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nephersir7

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  1. DÉMÉNAGEMENT DU MUSÉE MCCORD L’ADMINISTRATION PLANTE PROPOSE TROIS NOUVEAUX TERRAINS Ayant décidé de ne pas respecter une « vague » promesse de l’ex-maire Denis Coderre de permettre au musée McCord de déménager dans l’îlot Eugène-Lapierre, au nord de la place des Festivals, l’administration de la mairesse Valérie Plante vient de proposer trois autres terrains à l’institution muséale, a appris La Presse. Au printemps, l’annonce par l’administration Plante de convertir l’îlot Eugène-Lapierre en un petit parc avait semé la consternation au musée McCord. L’ex-maire Coderre avait promis à l’institution que ce terrain compris entre les artères Jeanne-Mance, De Bleury, De Maisonneuve et Président-Kennedy accueillerait le nouvel édifice muséal une fois que le McCord aurait trouvé le financement requis. L’administration Plante avait fait valoir en mai dernier que tout n’avait pas été fait dans les règles de l’art par l’ancienne administration. Hier, Valérie Plante a réitéré à La Presse le manque de sérieux montré par l’ex-premier magistrat dans ce dossier. « À part une promesse sur un bout de papier qui n’avait aucune valeur légale, rien n’avait été ancré dans la machine administrative de la Ville », a dit, hier, la mairesse à La Presse. « Le maire précédent n’a même pas pris le soin de vérifier avec le contentieux. On ne donne pas un terrain de la Ville comme ça, sans avoir pris des précautions. » — Valérie Plante « Nous, on a décidé de faire les choses en bonne et due forme. On travaille avec le Service de la culture et l’arrondissement de Ville-Marie pour trouver un site qui va convenir aux besoins du musée McCord, qui est super important pour Montréal. » DISCUSSIONS EN COURS La mairesse et des représentants de la municipalité ont rencontré récemment des responsables du musée McCord, à la grande satisfaction de Monique Jérôme-Forget, présidente du conseil d’administration de l’institution. « Mme Plante a mis en branle une équipe qui a été très diligente à cet égard, a dit l’ancienne ministre libérale. La Ville a proposé trois sites pour accueillir le nouveau musée McCord. Mais il n’y a encore rien de fait. On est en discussions. Rien n’est encore ficelé. Il faut rencontrer les propriétaires des terrains. Mais c’est clair qu’il y a de l’intérêt. » Les trois lieux, qui ne peuvent pas être dévoilés compte tenu des discussions avec leurs propriétaires, sont situés au cœur du Quartier des spectacles. Ils sont proches de stations de métro et leur superficie serait adéquate pour les besoins du musée, selon la Ville. « Nous analysons ces sites actuellement, a dit Suzanne Sauvage, directrice du musée McCord. Deux d’entre eux sont bien et le troisième ne nous intéresse pas. Chacun des deux sites intéressants a des enjeux propres qui demandent des analyses de faisabilité. » « L’un des sites est à proximité de la place des Festivals. Il nous intéresserait beaucoup, puisque c’est dans ce secteur qu’on avait choisi de nous établir. » — Suzanne Sauvage « Mais ce n’est pas simple comme projet. Il y a beaucoup de choses à étudier pour voir comment cela peut fonctionner », a ajouté la directrice. La mairesse Plante rappelle que même si l’îlot Eugène-Lapierre n’est pas d’une grande superficie, il était plus logique d’en faire un parc plutôt que de le réserver au nouveau musée McCord. « Cet espace est très minéralisé et il n’y a pas beaucoup d’arbres dans le secteur, dit Valérie Plante. Le besoin en espaces verts est criant dans le centre-ville. Et les différents festivals voient d’un très bon œil qu’on puisse conserver cet espace qui pourra être occupé pendant les festivals pour faire de l’entreposage. Parce que les festivals étouffent dans le centre-ville. » UN PROJET DE 150 MILLIONS Pour le musée McCord, il est important de presser le pas dans ce dossier si l’établissement ne veut pas perdre les millions que des fondations privées sont prêtes à lui accorder dans ce projet, notamment le don de 15 millions de dollars de la Fondation Emmanuelle Gattuso. Le projet total du déménagement dans un nouvel édifice est évalué à environ 150 millions, financés en parts égales par les gouvernements fédéral et provincial et le secteur privé. « Nous avons déjà obtenu quelque 25 millions de promesses de dons privés, a dit Suzanne Sauvage. On travaille fort, on fait des pressions partout. On pense que le gouvernement provincial va être attentif à notre demande. C’est vraiment le gouvernement du Québec qui va être le déclencheur. » http://plus.lapresse.ca/screens/5457cd34-95d4-4804-9603-62dbe57878e3__7C___0.html
  2. Peu importe ce qui va sortir, une seule chose est certaine: ce ne sera pas une naissance prématurée! Ça veut dire des consultations en 2019 et 2020. Donc rien d'implémenté avant 2021 ou 2022. 6 ou 7 ans après l'annonce du ministre Poëti!
