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Le Quartier des spectacles


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I really see Montréal as the Berlin of Canda in a way: Economic difficulties, cheap rents, lot's of creative energy and great night life.

Speaking of musuems, I think what Montreal would suit nice would be a design museum with an avangarde architeture, by Zaha Hadid or the like. This would be a good showcase of MTL as "world design city" and a pretty unique thing in the world as well.

 

welcome to the forum :)

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I really see Montréal as the Berlin of Canda in a way: Economic difficulties, cheap rents, lot's of creative energy and great night life.

Speaking of musuems, I think what Montreal would suit nice would be a design museum with an avangarde architeture, by Zaha Hadid or the like. This would be a good showcase of MTL as "world design city" and a pretty unique thing in the world as well.

 

Well, I would say Berlin it's quite extraordinary for its new cultural life and I believe Montreal just can not stand the comparison. As long as the economy is concerned however, things seem much better on this side of the atlantic, especially jobwise, Montreal has been doing quite well for the past 5 years.

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Well, I would say Berlin it's quite extraordinary for its new cultural life and I believe Montreal just can not stand the comparison. As long as the economy is concerned however, things seem much better on this side of the atlantic, especially jobwise, Montreal has been doing quite well for the past 5 years.

Hmm, I have to say the "new Berlin" is a very special place right now and it's the first time that I as a German can wholeheartedly tell someone from another part of the world: Come to Germany, come to Berlin: It rocks!

But yeah, the city is broke (and that's part of the magic since everyone has to improvise. Germans improvising! Now THAT'S a refreshing new concept) and there are no jobs in sight. That is, if your's not happen to be a waiter, DJ or politician.

Good to hear though, that the economy in Montreal is on the rise, since I'll go looking for a job there soon as well. ;) But still I see a lot more job offerings for IT jobs in Toronto and I heard in Alberta everyone who can turn a screwdriver is well come.

But from my point of view it's ideal to have an "okay" economy, while still having the relatively low rents and occasional abandoned factory that create a rich subculture. That's how I see Montreal right now. And building a new museum is one thing but having a vibrant artistic scene is another.

Montreal can deliver on both and it's future will be really bright, if it plays it's cards right!

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if you're in IT with some experience and looking for a job, send me your cv and here at CGI in a matter of days you'll have a job.

Hey Malek, that sounds really good!

I was thinking on sending a CV soon to CGI anyway.Nice...

I'm in consulting since 2001, mainly as Java/J2EE developer, architect and occasionally team lead. So if you could indeed use someone like that over there, then you'll get my CV this weekend!

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  • 1 mois plus tard...

Publié le 03 octobre 2008 à 06h28 | Mis à jour à 06h28

 

Quartier des spectacles: le fédéral n'a rien signé

 

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Mario Cloutier

La Presse

 

Après des compressions en culture controversées, voilà que le gouvernement de Stephen Harper garde les cordons de sa bourse fermés au projet du Quartier des spectacles de Montréal, une priorité de l'administration du maire Gérald Tremblay. Les deux pôles de ce quartier, l'édifice du 2.22 Sainte-Catherine et la place des Festivals, en souffrent déjà. Malgré l'entente-cadre Québec-Canada sur les infrastructures, seule la Ville de Montréal paie en ce moment.

 

L'annonce de l'entente-cadre sur les infrastructures entre Québec et Ottawa, d'une valeur de 4 milliards, juste avant la campagne électorale, convenait peut-être au Parti conservateur, mais le gouvernement fédéral n'a pas signé le contrat financier le liant plus spécifiquement aux projets du Quartier des spectacles et du Musée des beaux-arts de Montréal.

 

Même si les travaux de la place des Festivals du Quartier des spectacles avancent à un rythme soutenu, la Ville de Montréal est seule à payer. Ottawa et Québec n'ont toujours pas convenu d'un accord sur la contribution financière de chacun dans ce projet de 120 millions.

 

Les parties n'ont pas plus d'entente finale dans le dossier de l'agrandissement du Musée des beaux-arts de Montréal, un autre dossier culturel majeur d'un coût de 40 millions. Le gouvernement fédéral s'est pourtant engagé à verser, respectivement 40 et 13 millions, pour réaliser ces deux projets.

