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La Mercedes SLS électrique débarquera en 2013

 

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Photo Autoweek - Agrandir

 

La Mercedes SLS-AMG.

 

Charles René

 

La Presse

 

Le fait que Mercedes travaille actuellement sur une version complètement électrique de sa SLS n'est un secret pour personne. Sauf que le constructeur a annoncé qu'il allait la produire dès 2013, au lieu de l'année-butoir 2015.

 

Préservant l'architecture de base de la version V8, Mercedes va équiper sa monture baptisée SLS eDrive de quatre moteurs électriques produisant 100 kW chacun, moteurs qui entraineront chaque roue de manière indépendante.

 

On a donc droit à une puissance totale de 536 chevaux et, surtout, à un couple monstrueux de 649 livres/pied, comparativement à 479 livres/pied pour le V8 de 6,2 litres de la SLS AMG.

 

Voilà donc une sérieuse rivale à la Tesla Roadster, première voiture du genre foncièrement sportive.

 

> Pour lire la suite et laisser vos commentaires, rendez-vous sur L'Auto blogue.

 

http://monvolant.cyberpresse.ca/opinions/lauto-blogue/201005/14/01-4280554-la-mercedes-sls-electrique-debarquera-en-2013.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_les-plus-populaires-sur-monvolant_article_ECRAN1POS1

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Ce n'est pas le temps de diminuer la capacité de nos autoroutes! Au contraire, je prédis une augmentation du traffic, avec plus de petits véhicules , électriques, qui vont prendre la route!

J'espère que nos décideurs locaux vont se réveiller.

 

vieux post mais bon ..

 

 

^^ il n'y pas que l'impact environmental qui motive l'utilisation de transports collectifs - en fait c'est probablement la derniere raison pour laquelle les gens en font usage. les couts d'achat, d'entretien & d'utilisation d'une automobile, ainsi que des contraintes evidentes en milieu dense sont souvent des facteurs beaucoup plus forts dans le choix du moyen de locomotion.

 

pensez vous vraiment que plus de gens a manhattan utilisent le metro pour se deplacer que n'importe ou ailleurs en amerique du nord parce que c'est "vert" ? ... l'arrive de vehicules a zero emissions aura surement un impact sur le paysage urbain du futur mais il restera j'espere toujours des gens qui vont preferer habiter dans un milieu ou la pinte de lait est toujours a l'interieur d'une minute de marche.

 

moi j'ai rien contre le fait d'augmenter la capacite des routes & les places de stationnement, pour ceux qui voudront arriver de loin pour la plupart de leur activites. je ne veux juste pas qu'on oubli que la ville optimale est constituee d'une panoplie de commerces de proximite divers, dans laquelle l'automobile reste optionnelle, meme pour le travail. je pense que tout le monde est un peu dans le champ quand on parles que le seul facteur qui motive le developement du transport en commun sont des facteurs environementaux. tant du cote des gens qui sont pour que ceux qui sont contre, c'est tout ce qu'on entends. alors que selon moi, ca n'a rien a voir avec l'environnement. pas meme un peu.

 

:banghead:

Modifié par pedepy
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Bien d'accord avec toi Pedepy. Certains bon penseurs utilisent l'argument environnemental pour justifier une diminution de la capacité routière. C'est un argument qui me semble bien faible effectivement.

 

La voiture est là pour rester, sa qualité imbattable étant qu'elle offre une grande liberté de déplacement à l'individu.

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bien d'accord mais si tu lis bien mon argument, tu verra que je suis plutot en faveur de d'abord accroitre l'offre de transport en commun et de densifier la ville. car un des probleme avec l'automobile est qu'elle exerce des pressions sur les plans d'urbanismes qui ensuite tendent a creer une dependance de son utilisation.

 

c'est sur qu'on pourrait dire qu'un endroit dense a l'extreme tends a creer une dependance sur les transports collectifs en limitant au maximum l'efficacite de l'automobile. mais selon moi tant que la mixite des zonages et la variete des commerces permet a une forte majorite des deplacements de pouvoir etre fait a pied, ca demeure a mon avis une meilleure alternative a un scenario ou un citoyen sans vehicule ne peut pratiquement rien faire, ou que les deplacements autrement qu'en voiture prennent des temps interminables..

 

je sais pas si je dirais que la liberte de deplacement est si grande quand la distance de marche entre la place de stationnement et la porte du centre d'achat est plus grande que celle entre la porte de la maison et celle du commerce de proximite equivalent.

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Personnellement je suis tout a fait pour un accroissement de la densité. Je vais vivre à Manhattan avec ma partenaire et j'en suis bien heureux. Cependant, même les habitants de Manhattan sont bien heureux de pouvoir monter dans une voiture et de sortir de là très souvent pour s'évader d'un monde où l'extrème densité peut être étouffante.

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Oui, pour résumer, mon point est que les décideurs et certains qui pensent tout haut ne comprennent pas que le désir d'avoir une automobile dans toutes les couches de la société est tellement profond que d'essayer de la repousser ou de limiter son accès va jusqu'à un certain point nuire à l'ensemble plutôt que de l'aider, d'autant plus que l'argument qu'il faille limiter la pollution sera fortement mitigé dans un avenir approché.