  3. Qu'adviendra-t-il de la carte OPUS étudiante? Dix ans après avoir été instaurée, la carte OPUS étudiante pourrait être bien différente après la révision tarifaire promise par l'Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM). «L'objectif de départ, c'était de réduire le nombre de fraudes, ce qui a été atteint», fait observer Simon Charbonneau, conseiller aux communications de l'ARTM, qui s'intéresse présentement à un système de tarification géographique, comme celui de Paris, pour le réseau de transport Montréalais. En d'autres mots, on se penche sur la possibilité d’établir un système avec des prix qui varient selon différentes zones. À Paris, plus on se déplace dans une zone loin du centre, plus le coût est élevé. Changements à prévoir Est-ce à dire que la tarification sociale, comme la carte OPUS étudiante ou réduite pour les 65 ans et plus, pourrait venir à disparaître? «Toutes les options sont sur la table. Mais, comme à Paris les deux systèmes peuvent très bien coexister», répond Simon Charbonneau. «Il y actuellement plus de 70 tarifs sur le réseau. Il y a moyen de revoir les choses pour mieux s'adapter aux besoins de notre clientèle», croit-il. C'est notamment pour revoir les tarifs à l'échelle de la grande région de Montréal que l'ARTM, qui a hérité de la responsabilité de la carte OPUS en juin dernier, a été créée il y a 13 mois. L'agence provinciale a également comme ambition de mieux intégrer les différents modes de transport - BIXI, Communauto, taxis et autres - à sa tarification «Il y a des consultations populaires qui vont se tenir dans les deux prochaines années», promet M. Charbonneau. Une carte qui a ses avantages Pour l'instant, le tarif étudiant de la carte OPUS semble apprécié, reconnait-il. En début d'année, l'ARTM l'a même étendu aux étudiants de plus de 26 ans. «Quand on dit qu'il faut mieux s'adapter aux besoins de nos clients, c'est exactement ça. On a conclu qu'un étudiant de plus de 26 ans, ça reste un étudiant», poursuit M. Charbonneau. La carte bleue, en tant qu'objet, pourrait-elle aller jusqu'à disparaître? «C'est sûr que ce serait bien de payer directement avec son cellulaire. Mais pour l'instant, la priorité, c'est vraiment la révision tarifaire», assure-t-il. https://www.journaldemontreal.com/2018/07/30/quadviendra-t-il-de-la-carte-opus-etudiante-1
  4. Ça devait initialement être déployé en 2017, mais il y avait eu des problèmes avec l'acceptabilité sociale de "ça": \ http://journalmetro.com/local/hochelaga-maisonneuve/actualites/926358/station-de-metro-joliette-projet-de-deuxieme-etage-controverse/ En comparaison, Namur: D'Iberville:
  5. Avec des supercapaciteurs il n'y a pas de problème. Moins lourd que des batteries à grande capacité, et tu peux recharger avec des caténaires aux arrêts.
  6. 29 juillet 2018 Via reddit J'aime l'effet YUL + L'Avenue + 1250 R-L
  7. Ils l'ont fait en beta interne sur Android. Le problème c'est qu'Apple ne permet pas aux développeurs tiers d'utiliser les fonction NFC de leurs téléphones, et la STM ne voulait pas lancer une application qui ne supporte qu'une seule des deux plateformes.
