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Tout ce qui a été posté par UrbMtl

  1. De mémoire, on parlait de 2000 à 4000 unités sur le site de la SRC. EDIT : Le nouveau propriétaire, Vincent Chiara a promis jeudi de respecter l’entente. «Il y a un potentiel allant de 2000 à 4000 unités de logements constructibles sur site. Ça s’échelonnerait sur une période d’une quinzaine d’années dépendamment de la vigueur du marché», a-t-il ajouté. Les hauteurs varieraient entre 6 à 15 étages.
  2. Et pourtant je n'invente rien comme façon de procéder. Je constate qu'on est pas prêt à ça. Je me retire de la discussion et j'attendrai les premières critiques dans quelques années.
  3. Je ne veux pas monopoliser le fil, mais je dois préciser qu'en aucun cas je n'ai suggéré que la Ville développe le terrain. Au contraire. Elle planifie elle même le développement du terrain, garde les terrains qui auront une vocation publique (logements sociaux, parcs, allées et rues), puis subdivise le terrain et revend les lots. C'est exactement ce qui a été fait par la SIC pour les Bassins du nouveau Havre. Résultat : les parcs sont aménagés sans coût d'acquisition supplémentaire parce qu'on a attendu que leur valeur explose (comme les autres du quartier).
  4. C'est pas juste Projet Montréal. Regarde le site de la SRC, Bois-Francs, Childrens (vendu d'abord à Luc Poirier), Lachine Est, Angus, TOD Quartier, etc. On peut même penser à la gestion des espaces publics dans Griffintown et au Triangle (à la remorque du privé). Je crois qu'on fait comme on a toujours fait, tout simplement. EDIT : Ceci dit, attendons le PPU.
  5. Achat - planification - lotissement - revente. Je ne vois pas comment la Ville serait perdante financièrement. Les terrains morceler valent probablement plus chers une fois que l'aménagement de l'espace public est annoncé et même réalisé. EDIT : mais bon, si quelqu'un peut démentir mon impression, j'ai hâte de le lire.
  6. Un peu déçu qu'on envisage de vendre l'entièreté du terrain à un seul promoteur, comme on a un peu trop l'habitude de le faire. On verra avec le PPU, mais la ville devrait s'imposer pour ce projet, aménager le site elle-même, le subdiviser et le faire développer par plusieurs promoteurs qui s'adresseront à des acheteurs différents (luxe, abordable, résidence, famille, etc.). Les Bassins du nouveau havre était un premier pas dans la bonne direction à mon avis.
  7. Pour vivre sur le Plateau, j'aimerais mieux des urinoirs à certains endroits plutôt que de voir et sentir des traces de pisse aux entrées de ruelles le samedi et le dimanche matin. La première fois que j'en ai vues (des urinoirs), c'était à Amsterdam dans un parc. 100x préférables à se trouver un coin de maison isolé. Et pour simplement uriner, je préfère ce genre de truc que de faire fonctionner une toilette autonettoyante pour rien et la monopoliser pendant 5m alors que d'autres n'ont pas d'autre choix que de l'utiliser. Ceci dit, le design peut être plus intéressant.
  8. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1117963/rue-amherst-comite-autochtone-montreal La rue Amherst portera un nom autochtone Publié le mardi 14 août 2018 à 11 h 29 L'administration de Valérie Plante ira de l'avant avec le projet de rebaptiser la rue Amherst au nom de la réconciliation avec les Autochtones. Un projet qui intervient presque un an après une annonce en ce sens par l'ancien maire de Montréal Denis Coderre. Un texte de Laurence Niosi Un comité composé entièrement de représentants autochtones sera mis en place à l'automne afin de dresser une liste de noms autochtones pour remplacer celui du controversé général britannique Jeffery Amherst, affirme un porte-parole de la Ville à Radio-Canada. Plusieurs noms ont été évoqués dans le passé pour prendre sa place, dont ceux de l'ex-premier ministre Jacques Parizeau, du chef huron Kondiaronk, héros de la Grande Paix de Montréal, ou encore du chef outaouais Pontiac, qui s'est révolté justement contre Amherst. L'administration Plante affirme toutefois que le nouveau nom de la rue sera autochtone, comme l'avait laissé entendre le maire Coderre en septembre dernier. « Le processus de planification pour le changement du nom de la rue Amherst est en cours. Les organismes du quartier et les associations de commerçants seront informés du processus et des étapes qui mèneront à l’adoption du nouveau toponyme par le conseil municipal de la Ville de Montréal », indique le porte-parole. La Ville de Montréal affirme que le comité est en « cours de composition » et n'accorde pas d'entrevue sur le sujet. Le débat autour de la rue Amherst revient de manière cyclique depuis plusieurs années. On reproche notamment à celui qui a été gouverneur général et commandant en chef des forces britanniques en Amérique du Nord (1717-1797) d'avoir préconisé l'extermination des Autochtones par l'usage de couvertures infectées par la variole. En septembre, à l'occasion du dévoilement des nouvelles armoiries de Montréal où figure un pin blanc illustrant la présence autochtone ancestrale, Denis Coderre avait déclaré que le général serait effacé de la toponymie montréalaise. « Je ne pense pas qu’on puisse célébrer quelqu’un qui voulait exterminer des Autochtones. Goodbye Mister Amherst! », avait dit l'ancien maire. La formation d'un nouveau comité autochtone survient en outre alors que le débat sur certains lieux ou statues de héros de l'époque coloniale fait rage. À Victoria, une statue de John A. MacDonald a récemment été déboulonnée à l'extérieur de l'hôtel de ville, dans un « geste de réconciliation » avec les Autochtones. L'ancien premier ministre du Canada a établi le programme de pensionnats autochtones et adopté la Loi sur les Indiens. La semaine dernière, la Banque de Montréal (BMO) a quant à elle retiré des inscriptions jugées offensantes pour les Autochtones d'un de ses édifices, dans le Vieux-Montréal.
