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swansongtoo

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Tout ce qui a été posté par swansongtoo

  1. There’s those orange cones I was talking about 😆
  2. swansongtoo

    Fillière batteries

    Too early in the morning to see his face.
  3. swansongtoo

    Fillière batteries

    Why do I sense a Hyundai ending for this venture.
  4. Je voulais dire mon update était poche parce qu’en bout de ligne ça signifie pas grand chose.
  5. C’est poche comme update mais y avait un gar avec un hard hat qui traçait des lignes au trottoir mardi pi des cônes oranges devant l’immeuble sur RL mercredi. Me semble les lignes étaient disparues mercredi fin de journée mais bon voila ce que j’ai vue cette semaine.
  6. After Le George this is a another projet that moves from condos to rentals.
  7. Autre chose à citer - « I’m told on background that one of the reasons for Plante’s announcement is that she has decided that this is her last term. ». Majeur si c’est vrai.
  8. La bonne chose est que les changements PM peuvent être défaites. Passe le scraper sur la piste cyclable St. Antoine par exemple.
  9. https://montrealgazette.com/opinion/columnists/tom-mulcair-valerie-plante-mayor-of-some-montrealers Tom Mulcair: Valérie Plante, mayor of some Montrealers With her plan to revamp Mount Royal, Plante appears to believe that playing to her elite base is the best way to build her political legacy. Author of the article: Tom Mulcair • Special to Montreal Gazette Published Sep 19, 2023 • Last updated 1 hour ago • 3 minute read Article content There was something inappropriate about Mayor Valérie Plante’s forced smile when she announced that she would simply ignore the key recommendation of the massive public consultation she had herself ordered. Did she really think she’d get away with scrapping the only eastern access into Mount Royal Park? Here was one of the best politicians of her generation, elected and re-elected on a promise of positive change, reverting to the style that Montrealers rejected with Denis Coderre. After that consultation, the key takeaway was that Camillien-Houde Way into Mount Royal Park would remain open. Now, she was slamming the door on citizens who had, in good faith, taken part in that democratic process. On Monday, Dominique Ollivier, who headed up the public consultation (and today is chair of the Plante’s executive committee), looked like she was imitating Doug Ford as she tried to rationalize her administration’s about-face. When Ford opened large tracts of Toronto’s protected Greenbelt to developers, he pleaded that he’d followed all of the recommendations of Ontario’s auditor general, except one — the most important one: to reconsider. So too with Plante and Ollivier. They try to excuse their betrayal by saying they’ll follow all of the proposals, except one — the most important one: to leave the road open. No one is being duped. The COVID-19 pandemic reinforced our understanding of the importance of maintaining access to green spaces. How is shutting off a key road into the park supposed to enhance access? Plante sent out her troops to quell the fierce reaction against her scheme. My favourite was councillor Alex Norris who gave this piece of advice on CJAD: Park your car in the parking lot at the old Royal Victoria Hospital and walk up the mountain! In that one knee-slapper, the total disconnect between the Plante administration and the real world of Montrealers couldn’t have been clearer. It takes some time for a political movement to show they’ve stopped listening. The Plante administration is no different, and as it enters its seventh year this fall, it’s begun aging badly. I’m told on background that one of the reasons for Plante’s announcement is that she has decided that this is her last term. She’s thinking “legacy.” She appears to believe that playing to her elite base is the best way to be remembered for her time in politics. And make no mistake, this is one for her base. What’s interesting is that with a 2027 start date for Plante’s project, a new mayor elected in 2025 will thankfully have time to reverse it. Since Gro Harlem Brundtland’s landmark report on our common future, we’ve understood that sustainable development issues have to include a look at the social and economic aspects, in addition to the environmental. Mount Royal Park is magnificent and families with little access to the countryside come in droves. Barbecues, picnic baskets and kids in tow. Feet in beaver lake, long rolling slopes to play on, trees for shade. Nice tables to sit at and enjoy some down time with family and friends. Small businesses making deliveries on both sides of Mount Royal would have to add a good 30 minutes per run. Plante’s platoon were out pleading that the mountain shouldn’t be a “shortcut.” Why not? It’s difficult enough getting around the orange cone chaos in this city, to say nothing of the thousands of cars and delivery vehicles that would now swarm into peaceful neighbourhoods around the mountain. Speed is indeed a serious concern. Ever hear of photo radar? There’s a chute on Côte-des-Neiges Rd. as it becomes Guy St. Everyone knows there’s a radar camera there and, believe me, everyone slows down. But this isn’t about shortcuts or speed or sustainable development. It’s about a person, Valérie Plante, who has decided that she and her clique know better than the thousands of people who showed up for her own consultation. This is a mixture of cynicism and arrogance. Montrealers deserve better.
