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UrbMtl

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Tout ce qui a été posté par UrbMtl

  1. Au delà de l'architecture présentée sur les rendus préliminaires... Le centre d'achat!!! ? Parce que même avec une architecture "intéressante", le plan d'ensemble est problématique en soi.
  2. Le projet s'appelle 1111 Atwater http://www.1111atwater.com/ Dans Inno Magazine : 40% des unités sont déjà réservées. https://issuu.com/francegoyet/docs/inno_29_rgb/20
  3. Site internet : http://www.jazzbrossard.com/ Alu? Ou préfab?
  4. Ramène à l'ordre? Peux-tu élaborer, parce que je ne me souviens d'aucune dérogation refusée dans le boom actuel. Au contraire (TDC2&3, Square Children's).
  5. Bref, un projet de centre commercial surmonté de résidences. Avec cette habitude des développements sur un large territoire par un développeur unique et l'idée marketing de "la ville dans la ville", on peut prévoir d'autres axes/centres commerciaux pour Molson et pour le QDL. Pas convaincu que Sainte-Catherine en sortira gagnante.
  6. Le site est ouvert : http://www.groupemach.com/qdl/ Des extraits : RÉSIDENTIEL 3000 unités Il y est prévu une grande proportion d’unités en location and près de 30% des unités qui seront abordables ou du logement social. Une variété de concepts allant des apparts-hôtels au logements courte-durée Nouveau concepts de résidence séniors Concepts co-habitation ciblant la communité startups Concept Co-habitation et ateliers vie/travail BUREAUX Campus High Tech : Ancré sur le siège de une ou plusieurs compagnies technologiques, et réparti sur un ou plusieurs bâtiments qui formeront le Coeur du campus. Bureaux multi-locataires: Offres de bureaux flexibles pour compagnies à forte croissance. Postes de travail innovants pour travailleur du savoir Pôle Innovation: Espace Coworking Centre de conférences Incubateur et Fablab Théâtre boîte noire Zone d’évènements Atrium principal en connexion avec le centre commercial COMMERCES Commerce sur rue – localisations centrales: Restaurants, terrasses, délis, cafés, kiosques Magasins de quartier, boutiques, Concepts intenses de restauration: Sur rue & dans le centre commercial Zone de camions restos et halle de marché au B1 Commerce de quartier: supermarché/ épicerie / Nourriture spéclialisées Services, Pharmacies, Boulangerie, boucherie, animalerie, Magasin à 1 dollar, Ancres commerciales fortes: Équipements sportifs Quincaillerie et centre urbain de bâtiments Pôle de décor à la maison Matériel de bureaux, etc ( dans la partie inno-hub ) ESPACES PUBLICS Parc central principal Bordé d’arbres. Un espace convivial où il fait bon s’assembler, s’asseoir et profité du temps. Les bâtiments avoisinant s’ouvrent avec café-terrassess, petits commerces, et créent un contexte urbain agréable. Lieux de services partagés comme bixi, e-bicyclette, et kiosques de tout genre. Esplanade De la Gauchetière La rue de la Gauchetière apporte une échelle plus humaine et conviviale Des cafés et restaurants sur rue, avec terrasses, ouvrant sur une esplanade plantée devant les entrées principales. Grand lieu de rassemblement extérieur qui permet d’organiser des évènements et spectacles. Présence importante des atriums qui relient le centre commercial sous-terrain et le fait participer naturellement à la vie de rue. Parc observatoire sur le toit La toiture du centre commercial est convertie en par cet mène au dessus de la rue Viger, vers le Vieux Montréal. INSTITUTIONNEL Services communautaires de quartier Cliniques locales École primaire pour 500 enfants Garderies Centre communautaire et de rencontres Services communautaires additionnels considérés: Centre sportif & aquatique Terrains de sports extérieurs Jardins communautaires / ferme urbaine -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Centre commercial :
  7. Le terrain du Quai de Lorimier a été vendu. Un autre promoteur développera un projet différent dont le nom sera également différent.
  8. Quelques éléments de modernisme à un bâtiment moderniste?
  9. Autres photos : (VM94-Ad144-008) (VM94-Ad144-054)
  10. https://www.mondev.ca/apartments-for-rent-montreal
  11. Les deux rendus ont été partagés la journée de la conférence de presse : Je précise que je ne fais que supposer qu'il s'agisse de Fischer. Je me suis trompé pour le VslP et NEUF architectes, il est possible que je me trompe pour celui-ci également.
  12. Et on voit le CCE au Nord, donc post 2004. Je peux me tromper, mais je pense reconnaitre le graphisme de Benoit Jacques et la signature architecturale de Karl Fischer, notamment derrière le TOM (pour lequel on reconnait l'influence postmoderniste) et une multitude d'immeubles douteux du même style à New York.
  13. Et éventuellement par un autre projet au Nord...
  14. UrbMtl

