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Dominic723

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Tout ce qui a été posté par Dominic723

  1. Je me demande lequel est plus à jour, car lui de soir, on peut voir sur la passerelle qu'il y a un garde-corps donc un accès extérieur et semble plus rectangulaire, mais lui de jour, on y voit les façades plus tronquées et le sommet en angle, mais pas de garde-corps sur la passerelle. Mystère.
  2. On pourrait la remettre en place coin René-Lévesque et Alexandre-De-Sève sur la placette aménagée pour ne faire un attrait, cependant côté coût on refile la facture à qui, déjà que la maison Radio-Canada a eu des dépassements de coût. Héritage Montréal pourrait faire une campagne de sociofinancement, mais ça prendrais combien de temps ? et surtout comment on vend l'idée à des gens pour payer pour déménager un bâtiment (ses ruines) sur son emplacement d'origine.
  3. I know, j'aurais du dire la façade
  4. Je viens de remarquer un détail architectural, le sommet des tours est tronqué, c'est une bonne chose, je croyais que les tours auraient été des grands rectangles
  5. https://www.24heures.ca/2020/10/15/encore-des-stationnements-retires-autour-des-futures-stations-du-rem-1#cxrecs_s Encore des stationnements retirés autour des futures stations du REM Guillaume Pelletier Le nombre d’espaces de stationnement prévus aux abords des futures stations du Réseau express métropolitain (REM) a encore été diminué, notamment à Deux-Montagnes et à Brossard. Lorsque la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) a soumis son projet de train léger au gouvernement provincial en 2016, elle promettait un total de 15 413 stationnements aux abords de 14 des 26 futures stations dans le Grand Montréal. Aujourd'hui, il n’en reste que 9400, éparpillés autour de 12 stations du REM. En 2019, Radio-Canada rapportait déjà que des milliers de cases avaient été retirées. Au cours des derniers mois, des centaines d’espaces ont encore été retranchés, montrent des données sur le site du REM. Le nombre de cases prévues à la future station Deux-Montagnes est par exemple discrètement passé de 1379 à 1245 places (-134 places), bien loin des 2000 places annoncées initialement. Sept autres gares de la branche nord ont aussi perdu entre six et 32 places, selon l’emplacement. Sur la Rive-Sud, 50 places ont été retranchées à la station Brossard, et les 200 places prévues à la gare Panama ont été remplacées par la mention «À déterminer». Négociations Ces variations et incertitudes s’expliquent notamment parce que le bureau du REM doit négocier des baux de stationnement autour de certaines gares. À la station Deux-Montagnes par exemple, seulement 770 cases sont confirmées pour le moment, bien que des négociations soient en cours pour reprendre les baux de stationnement actuels d’exo, qui exploite la ligne de train de banlieue qui fera place au REM. «Depuis 2016, nos discussions avec nos partenaires et les sociétés de transport nous rendent confiants que les accès aux stations du REM seront multiples et efficaces», a mentionné une porte-parole du bureau du REM, Emmanuelle Rouillard-Moreau. Rive-Sud À Brossard, on se demande s’il y aura assez de stationnements offerts lors de l'ouverture du premier tronçon du REM, prévue à la fin 2021. Rappelons qu'à proximité de l'autoroute 10, les 2313 places du stationnement incitatif Chevrier disparaîtront pour laisser place à la nouvelle station Du Quartier, qui ne prévoit aucun stationnement dédié. La station terminale Brossard située de l'autre côté de l'autoroute devrait comprendre 2950 places de stationnement. Du côté de la future station Panama, le nombre de places offert aux usagers reste à déterminer selon le site web du REM. Son bureau de projet confirme que des discussions sont toujours en cours avec des partenaires afin d’établir un nombre final de places. La mairesse de Brossard, Doreen Assaad, explique que l'offre actuellement proposée est perçue comme insuffisante par les citoyens. «[Ça] ne les incitera pas à laisser leur voiture à la maison et contribuera à congestionner les stationnements et les rues de Brossard», a estimé la mairesse. Antenne Ouest De futurs développements à