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  1. Le concessionnaire Brault fera place à un nouveau centre médical Le Courrier du Sud Alexandre Lampron 29 janvier 2011 à 09:00 EXCLUSIF. Fermé depuis un an, le concessionnaire brault sera démoli afin de permettre la construction d’une nouvelle clinique médicale, le Centre médical brault, a appris Le Courrier du Sud. L’instigateur de ce vaste projet, Jean-François brault, a expliqué que l’arrivée de la nouvelle clinique médicale constituera une grande valeur ajoutée sur la Rive-Sud. Le site se trouve sur le boul. Taschereau, juste devant l’Hôpital Charles LeMoyne (HLCM). «En développant le terrain et en construisant une clinique médicale, le potentiel devient beaucoup plus important que de continuer à vendre des véhicules, a expliqué au Courrier du Sud M. brault. Nous étions le premier concessionnaire Ford à ouvrir sur la Rive-Sud en 1963, mais les portes ont fermé en janvier 2010 parce que Ford ne voulait plus de concessionnaire à cet endroit.» Trois phases Le projet, qui nécessitera des investissements d’au moins 30 M$, se fera en trois phases. Lors de la première phase, un bâtiment de quatre étages sera construit, sur une superficie d’environ 6500 m2. Le rez-de-chaussée sera réservé en espaces locatifs (une banque, une pharmacie ainsi qu’un restaurant). Les autres étages seront occupés par la clinique médicale. La deuxième phase consistera, selon les projections, en l’agrandissement de la première phase, alors que la dernière phase sera la construction d’une résidence pour personnes âgées. «Dans la clinique, nous aurons des services de radiologie, de médecine familiale ainsi que de gynécologie, a affirmé Jean-François brault. Compte tenu du lieu géographique du terrain, nous savions que ce projet serait intéressant pour l’ensemble de la Rive-Sud. Nous avons contacté des médecins avant de nous lancer dans ce projet. D’un point de vue strictement médical, je reçois des appels toutes les semaines.» Pas avant le printemps Aucun nom n’a été confirmé au moment de mettre sous presse, les négociations étaient toujours en cours. M. brault a toutefois admis que plus de 50% du bâtiment était déjà loué ou en voie de l’être. Les travaux ne débuteront toutefois pas avant le début du printemps, soit au mois d’avril ou mai prochain. D’autre part, M. brault souhaite aussi construire un passage entre la future résidence pour personnes âgées et la clinique médicale afin de faciliter les déplacements des résidents. Il a affirmé être actuellement en discussion avec les principaux intervenants pour la construction d’une passerelle qui relierait la clinique au l’HCLM en passant au-dessus du boul. Taschereau.
  2. http://monteregieweb.com/Ma_Vallee/main+fr+01_300+Opmedic__3_millions__pour_un_nouvea u_centre_medial_a_SaintHubert.html?ArticleID=64081 9
  3. Publié le 01 juin 2009 à 20h52 | Mis à jour le 01 juin 2009 à 21h00 L'assassinat du Dr. Tiller provoque de vives réactions Nicolas Bérubé La Presse (Los Angeles) L'assassinat d'un médecin pratiquant des avortements tardifs dans une clinique du Kansas, dimanche, a déclenché les passions aux Etats-Unis. Lundi, les témoignages de sympathie ont été émis à travers le pays. Le président Obama a vivement condamné le crime haineux. «Je suis choqué et dégoûté par le meurtre du Dr. George Tiller, survenu alors qu'il était à l'église dimanche matin. Peu importe les différences au sujet de l'avortement, on ne peut rien résoudre en ayant recours à des actes de violence.» Les groupes anti-avortement ont dénoncé le meurtre, mais ont appelé du même souffle les militants pro-vie à ne pas cesser de dénoncer les médecins qui pratiquent les avortements. Le fondateur du groupe Operation Rescue, Randall Terry, a dit que le tueur avait commis un «acte lâche et déplorable». Il a ajouté que le Dr. Tiller était «un meurtrier en série qui a récolté ce qu'il a semé». Le Dr. Tiller distribuait des feuillets paroissiaux dans le hall de son église dimanche matin quand un homme a fait irruption et lui a tiré une balle dans la tête, avant de prendre la fuite. Peu après, la police a arrêté Scott Roeder, 51 ans, qui sera accusé du meurtre de George Tiller. Roeder avait une attitude «oeil pour oeil, dent pour dent» envers les médecins qui pratiquent des avortements. Son frère a affirmé que le suspect avait de «profondes opinions anti-avortement et anti-gouvernement», et qu'il avait souffert de diverses maladies mentales dans sa vie. Le docteur George Tiller était l'une des cibles favorites des militants pro-vie, qui se réunissait quotidiennement devant sa clinique, au centre-ville de Wichita, Kansas. En 1993, il a été atteints par balles dans les deux bras devant sa clinique. Menaces de Fox News Le Dr. Tiller, 67 ans, était propriétaire de l'une des trois cliniques aux Etats-Unis qui pratiquent des avortements sur des patientes enceintes de 20 semaines ou plus. Il se spécialisait dans l'interruption de la grossesse des femmes enceintes