  10. I truly hate this administration c’est pas possible.
  11. On l’espère. La ville cache pas qu’elle est cassé donc pour moi refaire Ste. Catherine ou McGill Collège c’est carrément du nice to have. Pas un must et je doute que grand monde seront désolé. Par compte refaire l’asphalte pour ensuite l’arracher serait très bien en ligne avec le niveau de compétence de la ville (pensons les travaux sur St. Laurent).
  12. Le cabinet Legault est aussi aligner que l’ARTM et le PSE. Le Québec …
  13. Depuis la piscine Loft Imperial.
  14. Pour faire suite à mon dernier post le locale a cote du vet sera un Pasta Bar. Photo prise ce midi.
  15. Si, comme est suggéré dans l’article, les projets en cours ou sur le point de démarrer à Toronto et Vancouver represent les conditions du passé, il est plausible que le soudain manque d’activité à Montréal aujourd’hui est dû au fait que le 20 20 20 a refroidit les ardeurs des promoteurs d’initié de nouveaux projets à peu près quand PM a annoncé ces intentions et les a mise en place. Le manque de projet breaking ground aujourd’hui reflète le manque d’initiative dans les trois à cinq dernières années. Le 20 20 20 n’est peut-être pas le seule facteur mais il est difficile a ignorer (the elephant in the room). Les pensées de BB seraient intéressantes.
  16. Ce matin dans La Presse. https://www.lapresse.ca/affaires/2023-08-24/construction-residentielle/les-mises-en-chantier-en-chute-libre.php Construction résidentielle Les mises en chantier en chute libre https://mobile-img.lpcdn.ca/v2/924x/r3996/828abd59bbf837e390625d254a332bde.jpg PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE La construction domiciliaire est au plus bas à Montréal. La construction domiciliaire est au plus bas à Montréal, contrairement à Toronto et à Vancouver. Et ceux qui espèrent une reprise rapide des mises en chantier seront déçus, selon un gourou des cycles immobiliers. Publié à 5h00 https://static.lpcdn.ca/lpweb/mobile/img/share-icon.png https://mobile-img.lpcdn.ca/v2/100/dc69b71a-8e83-11ea-b33c-02fe89184577.jpg ANDRÉ DUBUCLA PRESSE Après sept mois, le rythme des mises en chantier en 2023 flirte avec le creux historique de 1998 en dépit de la pénurie de logements. Montréal fait bande à part à ce chapitre, Toronto et Vancouver étant en voie de connaître une année record. Il s’agit d’une bien mauvaise nouvelle pour les ménages montréalais à la recherche d’un toit compatible avec leur budget au moment où la question du logement est sur toutes les lèvres. Le rythme annualisé des mises en chantier dans la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal, de janvier à juillet 2023, est d’environ 12 000 logements. « Il faut remonter jusqu’à 1998 pour avoir un chiffre plus bas, avec 10 700 nouvelles constructions », fait savoir Francis Cortellino, analyste principal du marché de Montréal à la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL). La ville, alors dirigée par Pierre Bourque, connaissait un taux de chômage deux fois plus élevé qu’aujourd’hui. La comparaison est imparfaite parce qu’en 1998, la RMR était plus petite qu’aujourd’hui ; par exemple, elle n’incluait pas Saint-Jean-sur-Richelieu. https://mobile-img.lpcdn.ca/v2/924x/75881f5b4d203f9cbfd628d06c25868d.png Si ce chiffre de 12 000 nouveaux logements devait se maintenir d’ici au 31 décembre, la dégringolade serait spectaculaire, de l’ordre de 50 % par rapport aux 24 000 logements construits l’an dernier. Évidemment, la RMR de Montréal, qui représente environ 50 % de la population de la province, tire le Québec vers le bas. Après avoir diminué de 15 % en 2022, le nombre de mises en chantier dans la province chutera encore de 40 % cette année. Cela n’a rien de réjouissant pour les ménages à la recherche d’un toit. Desjardins prévoit 35 000 nouveaux logements au Québec cette année. Il y a deux ans, il s’en était construit près de 68 000. « C’est quand même énorme comme baisse. Le problème actuellement au Québec, c’est la capacité financière des promoteurs à lancer des projets », commente Hélène Bégin, économiste chez Desjardins. Surprise à Toronto et à Vancouver La surprise, c’est que, pendant que Montréal est près d’un creux historique, Toronto et