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Le Quartier des spectacles


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  • 2 semaines plus tard...

THE GAZETTE

 

Montreal: the city of creativity

Just for Laughs leader suggests a winning formula for our city

 

HENRY AUBIN, The Gazette

 

The idea of "branding" Montreal goes back at least as far as premier Lucien Bouchard's summit on the economy in 1996. Everyone applauded this notion of finding a well-focused theme on which to promote the city to tourists, investors and immigrants. But that's been the end of it. The themes so far suggested have been silly.

 

Until now.

 

Gilbert Rozon, head of the Just for Laughs Festival, proposed last week that Montreal market itself as a city of "creativity."

This identification seems obvious now that someone has put a finger on it.

 

The world already knows the Montreal region as the home of the Cirque du Soleil, Leonard Cohen and Céline Dion. The city's fertile soil also fosters many festivals, a prominent video-game industry and vigorous art, theatre, dance and song.

 

To be any good, a brand has to correspond with reality. Mayor Gérald Tremblay's suggestion that the opening of the Quartier des spectacles would allow Montreal to attain the "very first ranks of cities in the world of culture" does not meet that test. Rozon said that for that to be true this city would have to present world-class shows almost every night of the year. To think one can compete in this with New York and Paris is delusional.

 

Not much better was the Tremblay administration's promotion of Montreal a few years ago as "Knowledge City." When I mentioned this at the time to a British expert on city branding, Simon Anholt, he snickered, "Boring - only 763 other cities are trying to position themselves that way."

 

Creativity encompasses both knowledge and culture without sounding pretentious about either.

 

Creativity goes well beyond show business and the arts. It extends to the research and development going on in the city's four universities and various corporate labs. It also includes design - something that local architects are increasingly sensitive to (and that an electronic newsletter, the aptly-named Créativité Montréal, is promoting).

 

Creativity is also authentic to the city's character. As the urban guru Richard Florida of the University of Toronto wrote in The Gazette last fall, Montreal has an unusually large "creative class" - people from many occupations who can "blend arts and culture with engineering and technology, and (can) combine that with street-level creative energy." Stressing this side of Montreal's identity, as Rozon would do, would help attract people from outside Quebec with similar energy.

 

What kind of people would those be?

 

This is where Rozon gets into trouble with nationalists. He says Montreal's strength comes from a convergence of three historical influences: French, British and American. He sees this, and the increasing diversity brought by recent immigrants, as being a cauldron for creativity.

 

The Quebec government has a big say in immigration and gives priority to French speakers. Rozon says he wants to keep Bill 101 intact, but that Quebec should admit more people who do not yet speak French or, for that matter, English, but who can learn both languages and contribute to this creativity. Impératif français, a group defending the place of French, says this is a recipe for the further erosion of French in Montreal.

 

Rozon is on the right track, but there is no surer way to shut off the new blood on which any creative place depends than by hosting a language conflict and the political uncertainty that goes with it. The city's future prosperity could depend on reconciling creativity with the primacy of French.

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http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200902/23/01-830407-quartier-des-spectacles-la-ville-ne-veut-pas-payer-seule.php

 

24février

Quartier des spectacles: la Ville ne veut pas payer seule

 

 

Mario Cloutier

La Presse

Les coûts des travaux du Quartier des spectacles dans le secteur de la Place des Arts grimpent en flèche. Le projet initialement annoncé à 120 millions de dollars frôle désormais les 150 millions en raison de frais indirects, d'un échéancier serré et d'achats de terrain.

 

La Ville doit emprunter 25,5 millions supplémentaires pour le financer, mais pas question de payer seul, a déclaré le maire Gérald Tremblay à La Presse.

 

«On trouvera sûrement une façon de demander aux gouvernements, fédéral et provincial, de compenser les investissements additionnels qu'on a dû faire à court terme, dit-il. [...] Ce que les gouvernements n'ont pas nécessairement mis à la hauteur de nos attentes, on va les convaincre de nous redonner cet argent pour un autre projet. D'ailleurs, le Quartier des spectacles est un ensemble considérable de projets.»

 

Le maire Tremblay dit s'attendre à des investissements dans d'autres projets importants à Montréal, comme le Vieux-Port et le musée Pointe-à-Callière. «Même si à court terme, souligne le maire, ça nous coûte un petit peu plus cher en termes d'investissements, on va sûrement trouver une façon de compenser dans ces autres projets qui s'en viennent à Montréal.»

