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Nouvelle Maison Radio-Canada - 8 étages (2020)


loulou123

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Il faut faire un plan d'ensemble du style Bassin du Havre et ne surtout pas développer à la pièce. De plus, les vues sur le centre-ville, le Pont Jacques-Cartier et le fleuve sont tout simplement écoeurantes, donc profitez-en pour les maximiser et ne pas faire du 2-3 étages.

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Il faut faire un plan d'ensemble du style Bassin du Havre et ne surtout pas développer à la pièce. De plus, les vues sur le centre-ville, le Pont Jacques-Cartier et le fleuve sont tout simplement écoeurantes, donc profitez-en pour les maximiser et ne pas faire du 2-3 étages.

 

 

Citation du rapport de l'OCPM en 2009, mais déja 5 ans ont passé. Dans 2011, le PPU du quartier Sainte-Marie (côté est de la rue Papineau) a augmenté les densités. Le promoteur va probablement demander des augmentations aussi.

http://ocpm.qc.ca/sites/ocpm.qc.ca/files/rapports/Rapport_site_radio_canada.pdf

 

Radio-Canada prévoit que 2 200 logements pourraient être construits dans les nouveaux immeubles, ainsi que des commerces et des bureaux. Cependant, la répartition exacte des usages

reste à déterminer. Les hauteurs des édifices projetés varient de 30 à 44 mètres, soit de 8 à 11

étages, sauf pour la rue Wolfe où les hauteurs varient de 8 à 16 mètres, soit 2 à 4 étages. Le

basilaire existant sera surélevé de deux étages, correspondant ainsi à 4 étages (17,5 m). La

densité prévue est de 10.

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Voici les firmes dans les 2 consortiums retenus sur les 3 a l'origine, SNC-Lavalin Prevel ne font plus partie...

 

http://www.cbc.radio-canada.ca/en/media-centre/2012/08/16/

 

 

 

  • Consortium Média Cité:

Busac Inc. - Fiera Axium Infrastructure Inc. - Samcon Inc. - Pomerleau Inc. - CHB-IBI Inc. - Société de contrôle Johnson Canada S.E.C. - Brookfield Financial - Jodoin Lamarre Pratte et associés architectes - Provencher Roy + Associés Architectes - GÉNIVAR Inc. - Pageau Morel et Associés - Bouthillette Parizeau et associés Inc. - Arup Canada Inc. - Communication Didcom Inc. - Blake, Cassels & Graydon - S.E.N.C.R.L./s.r.l.

 

  • Partenaires du développement de la Maison:

Broccolini GP Inc. (Broccolini LP II) - Fengate Capital Management Ltd. - Broccolini Construction Inc. - Urban Capital Property Group - Development McGill - Béïque Legault Thuot Architects - Quadrangle - Cofely Service Inc. - Dupras Ledoux - CLA Experts-Conseils - GH+A - National Bank Financial - McMillan LLP - Enermodal Engineering - Aercoustics - Public Work - Marchand Houle & Associates Inc.

 

 

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EXCLUSIF

Publié le 20 mai 2014 à 05h00 | Mis à jour à 08h59

Radio-Canada: le projet de transformation sur la glace

 

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«On ne donne pas la même valeur au terrain et aux installations que ce que Radio-Canada s'attendait à en obtenir», a indiqué Michel Couillard, président de Busac, l'une des quinze entreprises formant le Consortium Media Cité.

PHOTO: FRANÇOIS ROY, ARCHIVES LA PRESSE

 

=author%3AKathleen+L%C3%A9vesque&sort=recent"]KATHLEEN LÉVESQUE

La Presse

 

 

Le projet de transformation de l'immense site de Radio-Canada à Montréal, y compris de sa tour, est sur la glace depuis plusieurs mois et pourrait être profondément modifié avant d'être relancé, a appris La Presse.

 

En date du 25 février dernier, les services immobiliers et les services juridiques de Radio-Canada ont présenté au conseil d'administration un rapport d'étape que La Presse a obtenu. On peut y lire que «tout le travail a été suspendu en attendant le règlement» de certaines questions, notamment les coûts du projet pour la société d'État.

Radio-Canada a estimé qu'elle aurait à débourser 27 millions par année pour se loger dans un nouvel immeuble construit sur les lieux. Mais il semble que les deux consortiums en lice pour obtenir le contrat de déplacement de la Maison Radio-Canada (MRC) et du développement subséquent ne partagent pas la même évaluation.

Dans le document, on laisse voir une certaine mésentente entre la société d'État et les deux consortiums pour ce qui est de la valeur du terrain et des immeubles à développer ou à transformer. «La valeur [...] est perçue comme nulle ou négative par les soumissionnaires, ce qui empêche de respecter le seuil d'abordabilité», peut-on lire.