d'un bébé affreusement déformé, ou ayant des incapacités cérébrales majeures. Le travail du Dr. Tiller a été dénoncé fréquemment sur le réseau conservateur Fox News, où l'animateur et commentateur Bill O'Reilly avait lancé une véritable croisade contre lui, le traitant de «nazi» et de «tueur de bébés» sur les ondes. En 2005, M. O'Reilly a dit quiconque ne travaillait pas activement à stopper le Dr. Tiller «avait du sang sur les mains». La clinique du Dr. Tiller était gardée 24 heures par jour par une auto patrouille. Des gardes armés se tenaient à l'entrée, et chaque visiteur devait franchir un détecteur de métal. Au fil des ans, plusieurs patients ont rapporté s'être fait harceler violemment par des militants pro-vie devant le terrain de la clinique. Le procureur en chef des Etats-Unis, Eric Holder, a donné le mandat aux policiers fédéraux d'augmenter la sécurité de certaines cliniques d'avortement, et des médecins qui y travaillent. Lundi, un médecin du Nebraska qui pratiquait quelques jours par semaine à la clinique du Dr. Tiller a dit avoir l'intention de poursuivre le travail de son collègue. La clinique devrait rouvrir ses portes lundi prochain, a-t-il assuré. ________________ Il y a encore beaucoup trop de fondamentalistes aux US et au Canada anglais, voila ce qui arrive avec ce type de personne.
  4. Rien à craindre de l'héroïne Le Devoir Pauline Gravel Édition du mercredi 18 février 2009 Mots clés : Clinique expérimentale NAOMI, Centre supervisé, Héroïne, Drogue, Colombie-Britannique (Province), Québec (province) L'installation d'un centre supervisé de distribution et d'injection de drogue serait sans effet pour les résidants du quartier Non seulement la clinique expérimentale NAOMI offrant de l'héroïne sous contrôle médical a-t-elle induit des effets positifs sur la clientèle qu'elle visait, mais en plus elle n'a eu aucun impact négatif sur le voisinage, révèle une étude connexe qui devrait convaincre le gouvernement des bienfaits d'une telle approche qu'ont déjà adoptée plusieurs pays européens. Dans le cadre du projet de recherche NAOMI (North American Medication Initiative), une clinique s'adressant aux toxicomanes réfractaires aux traitements plus traditionnels à la méthadone a été ouverte sur le Plateau Mont-Royal entre les rues Prince-Arthur et Saint-Urbain en 2005. Cette clinique offrait trois fois par jour, sept jours sur sept, de l'héroïne pharmaceutique aux héroïnomanes qui s'injectaient leur drogue sous la supervision d'infirmières. Les résultats de l'étude d'une durée de 12 mois, dirigée par la Dre Suzanne Brissette, chef du service de médecine des toxicomanies du CHUM, avaient révélé les effets positifs de cette clinique sur les bénéficiaires, les toxicomanes eux-mêmes. Une autre étude, conduite par Serge Brochu, de l'École de criminologie de l'Université de Montréal, avait été effectuée en parallèle dans le but de savoir si la présence d'une telle clinique pouvait induire une certaine détérioration du quartier, notamment en matière de sécurité et de salubrité des lieux. Les résultats de cette seconde étude, intitulée NAOMI-Community Impact, qui ont été rendus publics hier, ont révélé que la clinique n'a induit aucune augmentation de la criminalité (violence envers autrui et contre la propriété, trafic illicite de drogues), des incivilités, des comportements déviants et de l'insécurité que pouvaient ressentir les habitants du quartier. Elle n'a également eu aucun effet négatif sur la quantité de débris de seringue dans le voisinage. «En fait, nous avons même relevé une réduction du nombre de débris», a précisé le criminologue. À Vancouver, où le projet NAOMI a aussi été mené, aucun impact négatif n'a été observé sur la communauté, comme à Montréal, et ce, même si la population d'héroïnomanes y est plus nombreuse. Le projet étant terminé, la clinique est fermée. Depuis deux ans, la Dre Brissette insiste auprès du ministère de la Santé pour qu'une clinique soit maintenue ouverte à Montréal. Ses demandes sont demeurées jusqu'à maintenant sans réponse. «Pour les décideurs, l'impact sur la communauté est une variable très importante. Or notre étude indique qu'il n'y a pas eu d'impact négatif sur la communauté. On espère qu'elle les convaincra», lance-t-elle avant de souligner que plusieurs pays européens, dont la Suisse et les Pays-Bas, ont déjà implanté sur leur territoire de telles cliniques. En Grande-Bretagne, une telle approche est pratiquée depuis longtemps dans les cabinets de médecins. En Allemagne et en Espagne, des programmes similaires sont en voie d'être approuvés. http://www.ledevoir.com/2009/02/18/234488.html (18/2/2009 10H33)
