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  1. Le 2020 University passe aux mains de l'Industrielle Alliance et d'Hydro-Québec HUGO JONCAS les affaires.com (modifié le 23-03-2011 à 14:35) Décidément, l’Industrielle Alliance et le fonds de pension des employés d’Hydro-Québec adorent le centre-ville de Montréal. Ensemble, ils viennent de mettre la main sur le 2020 University pour 95,45 millions de dollars, a appris Les Affaires. C’est la plus importante transaction dans la métropole depuis janvier 2010. Depuis octobre 2008, les deux institutions étaient déjà propriétaires du 1981, McGill College, juste à côté, à l’ouest. «Pour eux, c’est une acquisition stratégique, dit Brett Miller, vice-président à la direction du courtier CB Richard Ellis, responsable de la vente. Ils rassemblent leurs deux immeubles, et ça permet toutes sortes de possibilités pour les relier.» Le 2020, University est surnommé «tour AXA», du nom de son locataire principal, l’assureur français AXA. Le gratte-ciel de 22 étages compte 433 000 pieds carrés d’espaces de bureaux et 83 000 pieds carrés de locaux commerciaux. Pour Brett Miller, cette transaction démontre la forte demande dont fait l’objet les immeubles de qualité dans le centre-ville de Montréal. «Une bonne douzaine d’acheteurs s’étaient qualifiés, dit-il. Ce n’était pas le seul à ce niveau de prix.» Selon nos informations, le fonds de placement immobilier Homburg Canada a aussi manifesté de l’intérêt, tout comme le promoteur Vincent Chiara. Ce dernier, partenaire de la famille Saputo à la tour CIBC et à la tour de la Bourse, a plutôt mis la main sur le siège social d’Imperial Tobacco, dans le quartier Saint-Henri, à Montréal, pour 24 millions. Acquis en janvier, l’immeuble sera surtout loué au cigarettier, qui y maintiendra son quartier général. Bureaux bien loués… commerces à moitié vides Au 2020, University, le taux d’occupation des espaces de bureaux est de «plus de 90 %», selon Brett Millier. Mais il n’est que d’environ 60 % dans la galerie marchande. «De ce côté-là, il y a du travail à faire, c’est sûr», dit-il. L’Industrielle Alliance a confirmé l’acquisition de l’immeuble mais n’a pas donné de détails. Il a été impossible d’obtenir les commentaires d’Hydro-Québec.
  2. It is very unfortunate that events that happen in less than a minute can have such a profoundly negative impact on peoples' lives. In this case, I most definitely believe that Michael Bryant is innocent of what is essentially a manslaughter charge. This is one of the rare times I side with a Liberal. By the sounds of things Darcy Allan Sheppard was drunk and riding his bicycle down a major throughfare (Bloor Street). Drinking and riding a bicycle can be just as dangerous as drinking and driving a car. There needs to be laws put in place to regulate cycling just like driving. If it had been the other way around, and Bryant had been drinking and driving, got into an altercation with a cyclist before crashing and killing himself, it would have been completely his fault. But since Sheppard was a cyclist, he couldn't possibly be in the wrong.