 

«Le Secrétariat (québécois) aux affaires intergouvernementales canadiennes n'a conclu aucune entente de contribution finale pour les projets Quartier des spectacles de Montréal, Musée des beaux-arts de Montréal [...] dans le cadre de l'entente Canada-Québec sur l'infrastructure», peut-on lire dans une note du ministère du Conseil exécutif à Québec, obtenue par La Presse.

 

Même si Québec a une entente-cadre en poche dans le cadre du programme d'infrastructures Chantiers Canada, chaque projet doit faire l'objet d'une entente de contribution spécifique.

 

«Le mécanisme (exigé par le gouvernement fédéral) mis en place par cette entente-cadre peut alourdir l'approbation des projets qui en découleront», a écrit, à ce sujet, le premier ministre Jean Charest aux partis fédéraux vendredi dernier.

 

Pour cette raison, le chef de l'État québécois leur demandait de «conclure rapidement les ententes de contribution qui découlent de l'entente-cadre, de manière à minimiser les délais dans l'obtention des fonds fédéraux».

 

À Ottawa, on reste extrêmement évasif sur les contrats encore à signer.

 

«Le Canada ne retarde pas le projet, mais il reste à conclure une entente. Nous le ferons dans les meilleurs délais possibles», a indiqué un porte-parole d'Infrastructure Canada à La Presse.

La Ville

 

Bon joueur comme toujours, le maire Gérald Tremblay reconnaît que la Ville a déjà beaucoup investi, mais il est prêt à donner encore la chance au coureur.

 

«Techniquement, les contrats ne sont pas signés. Mais pour moi, la bonne foi se présume. À partir du moment où quatre ministres se commettent, je tiens pour acquis qu'on va trouver des éléments de solution. Dans l'ordre des projets, les nôtres ont été priorisés. Je crois qu'ils vont honorer leur engagement.»

 

Ces ententes de contributions sont en fait le texte juridique du contrat liant les parties. Ils décrivent le projet et les travaux dans les détails, ainsi que les engagements financiers des trois gouvernements. Il crée aussi un comité de gestion de l'entente et prévoit un mécanisme de règlement des différends entre les parties.

 

«C'est certain que la campagne électorale n'aide pas. Tout est au ralenti à Ottawa. Mais ce n'est pas inquiétant à ce moment-ci, soutient Catherine Poulin, l'attachée de presse de la ministre des Finances à Québec, Monique Jérôme-Forget.

 

La réponse conservatrice est moins rassurante. Le gouvernement fédéral ne veut pas s'impliquer financièrement dès le début. «Nous ne sommes pas les promoteurs des projets. Nous attendons les factures des travaux pour les rembourser», note un conseiller conservateur.

 

Là où le bât blesse, c'est que tout le financement des travaux jusqu'ici a été entièrement assumé par la Ville de Montréal. En outre, le coût des travaux de la première phase a bondi en mai dernier de près de 7%, passant de 18 à 24 millions.

 

«On ne peut pas fonctionner sans le contrat, mais, selon moi, la Ville ne restera pas prise avec une facture. Toutes les parties sont tellement liées. Québec devrait débloquer des montants bientôt», affirme Guy Hébert, directeur général adjoint à la Ville.

 

Il y a quatre mois, l'administration municipale parlait d'un «devancement des coûts» plutôt que d'un dépassement, en raison «d'améliorations notables aux concepts préliminaires» de la place des Festivals qui doit être prête pour l'été prochain afin d'accueillir le 30e Festival international de jazz de Montréal.

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  • 3 semaines plus tard...

Quartier des spectacles - Labonté demande à Tremblay d'améliorer les «vitrines habitées»

 

Le Devoir

Jeanne Corriveau

Édition du mardi 21 octobre 2008

 

Mots clés : Benoit Labonté, Gérald Tremblay, Quartier des spectacles, Municipalité, Construction, Montréal

 

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Traitement architectural déficient, inefficacité énergétique et circulation des piétons difficile. Voilà quelques-unes des critiques formulées par le maire de l'arrondissement de Ville-Marie et chef de l'opposition, Benoit Labonté, concernant les «vitrines habitées» qui seront construites aux abords de la Place du Quartier des spectacles. Dans une lettre qu'il a fait parvenir, la semaine dernière, au maire Gérald Tremblay, M. Labonté lui demande d'intervenir personnellement afin que le projet soit revu.