proximité des stations en construction de la branche ouest du REM pourraient amener davantage de cases de stationnement, notamment dans les secteurs de Kirkland et de Pointe-Claire. Il en va de même pour les stations Panama et Du Quartier sur la Rive-Sud, où du développement mixte est anticipé, estime le bureau de projet du REM. Places de stationnement projetées aux futures stations du REM Stations / Stationnements promis en 2016 / Stationnements prévus en 2019 / Stationnements projetés actuellement (environ) Brossard 3000 / 3000 / 2950 Panama 700 / 200 / À déterminer Deux-Montagnes 2000 / 1379 / 1245 Grand-Moulin 337 / 337 / 320 Sainte-Dorothée 1600 / 1007 / 975 Île-Bigras 67 / 67 / 45 Pierrefonds-Roxboro 887 / 887 / 860 Sunnybrooke 520 / 520 / 505 Bois-Franc 746 / 746 / 740 Du Ruisseau 1068 / 1068 / 1060 Fairview–Pointe-Claire 1500 / 0 / À déterminer Kirkland 500 / 0 / À déterminer Anse-à-l'Orme 2000 / 200 / 200 Des Sources 500 / 500 / 500
  6. C'est sur, sauf que d'avoir l'expérience d'un visite, et le voir plusieurs fois par semaine c'est très différent comme expérience. Dans n'importe quel développement, il faut l'adapté à la clientèle, à lequel il s'adresse, et ici vue que si c'est du logement social, il faut rendre rendre l'espace accueillant et ouvert, et le démocratisé, par juste faire une petite cour cheap, qui va finir par ne pas être fréquentée et juste devenir mal famée. Qu'on le veuille ou non, des logements sociaux ont leurs problèmes, et faire comme s'ils n'arriveraient jamais, ce n'est la bonne approche. Même chose pour une tour à condo de luxe, ils viennent avec leurs propres problèmes à prendre en compte. Temps mieux que le projet compte du logement social et abordable, cependant s'il ne s'intègre mal avec ses voisins, il va apporter ses problèmes, et on peut le voir dans n'importe développement.
  7. Je veux pas starter de débat sur la loi 101, mais en quoi avoir un affichage égal français et anglais est irrespectueux. La langue commune de la majorité des résidents du centre-ville est l'anglais, faut pas se faire d'illusions, surtout dans ce coin là avec toute la population de Concordia. Ce qui aurait été irrespectueux, c'est juste de l'anglais. Mais ce qui compte c'est de pouvoir de faire servir en français, en quoi voir le français 2 fois plus gros que l'anglais sur un enseigne amène quelque chose de plus, on parle de fruits et de légumes... On serait dans le fin fond du Bas-St-Laurent ça n'aurait pas sa place, mais on est à Montréal, oui métropole francophone, mais aussi le coeur de la minorité anglophone. Nous les Québecois on est les premiers a chialer quand la minorité francophone est malmené dans le reste du Canada, mais quand ca viens le temps de gérer nos minorités, on est pas placé pour parler... Et pour revenir au Marché Ganesh, l'enseigne elle est seulement en Français, ici on parle d'une enseignes secondaires pour dire qu'il y a des légumes et de fruits...
  8. Sur le rendu il y a des jets d'eau en face du grand escalier, et pour avoir été sur place, et a regarder ma première photo (devant l'escalier) il n'y a aucune ouverture pour des jets d'eau. De plus, j'y suis passé il y a quelques semaine quand les dalles n'étaient pas encore installées, et aucune plomberie et drainage.
  9. En quoi c'est pas hygiénique? Tu la veux où ton épicerie sinon ? Les résidences de l'ETS ont un métro et il y a des condos en face, rien de non hygiénique dans sa. Des rats, il y en partout au centre-ville, surtout proche des chantiers et c'est normal car tu creuses et tu déterres, même chose lorsqu'il y a démolition d'un bâtiment non occupé. Dire qu'une épicerie c'est pas propre, c'est comme dire qu'avoir un restaurant au RDC c'est pas hygiénique, c'est quoi le rapport ici? Le Maxi sur le bord de la 40 attire pas plus les rats que le futur IGA au pied de la tour à condo Duke... Des rats tu peux en voir partout en ville, j'en ai vue au Square Viger, sur Ste-Cath en avant de l'UQAM, sur la rue Clark, aucune épicerie en vue, donc le lien est assez douteux. Un restaurant (modo ou bien 5 étoiles) qui laisse sa porte arrière toujours ouverte et qui nettoie pas sa ruelle (poubelle & réservoir à graisse) a beaucoup plus de chance d'avoir de la vermine.