  5. Le CHUM laisse l'ophtalmologie au privé Kathleen Lévesque Édition du samedi 06 et du dimanche 07 septembre 2008 Les soins, l'enseignement et la recherche entre les mains du Groupe Sedna, de Michel Clair. Le CHUM s'apprête à conclure une entente avec le Groupe santé Sedna, présidé par Michel Clair, afin de créer une clinique privée qui offrira les soins, l'enseignement et la recherche en ophtalmologie en lieu et place du CHUM, a appris Le Devoir. Cette clinique devrait avoir pignon sur rue sur Viger, juste à l'arrière du CHUM, alors que le complexe médical projeté par le chanteur Garou sera situé en face, boulevard René-Lévesque, comme le révélait plus tôt cette semaine Le Devoir. Elle doit regrouper les 26 médecins spécialistes qui travaillent à l'heure actuelle en ophtalmologie dans les trois pavillons qui forment le CHUM, avec un équipement haut de gamme et une superficie de travail plus grande que ce que pourrait offrir le projet du futur CHUM. Les négociations sont en cours depuis plus d'un an et demi entre le CHUM et le Groupe santé Sedna pour mettre sur pied ce centre médical spécialisé associé (CMSA), comme le permet la nouvelle Loi sur les services de santé. Ainsi, le CHUM emprunte la voie du privé tout comme l'a fait l'année dernière l'hôpital Sacré-Coeur avec le centre médical Rockland MD, qui offre des services chirurgicaux. Le CHUM s'est borné hier à confirmer l'existence des pourparlers. Toute autre question, notamment sur l'ampleur du transfert budgétaire, est demeurée sans réponse. «C'est confidentiel», a-t-on soutenu. Joint hier, Michel Clair a affirmé que le projet «de standard international» est «très avancé». Il a aussi expliqué que ce partenariat permettrait d'améliorer l'accessibilité des soins et de «faire faire un saut technologique important» à l'hôpital. Le centre médical spécialisé associé ne sera pas «un concurrent» mais bien «une partie intégrante du CHUM», a précisé son promoteur. «Depuis le début, il est prévu que le CHUM se déleste de certaines spécialités dans le cadre de la relocalisation du CHUM. Les médecins se sont donc regroupés pour ne pas réduire leur volume de services et ne pas se retrouver avec des activités morcelées sur plusieurs sites», a affirmé Michel Clair. Ce dernier est l'un des actionnaires de Groupe santé Sedna, dont il est le président. Cette entreprise est déjà un partenaire actif du réseau de santé public à travers ses filiales, notamment son centre de réadaptation, Villa Médica, et le Groupe Champlain qui gère 1443 lits de soins de longue durée. Michel Clair, un ancien ministre péquiste sous René Lévesque, a présidé en 2000 la Commission sur le financement des services de santé au Québec. Son rapport proposait l'instauration de groupes de médecine familiale (GMF) et de cliniques affiliées aux hôpitaux. Sur ce dernier élément, M. Clair arguait à l'époque qu'avec ces cliniques affiliées, devenues aujourd'hui des CMSA, il n'y aurait qu'une seule liste d'attente pour désengorger les hôpitaux et que l'État demeurerait le seul payeur. Alors que les négociations avec le CHUM était déjà avancées avec Sedna, le CHUM a créé en mai dernier un conseil consultatif afin de «favoriser et faciliter l'intégration du CHUM dans les différentes sphères de la société au plan de son développement». Or Michel Clair est l'une des personnes qui siègent à ce conseil. À ses côtés, on retrouve également Jacques Ménard, qui a présidé le Comité de travail sur la pérennité du système de santé et des services sociaux, qui a remis son rapport en 2005 et qui prônait une présence accrue du secteur privé. Il y a aussi le promoteur immobilier Philip O'Brien, qui a un projet de transformation de la gare-hôtel Viger avec un hébergement haut de gamme pour répondre notamment aux besoins de la clientèle du CHUM. Selon Michel Clair, sa présence à ce conseil consultatif ne représente aucun problème. «J'essaie de faire ma part dans la société. Je suis déjà membre du conseil d'administration de l'hôpital Louis-Hippolyte Lafontaine. Il n'y a pas de conflit de rôles. Ce conseil consultatif n'a aucune autorité sur rien», a-t-il soutenu. M. Clair refuse l'étiquette de clinique privée pour parler de son projet, comparativement à celui mené par le chanteur et homme d'affaires Garou (de son vrai nom, Pierre Garand). «C'est une vue de l'esprit que de penser qu'un centre hospitalier universitaire doit être physiquement dans un seul bâtiment. L'important, c'est que la cohésion soit déterminée par une même direction clinique et la même politique de contrôle et de qualité des actes médicaux. Nous ne sommes donc pas en train d'amoindrir la force du CHUM», a fait valoir Michel Clair. Depuis deux semaines, la Fédération des médecins spécialistes du Québec s'inquiète toutefois que certaines activités du CHUM puissent se retrouver à l'extérieur de ses murs, dans la nouvelle construction prévue au centre-ville. Selon son président, Gaétan Barrette, un véritable centre hospitalier universitaire ne peut se limiter à des spécialités, sinon il contourne son obligation d'offrir une formation complète aux étudiants de médecine. Dans ce cas-ci, le CHUM est associé à l'Université de Montréal. Le Groupe santé Sedna a rencontré à deux reprises des représentants de la Ville de Montréal, sans toutefois avoir déposé de projet concret.
