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  1. UN autre pas vers une société ultra-socialiste...qui frôle le communisme! Bientôt je suppose que je vais devoir demander la permission du gouvernement ou d'un syndicat si je peux aller chier dans ma propre maison! Je n'ai pas de problème à ce que le gouv. investisse de l'argent pour éduquer les jeunes, mais commencer avec des interdictions, non merci. Nous ne vivons pas dans une dictature. Notre gouv. prend déjà assez de place comme ça. Pi si un morveux de 18 ans avec sa civic pi sa casquette à l,envers se fait pincer par la police pour un grand excès de vitesse, et bien qu'on lui enlève son permis pour 3-5 ans. Si il perd son permis à 18 ans, il ne pourra pas le récupéré avans l'age de 23 ans. Pourquoi chercher à pénaliser tout les jeunes! Il y a BEAUCOUP de jeunes qui ne font pas les imbéciles en auto. Pourquoi les pénaliser aussi! Pour ce qui est des jeunes à Drummondville qui se sont tués, si ils sont assez caves pour rouler à 140km/h dans une zone de 50km/h, et qu'ils sont saouls en plus et bien ils méritent de mourrir! Cyberpresse.ca http://www.cyberpresse.ca/la-tribune/centre-du-quebec/201105/10/01-4397895-alcool-et-vitesse-au-volant-des-jeunes-un-coroner-reclame-un-couvre-feu.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_manchettes_231_accueil_POS1 Alcool et vitesse au volant des jeunes: un coroner réclame un couvre-feu Un coroner troublé par les ravages de l'alcool et de la vitesse au volant chez les jeunes recommande l'imposition au Québec d'un couvre-feu nocturne pour les conducteurs âgés de 16 à 24 ans. Cette recommandation du coroner Yvon Garneau prévoit cependant des exceptions pour les conducteurs devant se rendre à leur lieu d'étude ou de travail. Le coroner Garneau a enquêté sur un accident qui a tué quatre jeunes hommes de 17 à 22 ans le 10 octobre dernier, à Drummondville. L'analyse toxicologique a révélé que le taux d'alcoolémie du conducteur, Carl Francoeur-Ouellette, dépassait de près de deux fois la limite légale. De plus, l'enquête policière a démontré que le véhicule circulait à environ 140 km/h dans une zone de 50 km/h. Dans ses recommandations au législateur, Yvon Garneau rappelle que l'Ontario applique déjà une interdiction de conduire à de jeunes conducteurs entre minuit et 5h00, même si les dispositions de cette province touchent une catégorie d'âge plus restreinte. Il signale qu'au Québec, les jeunes de 16 à 24 ans sont responsables d'un excès de vitesse sur deux, qu'ils écopent de 34 pour cent des contraventions pour grande vitesse et qu'ils sont impliqués dans le quart des accidents avec blessés. Le coroner émet d'autres recommandations. En outre, il propose que tous les véhicules neufs vendus au Canada soient munis d'anti-démarreurs éthylométriques. Il suggère aussi que Transports Canada poursuive ses travaux étudiant la pertinence des dispositifs limitant la vitesse. Enfin, il recommande au gouvernement du Québec d'intégrer des cours de sensibilisation routière à la 6e année du primaire et tout au long du secondaire.
  2. World poutine-eating contest to be held in Toronto. Yes, that's right. T.O. By Andy Blatchford (CP) – 20 minutes ago MONTREAL — One of Quebec's cultural symbols has been called everything from disgusting, to heart-attack inducing, to delectable. But can the increasingly popular Quebecois dish known as poutine -that messy mix of french fries, sauce and cheese curds -now be considered a gooey source of Canada-wide pride? When a gang of professional "eaters" from the United States and a handful of Canadian amateurs battle for the world poutine-eating championship, it won't go down in Montreal, Quebec City, or anywhere else in la belle province. It will be held in, of all places, Toronto. And due to provincial contest rules, Quebecers hoping to eat their way to the title won't be allowed to even take part. No longer seen as just working-class grub from small-town Quebec, poutine now has fans across Canada and beyond. The concoction has been integrated into haute cuisine and has secured niches under the bright lights of the Big Apple and Los Angeles. "I think it shows that poutine has become a national meal," Charles-Alexandre Theoret, author of the 2007 book "Maudite poutine!" ("Damned poutine!") said of the upcoming all-you-can-eat showdown on May 22 at BMO Field in Toronto. "It was once a Quebec meal, but now it's everywhere." A dozen stars of Major League Eating, a circuit best known for its stomach-turning, rapid-fire hot dog eating contests, will have 10 minutes to wolf down as much poutine as they can. "You must use a fork, so there's going to be certainly some skill involved," said Mike Antolini, a spokesman for the International Federation of Competitive Eating. "It's going to test their capacity, but also their hand speed and technique." The champ wins a modest sum of $750 and bragging rights. Antolini said organizers considered poutine-serving joints in Montreal to serve the fare, but eventually chose Smoke's Poutinerie, a Toronto-based chain. "I know that Montreal maybe feels like poutine is theirs, but we are going to be crowning a champion in Canada, and I think that's the most important thing because poutine certainly is Canadian first and foremost," he said. Of course, that hasn't always been the case. For years, the towns of Warwick and Drummondville have duelled over the true birthplace of poutine, but one thing has never been questioned: it's from Quebec. Warwick claims the dish was invented by local restaurant owner Fernand LaChance in 1957, while Drummondville insists that restaurateur Jean-Paul Roy blended the first poutine in 1964. To help cement its claim, Drummondville started holding an annual poutine festival in 2008. Regardless of its exact origins, poutine has long had a complicated bond with Quebecers, many of whom have looked down their noses at what some have called a culinary abomination. "It's a love-hate relationship, there are younger generations who feel fine with it, and almost make it a cool icon," said Theoret, whose book takes a historical look at poutine. "But older generations didn't grow (up) with it and think that it's low class, low life. They're really ashamed about it." For the poutine-eating contest, three Canadians will be selected through a sweepstakes to join the race. In an ironic twist, Quebec laws don't allow its residents to apply. "I don't argue with lawyers," said Smoke's Poutinerie owner Ryan Smolkin, who has five restaurants and one mobile kitchen in his growing poutine empire. All of them are in Toronto, but he's expanding to other parts of Ontario and plans to eventually open up shops across the country and around the world. The Ottawa native imports cheese curds from Quebec's Eastern Townships and tops his poutines with authentic chicken-based sauce. But he said he's never tried to pretend he's a Quebecer. "I know where the roots are, I know what it's all about and I'm trying to maintain that heritage for sure, and the Quebec influence," said Smolkin, who opened his first restaurant 15 months ago. "I respect and want to take that heritage and culture into my brand and help spread that across the world." With poutine's popularity spreading in the United States, he wanted to make sure the dish was "Canadianized" before an American restaurant tried to claim it. "It's been too isolated to Quebec," he said. "Nobody's just tried to take it big outside Quebec, so I'm trying to do that."
  3. Le restaurant de la Rôtisserie St-Hubert à Drummondville sera transformé en St-Hubert Express au mois de mars et 57 des 120 employés devront être licenciés. Pour en lire plus...
  4. Mairesse de Drummondville depuis 1987, Francine Ruest Jutras incarne cette relation étroite entre élus locaux et monde des affaires. Pour en lire plus...
  5. Les ouragans Gustave et Ike ont soufflé fort sur les revenus et profits trimestriels du groupe industriel CVTech, de Drummondville. Pour en lire plus...
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