    Expos de Montréal

    Petite précision : par la loi, on peut exproprier à des fins publics seulement. La revente à un promoteur pour la construction d'un stade serait une cause judiciaire perdue d'avance pour la Ville à mon avis.
  15. UrbMtl

    Gare Viger

    Timing. Ils ferment quelques années avant qu'on érige un hôtel de 175 chambres + 334 logements + un immeuble à bureaux à moins de 100m.
  16. Rendu là, ce n'est pas un recclad! https://www.archdaily.com/784930/lawrence-public-library-gould-evans
  17. Je viens de tomber là dessus. Quelle tristesse. Maintenant : 1969 :
  18. UrbMtl

    Historicisme à Montréal

    Ironiquement, la tour est aujourd'hui dans la même situation que l'étaient les autres bâtiments autours dans les années 50-60 : manque d'entretien et sale, donc facile à déprécier. Faut avouer qu'elle flashait en 1963 et 1966!
  19. Merci pour la trouvaille! Je lui ai créé un fil à l'image des autres phases :
  20. Depuis le dévoilement du projet, Mtlurb présente de rendu en tête de fil, montrant du verre entre les étages et de minces bandes d'alu verticales. Mais on réalise pendant la construction que ce n'est pas du tout le résultat : larges bandes d'alu verticales et horizontales, fenestration moindre. En fait, on n'a pas vu le nouveau rendu sur promener sur le web. ?
  21. Ironiquement, mes lectures d'aujourd'hui portent justement sur l'évolution conceptuelle du patrimoine au milieu du 20e siècle (1960-1970), et un paragraphe m'a fait penser à ces échanges sur le fil de la Place Bonaventure. De nombreux quartiers urbanisés au cours du 19e siècle et au début du siècle suivant n’étaient pas encore touchés par des considérations d’intérêt historique. Au contraire, ce qui frappe dans les différents textes de cette époque qui traitent de la ville et de l’environnement bâti est l’adéquation entre l’année de construction d’un bâtiment et l’opinion défavorable associée à sa présence dans la ville. Les exemples abondent. Dans un discours prononcé au Congrès annuel de l’Institut canadien d’urbanisme (1956), Charles-Édouard Campeau, directeur de ce service à Montréal, évoquant la volonté de déployer un vaste programme de « reconstruction » dans la métropole, déclarait que des « maisons construites il y a trois quarts siècle et dont l’entretien a souvent laissé à désirer exigeaient d’être remplacées par de nouvelles habitations bénéficiant des matériaux modernes » (...) La vénérable valeur d’âge, autrement utilisée pour qualifier des « monuments historiques », celle qui avait permis la protection des témoins du 18e siècle, se colorait ici d’un caractère négatif. L’architecture dite victorienne et l’habitat ouvrier n’avaient pas beaucoup d’adeptes et, conséquemment, étaient peu étudiés. Il semblait dès lors difficile de porter un jugement positif sur des bâtiments dont le mauvais entretien ne laissait souvent percevoir que leurs carences. (...) Bref, trop jeunes pour être qualifiés d’historiques, mais ayant dépassé un cycle de vie capable d’en permettre une mise aux normes, nombre de bâtiments sombraient ainsi dans la catégorie des structures à abattre. (Martin Drouin, 2013) Heureusement pour les victoriennes et les ouvrières montréalaises (que vous appréciez tous aujourd'hui), certains se sont braqués contre la dépréciation de la majorité suffisamment longtemps pour que les idées et les perceptions changent. 60 ans plus tard, soyons plus matures dans notre approche et notre évaluation du cadre bâti et apprenons du passé. Reconnaissons qu'il s'agit d'un cycle. Ce que vous déprécié aujourd'hui ne le sera assurément pas demain.
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