Canadiens de Montréal

[Malek]

un vrai retardé

[Ornello Mastrocola]

Well, we know Uncle George is somewhat scrapping for cash these days and it wouldn't surprise me one bit if he's testing the market. Of course, Mr. Jim Balsillie who's got loads of cash would be an interested buyer to say the least. I do not see anyone out there (certainly not a Quebecer) but the CEO of R.I.M. who can purchase this storied franchise. Even if he does purchase the team and that'S a bif "IF" it will be absolutely suicidal if he thinks he can move the team. He'S too smart for that so rest assured fellow habs fan this team will not go anywhere should the LaPresse story be true. he'S crazy but not that crazy.

[LindbergMTL]

Disons que tout est à vendre, si le prix est bon. De plus, obtenir du cash sonnant pour baisser ta dette, c'est très intéressant par les temps qui courent, pour n'importe quel businessman.

[Habsfan]

Je ne suis aucunement inquièt d ela vente du CH. Je suis très heureux que ce soit M Gilette le proprio et non un consortium de petits Québecois trop cheap pour investir assez dans ce club pour le garder compétitif.(vous vous souvenez des Expos et du consortium d'hommes d'affaires québecois qui cherchaient par tout les moyens de couper dans les dépenses?!?!)

 

M. Gilette a tout fait ce qu'un bon proprio doit faire. Il assist à plusieurs matches du CH. Il aime la ville(il a acheté un condo en ville), il aime le Canadien et il a engagé les bonnes personnes pour mener cette équipe(Boivin et Gainey). M Gilette sait qu'il n'est pas un homme de hockey, donc il met les bonne personnes en place, et il les laisse travailler(contrairement aux imbéciles qui viennent d'acheter le Lightning, ou M. Wang avec ses Islanders)

 

La cerise sur le Sundae est que M Gilette est ultra riche! Le CH est en bonne main avec lui!

[ErickMontreal]

Publié le 07 novembre 2008 à 08h07 | Mis à jour à 08h10

 

À quel jeu joue Jim Balsillie?

 

Jean-François Bégin

La Presse

 

Jim Balsillie est un drôle d'oiseau. Tout le monde sait que Monsieur BlackBerry rêve d'acheter une équipe de la Ligue nationale de hockey. Outre ses tentatives avortées de mettre la main sur les Penguins de Pittsburgh et les Predators de Nashville, tout indique qu'il a approché au moins deux autres équipes, les Sabres de Buffalo et les Thrashers d'Atlanta.

 

Un club de hockey serait le joujou ultime pour cet homme d'affaires richissime, qui aime le sport national canadien au point de donner aux salles de conférence du siège social de Research in Motion (RIM) les noms de vedettes comme Guy Lafleur, Maurice Richard et Bobby Orr.

 

Les méthodes de Balsillie ne manquent toutefois pas d'étonner. Pas sûr que d'affirmer à une journaliste montréalaise que le club emblématique du hockey professionnel est à vendre - et de se faire ensuite photographier avec un air d'amoureux transi à côté du logo du CH! - va contribuer au réchauffement de ses relations déjà glaciales avec la LNH.

 

En entrevue sur les ondes de CKAC, plus tôt cette semaine, Gary Bettman a laissé échapper une phrase qui en dit long sur ce que les bonzes de la LNH pensent du franc-tireur de Waterloo. «Le bureau des gouverneurs a certains doutes sur sa façon de procéder», a dit le commissaire, avec un art consommé de l'euphémisme.

 

En coulisses, deux observateurs à qui j'ai parlé ont avancé que Balsillie joue avec le Canadien le même jeu qu'il a joué avec les Sabres de Buffalo plus tôt cette année. Le Toronto Star, citant une source anonyme, a rapporté en mai que Balsillie avait contacté le propriétaire des Sabres, Tom Golisano, pour acheter son équipe. L'approche auprès des Sabres aurait été faite en décembre 2007, à l'époque où Balsillie discutait aussi avec les Thrashers d'Atlanta, selon des informations dont La Presse a fait état l'hiver dernier.

 

Mais quel est le jeu de Balsillie, exactement? Veut-il se venger des bonzes de la LNH qui refusent de l'admettre au sein de leur country club en semant le chaos dans l'entourage du Canadien en pleine année du centenaire? Espère-t-il créer des dissensions au sein de la direction de l'équipe (Molson est toujours actionnaire minoritaire, ne l'oublions pas)? Ou alors a-t-il eu vent de plans que George Gillett aurait préféré ne pas dévoiler pour l'instant?