Vancouver menacent de faire tomber des records vieux de 30 ans. Le rythme annualisé des mises en chantier dans la RMR de Toronto, de janvier à juillet 2023, était d’environ 53 500, et à Vancouver de 35 100, selon la SCHL. À ce rythme, l’année 2023 pourrait connaître la meilleure performance pour ces deux RMR depuis au moins 1990. Or, les deux villes qui sont aux prises, elles aussi, avec une pénurie de logements ne devraient pas se réjouir trop vite, s’il faut en croire les économistes. Vancouver et Toronto sont avantagés par leur structure d’habitation davantage orientée vers le condo, ce qui donne une certaine capacité financière aux promoteurs pour lancer leur projet grâce aux préventes. À Montréal, c’est surtout du locatif qui se construit. Hélène Bégin, économiste chez Desjardins Au premier semestre, environ 50 % des mises en chantier sont des condos à Vancouver et à Toronto, tandis que la copropriété représente 12 % des nouveaux logements dans la RMR de Montréal, selon la SCHL. « À Toronto et à Vancouver, ce sont de grandes tours de condos que l’on construit, souligne Francis Cortellino. Ces projets s’étendent sur plusieurs années. Ils peuvent représenter des conditions du passé. C’est long avant d’avoir tous les permis nécessaires. Il faut aussi avoir le niveau de préventes requis [souvent équivalent à la moitié des logements] pour lancer le projet. Ces préventes ont pu être réalisées il y a deux ou trois ans [quand les conditions de financement étaient meilleures]. » La réalité risque de les rattraper l’an prochain, croient-ils. https://mobile-img.lpcdn.ca/v2/924x/00a3135fc4e73bb196161b1282902609.jpg PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE Gilles Ouellet, spécialiste des cycles immobiliers Pas de reprise à l’horizon, soutient un gourou des cycles immobiliers Baisse des taux d’intérêt ou pas, la reprise des mises en chantier au Québec n’est pas pour demain, soutient Gilles Ouellet, spécialiste du marketing immobilier et adepte des cycles. Selon cette théorie, raconte-t-il, un cycle dure 20 ans en moyenne, séparé en deux phases à peu près égales de croissance et de décroissance. Les conditions peuvent changer d’un cycle à l’autre, dit-il, mais leur réalité reste implacable. L’année 2021 avec ses 68 000 mises en chantier a marqué le dernier sommet au Québec. Le précédent pic a été observé 17 ans auparavant, en 2004, avec 58 500 mises en chantier. https://mobile-img.lpcdn.ca/v2/924x/d0d7f852b1bb3ea3b345afb9f658b59a.jpg INFOGRAPHIE LA PRESSE « Je ne m’attends pas à une remontée significative des mises en chantier avant la fin de la décennie, soutient l’octogénaire, en entrevue avec La Presse. « J’ai des mauvaises nouvelles pour les promoteurs qui croient que dès que les taux hypothécaires redescendront, les mises en chantier remonteront rapidement au niveau de celles de 2021, poursuit le président de la société de marketing immobilier Go Solutions. Ça ne sera pas le cas, il y a trop d’obstacles à surmonter. » Il énumère le coût des terrains, la pénurie de main-d’œuvre, les coûts élevés des matériaux qui rendent la construction de logements locatifs non rentable, l’opposition citoyenne chronique aux tours résidentielles, la réticence des villes à accepter la densification, leur lenteur à délivrer des permis et les redevances qu’elles imposent aux promoteurs. « Je suis en partie d’accord avec lui, dit Thomas Dufour, coprésident du promoteur Groupe HD. Ça se fera en deux temps. L’an prochain, il y aura une reprise des mises en chantier avec le desserrement des conditions de financement. Mais pour une reprise significative majeure, je suis d’accord que ça va prendre cinq ans encore », confie celui dont le groupe a lancé un projet de condos de 350 logements en mai dernier au 2600, boulevard Cavendish. Effondrement des permis de bâtir au centre-ville Les données sur les permis de bâtir, indicateur avancé des mises en chantier au cours des deux années subséquentes, semblent confirmer le scénario pessimiste. Une comparaison des permis délivrés au centre-ville au cours du premier semestre des années 2022 et 2023 réalisée par l’Institut de développement urbain du Québec (IDU) montre que l’arrondissement de Ville-Marie