au centre) et de Marco Leblanc (à gauche) dans la compagnie Hélio l'été dernier. C'est à compter de ce moment que la situation financière du fabricant s'est détériorée. Chantal Poirier / JdeM Des indicateurs qui ne trompent pas Les documents officiels mentionnent qu’Hélio doit une somme de plus de 2 M$ à une soixantaine de créanciers. La créance la plus importante est une hypothèque de 1,5 M$ à la Caisse Desjardins de Jonquière. On a sondé quelques créanciers sur cette liste. Plusieurs dirigeants ont été surpris de recevoir un avis de faillite de la part d’Hélio. La compagnie de VR avait de bonnes relations avec ses fournisseurs et elle s’acquittait toujours de ses obligations jusqu’à la fin du mois de juillet. Cependant, certains indicateurs ne trompaient pas. Par exemple, les représentants de la PME brillaient par leur absence lors d’une exposition importante en Indiana, en septembre. Ils avaient pourtant réservé leur place dans la salle d’exposition où tous les gros joueurs de l’industrie du VR étaient présents. «Ça faisait quelques semaines que nous n’avions pas de nouvelles de leur part, a expliqué le directeur des ventes de Horizon Lussier, Jean-François Caron. Nous avons encore une dizaine de leurs roulottes dans notre cour.» De plus, Hélio est en train d’écouler un inventaire de plus de 1,5 M$ sur le site du syndic Lemieux Nolet. On retrouve plusieurs miniroulottes neuves, de l’équipement et du matériel qui servait à la fabrication des véhicules récréatifs. Une vingtaine de distributeurs Les produits d’Hélio étaient distribués dans plus d’une vingtaine de points de vente au Québec, au Canada, mais aussi aux États-Unis. L’entreprise québécoise avait des concessionnaires en Alberta, en Ontario, en Colombie-Britannique, mais aussi en Caroline du Nord, au Wisconsin, en Ohio et dans plusieurs autres États américains. Hélio ciblait les propriétaires de petits VUS, d’autos compactes et de voitures électriques qui n’ont pas assez de force de traction pour les roulottes conventionnelles. https://www.journaldemontreal.com/2023/11/12/cest-la-fin-pour-les-mini-roulottes-helio
  5. Opinion: Our beloved mountain deserves better As landscape architect, I worked 23 years on Mount Royal. The city's latest plan does a disservice to Frederick Law Olmsted's vision. Published Nov 02, 2023 • 5 minute read An artist's rendition of the new Camillien-Houde Way. Imagine cyclists descending at high speed and suddenly coming face to face with children crossing the road, Daniel Chartier writes. Photo by City of Montreal The renowned landscape architect Frederick Law Olmsted designed New York’s Central Park, Boston’s Emerald Necklace and a great number of other parks across North America whose outstanding qualities are celebrated. In 1881, several years after preparing the design plan for Mount Royal Park, Olmsted wrote and published a report — “Mount Royal, Montreal” — to instruct the ”owners of the mountain,” as he called the people of Montreal, and expand on his design vision, which was explained in great detail. Olmsted believed that creating a park on the mountain for the sole purpose of providing fresh air and a space for exercise would be a waste of such a precious site. Instead, he took the “genius of place” as the key to his plan and proposed enhancing the unique character and scenery of different sections of the mountain and making them accessible via an extensive network of carriage roads and pathways. The winding promenade he carefully designed to and from Mount Royal’s summit aimed to create a sequence of accessible and restorative spaces that would make Montreal’s modest mountain seem more vast and majestic. Ultimately, he wanted to create landscape experiences that would touch the soul of each visitor through the pervading charm of natural scenery carefully enhanced by landscape art. In terms of use, Olmsted’s report recommended that every detail be suitable for the weak and the poor so that everyone — not only healthy and the rich — would be able to enjoy the mountain. Pathways should be smooth and gentle, with slopes not exceeding two per cent; the park should be designed for the largest segment of the population; and no part of the mountain should be reserved for any select group of citizens. Headline News Get the latest headlines, breaking news and columns. By signing up you consent to receive the above newsletter from Postmedia Network Inc. His report was visionary at the time and remains relevant today. In recent weeks, municipal voices and their allies have claimed that turning Camillien-Houde Way into a steep pedestrian pathway and cycling road would be the way to highlight Olmsted’s heritage. Really? There are numerous long stretches along Camillien-Houde that exceed a 10-per-cent slope, which is beyond the maximum recommended for universal access. That means only a small portion of the population could successfully ride a bicycle to the summit — and fewer yet with an unassisted Bixi. Riding downhill could