 

Allez savoir. Mais il est quand même étonnant de voir l'ampleur de la commotion créée par la petite phrase de Balsillie. Ce n'est pas tout les jours qu'un chroniqueur reçoit un appel non-sollicité de la part de Gary Bettman, comme ça m'est arrivé hier. Fallait que George Gillett n'ait pas, mais alors pas du tout digéré les allégations du cochef de la direction de RIM pour qu'il appelle le commissaire de la ligue en renfort. La vivacité de sa réaction donne à penser qu'il n'était pas seulement animé par le souci d'épargner à ses gens de relations publiques la grosse journée d'ouvrage qui s'annonce aujourd'hui...

 

George Gillett, n'en doutez pas, aime Montréal, le hockey et le Canadien, une franchise qu'il a relancée sur des bases solide depuis sa prise de contrôle, il y a sept ans. Il aime les joueurs, le frisson de la victoire et le défi, éminemment réalisable cette année, de gagner la Coupe Stanley. Mais il est aussi un businessman. Viendra un moment, inévitablement, où il recevra une offre tout simplement trop belle pour qu'il l'ignore. À condition, sans doute, qu'elle ne lui vienne pas de Jim Balsillie...

[ErickMontreal]

Humiliation à Boston

 

Jeudi 13 novembre 2008

RDS.ca

 

(Photo PC) Par Éric Leblanc - Les Bruins de Boston attendaient ce moment avec impatience, ils ont savouré leur première victoire en 13 matchs de saison régulière face aux Canadiens en leur donnant une véritable leçon de hockey au compte de 6 à 1.

 

Guy Carbonneau croyait sans doute que son message avait passé après la défaite gênante de son équipe face aux Maple Leafs de Toronto, mais il en aura sûrement long à dire à ses joueurs.

 

Ce gain permet aux Bruins de s’emparer de la tête de la division Nord-Est avec 23 points devant les Sabres de Buffalo (21 points) et les Canadiens (20 points).

 

Cette leçon de travail a commencé dès la première période lorsque les Bruins ont inscrit trois buts sans réplique à la suite d’erreurs des joueurs du Canadien.

 

La troupe de Claude Julien n’a pas ralenti le tempo par la suite en ajoutant un but en deuxième période et deux buts au dernier tiers.

 

Mike Komisarek a bien tenté de sauver l’honneur de son équipe en troisième période. Mais le défenseur du Canadien n’a pas fait le poids lors d’un combat violent avec Milan Lucic.

 

Cette victoire a sans doute comblé Michael Ryder et son nouvel entraîneur Claude Julien. Ryder n’a pas retrouvé sa touche, mais il a récolté une mention d’aide sur le troisième but de son équipe.

 

 

À l’instar de son équipe, Carey Price ne semblait pas en possession de ses moyens devant son filet. Souvent laissé à lui-même, il a cédé face à Marco Sturm (deux fois), Stephane Yelle (deux fois), Shawn Thornton et Lucic.

 

Invisibles durant la plupart de la partie, Saku Koivu a produit l’une des rares étincelles de son équipe. Il a trouvé le fond du filet en deuxième période à la 14e minute de jeu sur seulement le deuxième tir au but du CH dans cet engagement.

 

La dernière victoire des Bruins en saison régulière face au Tricolore remontait au 3 mars 2007.

 

Guy Carbonneau sera probablement tenté d’apporter des changements en vue de la prochaine partie ce qui n’avait pas été le cas pour ce match alors que Steve Bégin et Patrice Brisebois n’étaient pas en uniforme.

Une première période horrible

 

En première période, les Bruins se sont moqués du Canadien en inscrivant trois buts sans réplique. Sturm, Stephane Yelle et Shawn Thornton ont profité d’erreurs flagrantes du Tricolore pour déjouer Price.

 

À mi-chemin du premier engagement, Robert Lang a loupé une chance en or de créer l’égalité 1-1 lorsqu’il a frappé le poteau au terme d’un superbe échange entre Sergei Kostitsyn, Guillaume Latendresse et lui. Le gardien québécois Emmanuel Fernandez n’y pouvait rien.

[MontréalYul]

Humiliation c'est le plus petit mot que l'on peut employer pour décrire cette défaite du ch. Les joueurs qui ont été tant soutenu par les fans du Canadiens sur nhl.com pour leur candidature au match des étoiles nous ont tous déçu ce soir.

[Habsfan]

Aucun effort de la part des boys. J'ai l'impression qu'il y en a une petite gang dans cette équipe qui croient qu'ils sont meilleurs qu'ils le sont!

[Ornello Mastrocola]

I see Komisarek introduced his face to Lucic fists and got along pretty well... another tylenol moment!

Well, we found out one thing yesterday, Komisarek is no fighter. He's rough and tough but no fighter that's for sure.

[LindbergMTL]

Les Canadiens me semblaient être de petits enfants dans une cour des grands. Ils ne faisaient pas le poids à tous les niveaux.