 

Des millions en jeu

Le seuil d'abordabilité est la différence entre les coûts d'occupation de l'immeuble et la rentabilité prévue en modifiant la vocation de la tour radio-canadienne, et en construisant des condos et du logement social sur les terrains, comme l'explique le président de Busac, Michel Couillard.

Busac est l'une des quinze entreprises formant le consortium connu sous le nom Consortium Média Cité. Le concurrent est Partenaires du développement de la Maison, composé notamment de Broccolini Construction, Development McGill et Beïque Legault Thuot Architectes.

M. Couillard ne donne pas de précision sur les sommes en jeu, mais reconnaît la divergence de vues. «On ne donne pas la même valeur au terrain et aux installations que ce que Radio-Canada s'attendait à en obtenir», a-t-il indiqué.

Selon un document présenté en avril 2013 aux administrateurs de Radio-Canada, les calculs de la société sont basés sur une valeur de revente totale de 65 millions. Cette somme correspond à 37,5 millions pour le bâtiment et les terrains est et ouest. Quant aux stationnements au pied de la MRC, leur valeur s'élèverait à 31 millions. Radio-Canada soustrait toutefois du total 3,8 millions afin d'assurer la construction d'une nouvelle MRC sur le site.

 

Scénario révisé

À Radio-Canada, la responsable des communications pour le projet de développement de la MRC, Hélène Forest-Allard, se montre prudente sur le sujet du «seuil d'abordabilité». «C'est la somme maximale que la société est prête à payer», s'est-elle bornée à expliquer.

Mme Forest-Allard a toutefois reconnu que «le projet de la Maison Radio-Canada est complexe» et nécessite des rajustements. «On travaille à amender le processus afin de revoir l'échéancier», a-t-elle ajouté.

Selon le rapport d'étape de février, «le projet de la MRC sera retardé de 18 à 24 mois». La situation est suffisamment délicate pour qu'une «réduction de la portée du projet» soit envisagée. «La réflexion sur ce projet est évolutive», a commenté Mme Forest-Allard.

Il est toutefois clairement établi dans le document présenté au conseil d'administration que «seules les solutions utilisant le site sont financièrement viables». Le projet en cours prévoit la construction d'une nouvelle MRC, mais deux autres scénarios sont également à l'étude.

Il s'agit d'un scénario qualifié d'hybride, car il suggère la «rénovation d'une portion de la MRC existante (idéalement les installations de production) et un nouvel immeuble administratif adjacent». On propose également un scénario se concentrant uniquement sur la rénovation partielle de la MRC actuellement en place.

Ces deux dernières hypothèses nécessitent toutefois un nouveau processus d'approvisionnement. Les administrateurs de Radio-Canada ont été informés qu'un tel changement comporte des «risques élevés», notamment en matière de réputation.

Le conseil d'administration doit se prononcer d'ici l'été sur la révision du projet.

 

Compressions

 

Radio-Canada est sous pression budgétaire depuis plusieurs années. À la mi-avril, la société d'État a annoncé une deuxième vague de compressions en deux ans. Cette fois, il s'agit de compressions de 130 millions de dollars qui entraîneront la suppression de 657 postes. La direction de Radio-Canada soutient toutefois que cette situation est indépendante du projet de transformation de son site montréalais. «De toute façon, Radio-Canada a besoin d'installations qui répondent à ses besoins», a indiqué Hélène Forest-Allard, responsable des communications pour le projet.

 

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Assez surprenante cette complexité de projet qui fait que tout se paralyse, par des interprétations qui varient selon les différents intervenants. On a l'impression que l'on nage dans la totale improvisation, un peu à l'instar de l'UQUAM dans son projet au métro Berri. C'est sûr que ce n'est pas évident de donner une seconde vocation à la MRC qui est occupée par des bureaux et directement connectée à ses studios et ses entrepôts souterrains. Pas évident non plus d'en refaire l'intérieur avec un incontournable réseau de plomberie pour accommoder un hôtel ou des habitations. Sans parler aussi du probable amiante dans ses murs? A vérifier...

 

Pourquoi ne pas garder le statu quo et rénover ce qui peut l'être, en développant indépendamment les stationnements de part et d'autre? Une chose est sûre, ce désert de béton qui devient un ilot de chaleur important pour le secteur, n'a plus sa place en plein coeur de la ville. L'a-t-il même déjà eu? Les années 60-70 avec leur vision bulldozer a été une erreur urbaine magistrale, qu'il faut maintenant à tout prix corriger, qu'importe la formule retenue par R-C.

 

Ces immenses terrains ont une valeur certaine, mais elle dépendra directement de la demande du marché, et c'est là où les opinions vont diverger. Vouloir en faire un quartier intégré d'un seul bloc, augmente le niveau de difficulté, et joue certainement sur le calcul de sa rentabilité, à cause de multiples variables dans le temps. Tout dépendra de la densité souhaitée. Comme le marché immobilier à Montréal n'est pas élastique, on peut facilement imaginer l'équation suivante: que la densité sera proportionnelle au temps qu'il faudra pour développer tout le projet.