a autorisé 3040 logements en 2022, mais seulement 45 cette année. Sur l’ensemble du territoire de Montréal, la chute des permis au premier semestre est de 61 %, les logements autorisés étant passés de 6354 en 2022 à 2451 en 2023. « Je ne pense pas non plus que les mises en chantier vont remonter pour la peine prochainement, dit Mario Fortin, professeur d’économie à l’Université de Sherbrooke. Ça va être plus compliqué qu’une simple baisse de taux. Empiriquement, les entrepreneurs font plus de construction quand c’est rentable d’en faire. » L’enjeu aujourd’hui, c’est que les coûts de construction ont monté plus vite que la capacité des ménages de payer des logements. Mario Fortin, professeur d’économie à l’Université de Sherbrooke Hélène Bégin a sursauté quand elle a pris connaissance des propos de Gilles Ouellet. « Si les taux d’intérêt étaient bas, il s’en construirait des logements au Québec », lance l’économiste de Desjardins. Elle pointe les 68 000 mises en chantier de 2021, période où les taux d’intérêt étaient au plancher. L’institution financière prévoit une première baisse des taux autour du deuxième trimestre 2024. Ils ne reviendront toutefois pas au niveau de 2021, prend-elle soin de préciser. Elle s’attend à ce que les taux hypothécaires de 1 et de 5 ans redescendent sous les 5 % en 2025. Cette année-là, Desjardins prévoit 46 000 mises en chantier, en hausse de 30 % par rapport au creux attendu cette année. « Serait-ce suffisant ? se demande l’économiste à voix haute. La baisse des taux va aider un peu dans les propriétés destinées aux propriétaires-occupants. Dans le locatif, ça reste à voir. C’est certain que plus d’injection de fonds publics est nécessaire, notamment dans le logement social et abordable. » « Il va falloir que le gouvernement s’en mêle d’une façon ou d’une autre », corrobore Gilles Ouellet. Ce qui prendra du temps et qui n’ira pas sans heurt, d’après lui. Il cite l’exemple des maisons des aînés, dont la livraison a pris du retard. Leur construction chapeautée par l’État revient à 800 000 $ et plus par logement. Programme embourbé Autre exemple, le populaire programme APH Sélect de la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL) est embourbé. Il accorde des conditions de financement avantageuses aux projets locatifs respectant certaines exigences qualitatives. « Les dossiers déposés en ce moment ne sont pas traités avant six mois », témoigne Marc-Antoine Chevalier, président du Groupe Chevalier Séguin. Sa société projette de construire un immeuble de 72 logements à Saint-Amable, en Montérégie. Il a déposé sa demande auprès de la SCHL le 20 mai dernier. Il attend maintenant une réponse en novembre. L’allongement des délais découle de changements entrés en vigueur le 19 juin, explique la société de la Couronne dans un courriel, lesquels « ont contribué à un afflux important et anormalement élevé de demandes ».
  17. “La semaine dernière, l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) a indiqué qu’elle avait demandé à Québec l’autorisation de repartir de la case départ pour évaluer le meilleur mode de transport pour le projet.” Mais ce n’est pas ce que les parties prenantes auraient dû faire au départ avant de présenter une proposition à $36 milliards? Voici la solution optimale pour les raisons suivantes qui rencontrent les critères identifiés. N’importe quoi.
  18. De plus en plus symbolique de l’administration ValDor (Valérie et Dorais). Shameful.
  19. Il est évident que les partie prenantes (stakeholders) ne sont pas du tout sur la même longue d’onde. Ca donne l’impression qu’on pitch des balles dans l’aire en espèrent qu’une continue de flotter.
  20. “… Benoit Dorais, a assuré que «malgré que certains voudraient peut-être le voir aboli, il faut comprendre que le règlement pour une métropole mixte est là pour durer»”. Trop arrogant PM.
  21. Si je ne me trompe pas Québec Solidaire fais campagne pour Projet Montréal lors des élections municipales donc pas étonnant si sa base est comme tu l’a décrit.
  22. Ca fait un bout je n’ai pas entendu ce son mais music to my ears. Ca semble être 1957 Hunter selon l’autre site.
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