  10. Plus de détails sur la future oeuvre d'art, chose qui devrait être encouragée dans chaque projet privé: https://www.lapresse.ca/arts/arts-visuels/2020-10-13/anima-nouvelle-oeuvre-de-marc-seguin/un-clin-d-oeil-a-riopelle.php Anima, nouvelle œuvre de Marc Séguin « Un clin d’œil » à Riopelle Il y a deux ans déjà que le peintre (et auteur à ses heures) Marc Séguin travaille sur cette installation d’art public, qui sera installée à la fin du mois de novembre angle Viger et De Bleury, à Montréal, en face de La joute de Riopelle. La Presse l’a rencontré à la Fonderie d’art d’Inverness, où il achevait l’œuvre monumentale baptisée Anima. Publié le 13 octobre 2020 à 8h00 JEAN SIAG LA PRESSE « Anima, parce que ça va bouger, nous dit Marc Séguin. C’est le souffle de vie. » Ce qu’on voit à l’extérieur de la fonderie de bronze, ce sont les branches et le feuillage d’un arbre, avec ses quelque 2000 panneaux d’aluminium peints de toutes sortes de couleurs, que l’artiste pose un à un et qui se balanceront comme des feuilles dans le vent. Cette structure-là s’emboîtera sur un (véritable) tronc d’arbre coulé dans le bronze (et donc indestructible), à 32 pieds dans les airs, au-dessus d’une lame d’eau noire qui sera au niveau du sol. Financé entièrement par un promoteur privé (Cogir), Marc Séguin a eu carte blanche pour la conception de l’œuvre, mais il a bien sûr étudié le lieu où elle allait se retrouver. « Il fallait que ça s’inscrive dans le cadre du projet immobilier Humaniti, qui récupère l’énergie solaire, on est vraiment dans le H de l’immeuble. » L’arbre s’est donc imposé de lui-même, dit Marc Séguin. « D’abord, il manque toujours d’arbres à Montréal, et puis on est sûr que celui-ci n’aura jamais de maladie, nous dit-il, sourire en coin. Pas d’agrile. En plus, ce sera le seul arbre qui va garder ses feuilles en hiver. Mais c’est aussi un arbre de métal, dans une ville qu’on construit en métal. » Et puis, en bon homme des bois, Marc Séguin l’a entaillé et a sculpté une chaudière d’érable en bronze qui sera intégrée à l’installation. Pour cette première œuvre d’art public, le peintre a dû faire quelque chose de « pas trop agressant » non plus. « Les gens vont passer devant tous les jours, je ne pouvais pas non plus jouer dans la tête du monde, faire des trucs violents. Il fallait que ce soit accessible. Je ne voulais pas aggraver la situation humaine », dit-il sourire en coin. Anima est le nom que Marc Séguin a donné à cette œuvre qui représente un arbre métallique dont les feuilles se balanceront dans le vent. La pièce monumentale sera installée à la fin du mois de novembre à une trentaine de pieds dans les airs au coin de l’avenue Viger et de la rue De Bleury. Anima est le nom que Marc Séguin a donné à cette œuvre qui représente un arbre métallique dont les feuilles se balanceront dans le vent. La pièce monumentale sera installée à la fin du mois de novembre à une trentaine de pieds dans les airs au coin de l’avenue Viger et de la rue De Bleury. L’arbre, qui sera éclairé la nuit, émettra donc, vous l’aurez compris, un petit tintement — dû aux panneaux d’aluminium qui s’entrechoquent —, un rappel de notre passé religieux, nous dit encore Marc Séguin. D’ailleurs, en ce lundi ensoleillé (mais frisquet) de septembre, une équipe d’ingénieurs fait des tests de son pour s’assurer que le tintement n’est pas trop bruyant. Du ruban maritime sera posé sur certains panneaux pour réduire le bruit. L’équipe est également sur place pour valider le plan d’installation, afin que la structure soit solidement ancrée. Marc Séguin a dû s’intégrer dans cette faune urbaine existante, en s’assurant que sa structure survive aux écarts de température. Pas question non plus de faire des orignaux, comme Toronto l’a fait ces dernières années. Il a opté pour l’arbre, en choisissant une palette plutôt criante. Un arbre coloré comme ça, ça va détonner, comme un tableau de Riopelle. Il fallait que ce soit monumental pour l’effet. D’ailleurs, de tous les côtés, la composition sera différente, à cause des couleurs. Marc Séguin, artiste « C’est sûr qu’il y a un clin d’œil à Jean Paul, qui a été une idole dans ma vie. En plus, je suis juste en face de La joute ! ajoute l’artiste. Mais aussi à l’art abstrait du Québec, à [Guido] Molinari [qui a été un de ses professeurs à Concordia]. Je me paie la