  8. Il y avait ce plan de 2017 qui avait une passerelle vers l'ouest Mais ça semble avoir été abandonné depuis.
  9. West Island Chamber of Commerce slams access plans for Kirkland REM station The West Island of Montreal Chamber of Commerce (WIMCC) is panning recently announced plans to forgo an urban boulevard through western Pierrefonds as a link to the future Réseau express métropolitain (REM) train station in Kirkland along Highway 40. The city of Montreal and the province announced it was building a car-free road reserved exclusively for buses and bicycles connecting Antoine-Faucon St. at the border of Kirkland and Pierrefonds to the future REM station, next to the Kirkland Colisée cinemas. The area north of Antoine-Faucon St. will be made into a park, leaving motorists in that part of Pierrefonds with few alternatives to reach Highway 40 or the future REM station. The WIMCC said it is “very disappointed, to say the least, upon hearing (the) joint announcement (by Montreal Mayor Valérie Plante and Quebec’s Minister of Municipal Affairs Martin Coiteux) regarding a park project as part of the (Highway 440 right-of-way).” Pierrefonds-Roxboro Mayor Jim Beis also harshly criticized the plan for failing to address the traffic headaches of local residents. He also said the plan was “imposed” on his community. Another change that drew the wrath of Beis was the decision to scrap a 2,000-space parking lot at the Kirkland station. “Are drivers going to have park in nearby streets and walk?” he asked. WIMCC said the plan should have included an urban boulevard to offer motorists in western Pierrefonds and Kirkland an alternative route to the highway, instead of fighting traffic on congested St-Charles Blvd. The WIMCC said it has “always supported the idea of extending (an urban boulevard) to Highway 40, which would provide an additional north-south route to help alleviate traffic on its territory.” Joseph Huza, president and executive director of the WIMCC said he applauds the “environmentally friendly aspect of the project.” But he added that a park would “defeat the purpose of creating an accessible link to the Kirkland REM station, not to mention, providing the West Island with a much needed north-south route.” “Without a true and interrupted additional north-south link, West Island businesses will continue to suffer from challenges in productivity thus making them less competitive. We ask that the WIMCC be consulted to ensure that the business community’s needs are taken into consideration as part of any revised proposal.” Huza said. “While we recognize that the REM will facilitate public transportation toward the downtown core, for the WIMCC, the value of the REM will be to help West Island businesses attract labour to the West Island,” he added. The WIMCC was formed in 1978 to encourage and promote the development of the local business community. https://montrealgazette.com/news/local-news/west-island-gazette/west-island-chamber-of-commerce-slams-plans-for-440-corridor
  10. On décrypte les travaux préparatoires CHANTIER Publiée le 26 juillet 2018 Forages géotechniques, arpentage, hydro-excavation… On explique les travaux du REM au cours du premier trimestre de construction. Des travaux peu visibles sur le terrain, mais essentiels pour la suite du projet. 1. Recueillir des données : forages géotechniques et arpentage Première étape de la construction, plusieurs investigations ont été menées le long du tracé du REM depuis mars 2018 : Les forages géotechniques consistent à évaluer la composition et la résistance des sols. Concrètement, on introduit une sonde dans la terre afin de récupérer des échantillons du sol. Les données servent ensuite à calculer les résistances et finaliser les plans avant la construction des infrastructures (voies, stations, ponts). L’arpentage permet d’obtenir des données en surface. Les instruments mesurent les caractéristiques topographiques des lieux traversés par le REM dans les moindres détails (distances exactes, détails naturels ou artificiels) – là encore afin de mettre à jour les plans avec les données les plus récentes. Travaux préparatoires et forages géotechniques sur la ligne Deux-Montagnes 2. Tester les infrastructures : construction des pieux tests du REM Vous l’avez peut-être vu le long du futur tracé à Kirkland et Bois-Franc, des pieux tests ont été construits temporairement dans ces secteurs. L’objectif : mener une série de tests pendant plusieurs semaines pour déterminer la stabilité des sols ainsi que leur réaction lorsqu’ils sont soumis à des charges importants. Après les tests, les pieux sont démontés pour laisser place aux infrastructures définitives. 3. Minimiser le bruit pendant la construction : campagne de relevés sonores Les chantiers du REM sont encadrés par des normes, fixées par un décret environnemental. Au cours des derniers mois, notre équipe a donc réalisé des relevés sonores dans plusieurs secteurs résidentiels, notamment à Édouard-Montpetit et le long de la ligne Deux-Montagnes. Le but est d’établir un point de comparaison dans les quartiers concernés par les chantiers, et bien sûr mettre en place des mesures d’atténuation lorsque cela sera nécessaire (écrans acoustiques, réduction du bruit à la source sur les équipements, moteurs de camion à l’arrêt). Relevés sonores à la gare Canora, avant le début des travaux 4. Maintenir les services publics : identification et relocalisation des utilités publiques On ne construit pas n’importe où! Avant de commencer, les ouvriers sont chargés d’identifier l’emplacement des utilités publiques souterraines et aériennes (conduites d’eau, électricité, gaz) sur les 67 km du tracé. Il est même parfois nécessaire de relocaliser les installations afin de mener les travaux en toute sécurité. Dans le cas des utilités souterraines, l’hydro-excavation permet de creuser avec un jet d’eau à haute pression et aspirer la matière dégagée au fur et à mesure. Cette technique limite l’impact sur l’environnement immédiat, ne génère pas de poussière et réduit le risque de bris des infrastructures. https://rem.info/fr/actualites/travaux-preparatoires-REM
  11. Démolition de l'ancien Zellers prévue dès le 19 août, selon exo https://rtm.quebec/fr/actualites/pont-mercier-stationnement-incitatif
  12. Il parle de Jean-Marc Fournier, député de Saint-Laurent depuis 2010 jusqu'à l'automne prochain. Selon son agenda public, il a rencontré M. DeSousa et le représentant de la chambre de commerce locale une fois en le 26 mars 2016 (peu avant l'annonce du REM) au sujet du prolongement de la ligne orange, sûrement à l'initiative de M. DeSousa. À part cet item d'agenda, il n'existe aucun résultat sur google qui associe ce député et le prolongement la ligne orange. Une preuve pour moi qu'il n'a jamais eu d'intérêt pour cet enjeu.