 

Le comité exécutif de la ville a entériné mercredi dernier l'emprunt de 25,5 millions pour le Quartier des spectacles. En tout, c'est 27 millions supplémentaires que Montréal consacrera à la réalisation des travaux dans le secteur de la Place des Arts.

 

Pour la Ville, la facture s'élève donc à 67 millions désormais, portant les investissements totaux, incluant l'apport de Québec, 40 millions, et d'Ottawa, 40 millions, à 147 millions.

 

«Mais c'était prévu que ça coûte autour de 150 millions de dollars dans le plan triennal d'immobilisation, insiste M. Tremblay. Il y avait des coûts admissibles et d'autres qui ne le sont pas. Ça n'a jamais été caché, c'était public.»

 

27 millions de plus

 

Parmi les coûts non admissibles aux subventions, on trouve 7,3 millions de coûts indirects: études d'ingénierie, planification écologique et supervision architecturale. À ce chapitre, le gouvernement fédéral a autorisé la Ville à dépenser 15% de sa subvention de 40 millions, mais les coûts indirects s'élèvent dans les faits à 22% et Montréal doit payer la différence.

 

La Ville doit aussi défrayer 7,3 millions de plus pour les coûts de construction déboursés avant la date d'admissibilité au programme d'infrastructures fédéral de Chantiers Canada.

 

«On ne pouvait pas attendre avec ce projet important pour Montréal, note M. Tremblay. On a décidé d'accélérer les travaux. On est dans l'action, nous.»

 

Les deux autres gouvernements savaient dès le départ, ajoute-t-il, que l'échéancier était très serré. La place des festivals, première phase des travaux sur Jeanne-Mance, doit être livrée l'été prochain pour le 30e anniversaire du Festival de jazz.

 

Enfin, l'expropriation et l'achat de terrains pour les phases ultérieures du projet autour de la Place des Arts, notamment le métro Saint-Laurent (voir autre texte), ont grimpé de 7,3 à 12,4 millions.

 

Ces trois postes de dépenses font monter la facture à 147 millions. Encore au début de décembre dernier, les fonctionnaires municipaux estimaient pourtant le coût total du projet à 130 millions.

 

Ottawa et Québec n'ont pas encore signé

 

En outre, Québec et Ottawa, n'ont pas encore signé l'entente qui permettra de débloquer les fonds de Chantiers Canada, 40 millions de chaque gouvernement, pour le Quartier des spectacles. Là aussi, Gérald Tremblay se dit confiant.

 

«On a eu une rencontre ce matin (hier) avec le comité de pilotage de suivi du Rendez-vous 2007: Montréal, métropole culturelle, et on a l'assurance qu'ils vont signer cette entente.»

 

L'entente globale entre les trois partenaires sur le Quartier des spectacles est signée, mais La Presse dévoilait, en octobre dernier, qu'un accord spécifique reste à être entériné entre Québec et Ottawa, ce qui n'a toujours pas été fait, même si la ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, a rencontré le ministre fédéral John Baird récemment.

 

«Ils ont convenu d'accélérer les discussions, indique l'attachée de presse de la ministre, Catherine Poulin. C'est assez complexe comme entente de contributions, mais on a de beaux projets auxquels on tient.»

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  • 2 semaines plus tard...

Main's red light row to get a makeover

Developer sees museums, galleries, boutiques

 

By LINDA GYULAI, The GazetteMarch 6, 2009

 

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Boarded-up windows line much of the down-at-the-heels block of St. Laurent, south of Ste. Catherine St., earmarked for development.

 

Some will say that history is being pressured to leave the Lower Main. Others, however, will see an opportunity for Montreal's most storied street to return to its glory days.

 

The first buildings in a long-coveted but dilapidated block of St. Laurent Blvd. between Ste. Catherine St. and René Lévesque Blvd. have been sold to a non-profit development corporation that wants to transform that part of the red light district into an eco-friendly showcase of art and socially responsible retail.

 

Socrates Goulakos, whose family has had a piece of the block for 85 years, sold his six buildings in mid-December to Angus Development Corp.

 

Angus is also behind a $16.5-million cultural centre to begin construction this summer at 2-22 Ste. Catherine St. E.