traite, parce que je suis daltonien ! » De loin, la tête de l’arbre a des allures d’image pixélisée, façon Minecraft. « Tout ça fait en sorte que le poème finit par marcher quand il y a plein de couches de lecture qui se rajoutent, certaines volontaires, d’autres involontaires », dit Marc Séguin, qui a conçu les branches avec des tubes industriels soudés au tronc organique « pour mixer les deux langages ». L’artiste peintre ne s’était jamais lancé dans des projets de sculpture à proprement parler (mis à part quelques objets ici et là), mais l’expérience d’une œuvre d’art public l’a allumé. « T’es directement dans le quotidien des gens, tu ne t’adresses plus juste à un public de l’élite que tu fais venir dans un musée. La vie fait qu’il y a des gens qui ne vont pas dans des musées, et là, tu mets une œuvre sur leur chemin. Un petit peu de beauté qui détonne à travers les voitures, la vie pressée… Ça me parle beaucoup, ça. »
  11. Y’a de l’action sur le terrain, la démo semble commencée
  12. On peut voir les bollards installés aux intersections, personnellement je serais aller avec quelque chose qui fit plus avec les lampadaires
  13. Content de savoir que je ne suis pas le seul à penser comme cela. L'entreprise fait partie des meubles et de l'histoire du pays. La Baie semble re-structurer ses actifs (vendre sont immeuble de Winnipeg, downsizé Montréal Centre-ville la vente de son magasin à Vancouver (Granville & West Georgia) et re-développer sont site, et la triste de fermeture de son magasin d'Edmonton, La Baie fais partie du développement de la ville depuis Fort Edmonton en 1795) https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1704346/baie-hudson-ferme-magasin-centre-ville-edmonton https://www.lapresse.ca/affaires/2020-09-08/l-un-des-plus-beaux-immeubles-du-centre-ville-est-mis-sur-le-marche.php En espérant que la compagnie continue de fonctionner et qu'elle continue son développement, quite à se transformer et en re-développant son modèle de grand magasin à rayons
  14. Ça fait du bien car le terrain était devenu une dump illégale et était dangereux (pestes, risques d’incendie, de chutes, etc) la photo date du 9 septembre 2020
  15. Justement, c'est peut être la loi, mais ici on peut bien voir qu'avoir la même information en Anglais la même grosseur qu'en Français change rien du tout. Mais bon, c'est pas la place sur ce fil pour faire un débat sur la loi 101. En espérant que les autres locaux des tours voisines trouvent preneur.
  16. Fais une plainte à l'OQLF si ça t'offusque t'en que ça et t'empêche de dormir. T'en mieux que le local commercial ait trouvé preneur.
  17. Malheureusement impossible, car La Baie cours après son argent, car elle n'a pas payer ses loyers à Cominar au Centre Laval (2,21M $), Mail Champlain (26,95M $), Rockland (3,38M $) (les 2 derniers ont résilié leur bail avec La Baie) et c'est devant les tribunaux. Oxford n'a pas reçu les loyers pour les Galeries de la Capitale (1,4M $) et aux Promenades Gatineau (875K $), donc payer un déménagement n'arrivera jamais. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2020-10-09/loyers-impayes/le-centre-rockland-le-mail-champlain-et-le-centre-laval-veulent-evincer-la-baie.php https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2020-10-08/cheques-sans-provision-et-loyers-impayes/la-baie-d-hudson-poursuivie-pour-2-millions.php
  18. Oui, malgré que c’est juste des travaux c’est juste déplacer des “public utilities” pour une infrastructure auxiliaire
  19. On a une maison du Jazz qui a le nom d'une compagnie de média... on pourrait l'honorer en la renommant, et garder le nom de Place des Festivals
  20. J'ai jamais compris pourquoi le Port de Montréal n'aménage pas ses terrains sur la cité du havre en parc public, car actuellement c'est plein de pancarte : no trespassing, et l'espace est grand et vide. De plus, on pourrait ré-utiliser les sentiers et les restants des installations de l'Expo. De plus, il y a une sculpture fontaine qui est littéralement en train de pourrir là : La Giboulée, qui pourrait au moins être restaurée et déménagée, t'en qu'a rester dans le fond d'un terrain inutilisé. http://proposmontreal.com/index.php/sauvons-la-giboulee/
  21. http://www.vieux.montreal.qc.ca/inventaire/fiches/fiche_bat.php?sec=n&num=28
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