also be extremely hazardous given the steep inclines that entice cyclists to travel at high speeds, for some as a reward after a tough climb. In 2017, a cyclist was killed after colliding with the back of a vehicle whose driver was attempting an illegal U-turn. Imagine a peloton of cyclists descending at high speed and suddenly coming face to face with an exhausted cyclist zigzagging up the same pathway — a typical method of reducing the steepness of the climb — or a group of children crossing the road to reach the other side. Then there are the potential collisions with trees, rocks or emergency vehicles that could cause serious injury or worse. In announcing the proposed changes to Camillien-Houde Way, Mayor Valérie Plante was quick to thank cycling groups for their support, notes Daniel Chartier. Photo by Pierre Obendrauf /Montreal Gazette There was something notable about Mayor Valérie Plante’s news conference in which she announced — not for the first time — her administration’s plan to revamp Camillien-Houde and ban cars from crossing the mountain: Among the first groups she thanked for their support were cycling organizations, including the Union Cycliste Internationale, the world governing body for competitive events like the UCI Road World Championships to be held in Montreal over eight days in September 2026. It’s not surprising that cycling groups would be supportive. But what would Olmsted say about a plan that stands to consolidate Mount Royal as a spot for elite training and competitions reserved for a select group of citizens and outsiders? Also notable: Camillien-Houde was built on an old tramway route that took pedestrians from Park Ave. to the Smith House and the heart of Mount Royal Park. This century-long public transportation to the park’s recreative areas and facilities dedicated to family activities and sports will no longer be available from the east if the city’s proposal goes forward as presented. According to what we know of the plan, vehicular traffic from the east — including public transportation and tourist buses — will have to detour around the mountain to access the heart of Mount Royal via the newly redesigned Côte-des-Neiges / Remembrance Rd. intersection. Was this sector planned accordingly to deal with the extra traffic? The evolution of Camillien-Houde / Remembrance Rd. to offer better access from the east was masterfully documented by historian Denise Caron in her study “Le chemin de la montagne,” which was included among the background materials made available during public consultations by the Office de consultation publique de Montréal (OCPM). The consultations — apparently the second-most attended in the history of Montreal, with more than 13,000 citizens participating — were called following a public outcry over the Plante administration’s first attempt to block through traffic on Mount Royal as part of a pilot project in the summer of 2018. The main recommendation to emerge from the consultations was that the through road should be maintained, but made slimmer, greener, slower and more scenic. The OCPM added that it should be in harmony with Olmsted’s vision, something that could be seen as a “global and democratic work of art.” Five years later, the City of Montreal is defending a project that disregards both the main recommendation of the vast public consultations and certain fundamental principles of Olmsted’s vision. Before moving forward with a project that favours the Lycra crowd, the city should clearly and publicly demonstrate how its version is better than the vision favoured by the general public — the ”owners of the mountain,” in Olmsted’s words. Every issue touching Mount Royal and the surrounding area — security, public use, public transit, traffic, legacy, design principles, and more — should be presented in a side-by-side comparison. It’s the least we can do for the legacy of Olmsted and the future of our beloved mountain. Daniel Chartier is a landscape architect dedicated to environmental causes. He worked 23 years exclusively on Mount Royal for the City of Montreal and served 18 years with the Olmsted Network, dedicated to championing Olmsted parks, places and principles. The 2012 Prix du Mont-Royal acknowledges his contribution to the mountain. He lives in Montreal. https://montrealgazette.com/opinion/opinion-our-beloved-mountain-deserves-better
