Aller au contenu

swansongtoo

Membre
  • Compteur de contenus

    1 406
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    3

Tout ce qui a été posté par swansongtoo

  1. Va faire un tour sur St. Jacques entre Rose de Lima et Atwater. It’s outrageous to have a street in that condition for **ck knows how long. Unreal.
  2. Si 200m se construit sur le site du Y ca va briser l’escalier … du moins de ce point de vue. J’ai jamais comprit cette obsession avec l’effet escalier.
  3. Activité sur le site qui sera le 2e phase de condos. Pas certain si s’est un réel début des travaux ou une démolition préliminaire qui produira un terrain vide pour des mois a plus finir. Photos prises ce midi.
  4. Land that belongs to CP if I’m not mistaken. There was a thread on here a few years ago on rumours of possible development but otherwise it’s been very quiet on that front.
  5. 3e photo. Hello Cleveland. Just brutal.
  6. This should definitely go back to en construction. Drove by the other and work is happening on the site.
  7. Est ce que du revêtement pré fab est moins coûteux que l’aluminium (je suppose que c’est le matériel noir)?
  8. Je suppose que DLSV - Royalmount pourrait être cool comme nom de station.
  9. Love this writer. https://nationalpost.com/opinion/colby-cosh-leave-it-to-cbcs-rage-detectors-to-deify-derelict-montreal-building Colby Cosh: Leave it to CBC's rage detectors to deify derelict Montreal building How dare owners of graffiti laden building used for document storage want to convert into a hotel? Author of the article: Colby Cosh Publishing date: Sep 08, 2022 • 3 hours ago • 3 minute read • Join the conversation Article content I am not as closely in touch with Quebec as a good Canadian columnist ought to be, but I’ve found my head turned by a classic development fight happening in Montreal. It concerns the handsome Van Horne warehouse in the city’s Mile End neighbourhood, a favourite piece of scenery that is also something of a “scary,” derelict dead spot. The current owners use the giant graffiti-covered warehouse for document storage, so there’s minimal activity, even from employees going to and fro. Feeling imaginative, they recruited a brilliant designer of bar, restaurant and hotel interiors, Zébulon Perron, to devise a plan to turn the handsome monster into a hotel with some office space, a rooftop patio and retailers on the main floor. Perron and his architect partner, Thomas Balaban, are from Mile End, and they have worked with locals on their plan. They claim to be especially protective of the building’s water tower, one of the last still visible on the Montreal skyline. Developers and creatives holding a sheaf of artist’s renderings are certainly to be regarded with mistrust, but Perron has a pretty remarkable track record: if you live in a city that has wandered from the tradition of esthetically spectacular bars (once especially strong on the West of the continent), you can only view his work with envy. This might lead the naive to conclude that Mile End was lucky to have Perron’s attention. Le Devoir’s Tuesday piece on the project reflected cautious optimism from local residents. But CBC News took a typical approach of running its rage detector over the neighbourhood. A hotel and some shops, we are told by one Mile Ender, would “convert” the neighbourhood to a repulsive and tainted “commercial” zone. Another raised the “gentrification” banner: “It’s this point of view,” Thomas Duret told the CBC, “like, ‘Let’s buy this. It’s empty, it looks trashy, we’ll make it for rich people’ and it actually kills the neighbourhood.” Something in our heart does stir at this courageous defence of trash, but we wonder whether Duret thinks document storage is mostly used by the poor. In any event, he added an irrelevant complaint that “shared spaces” are disappearing (perhaps this is an objection to the sharing of graffiti tags?) and grumbled that the building ought to be turned into affordable housing — something that was actually already tried and proved unsuccessful because of zoning limitations (surprise!) and opposition from Héritage Montréal. Renters are bound to resist gentrification wherever it rears its head, we suppose. And us free marketers have a grouchy prejudice in favour of putting real estate to its highest-value uses, to say nothing of basic property rights. As far as heritage preservation goes, the worst possible thing that can happen to an old building is to become genuinely derelict, as money-losing properties frozen in place will generally do. Fires and structural issues are often not very far behind. One gets the sense that some of the people in Mile End heaping abuse on their local councillor would actually prefer the building to become empty and, perhaps, colonized by squatters. No risk of gentrification from them! Unsurprisingly, the politics of Montreal give these reactionaries enormous power to thwart projects like this one. As the CBC observes, the plan first has to pass muster with a “consultative” planning committee that includes local residents; it then has to get clearance from a “public assembly” in which opponents are bound to be overrepresented. Meanwhile, approximately two-thirds of the Canadian public sits around wondering why real estate’s so gosh darn pricey. Otiose zoning and fanatic NIMBYs aren’t the only reason, but you can’t connect the housing-crisis dots (in the parts of the country that have a housing crisis) without them. National Post
  10. Doit être nice le soir!
  11. swansongtoo