 

It's the heart of what will be Montreal's Quartier des spectacles performing arts district.

 

Real estate records show Goulakos sold the buildings for $6 million.

 

"This area needs a change," Goulakos said yesterday, explaining why he sold.

 

"In the last 10 years, there's always trouble. Police, ambulances, overdoses, girls getting beaten up."

 

The developer confirmed it's trying to acquire the buildings that house Main mainstays Café Cléopatre, Main Importing Grocery Inc. and the Montreal Pool Room.

 

Angus Development hopes to build a commercial complex in the block between St. Laurent and Clark St., next to the Monument National theatre.

 

The $110-million project is laid out in Angus Development's 2007-2008 annual report. It calls for most of the block to be razed, though a few facades would be preserved and integrated into a 500,000-square-foot complex spread over multiple floors.

 

The report says the street level on St. Laurent would become an avenue dedicated to "responsible retail," lined with stores selling fair-trade and bio-and eco-friendly products that promote Quebec design. The street would also feature a restaurant, lounge or café.

 

Clark, serving as a pigeon nest and graffiti-infested back entrance to St. Laurent, would become a pedestrian mall with art galleries and café-terrasses similar to the St. Roch district of Quebec City.

 

The upper floors - no number is given - would be offices.

 

And like the developer's industrial/commercial park on the site of the former Angus locomotive shops in the east end, the St. Laurent complex would aim for Leadership in Energy and Environmental Design for Neighbourhood Development (LEED-ND) gold certification from the U.S. Green Building Council.

 

Angus Development didn't announce its first building purchase because it's trying to buy other buildings in the block, corporation president Christian Yaccarini said.

 

The project is a long way from getting started because of that, he said. But, he added, "we'll be patient."

 

"This isn't just any street in Montreal," Yaccarini said.

 

"We want to give this part of St. Laurent back the pride it had in the past."

 

No chain stores and no fast-food joints would be rented space in the complex, he said.

 

The project's architecture and concept would be modern, but the complex would draw people back to the Lower Main, Yaccarini said.

 

"All the work we want to do is to allow the history of this street to continue," he said.

 

But while Angus Development says rebuilding the decaying block is the best way to respect the Main's heritage, a holdout building owner says the Main's history is a reason why his business should stay.

 

"I'm fine where I am," said Johnny Zoumboulakis, who owns Café Cléopatre, a striptease and drag-queen emporium and a long-standing fixture on the street.

 

His club fits the Main's tradition of adult entertainment, he said.

 

"And I hope I can continue the history."

 

Zoumboulakis said he's pleased Angus Development has plans for its six buildings. "But I hope they don't make anything modern to spoil the image of (St. Laurent)."

 

Main Importing Grocery Inc. owners Nuhad and Thérèse Haddad said they want to sell, but the developer's offer isn't high enough.

 

Yaccarini said they're asking too much.

 

The owner of the building housing the Montreal Pool Room couldn't be reached. Restaurant staff said the owner is outside of the country.

 

Meanwhile, Goulakos said he would like to rent space in the block after it's redeveloped, so his family can continue its presence on St. Laurent.

 

Goulakos's father ran Peter's, a bar, for 60 years in one of the buildings he just sold. The bar, which closed last year, was opened by his father's uncles when they arrived to Canada from Greece.

 

The buildings' tenants will have to vacate by April 30. Yaccarini said it's because of concern about fire safety in the crumbling structures.

 

Those leaving include Frites Dorées. Edson Teixeira said his father, Felipe, has owned the family-run restaurant for 28 years.

 

The family is still looking for a new location, he said.

 

"We're still in denial," Teixeira said. "It's out with the old and in with the new."

 

lgyulai@thegazette.canwest.com

 

montrealgazette.com

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LE QUARTIER DES SPECTACLES BRAQUE LES PROJECTEURS SUR LA CINÉMATHÈQUE QUÉBÉCOISE

 

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5…4…3…2…1…Lumière ! Le vendredi 27 février dernier, la Cinémathèque québécoise a joint les rangs des lieux de diffusion culturelle participants au Parcours lumière du Quartier des spectacles.

