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  1. Publié le 26 septembre 2009 à 08h36 | Mis à jour à 10h55 | Pierre Falardeau est mort Daphné Cameron et Daniel Lemay La Presse Le cinéaste, auteur et polémiste québécois Pierre Falardeau est décédé d'un cancer à l'âge de 62 ans. Le décès du réalisateur reconnu pour ses prises de positions tranchées a suscité une véritable onde de choc ce matin, tant dans les milieux politique que culturel. «Je le rencontrais souvent et à chaque fois je lui disais qu'on pensait à peu près tout le temps la même chose, mais qu'on l'exprimait de façons complètement différentes. Cela nous faisait beaucoup rigoler!», se souvient-il. «Son cinéma était vivant et vigoureux. Son art a servi l'indépendance nationale de façon inoubliable et humoristique avec Elvis Gratton et de façon poignante et dramatique avec Février 1839, son film sur les Patriotes», a-t-il ajouté. «J'espère que son oeuvre va continuer de faire réfléchir et que lorsque l'on parlera d'indépendance, on aura une pensée pour lui.» «C'est la personne que j'ai rencontré qui était la plus attentive aux autres. Un personnage très sensible sous des dehors un peu rugueux», a confié son ami le journaliste Jean-François Nadeau. «C'est contradictoire par rapport au personnage public qui était demi-truand, très sûr de lui, il n'avait pas peur de la controverse. Mais en privé c'était quelqu'un qui écoutait beaucoup. Par ailleurs, il y avait une affection populaire autour de lui qui était inouïe. En son genre, c'était une sorte de Michel Chartrand de la fin du 20e siècle.» Pierre Falardeau est décédé hier soir à l'unité de soins palliatifs de l'Hôpital Notre-Dame du CHUM. Sa conjointe, Manon Leriche, et ses enfants, Jules, Hélène et Jérémie, souhaitent pour l'instant vivre leur deuil dans l'intimité et n'accorderont aucune entrevue aux médias aujourd'hui. Une carrière bien remplie Né à Montréal le 28 décembre 1946, Pierre Falardeau fréquente le Collège de Montréal, rue Sherbrooke. À la vieille maison des Sulpiciens, il fait la connaissance, entre autres, de Julien Poulin qui restera son ami et complice jusqu'à la fin. Sportif, le jeune Falardeau s'adonne à la pratique du football et s'initie brièvement à la boxe; lecteur avide, il préférera Hemingway à Musset et les muralistes mexicains aux naturalistes européens. L'art populaire, nous expliquera-t-il, n'est jamais bien loin du politique. Après son cours classique, il entreprend en 1967 des études d'anthropologie et d'ethnologie à l'Université de Montréal. Une formation qui, rappellera sa productrice Bernadette Payeur, amènera Falardeau le cinéaste à «scruter l'humain». Pierre Falardeau co-scénarise et co-réalise avec Julien Poulin un premier court-métrage en 1971 : Continuons le combat transpose le combat pour l'indépendance du Québec dans l'arène de lutte. Le tandem documentariste s'engage là dans une voie dont il ne s'éloignera plus beaucoup, sur le fond du moins: quête de liberté sous toutes ses formes. Suivent Les Canadiens sont là (1973) où les comparses font leurs choux gras d'une mission culturelle canadienne qui tourne mal à Paris; Le Magra, (1976) sur la formation des policiers, qu'il présentera à la Biennale de Venise; À force de courage (1977), tourné en Algérie, qui vit alors la deuxième décennie de son indépendance. Après six ans de tournage (à leurs frais), Falardeau et Poulin sortent leur premier long-métrage en 1978 : Pea Soup traite de l'aliénation du peuple québécois, de l'usine à la taverne, des ruelles de l'est aux avenues de Westmount. Deux ans plus tard, avec un titre sorti du même souffle, arrive Speak White, sur le célèbre poème de Michèle Lalonde: «Nous sommes un peuple inculte et bègue»... En 1981, Julien Poulin passe devant la caméra pour incarner Elvis Gratton dans un court-métrage du même nom. Avec Les vacances d'Elvis Gratton (1983) et Pas encore Elvis Gratton, le mythe explose dans toute son effrayante démesure dans Elvis Gratton, le King des Kings qui réunit les trois courts métrages. Le Québec a une nouvelle devise : « Pense big, s'tie! ». En 1989, Falardeau change de ton: Le party traite toujours de liberté, ou d'absence de, mais perçue, ici, du fond de la cellule d'une prison. L'ex-felquiste Francis Simard, qui a passé 11 ans en prison pour le meurtre du ministre Pierre Laporte en octobre 1970, a collaboré au scénario du film; son livre Pour en finir avec octobre servira de base à Octobre, que Falardeau sortira finalement en 1994 après dix ans de marchandage avec les instances subventionnaires. Outre son oeuvre cinématographique, il a publié quelques essais dont La liberté n'est pas une marque de yogourt, aux Éditions Stanké, en 1995, Les boeufs sont lents, mais la terre est patiente, chez VLB éditeur, en 1999. Pierre Falardeau animait son propre blogue.