 

Montréal a reçu la désignation de Ville UNESCO du design, mais «le projet des vitrines habitées du Quartier des spectacles, tel qu'il nous est présenté aujourd'hui, n'est certainement pas à la hauteur de ces énoncés et, surtout, du potentiel que pourrait représenter ce projet en termes d'aménagement urbain unique et d'image de marque forte pour Montréal», écrit Benoit Labonté dans une lettre adressée au maire et dont Le Devoir a obtenu copie.

 

Le maire de l'arrondissement de Ville-Marie signale qu'il est encore temps de bonifier le projet avant que les travaux de construction ne soient terminés, soit à l'été 2009. «Nous vous demandons d'intervenir personnellement et rapidement dans ce projet, afin d'assurer au projet de vitrines habitées une finalité de classe internationale, soumise aux hauts critères d'excellence», ajoute M. Labonté dans sa missive.

 

Le concept de vitrines habitées prévoit la construction de deux bâtiments constitués de «murs rideaux» de verre et d'aluminium peint en blanc. D'une longueur d'environ 40 mètres, ces vitrines auront une largeur de quatre mètres et une hauteur de trois mètres. Elles accueilleront notamment des restaurants et des bars. Les clients se retrouveront au niveau du sol alors que les cuisines et les équipements techniques seront installés en sous-sol.

 

Après avoir examiné le projet, le Conseil du patrimoine et le Comité consultatif d'urbanisme (CCU) de Ville-Marie ont formulé certaines réserves à l'égard, par exemple, des coûts élevés liés au chauffage et à la climatisation, du traitement architectural ainsi que de la baisse possible de l'achalandage des vitrines en saison hivernale. Benoit Labonté s'est inspiré de ces critiques pour demander l'intervention du maire Tremblay.

 

Malgré ces «sérieuses réserves», les élus de l'arrondissement, Benoit Labonté compris, ont tout de même donné leur aval à une modification du règlement d'urbanisme le 7 octobre dernier. M. Labonté a refusé de commenter la situation. Dans sa lettre, il soutient toutefois que les élus ont agi ainsi pour ne pas ralentir la progression du projet.

 

Le conseiller de Vision Montréal dans le district de Peter McGill et président du CCU, Karim Boulos, soutient qu'il ne s'agit pas une question partisane. «On veut travailler avec le maire. C'est un projet qui dépasse les lignes politiques. Mais on ne peut pas rater notre coup, dit-il. On aurait pu bloquer le projet, mais ça ne sert à rien et ça n'aurait aidé personne», dit-il.

 

Le comité qu'il préside était favorable au concept novateur, mais certains aspects du projet ont soulevé beaucoup de questions. «Ce n'est pas une remise en question. C'est plutôt qu'on est tellement proche de faire quelque chose de magnifique et de novateur en Amérique du Nord, mais que là, on va se contenter de deux gros cubes vitrés», explique M. Boulos.

 

Plusieurs questions demeurent en suspens. Les vitrines seront-elles la cible de graffiteurs? Les itinérants s'y installeront-ils à la recherche de chaleur en hiver? Pas nécessairement, estime M. Boulos. C'est à l'usage que l'on obtiendra de vraies réponses, mais il dit qu'il vaut mieux être prudent.

 

À la ville-centre, on s'étonne de la lettre de Benoit Labonté. Guy Hébert, directeur général adjoint à la Ville de Montréal et ex-directeur général de l'arrondissement de Ville-Marie, soutient que les vitrines habitées figuraient dans le programme particulier d'urbanisme mis en avant par l'arrondissement dès avril 2007. «C'est le même projet qui a été déposé à quatre reprises par l'arrondissement. Il y a eu des consultations publiques là-dessus», explique M. Hébert.

 

La firme Daoust Lestage, qui a élaboré le concept, a examiné de près tous les aspects du projet, notamment la consommation d'énergie des deux vitrines et la largeur des trottoirs, ajoute M. Hébert. À long terme, dit-il, la Ville prévoit une animation des lieux douze mois sur douze, notamment avec l'aménagement d'une patinoire et l'organisation d'activités diverses. «C'est certain qu'on ne veut pas aller contre la vertu. Si quelqu'un a une meilleure idée et qu'il est encore temps de faire des modifications, on va les faire. Mais on est convaincus que c'est le bon projet», conclut-il.