  13. Ils le sont toujours. Les boutons sont là pour que les personnes à mobilité réduite obtiennent quelques secondes de plus pour traverser, je crois.
  14. Selon les plans 2020 de la STM et de l'AMT, le prolongement vers Bois-Franc devait être complété pour 2019, ce qui aurait été drôlement pratique. Malheureusement, il y a eu un maire et un premier ministre qui ont délaissé cette logique "trop logique".
  15. Une des deux voies vers l'ouest a été changée de direction vers l'est, c'est ça qui a rendu le virage à gauche possible Avant: Après: C'est maintenant le virage à gauche sur Wellington à partir de Bonaventure qui est interdit. Mais l'interdiction de virage à gauche ne s'applique pas aux Ontariens, selon ce que j'ai pu constater. D'ailleurs, ce n'est pas le seul type de signalisation que les Ontariens ont de la difficulté à respecter. Ils s'étaient mis à deux pour bloquer les traverses piétons plus au nord. Malgré les bollards, j'ai vu une conductrice tourner à droite sur William à partir de la voie de gauche de la sortie du tunnel!
  16. Si le gouvernement avait fait preuve d'un minimum de planification à moyen-long terme, une station de métro à Bois-Franc aurait pu être construite rapidement, en même temps que le garage Côte-Vertu, et les travaux de conversion de la ligne Deux-Montagnes entre la Gare Centrale et Bois-Franc auraient pu se faire d'un seul coup sur les deux voies à la fois.
  17. Ce qui est vraiment regrettable, c'est que vu l'absence de planification gouvernementale, (le REM a été un plan improvisé), les usagers de la ligne ne pouvaient pas prévoir ces bouleversements lorsqu'ils ont choisi de vivre et/ou travailler là où ils dépendent de cette ligne. Et même depuis que le projet a été annoncé en 2016, ils ne pouvaient prévoir que les mesures de mitigation d'exo seraient aussi pourries. J'espère qu'ils vont gagner leur recours.
  18. Oui. C'était d'ailleurs un des leviers dont l'administration Coderre disait disposer pour bloquer le projet au besoin. J'en doute. Ils veulent faire un parc aquatique
  19. Oui, mais dans mon anecdote, c'était des cols bleus du Sud-Ouest (clairement identifiés par leur camionnette) qui avaient patché des nids-de-poule par dessus le marquage frais peint par leurs confrères sans poser de question ("not my job!"), et c'est l'arrondissement du Sud-Ouest qui a jugé acceptable de ne pas demander de correction et de laisser ça comme ça pendant tout le reste de l'année. On ne peut quand même pas jeter la faute du manque de coordination sur RPP.
  20. Ça me rappelle une belle journée de mai 2017 où j'étais passé sur la rue Wellington l'avant midi et ils faisaient le marquage. J'étais repassé l'après midi LA MÊME JOURNÉE et les sans-dessein de l'arrondissement du sud-ouest avaient fait ça au marquage frais peint: C'est resté dans cet état-là 4 mois jusqu'en octobre, quand la voie partagée bus-vélo a été peinte. Cet été ça vient d'être repavé et il ne reste plus de marquage du tout.
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