  6. NBA commissioner says Vancouver and Montreal are expansion options Al Sciola With Canada winning medals on the world’s stage and continuing to host successful NBA events year after year, expansion up north seems to be more of a matter of when than if at this point. NBA commissioner Adam Silver added fuel to the maple-leaf-shaped fire while being interviewed on the Boston Celtics’ broadcast during Monday’s game against the New York Knicks. After basically confirming that the NBA will expand once new television deals are in place, Silver spoke of Canada’s potential, using the Raptors’ success as an example. “It’s interesting. We, of course, had a team in Vancouver, ended up moving to Memphis. That’s become a great basketball market,” he said. “I will say the Toronto Raptors have done a good job… of making themselves Canada’s team.” The commissioner then named two cities that have been making waves as potential markets for teams. “I know there’s interest from Montreal. We’ve heard from them,” he explained. “There’s still ongoing interest in Vancouver.” “We have, I think, close to 25 players from Canada now in the NBA. Look how strong their national team has become. It began so much as a hockey market when we first expanded there, young people love basketball now… There will be more opportunity over time,” Silver added. Both Montreal and Vancouver hosted preseason games to great success last month. And players and coaches at both events made comments that got fans excited about the future. “It was almost like it was a real NBA game. Not almost. It definitely felt like it was a real NBA game,” the Oklahoma City Thunder’s star Canadian player, Shai Gilgeous-Alexander, said of the atmosphere at the Bell Centre before proclaiming that “the NBA should put a team here.” Meanwhile, Raptors head coach Darko Rajaković said something to the same effect to the folks in BC. “It’s an amazing city, in my opinion, it really deserves to have [an] NBA team one day,” the bench boss told reporters at Rogers Arena. “But until that day, we’re very happy with the support that we’re getting here.” Start the conversation Have your say Leave a comment below and let us know what you think Be the First to Comment Although expansion could take time, Canada, which has produced more NBA players than any country outside the US, seems to only be falling deeper in love with basketball in the meantime. https://dailyhive.com/calgary/nba-expansion-montreal-vancouver-commissioner
  7. Ashton achète La Banquise Nathaëlle Morissette La Presse Mis à jour à 5h00 PHOTO PATRICK SANFAÇON, ARCHIVES LA PRESSE La Banquise ne changera pas d’identité pour se métamorphoser en Ashton, promettent les nouveaux propriétaires. Les destinées de deux institutions de la poutine sont maintenant réunies. Les propriétaires des 23 restaurants Ashton étendent leur mainmise sur le plat préféré des noctambules à plus de 250 kilomètres à l’ouest en achetant la célèbre Banquise, lieu prisé autant par les fêtards que par les touristes qui viennent y dévorer des frites nappées de sauce brune et de fromage en grains. Émily Adam et Jean-Christophe Lirette, copropriétaires des 23 succursales Ashton depuis 2022, peinaient encore à croire qu’ils venaient de prendre les rênes de l’institution de la rue Rachel, lorsqu’ils ont accordé une entrevue à La Presse en visioconférence, lundi après-midi. Pour reprendre les mots de Mme Adam, c’est La Banquise qui les a « choisis », pour que l’endroit puisse continuer à satisfaire l’estomac des amateurs de poutine alors que le restaurant était l’objet de convoitise de nombreux acheteurs potentiels. PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE De gauche à Droite : Jean-Christophe Lirette et Émily Adam, copropriétaires d’Ashton, ainsi qu’Annie Barsalou et Marc Latendresse, copropriétaires de La Banquise À la tête du restaurant familial qui existe depuis 55 ans, Annie Barsalou et Marc Latendresse, désireux d’entreprendre de nouveaux projets, ont approché en mai le couple d’entrepreneurs âgés de 34 ans, que l’on pourrait qualifier d’experts de la poutine de la grande région de Québec. C’était une occasion qu’on ne pouvait pas laisser passer. Ça arrive juste une fois dans une vie. Jean-Christophe Lirette, copropriétaire d’Ashton Le duo reconnaît avoir toujours été à l’affût de ce qui se passait du côté de La Banquise. « La Banquise, c’est l’institution montréalaise, c’est un fleuron. » Au moment de l’acquisition d’Ashton, dont les restaurants se trouvent essentiellement dans la grande région de Québec, les deux propriétaires n’avaient pas fermé la porte à l’idée de s’implanter dans le marché montréalais. L’achat du célèbre restaurant situé sur le Plateau Mont-Royal semble être le véhicule qu’ils ont choisi pour faire leur chemin jusque dans la métropole. La Banquise ne deviendra pas un Ashton Avis aux fidèles clients de l’institution : le goût de votre poutine demeurera le même. La Banquise ne changera pas d’identité pour se métamorphoser en Ashton, promettent les nouveaux propriétaires. Les amateurs de La Royale, de La Taquise ou encore de La Couvre-Feu pourront continuer à en commander. « La recette gagnante, ils l’ont, lance M. Lirette. Nous, on arrive, on observe. On s’assure que La Banquise va rester La Banquise avec la même équipe de gestion. » Alors qu’il décrit la poutine servie dans le restaurant montréalais comme étant « décadente », celle préparée chez Ashton est qualifiée de plus classique. « Ashton, quand on a acheté, on nous disait de ne pas toucher aux bons vieux classiques. Alors que La Banquise, on a plus l’impression