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Économie du Québec ​​


Normand Hamel

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Si nos universités sont si bonnes que ça, le prix ne sera pas un facteur dissuasif suffisant pour faire diminuer significativement les inscriptions.  SI les étudiants ne viennent que pour les subventions et quittent ensuite, ce n'est pas un bilan particulièrement positif.  De plus, le coût de la vie est moindre à Montréal qu'à bien d'autres endroits, donc la facture totale (frais d'université + coût de la vie) peut être encore favorable à Montréal.  La différence est qu'un plus gros pourcentage de la facture totale pour les étudiants reviendra à des universités.

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il y a une heure, Djentmaster001 a dit :

Last two posts... yikes 

It's honestly wild seeing a government so hellbent on sending the city and province back decades, just cause their fear and hatred of a language.

Who's hatred of a language? Should we get tapes of your typical 20th century anglo-saxon boss talking about french canadian frogs? Yeah. Ok. Selective memory. As usual.

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Je suis un francophone avant tout. J'ai fait tout mes études en francais. Par contre le fait de rendre les couts pour les etudiants des autres provinces pour aller aux universités mcgill et concordia de Montreal les plus cher de tout le pays n'est pas un geste trop bien calculé.

Pis lacher nous avec les années 60 pis les anglos qui nous bossaient. On est plus du tout là.

On est previlègié d'avoir a la fois de bonne universités anglophone et francophone a Montreal.

Completement stupide de saboter cela.

La CAQ devrai essayer d'attirer plus d'étudiants etranger.

Si je ne me trompe on recolte 800 a 900 millions de $ en revenu avec les étudiants ètranger au Québec.

Mais c'est un maigre pourcentage du 20 a 30 milliards que les étudiants etrangers rapporte au Canada.

L'Ontario sont plus malin il remporte le gros de la cagnotte. Tellement que c'est plus d'argent que ca rapporte  que ce que le gouvernement de l'ontario dépense pour les études superieurs.

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On entend des voix qui dénoncent le sous-financement, du réseau universitaire québécois, estimé à plus de un milliard de dollars. Le gouvernement a été incapable d’augmenter les frais de scolarité des étudiants québécois afin de régler ce problème. La composante anglophone du réseau semble être moins touchée. 

Personne semble s’opposer au plancher de 17 000 $ qui serait imposé aux 50 000 étudiants étrangers. Reste donc les 15 000 étudiants venant des autres provinces. Augmenter leurs frais de 8 000 $ par année (de 9 000 $ à 17 000 $) ne réglerait pas le problème et affaiblirait la composante anglophone. De plus, il faut prendre en considération que le nombre de Québécois qui font des études ailleurs au Canada est probablement aussi élevé que le nombre de résidents des autres provinces qui viennent ici.

Si les étudiants étrangers financeront une  « péréquation » à hauteur de 3 000 $ chacun (+ 17 000 $ = 20 000 $), peut-être qu’une approche semblable avec les étudiants venant des autres provinces serait salutaire, par exemple, une simple majoration de 1 500 $ annuellement afin d’aider l’ensemble du réseau.

Concernant le sous-financement chronique, il n’y a pas mille solutions: 1) Majoration des frais de scolarité des étudiants québécois; et/ou 2) Augmentation du budget par le gouvernement provincial. 

 

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3 hours ago, Lappy said:

 

On entend des voix qui dénoncent le sous-financement, du réseau universitaire québécois, estimé à plus de un milliard de dollars. Le gouvernement a été incapable d’augmenter les frais de scolarité des étudiants québécois afin de régler ce problème. La composante anglophone du réseau semble être moins touchée. 

Personne semble s’opposer au plancher de 17 000 $ qui serait imposé aux 50 000 étudiants étrangers. Reste donc les 15 000 étudiants venant des autres provinces. Augmenter leurs frais de 8 000 $ par année (de 9 000 $ à 17 000 $) ne réglerait pas le problème et affaiblirait la composante anglophone. De plus, il faut prendre en considération que le nombre de Québécois qui font des études ailleurs au Canada est probablement aussi élevé que le nombre de résidents des autres provinces qui viennent ici.

Si les étudiants étrangers financeront une  « péréquation » à hauteur de 3 000 $ chacun (+ 17 000 $ = 20 000 $), peut-être qu’une approche semblable avec les étudiants venant des autres provinces serait salutaire, par exemple, une simple majoration de 1 500 $ annuellement afin d’aider l’ensemble du réseau.

Concernant le sous-financement chronique, il n’y a pas mille solutions: 1) Majoration des frais de scolarité des étudiants québécois; et/ou 2) Augmentation du budget par le gouvernement provincial. 

 

Exactement.  Race to the bottom, as we say!  