  2. La rue Sainte-Catherine n'échappe pas au ralentissement Publié le 27 janvier 2009 à 08h30 | Mis à jour à 08h31 Rue Sainte-Catherine aussi, des détaillants renégocient à la baisse leurs loyers dans la foulée du ralentissement des ventes. La rue Sainte-Catherine, qui est pourtant l'artère commerciale la plus recherchée de Montréal, surtout depuis qu'elle s'est refait une beauté durant les années 90, n'échappe pas à la tempête économique. Quand des chaînes sabrent leurs projets d'ouverture et que d'autres préparent des fermetures de magasin et renégocient leurs loyers, des courtiers commerciaux voient leur marché se rétrécir, reconnaît Bruce Munro, vice-président d'Avison&Young au Québec. «Presque toutes les grandes bannières ont déjà pignon sur rue au centre-ville de Montréal», (ce qui limite le bassin de la clientèle), et les autres prennent leur temps. Bruce Munro a ainsi aidé récemment deux chaînes à conclure des ententes, rue Sainte-Catherine, mais elles «n'ont pas encore signé leurs baux et veulent déjà les renégocier à la baisse». André Poulin, président de la société de développement commercial Destination centre-ville, confirme que des loyers se renégocient. «Certains propriétaires font des offres pour ne pas perdre leurs locataires. Plusieurs tentent leur chance. Même Destination centre-ville a renégocié son loyer», dit-il. «Les locaux de la rue Sainte-Catherine continuent toutefois d'être recherchés. Les détaillants ne veulent pas sortir du centre-ville. La rue Sainte-Catherine ne sera pas placardée demain matin», assure André Poulin. Des magasins vont cependant fermer, selon Bruce Munro. Par contre, des chaînes vont sabrer des magasins de mégacentres de la banlieue avant ceux de la rue Sainte-Catherine, ajoute-t-il. Archambault Musique vient de quitter le Complexe des Ailes de la mode, après une entente mutuelle, mais la chaîne californienne Forever 21, concurrente de H&M, va prendre les locaux avant l'été prochain, confirme Jean Laramée, vice-président principal pour l'est du Canada chez Ivanhoé Cambridge. «De grandes bannières comme Guess, American Eagle, H&M et Apple sont arrivées récemment rue Sainte-Catherine. Cela en attire d'autres, souligne André Poulin. Là, on renégocie des loyers, mais sans provoquer des départs.» «Des loyers de 200$ le pied carré pourraient baisser à 150$, rue Sainte-Catherine, estime Bruce Munro. Le prix était de 50$ ou 60$ le pied carré en 1992. Rue Bloor, à Toronto, les loyers de 325$ le pied carré sont trop élevés aussi.» Les détaillants s'en tirent mieux dans le marché des jeunes que dans celui des hommes, dit-il. «Il n'y a pas de vague de réouvertures de baux, mais quelques négociations», assure Jean Laramée. Chez Ivanhoé Cambridge, un des grands propriétaires de centres commerciaux en Amérique du Nord, «on n'est pas fou, on sait que ça brasse un peu partout, c'est une période de tests pour plusieurs. Au Canada, par contre, on ne sent pas trop la tempête. Notre affluence a été correcte en 2008». Jean Laramée reconnaît toutefois qu'il préfère gérer dans l'est du Canada qu'aux États-Unis ces jours ci. David Jubb, chef de la direction de Pyxis Real Estate Equities, de Toronto, a acheté une dizaine de locaux à proximité de la Maison Ogilvy de la rue Sainte-Catherine, qui lui appartient, pour bâtir un «Carré de la mode». Nespresso Café, de New York, y ouvrira un magasin, le mois prochain, et David Jubb déclare travailler avec «quatre ou cinq autres détaillants. L'économie ralentit et certains repensent à leurs affaires, mais on doit se reparler au printemps. Chez Ogilvy, ce sera plus lent en 2009, mais Nespresso va attirer de la clientèle», croit-il.