d’être dans l’innovation. » « Chacune des institutions a vraiment sa propre marque de commerce, gérée de façon différente », ajoute Émily Adam. La centaine d’employés de La Banquise a appris la nouvelle lundi en fin de journée. Tous conserveront leur emploi. « Nous nous sommes reconnus en Émily et Jean-Christophe, de jeunes entrepreneurs dynamiques et passionnés comme nous à nos débuts quand nous avons repris le restaurant fondé par mon père », a déclaré l’ancienne copropriétaire de La Banquise, Annie Barsalou, dans un communiqué publié ce mardi. Leur vision et leur façon de faire les choses nous a rassurés sur le fait que La Banquise restera La Banquise. Cela nous permet de tirer notre révérence l’esprit en paix et en sachant que la pérennité de ce restaurant auquel nous sommes si attachés est assurée. Annie Barsalou, copropriétaire de La Banquise Pour le moment, le couple originaire de Saint-Raymond, à quelque 50 kilomètres de Québec, n’envisage pas d’ouvrir une deuxième succursale de La Banquise dans la Capitale nationale. Et il n’y a pas de projet pour l’arrivée d’Ashton, sa Galvaude et son sandwich au rosbif dans la métropole. Dans les années 1980, l’ancien propriétaire, Ashton Leblond, a tenté de percer le marché montréalais avec l’ouverture d’un restaurant sur l’avenue du Mont-Royal et d’un autre à Laval. L’expérience n’a toutefois pas été concluante. Chose certaine, en matière de frites, le couple est loin d’être néophyte. En plus d’Ashton, Émily Adam et Jean-Christophe Lirette sont copropriétaires de Ti-Oui, populaire casse-croûte situé à Saint-Raymond. « La poutine, on commence à connaître ça un peu », lance Émily Adam en riant, ajoutant dans la foulée que son conjoint et elle en mangent toutes les semaines. « On est des vrais fans. On fait beaucoup de tests culinaires… on s’entraîne aussi ! » Ashton en bref Fondation : 1969 Siège social : Québec Nombre d’employés : 650 Nombre de restaurants : 23 Propriétaires : Émily Adam et Jean-Christophe Lirette La Banquise en bref Ouverture : 1968 Fondateur : Pierre Barsalou Nombre d’employés : 100 https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2023-11-14/ashton-achete-la-banquise.php?sharing=true
  8. Le géant Eaton s’installe à Brossard Hélène Baril La Presse Publié à 8h30 PHOTO MARTIN TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE L’entreprise Eaton, spécialisée dans la gestion de l’énergie, travaille depuis longtemps avec Hydro-Québec. L’entreprise Eaton, spécialisée dans la gestion de l’énergie, inaugure aujourd’hui à Brossard un centre mondial d’innovation qui regroupera en un seul endroit ses activités de recherche-développement dans les technologies énergétiques. Quelque 150 employés sont déjà réunis dans les nouvelles installations de l’entreprise, qui occupent deux étages d’un immeuble au nord de l’autoroute 10. Eaton veut accélérer le développement des technologies des ressources énergétiques distribuées, qui sont au cœur de la transition énergétique. « Les ambitions pour le Québec sont vraiment incroyables », a fait savoir Romulo Monteiro, gestionnaire de site d’Eaton, lors d’un entretien avec La Presse. L’effectif du centre d’innovation pourrait augmenter à 220 personnes avec l’embauche d’ingénieurs spécialisés dans la gestion intelligente de l’énergie et le développement de logiciels. Eaton, dont le siège social est en Irlande, est une entreprise centenaire qui a une forte présence en Amérique du Nord et qui emploie 85 000 personnes dans le monde. Avec le temps, elle s’est spécialisée dans les systèmes électriques, l’aérospatiale et la mobilité. Elle affiche des revenus de quelque 20 milliards de dollars américains et ses actions sont inscrites à la Bourse de New York. L’entreprise a une présence au Québec depuis 2006, grâce à ses acquisitions d’entreprises spécialisées dans l’énergie, dont CYME et Cooper Industries. Le géant travaille depuis longtemps avec Hydro-Québec, précise Thierry Godart, vice-président et directeur général des solutions d’automatisation de l’énergie chez Eaton. L’entreprise compte aussi parmi ses clients des industries grandes consommatrices d’électricité comme les centres de données et les alumineries. Eaton dépense annuellement 3 milliards de dollars américains en recherche-développement dans ses activités à travers le monde. Au Québec, elle veut travailler à accroître la flexibilité dans la production, la distribution et l’utilisation de l’électricité, au moment Hydro-Québec amorce un programme d’investissement de plus de 100 milliards pour doubler sa production d’énergie renouvelable. « Nous avons besoin que nos collaborateurs de l’industrie, comme Eaton, collaborent avec nous pour tester et élaborer les nouvelles solutions nécessaires à une intégration plus rapide des énergies renouvelables », estime Alexandre Roy, responsable des activités Acquisition et Biens stratégiques d’Hydro-Québec. https://www.lapresse.ca/affaires/2023-11-14/transition-energetique/le-geant-eaton-s-installe-a-brossard.php