 

 

http://www.ledevoir.com/2008/10/21/211680.html (21/10/2008 9H07)

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  • 3 mois plus tard...

Montréal accélère la mise en lumière du Quartier des spectacles

 

Le Devoir

Isabelle Paré

Édition du vendredi 06 février 2009

 

Mots clés : Gérald Tremblay, Quartier des spectacles, Municipalité, Montréal

 

Le deuxième volet du plan lumière prévoit compléter l'éclairage architectural de huit bâtiments du Quartier des spectacles, comme la Cinémathèque.

 

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Photo: Partenariat du Quartier des spectacles

 

Le Quartier des spectacles se pare peu à peu de sa nouvelle signature visuelle. Aux points rouges qui jalonnent déjà les trottoirs des salles de spectacle s'ajoutera bientôt une opération de mise en lumière architecturale des bâtiments. Et si Montréal rivalisait avec Broadway?

 

La Ville de Montréal accélère la mise en lumière du Quartier des spectacles (QdS) pour compléter dès 2009 la valorisation visuelle de neuf salles de spectacle et lieux culturels de ce secteur clé du centre-ville.

 

Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, la ministre de la Culture et des Communications, Christine St-Pierre, et le président du Partenariat du Quartier des spectacles, Charles Lapointe, ont donné hier le feu vert à cette nouvelle phase, qui permettra de finaliser la touche visuelle unique de ce quartier.

 

Après avoir créé un parcours lumineux signalant à l'aide de points rouges les différents lieux de spectacle, ce deuxième volet du plan lumière prévoit compléter l'éclairage architectural de huit bâtiments du QdS, soit la Maison du jazz, la Place des Arts, le Musée d'art contemporain, la Cinémathèque, la Société des arts technologiques (SAT), en plus de bonifier ceux déjà existants du Métropolis, du Club Soda et du Monument-National. Un projet spécial permettra de rendre permanente l'intéractivité de l'écran dynamique de la Vitrine culturelle.

 

Étant donné la réponse plus que positive obtenue de la part des nombreux propriétaires de salles de spectacle du QdS, qui injecteront 1,5 million dans la signature visuelle du quartier, l'administration Tremblay a décidé d'ajouter la même somme dès aujourd'hui aux 2,5 millions déjà dépensés pour mettre en oeuvre la première phase de ce plan qui s'échelonnera jusqu'en 2010.

 

«On franchit une nouvelle étape dans la réalisation de nos grands projets du Quartier des spectacles, en pleine revitalisation. [Ce] quartier est sur le point de devenir le lieu de prédilection des créateurs, des artistes, des visiteurs et surtout des Montréalais», a dit le maire Tremblay, qui a puisé 1,5 million à même l'enveloppe de 140 millions octroyée à Montréal par Québec pour déployer son plan Imaginer-Réaliser Montréal 20-25.

 

Le vice-président du QdS, Jacques Primeau, soutient que le but premier de cette opération beauté est de rendre visibles depuis la rue les salles de spectacle du quartier et «de mettre l'accent sur la particularité des lieux».

 

Car avec ses 80 lieux de diffusion culturelle -- dont 30 salles de spectacle -- concentrés sur un kilomètre carré, le QdS est le seul quartier dont la densité de l'offre culturelle se compare à celle de Broadway à New-York, estime Charles Lapointe, p.-d.g de Tourisme Montréal.

 

La signature visuelle du QdS a été développée par Integral Ruedi Baur et Integral Jean Beaudoin, à la suite d'un concours lancé en 2005. Sa réalisation a été confiée en partie à Axel Morgenthaler. Cette signature unique, qui consiste en un parcours jalonné de double points rouges identifiant les différents lieux culturels, a été couronnée de nombreux prix internationaux. D'ici 2011, 200 luminaires, composés de ces lumières rouges à la fois dynamiques et peu énergivores, illumineront le QdS. Une vingtaine sont déjà en place devant la Place des Arts.

 

http://www.ledevoir.com/2009/02/06/231867.html (6/2/2009 2H14)

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