 

Une centaine de personnes ont bravé la pluie pour participer à l'inauguration de ce projet de mise en lumière, un feu de Bengale à la main, savourant un délicieux chocolat chaud (gracieuseté de Juliette et Chocolat) de l’autre. Fruit d’une collaboration entre le Partenariat du Quartier des spectacles et la Cinémathèque québécoise, la réalisation de cette oeuvre lumineuse signée Lightemotion vient révéler la vocation de cet acteur culturel et son importance dans ce quadrilatère à vocation cinématographique du Quartier des spectacles.

 

Lightemotion a développé le concept d’éclairage de l’édifice comme un espace de lumière en mouvement, métaphore de l’image en mouvement qu’est le cinéma, grâce entre autres à un écran de pixel oscillant. L’ancienne partie de l’édifice, plus classique, à quant à elle eu un traitement beaucoup plus subtile ; ses pilastres surgissent de l’obscurité grâce à des faisceaux lumineux inclinés les éclairant tels des personnages sous les feux de la rampe. À ce concept s’ajoute bien sûr la signature lumineuse commune aux lieux de diffusion du quartier - la distinctive double ligne de points rouges, maintenant dynamiques ! - réalisée par l’artiste lumière Axel Morgenthaler.

 

Plusieurs autres inaugurations lumineuses suivront en 2009 dans le Quartier des spectacles – soyez à l'affût!

(site: Quartier des spectacles)

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MONTRÉAL À LA LOUPE 2009 : UN BRILLANT SUCCÈS POUR LA MÉTROPOLE QUÉBÉCOISE

 

Soixante participants provenant de 14 villes membres de l’Association LUCI (Lighting Urban Community International) ont participé au colloque LUCI - Montréal à la loupe 2009 organisé par la Ville de Montréal du 25 au 28 février derniers, en collaboration avec le Partenariat du Quartier des spectacles et le Festival MONTRÉAL EN LUMIÈRE.

 

L’ingéniosité des projets d’éclairage de Montréal ainsi que sa créativité et son audace en la matière ont été au cœur des discussions de ce colloque. Parmi les thèmes abordés : la politique d'éclairage urbain de la Ville de Montréal, les plans lumière du Vieux-Montréal et du Quartier des spectacles, l'utilisation de la lumière comme outil d'animation urbaine par certains festivals, dont MUTEK, Juste pour rire et le Festival MONTRÉAL EN LUMIÈRE, ainsi que l'expertise créative développée par les entreprises Moment Factory, Lightemotion, Photonic Dreams et la Société des arts technologiques (SAT).

 

Pendant leur séjour à Montréal, les colloquistes ont eu la chance de visiter l’exposition Lumière sur le Gesù et de participer à l’inauguration du projet de mise en lumière de la Cinémathèque québécoise, musée de l’image en mouvement de Montréal. Aussi, plusieurs d’entre eux se sont joints aux noctambules montréalais lors de la 6e Nuit blanche du Festival MONTRÉAL EN LUMIÈRE. Une foule d’autres activités à saveur montréalaise et québécoise leur étaient également offerts.

 

Fier du succès de l’événement, les organisateurs du colloque ont lancé une nouvelle invitation aux membres de LUCI : revenir dans quatre ans afin de voir tous les projets qui auront été réalisés; en promettant qu’ils seront inspirants.

 

À suivre…

 

(site:Quartier des spectacles)

 

:highfive:

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:goodvibes: Voilà un projet qui prend forme et qui positionne Montréal avantageusement dans la liste des villes dynamiques qui utilisent le design comme ''branding'' en se créant de toutes pièces une image originale et fort esthétique.

 

Incroyable l'effet ''dramatique'' que la lumière peut avoir sur certains immeubles en les recomposant totalement, c'est comme si ils étaient entièrement redessinés par des ''formes'' lumineuses. L'effet est génial et ludique à la fois en ajoutant un voile de lumières colorées soulignant en même temps certaines caractéristiques propres à chaque immeuble.

 

Montréal ne manque pas de bâtiments intéressants, anciens et modernes qui profiteront certainement de cette ''rénovation'' subtile et peu couteuse qui créé simultanément une ambiance chaleureuse et très joie de vivre. Ce projet est parfaitement en accord avec la nature de sa population et ajoute une signature festive à une scène originale qui prend une nouvelle vie la nuit tombée.

 

C'est le genre d'initiative fort réussie qui ne laissera personne indifférent et qui favorisera certainement l'apparition de plusieurs émules. Et qui sait si un jour on parlera de Montréal comme la ville lumière:applause:

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