  6. un autre exemple pathétique de nos taxes à l'oeuvre au fédéral Complexe Guy-Favreau: le mail se vide 28 février 2007 - 06h14 La Presse Laurier Cloutier Le complexe Guy-Favreau vient d'entreprendre la «revitalisation de son mail commercial», dit la pancarte. Mais dans les faits, les commerces tombent comme des mouches et les locaux se vident. Le mail Guy-Favreau ne comprendra pas plus que la moitié de ses commerces habituels à la fin des travaux, selon les détaillants. Le porte-parole de Travaux publics Canada n'a pas rappelé La Presse Affaires pour commenter les travaux, qui se limiteraient à 1 million de dollars, d'ici la fin du mois prochain (mars 2007). Selon la propriétaire de Marie-Josée Leblanc Opticienne, qui a fini par s'installer au Palais des congrès, de guerre lasse, il ne restera plus que quatre commerces sur 15 au mail Guy-Favreau. Seulement six sur 17 commerces, selon Rosaire Blouin, propriétaire de la bijouterie Création de Sade, qui doit fermer le 15 mai 2007. Pourtant, en face, boulevard René-Lévesque, le mail commercial du complexe Desjardins va très bien, avec 110 commerces, dont Renaud-Bray, Aldo, Le Château et La Vie en rose, et une foire alimentaire pour 1000 personnes. Le mail Guy-Favreau, pour sa part, a fermé sa foire alimentaire, il y a trois ans, et Création de Sade a alors perdu une part importante de son chiffre d'affaires, faute d'affluence. Création de Sade est arrivée au mail Guy-Favreau il y a 21 ans, mais la veille de la Saint-Valentin, Travaux publics Canada a exigé de Rosaire Blouin qu'il vide rapidement les lieux. Les loyers des autres commerces augmentent de 50%, selon lui. «Je n'arriverais jamais à faire mes frais. Je ne vais pas me battre, c'est trop con. Je ne vais pas me casser les roubignoles avec ça. Ça me fais suer, mais je ne suis pas prêt à tuer encore», a lancé Rosaire Blouin. Par contre, Marie-Josée Leblanc a mené une bataille contre Travaux publics Canada, car elle ne pouvait pas déménager facilement sa clinique d'opticienne, avec 30 000 clients. Grâce à l'accès à l'information, elle a raconté en ses propres mots avoir découvert un bordel administratif et avoir été dégoûtée de la mauvaise utilisation des fonds publics. Ce sont des bureaux et des centres de services qui vont occuper la moitié des locaux, selon Marie-Josée Leblanc et Rosaire Blouin. Il ne va rester que Van Houtte, le dépanneur Petit Calumet et quelques commerces. «Depuis 20 ans, ça a toujours été mal géré, c'est épouvantable. Travaux publics Canada et ses mandataires n'ont rien fait. Ça fait 20 ans qu'on a un éclairage de salon mortuaire», a ajouté Rosaire Blouin. Création de Sade n'avait plus qu'un bail au mois depuis deux ans et, ainsi, Rosaire Blouin ne pouvait même pas vendre son commerce, a-t-il dit. Pendant 18 mois, Marie-Josée Leblanc a dû payer deux loyers dans la phase de transition de sa clinique, vers le Palais des congrès. «La planification au mail Guy-Favreau n'était jamais terminée» et l'opticienne ne savait plus sur quel pied danser, pour sa clientèle. Avec les hausses de loyer annoncées, sa clinique n'aurait pas pu survivre, selon elle. C'est ainsi que son voisin du Relais Gourmand a dû fermer, après 23 ans, et a perdu son commerce de 800 000 $, selon elle.
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