Je vais repeter encore une fois que déjà avant cette mesure un canadiens (hors Québec) payait 3x plus l'université au Québec qu'un québecois.  C'est à dire, un prix environ équivalent à plusieurs places au Canada.  Ce n'était pas une "aubaine" venir au Québec, mais un choix comparable.  L'arrogance de penser qu'on peut remplacer aussi facilement des milliers d'universitaires (canadiens, dont souvent ont déjà, au minimum, une petite base en français) qui restent ici par la suite en pourcentage quand meme elevee.  Tsé c'est comme la meilleure forme de migration inter-provincial que tu peux avoir.  Et on dit "bof... c'est pas à nous à payer ca".  Comme si ces milliers d'étudiants provenant d'ailleurs ne contribuaient pas la masse critique d'étudiants qui beneficient a TOUT le réseau universitaire.   Ca fait vibrer Montréal, ca fait vibrer Lennoxville.  Si on ne veut pas entenre parler anglais au Québec qu'on ferme le terminal de croisière, qu'on arrête de dépenser sur les annonces Tourisme Montréal aux Etats-Unis, qu'on arrête de subventionner parfois les vols internationaux, qu'on arrete de permettre des congrés... la mauvais publicité rataché à cette annonce a déjà couté plus que le $110M que le gouvernement pense pouvoir gagner avec la mesure.  Screw reciprocity!  

Qu'on investit dans la francisation et la valorisation du français, qu'on encorage les francophones à rester sur l'ile de Montréal au lieu de quitter en masse pour la rive-sud (c'est genre le facteur #1 dans le déclin du français à Montréal).  Le gouvernement en place ne semble avoir AUCUN problème à faire de Montréal une place peu-attirante car Montréal ne l'intéresse pas.  Un gouvernement qui beneficie d'un "nous autres contre Montréal".  

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Il y a 4 heures, Lappy a dit :

Concernant le sous-financement chronique, il n’y a pas mille solutions: 1) Majoration des frais de scolarité des étudiants québécois; et/ou 2) Augmentation du budget par le gouvernement provincial. 

Évitons la première solution, ça va exciter inutilement un ancien carré rouge du printemps érable. :silly:

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Il y a 4 heures, Exposteve a dit :

Exactement.  Race to the bottom, as we say!  

Je vais repeter encore une fois que déjà avant cette mesure un canadiens (hors Québec) payait 3x plus l'université au Québec qu'un québecois.  C'est à dire, un prix environ équivalent à plusieurs places au Canada.  Ce n'était pas une "aubaine" venir au Québec, mais un choix comparable.  L'arrogance de penser qu'on peut remplacer aussi facilement des milliers d'universitaires (canadiens, dont souvent ont déjà, au minimum, une petite base en français) qui restent ici par la suite en pourcentage quand meme elevee.  Tsé c'est comme la meilleure forme de migration inter-provincial que tu peux avoir.  Et on dit "bof... c'est pas à nous à payer ca".  Comme si ces milliers d'étudiants provenant d'ailleurs ne contribuaient pas la masse critique d'étudiants qui beneficient a TOUT le réseau universitaire.   Ca fait vibrer Montréal, ca fait vibrer Lennoxville.  Si on ne veut pas entenre parler anglais au Québec qu'on ferme le terminal de croisière, qu'on arrête de dépenser sur les annonces Tourisme Montréal aux Etats-Unis, qu'on arrête de subventionner parfois les vols internationaux, qu'on arrete de permettre des congrés... la mauvais publicité rataché à cette annonce a déjà couté plus que le $110M que le gouvernement pense pouvoir gagner avec la mesure.  Screw reciprocity!  

Qu'on investit dans la francisation et la valorisation du français, qu'on encorage les francophones à rester sur l'ile de Montréal au lieu de quitter en masse pour la rive-sud (c'est genre le facteur #1 dans le déclin du français à Montréal).  Le gouvernement en place ne semble avoir AUCUN problème à faire de Montréal une place peu-attirante car Montréal ne l'intéresse pas.  Un gouvernement qui beneficie d'un "nous autres contre Montréal".  

L'ancien premier ministre de l'ile du Prince Edward,  Robert Ghiz a étudié a l'université Bishop et il parle un Francais quand meme acceptable. Comme quoi certain canadiens des autres provinces apprennent le français ici meme en allant dans une université anglophone.

Ce meme Robert Ghiz quand il a été premier ministre de l'ile du prince Edouard a encouragé les députés de la chambre a apprendre le français.

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/370758/ipe-francais 

Concernant McGill le controversé psychologue Jordan Peterson a étudié a cette a cette université dommage qu'il n'ai pas appris le français a ce moment. 

 

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Il y a 13 heures, andre md a dit :

L'ancien premier ministre de l'ile du Prince Edward,  Robert Ghiz a étudié a l'université Bishop et il parle un Francais quand meme acceptable. Comme quoi certain canadiens des autres provinces apprennent le français ici meme en allant dans une université anglophone.

Ce meme Robert Ghiz quand il a été premier ministre de l'ile du prince Edouard a encouragé les députés de la chambre a apprendre le français.

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/370758/ipe-francais 

Concernant McGill le controversé psychologue Jordan Peterson a étudié a cette a cette université dommage qu'il n'ai pas appris le français a ce moment. 

 

Bravo pour ces deux hommes.  Je note aussi qu'aussitôt qu'ils ont terminé leurs études subventionnées par le gouvernement du Québec, ils ont quitté le Québec pour faire bénéficier les autres provinces de leur nouvelle éducation.  C'est très généreux de notre part, n'est-ce pas ?

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