  9. Pourquoi tout le monde à l'air surpris? On sait depuis plusieurs mois le pari des architectes concernant les anciennes façades et leurs enjeux. On en a amplement discuté sur le forum en plus. https://provencherroy.ca/fr/projet/architecture-patrimoine-carre-saint-laurent/
  10. En fait, on cache probablement l'étage mécanique. Un exemple qu'aurait du suivre CF pour la TDC 2&3...
  11. En passant, léger changement de design au niveau des balcons + ajout de fenêtres à la base + étage au top : Précédent :
  12. Sauf que les plans sont pour le Victoria comme tu dis, et que la tour BNC et son basiliaire n'ont plus cette forme. Un zoom sur le 3D à partir de l'ouest :
  13. Tu peux bien préférer la version retenue. Je tiens à préciser que ce n'est pas simplement le nombre de courbe qui rend la version de JLP plus intéressante à mon avis, mais la simplicité de ses volumes, sa légèreté en raison des coins arrondies et de la texture du verre, le basiliaire et traitement au niveau du sol et la régularité des sky gardens. Peu importe. Ce n'est pas ce design qui a été choisi, mais je me permettais de clarifier et complexifier mon appréciation de cette version.
  14. Oui évidemment pour une entrée, mais aucune interaction avec le tout nouveau boulevard et une large bande verte?
  15. Je ne suis vraiment pas excité par autre chose que la hauteur. Je suis même un peu déçu compte tenu de la proposition rejetée de JLP. C'est "sophistiqué" à défaut d'être "raffiné". Comme si on s'était demandé comment mettre le plus d'éléments contemporains possible sur une seule tour : une courbe, un jardin suspendu, des volumes disparates à travers un long volume transparent et un grand basilaire tout aussi imposant et transparent. Ce sont des rendus peu détaillés et il faut se fier au rendu de nuit pour avoir un réel aperçu des 3 types de verre et de façade (meneaux et texture), mais je me questionne sur la transparence une fois qu'il y aura des reflets et de la lumière naturelle. Je me pose également des questions sur l'intention derrière la courbe unique qui ne me semble pas tout à fait cohérente avec l'ensemble très rectangulaire. Bref, je suis content d'avoir une haute tour contemporaine, mais elle ne s'enligne pas pour être ma préférée. EDIT : Suis-je le seul à remarquer que l'entrée est sur Saint-Jacques et que la tour n'a aucune d’interaction avec le boulevard Robert-Bourrassa? Comparativement à la proposition de JLP :
  16. Le rendu est en tête de fil depuis plusieurs mois.
  17. On accuse de dogmatisme ceux qui défendent la limite, et en même temps on parle de complot, de clergé, d'opacité et de décision occulte pour tenter de l'expliquer, preuve qu'aucun effort préalable pour la comprendre n'a été fait. C'est ironique. Y'a rien de secret. Tapez "hauteur limite Montréal" sur Google. Lisez un peu. Que vous soyiez pour ou contre m'importe peu, mais savoir de quoi vous parlez me semble une condition de base. Une synthèse : http://proposmontreal.com/index.php/une-hauteur-limite/ L'ensemble de la documentation sur les hauteurs dans le cadre des consultations sur la révision des hauteurs et densités du centre-ville (2011). Les documents de 1988 et 1990 y sont : http://ocpm.qc.ca/fr/hauteurs-densites/documentation D'ailleurs, je serais curieux de savoir combien ici ont profité des consultations pour faire valoir leur point de vue... ? (2011, c'est 4 ans après l'ouverture de mtlurb et au moins 50 débats sur le sujet)
  18. Je veux pas être déplaisant, mais j'ai fait un petit historique à la page précédente
  19. Il ne faut absolument pas s'emballer. Tout comme la mouture de la page précédente, rien ne prouve que celle-ci est "officielle".
  20. Aux dernières nouvelles, la tour aura 200m, pas 210 ou 180. Que Bergeron mentionne qu'elle "pourrait atteindre 210m" ne change pas grand chose. Il n'était même plus à l'emploi de la Ville de Montréal au moment de l'acquisition du terrain par Broccolini, ni quand les plans ont été déposés.
  21. Aucune mention du nom de la rue ni du parc concernés. Un peu plus de détails dans cet article : https://www.journaldemontreal.com/2018/07/30/daisy-peterson-sweeney--montreal-veut-nommer-un-parc-et-non-une-rue-en-son-honneur Selon cette dernière, la famille — originaire du quartier de la Petite Bourgogne dans le Sud-Ouest — avait espéré que la rue Delisle serait nommée, ou nommée de façon secondaire, en l’honneur de Daisy Peterson Sweeney. Une solution La mairesse de Montréal Valérie Plante a assuré lundi lors d’un point de presse qu’il était important de bien honorer la mémoire de la pianiste, et que son administration pourra se rasseoir avec la famille pour trouver une solution qui lui convient, si elle n’est pas d’accord avec la proposition du parc par les services de la Ville. Son administration a indiqué que des investissements sont prévus pour réaménager le parc, et dénommer une rue pour la renommer n’est pas privilégié par le service de la toponymie de la Ville.
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