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En encourageant le développement et l'accèssibilité des voitures hybrides et électriques qui soient également plus petites (genre le gabarit d'une Smart), les gouvernements pourraient à la fois règler une partie du fardeau environnemental et en même temps désengorger les routes. Une Smart électrique ou hybride au coût d'une Hyundai Accent pourrair être très attrayante pour une clientèle urbaine. Ensuite, pour les escapades hor de la ville il resterait l'option de la location par exemple.

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  • 3 semaines plus tard...

01 juin 2010

 

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Sylvain Larocque

 

Agence France-Presse

 

Montréal

 

D'ici 2011, les premières bornes de recharge publiques pour voitures électriques devraient apparaître dans le paysage québécois.

 

C'est ce que prévoit une entente annoncée mardi entre le gouvernement du Québec, Hydro-Québec, la Ville de Montréal, la Ville de Québec et Nissan Canada.

 

Dans le cadre de cet accord, le service d'autopartage Communauto s'engage à acquérir 50 exemplaires de la voiture électrique Nissan Leaf, qui sera commercialisée au Québec d'ici la fin 2011. Ils s'ajouteront aux 1000 véhicules conventionnels que l'entreprise met déjà à la disposition de ses quelque 20 000 membres.

 

Communauto compte offrir les Leaf à ses usagers selon la même tarification que ses véhicules actuels, principalement des Yaris de Toyota. Or, les Yaris lui coûtent environ 19 000 $ la pièce, alors que la Leaf sera vendue 32 780 $ US (34 300 $ CAN, près de 40 000 $ avec les taxes et autres frais).

L'entreprise pourra toutefois réclamer un crédit d'impôt pour véhicule tout électrique de 8000 $ et une aide additionnelle de 2000 $ de Québec, de sorte que chaque Leaf lui reviendra à environ 30 000 $.

 

C'est sans compter que l'électricité coûte beaucoup moins cher que l'essence (environ 3 $ par recharge). De plus, Communauto s'attend à ce que la facture d'entretien des Leaf soit moins élevée que celle des voitures à essence.

 

En 2003, Communauto avait annoncé la mise en service, à Montréal, d'une centaine de voitures électriques, mais le projet avait avorté parce qu'aucun véhicule adéquat n'était alors disponible sur le marché.

L'entente entre les pouvoirs publics et Nissan prévoit la formation d'un groupe de travail sur la planification de l'infrastructure de recharge. C'est à Hydro-Québec qu'il reviendra d'installer les bornes dont aura besoin Communauto.

 

«En cours d'année 2011, l'infrastructure va se déployer pour que quand les voitures arriveront, tout ça soit fonctionnel», a expliqué le président-directeur général de la société d'État, Thierry Vandal, en conférence de presse.

 

Autres expériences

À Seattle, dans l'État de Washington, une cinquantaine de bornes de rechargement rapide adaptées à la Leaf apparaîtront d'ici la fin de l'année dans le cadre d'un projet pilote.

 

La Leaf ne sera pas la seule voiture électrique à être mise en marché au Québec en 2011. General Motors prévoit également lancer sa Chevrolet Volt l'an prochain au Canada.

 

En janvier, Hydro-Québec a annoncé qu'elle procéderait à l'essai, l'automne prochain à Boucherville, de 50 voitures électriques Mitsubishi. De plus, la société d'État teste actuellement des véhicules Ford Escape hybrides rechargeables.

 

Sur le plan de la recherche, 150 moteurs électriques fabriqués par TM4, une filiale d'Hydro, seront mis à l'épreuve à partir de cet été dans des voitures du constructeur indien Tata Motors qui rouleront en Norvège et en Grande-Bretagne. Hydro-Québec travaille aussi à l'amélioration des batteries destinées aux véhicules électriques.

 

Nissan estime que d'ici 10 ans, 10 pour cent des automobiles seront électriques en Amérique du Nord. Hydro se montre plus ambitieuse et assure pouvoir alimenter facilement un million de véhicules, soit 25 pour cent du parc québécois actuel, à partir de l'électricité produite dans une seule centrale de taille moyenne.

 

Québec promet de présenter un «plan d'action gouvernemental sur les voitures électriques» au cours des prochains mois. On veut notamment accélérer la création d'emplois dans ce secteur, qui demeure marginal pour l'instant dans la province.

 

«Le Québec est une terre d'accueil naturelle pour les véhicules électriques», a déclaré la ministre des Ressources naturelles, Nathalie Normandeau.

«Nous avons l'ambition de devenir des leaders en la matière en créant un environnement d'affaires pour faciliter l'implantation des véhicules électriques partout sur notre territoire», a-t-elle ajouté.

 

http://monvolant.cyberpresse.ca/nouvelles/201006/01/01-4285889-voitures-electriques-hydro-installera-des-bornes-de-recharge.php

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