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  1. http://www.lapresse.ca/sports/hockey/201505/17/01-4870421-le-canada-decroche-lor-au-championnat-mondial.php Publié le 17 mai 2015 à 16h57 | Mis à jour à 17h44 Le Canada décroche l'or au Championnat mondial CAROL SCHRAM La Presse Canadienne Prague, République tchèque Le Canada a battu la Russie 6-1 en finale du championnat du monde de hockey, dimanche, gagnant ainsi la médaille d'or pour la première fois depuis 2007. Sidney Crosby a fourni un but et une passe, aidant l'unifolié à mériter un 25e titre à cette compétition, après cinq éditions de suite où le pays a été sorti dès les quarts de finale. Cody Eakin, Tyler Ennis et Claude Giroux ont également récolté un but et une mention d'aide. Tyler Seguin et Nathan MacKinnon ont aussi fait mouche, tandis qu'Evgeni Malkin a été le seul à déjouer Mike Smith. Ce dernier tentait de signer un troisième jeu blanc de suite, mais Malkin l'en a privé avec 7:13 au cadran. Les Canadiens ont dominé 37-12 pour les tirs au but, face aux champions en titre du tournoi. Le Canada a dominé en remportant tous ses 10 matches et en marquant 66 fois, tout en ne permettant que 15 filets à ses rivaux. Eakin a été le premier à marquer à 18:10 au premier vingt, quand un tir d'Ennis a dévié contre son patin pour se retrouver derrière Sergei Bobrovsky. Moins de deux minutes après le début du deuxième tiers, Eakin a remis à Ennis, qui a contourné le filet avant de signer le but qui faisait 2-0. Crosby et Seguin ont ajouté à l'avance dans les huit minutes suivantes, ce qui a amené les Russes à prendre un temps d'arrêt. Giroux, en avantage numérique, puis MacKinnon, en milieu de troisième vingt, ont inscrit des filets d'assurance dans le dernier tiers. Crosby a conclu le tournoi avec 11 points. Il est devenu le huitième Canadien à triompher au championnat mondial, en Olympiade (2010 et 2014) et aussi en finale de la coupe Stanley (2009).
  2. Québec se surpasse, Ottawa rate sa cible Publié le 16 avril 2014 à 08h15 C'est fait: les derniers chiffres montrent que le Québec a réduit ses émissions de gaz à effet de serre (GES) de 6,8% entre 1990 et 2012, ce qui signifie qu'il a surpassé son objectif. Du côté d'Ottawa, ce que tout le monde savait est maintenant officiellement confirmé: le Canada a complètement raté les cibles qu'il s'était engagé à atteindre en signant le protocole de Kyoto et semble en très mauvaise posture pour atteindre les objectifs pourtant beaucoup moins ambitieux qu'il s'est fixés par la suite. Explications. Le Québec - 6,8% C'est la réduction des émissions de GES du Québec entre 1990 et 2012. Le Québec s'était engagé à réduire ses émissions de 6% entre 1990 et 2012 et a donc dépassé son objectif. «Les bonnes nouvelles sont rares dans le dossier du réchauffement climatique et en voici une. Je pense qu'il faut saluer la chose», souligne Hugo Séguin, chercheur en enjeux énergétiques et politiques climatiques au CERIUM. Patrick Bonin, responsable de la campagne Climat-Énergie chez Greenpeace Canada, note que, compte tenu de la croissance du PIB pendant cette période, l'intensité des émissions par rapport à la taille de l'économie a diminué de 30% au Québec entre 1990 et 2012. Hugo Séguin, du CERIUM, ne le cache pas: le ralentissement économique qui a frappé le Québec à la suite de la crise financière mondiale de 2008 a sans aucun doute aidé la province à atteindre sa cible. Des fermetures d'usines, notamment dans les secteurs du magnésium et des pâtes et papiers, ont aussi aidé la cause. «La conjoncture explique une partie des diminutions. Mais l'analyse des données montre que l'action gouvernementale dans certains créneaux a aussi eu des impacts très importants», dit M. Séguin. L'expert cite notamment les programmes qui ont permis aux particuliers et aux entreprises de troquer le mazout pour des sources de chauffage moins polluantes. Le Canada + 18,3% C'est l'augmentation des émissions de GES au Canada entre 1990 et 2012. Le 11 décembre 1997, le Canada avait pourtant signé le protocole de Kyoto, s'engageant à ramener en 2012 ses émissions à 6% sous les niveaux de 1990. Le Canada a ensuite annoncé une nouvelle cible beaucoup moins ambitieuse, soit une réduction de 17% en 2020... mais sous les niveaux de 2005. Or, les émissions du pays ont bondi de 25% entre 1990 et 2005. Comme le Québec, l'Ontario a réduit considérablement ses émissions entre 1990 et 2012, avec une baisse de 5,6%. La décision de fermer les centrales au charbon, notamment, a contribué à cette réduction. Un coup d'oeil aux chiffres montre cependant que les efforts des deux provinces ont été complètement noyés par les augmentations en provenance de l'Alberta, où le secteur des sables bitumineux a crû en flèche. Pendant la même période, les émissions y ont bondi de 46% pour atteindre 249 000 mégatonnes de CO2, soit plus que le Québec et l'Ontario réunis. Patrick Bonin, de Greenpeace Canada, note que le secteur du pétrole et du gaz a maintenant surpassé celui des transports pour devenir le plus important émetteur de GES au pays. http://www.lapresse.ca/environnement/dossiers/changements-climatiques/201404/16/01-4758112-quebec-se-surpasse-ottawa-rate-sa-cible.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_environnement_263_accueil_POS1