 

Un facteur joue en sa faveur, l'immense chantier du CHUM, qui déjà la première phase complétée, augmentera la demande de logements à proximité. Le métro est aussi un atout indéniable. Un facteur négatif cependant: l'est de la ville n'a pas la même perception positive que l'ouest, et ce qui n'aide pas non plus, est le voisinage du pont, tout comme l'autoroute, qui seront perçues comme des nuisances sonores et de pollution ambiante.

 

On est donc encore loin du rêve et il faudra travailler fort pour convaincre tout le monde de la viabilité d'un projet de cette envergure. On en revient à la formule classique de l'immobilier dont les trois priorités sont: le site, le site et le site.

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Ça sonne 'négociation' pour revoir les estimés et les montants. Les consortiums ont peut-être raison. Le processus semble long et complexe. On parle d'ou moins 6 ans déjà depuis les consultation publiques de l'OCPM...

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  • 2 semaines plus tard...

XCLUSIF

Publié le 29 mai 2014 à 05h00 | Mis à jour à 05h00

 

Un PPP pour la transformation de la Maison de Radio-Canada:

 

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Le site de la maison de Radio-Canada est appelé à changer.

PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE

=author%3AKathleen+L%C3%A9vesque&sort=recent"]KATHLEEN LÉVESQUE

La Presse

 

 

La direction de Radio-Canada s'en défend, mais le président du conseil d'administration l'admet: la transformation de la maison de Radio-Canada (MRC) se fera en partenariat avec le secteur privé (PPP).

 

«Le PPP va nous coûter moins cher que de rester dans les installations actuelles, qui ne répondent plus aux besoins de la société», a affirmé à La Presse Rémi Racine, président du conseil d'administration de Radio-Canada.

 

Selon les documents de mise à jour présentés en avril dernier aux administrateurs de la société d'État, que La Presse a obtenus, le recours au PPP se justifie par le fait que «la structure de financement de CBC/Radio-Canada rend l'acquisition peu souhaitable». «L'immobilier n'est pas une activité fondamentale de CBC/Radio-Canada», peut-on lire.

 

À la direction de Radio-Canada, on assure malgré tout que le projet qui consiste à construire un nouvel édifice pour la Société ainsi qu'à réaménager la tour et les immenses terrains de stationnement n'est pas un PPP. «Radio-Canada va être locataire et ne reprendra pas possession des installations à la fin du bail à long terme», soutient Hélène Forest-Allard, responsable des communications pour le projet de la MRC.

M. Racine affirme toutefois que Radio-Canada a bel et bien choisi de fonctionner en PPP. D'ailleurs, a-t-il souligné, l'agence fédérale PPP Canada a apporté son soutien dans le dossier, notent les documents transmis au conseil d'administration. PPP Canada affirme toutefois le contraire.

 

Quoi qu'il en soit, le déménagement de la MRC est retardé, notamment à cause de problèmes de financement. Radio-Canada estimait le coût du projet à 27 millions (seuil d'abordabilité), mais il semble que les deux consortiums pressentis fassent des calculs différents.

 

Selon Rémi Racine, les compressions du gouvernement Harper n'ont pas joué dans le report du projet (de 18 à 24 mois). «Ça n'a rien à voir. Les compressions du gouvernement remontent à deux, trois ans. Quant aux compressions actuelles, elles sont liées essentiellement à la perte de revenus publicitaires et à la perte de la diffusion des matchs de hockey», a précisé M. Racine.

 

Il croit tout de même que Radio-Canada aura de nouvelles infrastructures.

 

Le député du NPD, Pierre Nantel, porte-parole en matière de patrimoine, ne partage pas cet enthousiasme. S'il ne conteste pas la nécessité d'un lieu «mieux adapté» aux nouvelles technologies, notamment, il estime que le projet se fait «dans la panique et le tâtonnement». Le recours au PPP n'a rien pour le rassurer.

«L'acharnement du gouvernement Harper sur Radio-Canada fait en sorte qu'on se retrouve devant une «vente de feu» improvisée. Le silence qui entoure quelque chose d'aussi public que Radio-Canada, une icône du développement culturel francophone, est désolant», a déclaré M. Nantel.

 

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«L'acharnement du gouvernement Harper sur Radio-Canada fait en sorte qu'on se retrouve devant une «vente de feu» improvisée. Le silence qui entoure quelque chose d'aussi public que Radio-Canada, une icône du développement culturel francophone, est désolant», a déclaré M. Nantel.

 

Peu importe les retards dans ce dossier, voilà la preuve que une entente sera signée avec un consortium avant les prochaines élections.

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