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CHUM - 17, 20 étages (2021)


monctezuma

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Nouvelles du CHUM

 

 

Chantier du nouveau CHUM

Fermeture permanente de la rue de La Gauchetière

 

 

Montréal, le 17 mars 2011 – Dans la nuit du dimanche 20 mars au lundi 21 mars prochain, le CHUM procédera à la fermeture complète et permanente de la rue de La Gauchetière entre les rues Saint-Denis et Sanguinet. Les piétons et automobilistes transitant par le secteur devront désormais emprunter la rue Viger Est pour accéder à la rue Sanguinet. Cette fermeture de rue survient dans le contexte du début des travaux de construction du nouveau CHUM.

 

Le CHUM a fait l’acquisition de la rue de La Gauchetière en mars 2010. Au cours des derniers mois, des travaux y ont été menés, notamment par la Commission des services électriques de Montréal et par Gaz Métro pour relocaliser les services situés sous la chaussée. La rue de La Gauchetière changera ainsi de vocation pour être intégrée au complexe du nouveau CHUM, dont les portes ouvriront en 2016.

 

Le consortium sélectionné pour la construction et l’entretien du nouvel hôpital, CHUM Collectif, entreprendra sous peu des travaux qui modifieront considérablement le quadrilatère formé par les rues Saint-Denis, Viger Est et Sanguinet, ainsi que le boulevard René-Lévesque Est.

 

Travaux préparatoires : démolition du pavillon Roland-Bock

D’autres activités se dérouleront au cours des prochaines semaines dans le périmètre de l’actuel Hôpital Saint-Luc. Dès le 21 mars, s’amorcera la démolition extérieure du pavillon Roland-Bock, lequel est situé à l’angle des rues Sanguinet et de La Gauchetière. Ainsi, les balcons en acier de la façade Nord et la passerelle reliant le pavillon Roland-Bock au 2e étage de l’Hôpital Saint-Luc seront démolis.

 

http://www.chumtl.qc.ca/accueil.fr.html

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Document intéressant pour les amateurs d'histoire, c'est une étude patrimoniale sur l'hôpital St-Luc et du pavillon Rolland-Bock. Avec photos anciennes et historique de la construction du pavillon actuel. A voir page 39 agrandissement de l'hôpital sur René-Lévesque en 1961

 

 

 

 

http://www.chumtl.qc.ca/userfiles/File/PUBLICATIONS/chum2010/ppp/20_etude_version_finale.pdf

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Document intéressant pour les amateurs d'histoire, c'est une étude patrimoniale sur l'hôpital St-Luc et du pavillon Rolland-Bock. Avec photos anciennes et historique de la construction du pavillon actuel. A voir page 39 agrandissement de l'hôpital sur René-Lévesque en 1961

 

http://www.chumtl.qc.ca/userfiles/File/PUBLICATIONS/chum2010/ppp/20_etude_version_finale.pdf

 

S'il faut qu'il parle de tout les débats concernant le CHUM, je pense qu'il va falloir réservé une aile complète ! :P

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Speaking of 2016...

 

Quebec's healthcare system is being primed to go completely digital over the next few years.

 

Health Minister Yves Bolduc says by 2016 hospitals and medical clinics should be using electronic medical charts and files.

 

The computer programs are expected to make the practice of medicine more efficient and secure.

 

Dr. Jeff Barkun, a surgeon at the McGill University Health Centre, said it makes a difference.

 

"It's changed the lives of physicians who have to deal with a lot of information at the same time," he told CTV Montreal's Cindy Sherwin.

 

"It gives you all the information in one place."

 

(Courtesy of CTV Montreal)

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Si j'ai bien compris, et d'apres les ebauches, le clocher ne sera pas reconstruit tel qu'il etait lors de la demolition de l'eglise, mais plutot tel qu'il etait lors de sa construction, la fleche du clocher etait alors differente, je crois.

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Santé

Un CHUM qui s'adapte, malgré les coûts

Agence QMI

Jean-François Cyr

22/03/2011 19h03

 

20110322-190348-g.jpg

Une maquette du CHUM

 

©Agence QMI/Archives

 

Le mégaprojet du CHUM doit être plus «flexible» et en mesure de s’adapter aux changements du milieu de la santé, et ce, même si cela doit mener à d’autres coûts imprévus, estime son directeur général, Christian Paire.

«Il est indispensable qu’on soit au rendez-vous de l’échéancier fixé au début de l’année 2016. C’est aussi impératif que les coûts soient respectés, sans ça l’entente ne sera pas signée. Mais j’insiste sur la nécessaire flexibilité. Les besoins changent constamment. Il faut donc un système qui s’adapte», a-t-il expliqué lors d’un point de presse, après une allocution devant la Chambre de commerce du Montréal métropolitain.

 

Cette indispensable flexibilité pourrait légitimer, selon lui, des augmentations supplémentaires de frais au budget. «On peut avoir dans le projet tel que je le vois des facteurs supplémentaires de surcoût. On peut aussi avoir à l’inverse des éléments de rationalisation qui dégagent des économies», a-t-il souligné.

 

Les sous-traitants échappent aux règles publiques?

 

Bien que le gouvernement du Québec soit tenu à l’écart de la sélection des sous-traitants qui contribueront à bâtir le CHUM, M. Paire est convaincu que le rôle de nos dirigeants est fondamental dans le processus décisionnel global.

 

«Chaque fois que j’ai eu besoin d’un soutien des pouvoirs publics, je l’ai eu. Deux exemples: dans la conclusion du dossier du centre de recherche, en décembre 2009, j’ai été immédiatement entendu sur le fait qu’il fallait le démarrer tout de suite», a-t-il lancé avec conviction.

 

«Pour le nouvel hôpital, malgré une certaine révision du coût (le budget initial est passé de 1,2 milliard $ à plus de 2 milliards $), le gouvernement a suivi. Alors je serais mal placé pour bouder mon plaisir», a dit le directeur.

 

Rappelons que le quotidien Le Devoir révélait lundi matin que l’État québécois, qui assume pourtant 45 % du risque dans la construction du centre hospitalier en partenariat public-privé, n’a aucun pouvoir décisionnel dans le choix des sous-traitants. En fait, c’est au partenaire privé, un consortium appelé CHUM Collectif, que revient la responsabilité de sélectionner les architectes, ingénieurs et constructeurs.

 

Une situation qui permet notamment d’échapper aux règles publiques d’octroi de contrats normalement en vigueur lorsque le gouvernement est impliqué dans ce genre de projet.

 

CHUM Collectif n’aurait d’autant plus pas l’obligation de choisir des sous-traitants québécois ou canadiens. Le groupe a malgré tout fait appel à la firme montréalaise DCYSA, spécialisée en architecture, et à la firme québécoise Roche, qui mettra à profit son expertise en ingénierie.

 

Sur un budget total de plus de 2 milliards $, Québec déboursera 940 millions $ pour la construction du CHUM.

 

http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2011/03/20110322-190348.html

Modifié par monctezuma
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Hum mais pourquoi ils ont remblayés? La construction va plutôt commencer du coté Sanguinet et ils laissent de la place pour les roulettes et machineries du coté Saint-Denis?

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  • 3 semaines plus tard...

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