  3. Le faste fait au Québec 26 septembre 2008 - 06h00 La Presse Collaboration spéciale Clément Sabourin La France a ses tailleurs Chanel, l'Italie ses sacs Gucci, le Royaume-Uni ses chemisiers Burberry et les États-Unis ses bijoux Tiffany mais le Québec a-t-il des produits de luxe dignes de ce nom? «Il n'y a plus de luxe au Québec!» lance Francine Séguin. Professeure de stratégie à HEC Montréal, elle a longuement étudié l'industrie du luxe, au Québec et dans le monde. Selon elle, le Québec ne possède plus d'industrie de luxe. Tout au plus des griffes haut de gamme. Au fil des ans, la fourrure, la joaillerie et la haute couture, les traditionnels porte-étendards du luxe québécois, ont disparu. La pression de l'opinion publique a eu raison des manteaux et des chapkas en fourrure, confectionnés à partir des peaux de castor et de renard. Birks, le fleuron de la joaillerie fondé en 1879 à Montréal, a été fusionné à l'américain Mayors en 2005. Et, dit Mme Séguin, la province ne dispose plus de grands couturiers dont les créations sont reconnues et distribuées dans le monde entier, tels Léo Chevalier et Michel Robichaud, qui habilla entre autres Elizabeth Taylor. «Ce qui reste, ce sont des designers de mode. Ils sont excellents, mais ils font très peu de sur-mesure et plutôt des productions à petite ou moyenne échelles. Ce n'est pas de la haute couture», dit la spécialiste du luxe. Selon elle, seul le travail de la styliste Marie Saint-Pierre se rapproche du "vrai" luxe. Avec plus de 20 ans de carrière, la Québécoise bénéficie d'une certaine notoriété internationale. Ses créations sont confectionnées dans l'île de Montréal, par 25 employés qui travaillent de manière artisanale. Le prix d'une robe de jour varie entre 600$ et 800$, celui d'une robe de soir entre 800$ et 2000$. Toutes sont produites en quantité très limitée. Parfois, ce sont même des oeuvres uniques. «On s'adresse à une clientèle pointue on ne fait pas juste des images», dit Mme Saint-Pierre, faisant référence aux énormes campagnes de pub menées par des marques comme Dolce et Gabbana ou Gucci. À force de devenir populaires et de produire des vêtements en quantités industrielles, souvent dans des pays émergents, ces anciens fleurons du luxe ont perdu de leur prestige. Car la rareté est l'un des principaux éléments qui déterminent si un produit est à classer dans le haut de gamme ou dans le luxe. C'est notamment pour cette raison qu'on ne peut pas considérer les porte-monnaie et sacs de la marque m0851 comme des produits de luxe: ces maroquineries ne sont pas des pièces limitées. Vendue dans les quartiers chic de New York, Paris, Anvers et Taiwan, cette marque montréalaise est en constante croissance, mais n'est "pas assez chère" pour être considérée comme du luxe, dit son fondateur Frédéric Mamarbachi. Même chose pour la marque québécoise Harricana. Le prix de vente de ces produits (3000$ pour un manteau) fait dire à Mme Séguin qu'il s'agit davantage de haut de gamme que de luxe, «bien qu'il s'agisse d'un concept brillant». La designer Mariouche Gagnée a imaginé toute une série de tuques, bottes et manteaux faits à partir du recyclage de fourrures et de tissus de griffes de luxe. «Ce sont presque toujours des pièces uniques», dit Mme Gagné. Pour la styliste Marie Saint-Pierre, le Québec aurait donc une place à prendre dans le luxe en fabriquant "des produits plus marginaux, plus difficiles à trouver", qui refléteraient le travail de créateurs dont l'inspiration se situe à la rencontre de l'Amérique du Nord et de l'Europe. Montréal se doit d'emprunter une telle voie s'il veut rester dans le club des métropoles internationales de premier ordre, ajoute-t-elle, car "l'économie s'en va vers là".
  4. Nouveau chapitre juridique pour le financier Louis-Philippe Séguin. L'ex-courtier vient de déposer une poursuite contre la firme de courtage Jones Gable, où il a travaillé entre 2003 et 2005. Pour en lire plus...
  5. 31/05/2007 En vidéo, le reportage de notre journaliste Monique Grégoire. Avez-vous déjà remarqué que le taux de chômage est toujours plus élevé au Québec qu'en Ontario? Que les salaires plus bas au Québec qu'en Ontario? Et que les routes moins belles au Québec qu'en Ontario? Un ancien sous-ministre au ministère des Finances, Claude Séguin, s'est demandé pourquoi. Il a d'abord constaté que ce n'est pas uniquement par rapport à l'Ontario que le Québec accuse un retard mais par rapport à la moyenne canadienne. Un écart de prospérité comme il l'appelle de 6300$ par habitant Le lien de La vidéohttp://argent.canoe.com/cgi-bin/player/video.cgi?file=20070531-175252&link_nouvelle=http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2007/05/20070531-175252.html&link_archive=/infos/quebec/&type_archive=Québec&alt=
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