    Inflation mondiale

    According to this .25 in 1970 is $1.87 today. https://www.bankofcanada.ca/rates/related/inflation-calculator/
  12. That to me is what a city looks like. Just don’t enjoy how St. Cath is evolving but that’s me.
  13. Deck piscine Bourget et St. Antoine photo prise là là.
  14. Am I the only one to think Valerie, Benoit and PM live in a world of fairy tales, unicorns and pixy dust?
  15. https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/2022-08-22/namur-hippodrome/montreal-lance-un-premier-projet-de-logement-100-abordable.php HippodromeMontréal lance un premier projet de logement « 100 % abordable » PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE La mairesse de Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce, Gracia Kasoki Katahwa, le conseiller et reponsable de l'urbanisme à la Ville, Robert Beaudry, et le vice-président du comité exécutif et responsable de l’habitation, Benoit Dorais, sur le site de l'ancien hippodrome lundi. L’administration Plante annonce un premier jalon de l’avenir de l’ancien hippodrome, dans Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce. Un projet « 100 % » consacré à du logement abordable verra le jour sur ce site, que la Ville veut transformer en un « écoquartier » qui pourra à terme accueillir 6000 unités de logement. Publié à 11h34 HENRI OUELLETTE-VÉZINALA PRESSE Un appel à projets sera en effet lancé d’ici quelques semaines afin de doter ce vaste terrain, situé près du métro Namur, d’environ 200 logements sociaux et abordables d’ici 2025. La Ville compte vendre une parcelle du terrain à un groupe communautaire en habitation. « On demande à tous les organismes à but non lucratif qui sont actifs en habitation de préparer leur proposition », a expliqué lundi le vice-président du comité exécutif et responsable de l’habitation, Benoit Dorais. Il affirme que la Ville veut ainsi « tester des nouveaux modèles d’attribution de terrain ». « La Ville va être plus accessible et agile que jamais », a-t-il insisté. Le projet « Namur-Hippodrome » devait initialement accueillir plus de 8000 logements, mais cette cible a depuis été revue à la baisse par la Ville, autour de 6000. La mairesse Valérie Plante a souvent décrit le projet comme « l’anti-Royalmount ». Dans un communiqué, Mme Plante a indiqué lundi que « le lancement de ce premier appel à projets contribuera à l’atteinte des cibles ambitieuses que notre administration s’est fixée pour assurer la carboneutralité et l’abordabilité de Montréal. « En dédiant un premier terrain à une offre de logements 100 % abordable, nous témoignons de notre engagement à assurer la qualité de vie des Montréalais et des générations futures. La mobilisation des organismes à but non lucratif est une étape essentielle pour répondre aux besoins en matière de logements sociaux et abordables », a-t-elle insisté. Construire « encore et encore » L’avenir du site de l’ancien hippodrome fait l’objet de débats depuis des décennies à Montréal. Aucun cheval n’y coure depuis 2009. Les bâtiments de l’hippodrome ont été démolis en 2018. Au fil du temps, trois administrations municipales se sont succédées : de Gérald Tremblay à Valérie Plante en passant par Denis Coderre, aucune n’a encore concrétisé de projets. La Ville de Montréal, à qui Québec a finalement cédé les terrains de l’ancien hippodrome en 2017, a dévoilé sa vision du grand secteur Namur-Hippodrome de 95 hectares au total, en 2019. Valérie Plante et son équipe rêvent d’en faire un quartier carboneutre qui accueillerait plus de 12 000 unités d’habitation, dont 6000 seulement sur l’ancien site de Blue Bonnets. « On vit aujourd’hui un moment marquant », a de son côté avancé la mairesse de Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce, Gracia Kasoki Katahwa, parlant de « milliers de logements » abordables qui seront bientôt disponibles pour la population. « On ne refera pas les erreurs du passé », a-t-elle assuré, en garantissant l’arrivée d’un « milieu de vie » réunissant des parcs, des écoles et des infrastructures communautaires. M. Dorais, lui, affirme que la Ville veut cette fois avancer pour de bon. « On veut réussir à répondre à deux crises : la crise climatique et la crise du logement. Le nerf de la guerre, c’est certainement de construire, de construire et de construire encore du logement abordable, et surtout de s’assurer que ces logements demeurent abordables dans le temps », a-t-il évoqué. En novembre 2020, l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM) affirmait dans un rapport que l’administration Plante ne parviendra pas à ériger un quartier carboneutre sur les terrains de l’ancien hippodrome si elle ne détermine pas mieux les « sources de pollution » qui y sont « omniprésentes ». Gaz à effet de serre, poussières fines, îlots de chaleur, bruits et vibrations : les polluants auxquels est exposé le secteur sont en effet nombreux, et représenent un défi.
  16. T’as raison de dire qu’un bagel shop d’Ottawa a probablement zéro chance de success (I suppose we’re bagel snobs). Mais ça n’invalide pas le commentaire tout à fait juste qu’après six ans dans spot prime le tout de l’Avenue devrait être louer si le marché était au rendez-vous.
  17. La pose des pièces décoratives verticales semble être débutée. Photo prise à l’instant.
  18. Looking really nice this one. Pic taken just now. Paper in the window says condos for sale call Vincent.
×
×
  • Créer...