  9. Hochelag' va avoir son premier W!
  10. Peut-être justement que l'hôtel est toujours booké... me semble la moyenne d'occupation des hôtels à Montréal est de 80%+. Et/ou le nouveau hôtel serait dans une autre gamme de prix.
  11. Tu es pas le seul qui a ce cauchemar.... et j'entends parler de "revenu minimum garanti" et le poil de mon cou se redresse.
  12. Exactement... et si j'étais administrateur à Laval, je mettrais de l'emphase à ajouter des trottoirs là où ces possibles que tout ce charabia de bordel de traçage de rue/pistes cyclables qui se fait à chaque jour ici. Tsé... des vrais infras.
  13. lol hey hey... place ville marie et plusieurs autres tours au centre ville de Montréal ont ça
  14. Average Canadian rent price hits new high for sixth consecutive month: report Average rent price hits $2,178 in October: report The average asking price for a rental unit in Canada reached $2,178 last month, a 9.9 per cent year-over-year increase and continuing a trend that has seen asking rents hit new highs for six months in a row. That's according to the latest rental price report released by Rentals.ca and Urbanation, analyzing monthly listings from the former's network. The findings show while October's annual rate of rent growth in Canada was down from the 11.1 per cent jump in September, it still marked the second fastest annual increase of the past seven months. On a monthly basis, average asking rents increased 1.4 per cent in October, a slight decrease from the monthly gains of 1.5 per cent in September and 1.8 per cent in August, which was attributed to seasonal factors. The average cost of a one-bedroom unit in October was $1,906, up 14 per cent from the same month in 2022, while the average asking price for a two-bedroom was $2,255, up 11.8 per cent annually, according to the report. Vancouver led the way again as Canada's most expensive city for renters, with the average one-bedroom unit listed at $2,872 and a two-bedroom at $3,777 — both down from September's asking prices, but up 6.7 per cent and 5.5 per cent, respectively, on an annual basis. Toronto was the next highest ranked major city at $2,607 for a one-bedroom and $3,424 for a two-bedroom. The report said rent inflation in Canada is being driven by price increases in Alberta, Quebec and Nova Scotia, in part because of strong population growth and large infusions of new rental supply priced at above-average market rents. "I get asked all the time, 'How are people affording this?' The answer is they're not," said Rentals.ca spokesman Giacomo Ladas. "Rents are getting so high to the point where people are almost out of options. They're looking desperately to find more affordable rents." Calgary topped the list when measured by annual rent growth for apartments out of Canada's largest cities for the ninth straight month. Asking rents for purpose-built and condominium apartments in Calgary rose 14.7 per cent year-over-year to reach an average of $2,093, while Montreal was in the second spot with annual rent growth of 10.2 per cent, for an average of $2,046 in October, the data shows. "We can tell that because there's so much interprovincial migration going on that people are leaving areas like Ontario and B.C. and they're searching for more affordable rents, and they're going to places like Calgary," said Ladas. He noted a major factor driving up rent prices is the trend of fewer people looking to become homeowners, given the ongoing climate of high interest rates. One-third of Canadian households are renters, the rate for which is growing twice as fast as it is for homeowners, he added. "People are not moving out and going into the home ownership market because they can't with these rates," he said. This report by The Canadian Press was first published Nov. 13, 2023. https://apple.news/AwCSKKbLGRGOAFM71kEiszA