  3. IGA attire Fleury Michon au Québec 3 octobre 2008 - 06h36 La Presse Laurier Cloutier Alors que la restauration voit sa clientèle bouder, essence et crise financière obligent, Sobeys-IGA lance à partir du Québec une gamme de plats frais, «de qualité de restaurant», partout au Canada. La chaîne va même concurrencer ainsi les Couche-Tard Menu. Marc Poulin, président de Sobeys Québec, a discuté pendant quatre ans avec le spécialiste des plats frais emballés de France, Fleury Michon, qu'il a finalement attiré à Rigaud, à l'ouest de Montréal. Fleury Michon y a investi 42 millions de dollars dans un agrandissement de l'usine de Delta Dailyfood, à 151 000 pieds carrés. Achetée par Fleury Michon, à un prix non dévoilé, Delta a embauché 150 personnes de plus, pour un effectif total de 450 employés. Le but visé par Marc Poulin, mieux desservir les clients de ses 250 IGA affiliés du Québec, sera largement dépassé car le président a réussi par la suite à convaincre la direction de tous les supermarchés canadiens de Sobeys. Michael A. Clark, président de Delta Dailyfood, assure qu'il pourra livrer à Vancouver en quatre jours, par camion, ses plats cuisinés emballés d'une durée de vie de trois semaines. Il n'utilise pour l'instant que 50% de sa capacité de production et peut encore doubler la superficie de l'usine, qui dessert déjà les avions d'Air Canada et des clients dans les plats surgelés. Delta produit déjà plus de 25 millions de repas par année. Les familles manquent de temps, mais veulent manger des repas santé, une tendance qui profite à l'entreprise. Marc Poulin qualifie l'expertise de Fleury Michon «d'unique au monde», grâce à la technologie. Leader dans son secteur en Europe, Fleury Michon s'associe à des partenaires clés dans chacun des pays, dont Carrefour en France, et Wal-Mart-Sam's Club aux États-Unis depuis un an. Depuis lundi, les IGA du Québec offrent 10 nouveaux plats, sous la marque Compliments, sept autres suivront au début de janvier 2009 et cinq de plus le printemps prochain. C'est plus cher que du surgelé (qualité moindre) et des plats cuisinés au supermarché (d'une durée de vie plus courte), mais le prix demeure plus bas qu'au resto: de 4,99$ à 6,49$. En promotion, tous les nouveaux repas frais emballés sont actuellement offerts à 4,99$. Les IGA du reste du Canada les distribueront en 2009. Sobeys a conclu une entente à long terme avec Fleury Michon, d'une durée non précisée, même pour ses dépanneurs Bonisoir. Les plats à emporter de toutes catégories occupent déjà 5% du marché, selon Marc Poulin, et leur part doublera en quelques années, grâce à une croissance annuelle de 25%. Sobeys-IGA gagne déjà des parts de marché, assure Marc Poulin, et la chaîne compte maintenant devancer non seulement les autres supermarchés, mais aussi convaincre plus de clients de restaurants. Fondée en 1920, Fleury Michon lance 250 nouveaux produits par année, grâce à 3600 employés, et réalise des ventes de près de 750 millions de dollars.
  4. Comment devient-on membre d'un recours collectif? «On ne demande pas à être inscrit», répond Me Stéphanie Poulin, responsable des services juridiques à Option consommateurs. Pour en lire plus...
  5. La Presse Le lundi 14 mai 2007 Le décor date d'Expo 67. L'espèce de virevent est une oeuvre de Richard Turner, un artiste de Vancouver. Le concept a été baptisé Sky Watcher, ou Le lunatique, en version française. L'oeuvre est plantée dans un bassin sur le terrain des bureaux administratifs portuaires de Montréal, que l'on peut apercevoir à partir de la rue Pierre-Dupuy. À l'époque, la sculpture de métal était étincelante au milieu d'un bassin flambant neuf rempli d'eau fraîche. Un lecteur du Zélateur se demande pourquoi l'oeuvre est laissée à l'abandon. Le virevent est rongé par la rouille, le bassin est fissuré et il n'y a pas d'eau. «C'est désolant», dit-il. L'explication Le Zélateur a dû passer par l'arrondissement de Ville-Marie, puis par la Ville de Montréal, pour enfin parvenir à parler à France Poulin, responsable des communications du Port de Montréal. Elle explique que la compagnie Seagram avait fait don de l'oeuvre alors que les actuels bureaux du Port de Montréal abritaient le siège social de l'Expo 67. L'été dernier, le Port de Montréal a commencé à se pencher sur un projet de réaménagement de ses terrains. «Une étude a été réalisée pour restaurer la sculpture et le bassin, explique Mme Poulin. Les travaux devraient débuter cet automne. « Mme Poulin n'était pas en mesure de dire à combien sont estimés les coûts de la restauration.
  6. 02/03/2007 Alors que de nombreuses pétitions sont en marche contre les parcomètres, les marchands des rues commerciales de Montréal qui protestent contre les nouveaux tarifs ont reçu l'appui de l'opposition officielle à l'hôtel de ville. Noushig Eloyan apporte son aide politique, d'abord dans son arrondissement, aux commerçants de la rue Fleury qui ont organisé plusieurs pétitions parmi leur clientèle. «C'est une taxe cachée, a dénoncé Mme Eloyan, une taxe issue de la restructuration budgétaire de l'administration Tremblay.» Elle a rappelé que les deux arrondissements où les conseillers de Vision Montréal détiennent la majorité ont refusé de percevoir les tarifs les soirs de semaine ainsi que le dimanche. C'est le cas dans le Sud-Ouest et dans Mercier - Hochelaga-Maisonneuve. Cette perception le dimanche agace beaucoup les administrateurs des Sociétés de développement commercial (SDC) dans plusieurs quartiers. André Poulin, au centre-ville, et Claude Rainville, dans le Quartier latin, appréhendent un ralentissement des activités commerciales, surtout le dimanche. Le dimanche «Il en coûte maintenant 9 $ aux parcomètres, le dimanche, pour aller au cinéma, rue Saint-Denis», explique Claude Rainville, ajoutant que «le stationnement est gratuit au Marché central». André Poulin croit que la Ville de Montréal devra imiter New York, qui a éliminé les tarifs des parcomètres dans son centre-ville en 2005, «sans quoi de nouvelles habitudes vont se créer et le centre-ville va se vider».
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