  15. Tiens une autre savante, au niveau fédéral, qui ne comprends rien encore... à la lire, je me décourage que le problème actuel ne sera jamais réglé avec les libéraux au fédéral, et QS au municipal. « C’est pas juste plus de logements, c’est le bon logement » Publié hier à 4 h 00 HNE https://images.radio-canada.ca/q_auto,w_700/v1/ici-info/16x9/coulisses-commissaire-houle-logement.jpg La commissaire au logement Marie-Josée Houle soutient que les gouvernements ne doivent pas laisser le marché privé décider des politiques de logement. Depuis le début de son mandat en 2022, la commissaire au logement Marie-Josée Houle a parcouru le pays pour dresser un portrait des besoins en matière de logement. Interrogée à savoir si la situation s’est améliorée depuis un an, sa réponse est sans détour : « Non, non, franchement, non. » Lors d’un passage à Edmonton, Mme Houle se souvient d’avoir vu des tentes, des bâches couvertes de givre au plus froid de l'hiver. Du jamais vu pour celle qui a grandi dans la capitale albertaine. Pour la commissaire, ces campements représentent la manifestation physique d’un système de logement qui est brisé au Canada. En entrevue à l'émission Les Coulisses du pouvoir, Marie-Josée Houle fait le point sur les besoins en matière de logements et les outils dont disposent les gouvernements. Au cours des derniers mois, les annonces fédérales et provinciales se sont multipliées relativement à l'octroi de fonds destinés à la construction de nouveaux projets de logements. De plus, Ottawa a annoncé la suspension de la TPS sur les nouvelles constructions locatives pour stimuler l’offre. Reconnaître le droit au logement https://images.radio-canada.ca/q_auto,w_700/v1/ici-info/16x9/coulisses-thibeault-houle.jpg L'animateur Daniel Thibeault s'entretient avec la commissaire au logement, Marie-Josée Houle. Photo : Radio-Canada Les fondations de toute politique publique en matière de logement s'appuient, selon Mme Houle, sur la reconnaissance du droit au logement, comme le reconnaissent les Nations unies dans la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948. Bien que le droit au logement soit inscrit dans la Loi sur la stratégie nationale sur le logement, adoptée par le Parlement en avril 2019, ce droit est difficilement respecté, selon Mme Houle. Sortir le logement du marché Marie-Josée Houle souligne que pour fonctionner, la stratégie nationale du logement doit s’éloigner du marché pour aider les personnes qui en ont le plus besoin, par le développement de plus de logements sociaux ou communautaires. Si Mme Houle conçoit que le marché privé a sa place, cette place ne serait pas pour aider les personnes qui en ont besoin. Pour rétablir l'abordabilité – l'équilibre entre l'offre et la demande –, il faudrait ajouter un peu plus de 3,5 millions de logements abordables au pays d'ici 2030, selon un récent rapport de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL). Au Canada, un logement est considéré comme abordable s'il coûte moins de 30 % du revenu avant impôt du ménage. Selon la SCHL, la cible d'abordabilité a été atteinte pour une dernière fois au Canada en 2004. La commissaire estime que les discours sont souvent axés sur l’accès à la propriété, mais que cela n’est pas pour tout le monde. À ce sujet, la protection des locataires est un outil essentiel dont disposent les gouvernements, dans un contexte où le logement est tellement financiarisé. Cette entrevue avec Marie-Josée Houle sera diffusée à l'émission Les coulisses du pouvoir à 11 h, sur les ondes d'ICI RDI et ICI TÉLÉ. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2026103/commissaire-federal-logement-entrevue
  16. Je pense que c'est un vase communicant... le besoin de se loger est une constante... mais que si tu ne te qualifies pas pour un achat, t'es obligé de louer.
  17. Tu fais quoi dans les banlieues avec ta 69?!? T’es loin de Griffintown🤣
  18. Honnêtement comment nos rue sont rendus en fouillis complet c’est littéralement du vandalisme 😒
  19. Ahahaha quelle bonne idée. Malgré que c’est quand même du vandalisme 😅
  20. La broussaille va devenir une forêt protégée et il y aura jamais d’école 🤣
  21. 🤦🏻‍♂️🤦🏻‍♂️🤦🏻‍♂️🤦🏻‍♂️🤦🏻‍♂️ une vraie maladie mentale cette obsession. edit: j’y pense, tout ça sera défait à un moment. Beau gaspillage d’argent.
×
×
  • Créer...