  3. Montréal, toujours une aubaine Publié le 08 juin 2009 à 06h37 | Mis à jour à 06h44 Hugo Fontaine La Presse À l'échelle mondiale, Montréal demeure une aubaine pour les entreprises qui cherchent des bureaux. Les loyers sont six fois moins chers ici qu'à Tokyo, qui trône en tête du palmarès des villes les plus chères du monde. Selon la plus récente étude globale de la firme immobilière CB Richard Ellis (CBRE), louer un bureau dans le centre-ville de la capitale japonaise coûte 183,62$US le pied carré. Cela ne coûte que 31,19$US à Montréal, ce qui place la métropole au 99e rang des 173 marchés étudiés, un gain d'une place par rapport à l'an dernier. Montréal se retrouve entre Santo Domingo, capitale de la République dominicaine (98e), et Honolulu, à Hawaii (100e). En dollars canadiens, le coût de location moyen au pied carré a augmenté de 4,7% en un an à Montréal, pour s'établir à 39,32$ au début mai. En banlieue, le prix moyen est de 25,76$CAN, en hausse de 0,7%. «Nous avons à Montréal un marché très stable, surtout par rapport aux autres grandes villes de l'Amérique du Nord, explique à La Presse Affaires Brett Miller, vice-président-directeur de CBRE. Le taux de vacance est relativement bas (autour de 7%), il n'y a pas de nouvelle construction et la demande est raisonnable.» Un seul immeuble offrira de nouveaux locaux, au 250, rue Saint-Antoine, dans le Vieux-Montréal. Il s'agit de l'ancien édifice de la Gazette, dont 100 000 pieds carrés seront à louer. Vers une pénurie? À Toronto et Calgary, la situation est tout autre, observe M. Miller. Dans ces marchés, il y aura beaucoup de nouveaux immeubles dans les prochaines années, alors que la demande plonge. On peut donc s'attendre à une baisse des prix. Mais à Montréal, un tel scénario est peu probable. «Il n'y a pas beaucoup de propriétaires qui sont en situation difficile et qui vont être obligés de baisser les tarifs pour attirer des locataires.» «Mais lorsque l'économie va reprendre, la demande va augmenter; il y a donc possibilité d'une pénurie de locaux, ajoute M. Miller. Il faut donc s'attendre à un marché plutôt favorable aux propriétaires.» Dans ce contexte, M. Miller recommande aux locataires «d'utiliser la faiblesse psychologique aujourd'hui à Montréal et de renégocier les taux à long terme, pour ne pas être pris quand le marché reviendra». Baisse globale des coûts Les villes canadiennes de Montréal, Edmonton (65e), Toronto (46e) et Calgary (39e) ont toutes gagné des places dans le classement de CBRE, «en partie en raison de la force de notre économie relativement aux marchés mondiaux», explique John O'Bryan, vice-président du conseil de CBRE au Canada. «Généralement, les coûts de location au pays ont bien tenu par rapport aux déclins enregistrés dans les autres marchés» dans la foulée de la récession mondiale. Globalement, les prix moyens ont diminué de 2,8% dans l'année qui s'est terminée le 31 mars, un retournement majeur par rapport à la hausse de 8% pour la période de 12 mois qui s'est terminée le 30 septembre 2008. «La grande récession mondiale a clairement frappé les marchés de location de bureaux, particulièrement ceux qui comptent des concentrations significatives d'employés du secteur financier, explique Raymond Torto, économiste en chef de CBRE. Les marchés les plus onéreux sont considérablement moins chers qu'il y a un an, et les locataires sont maintenant en position forte pour dénicher des bureaux de premier plan à coût attrayant.» En Amérique du Nord, le Midtown new-yorkais reste le quartier où les bureaux coûtent le plus cher, à 68$US le pied carré. C'est tout de même un déclin de 32% en une année, le plus important recul au monde, mis à part celui enregistré à Singapour (-34%). Coût moyen de location des bureaux ($US par pied carré) 1- Tokyo (centre): 183,62 2- Londres (West End): 172,62 3- Moscou: 170,24 4- Hong Kong: 150,42 39- Calgary: 54,57 46- Toronto: 51,82 56- Vancouver: 45,47 99- Montréal: 31,19
  4. Montréal, toujours une aubaine Publié le 08 juin 2009 à 06h37 | Mis à jour à 06h44 Hugo Fontaine La Presse À l'échelle mondiale, Montréal demeure une aubaine pour les entreprises qui cherchent des bureaux. Les loyers sont six fois moins chers ici qu'à Tokyo, qui trône en tête du palmarès des villes les plus chères du monde. Selon la plus récente étude globale de la firme immobilière CB Richard Ellis (CBRE), louer un bureau dans le centre-ville de la capitale japonaise coûte 183,62$US le pied carré. Cela ne coûte que 31,19$US à Montréal, ce qui place la métropole au 99e rang des 173 marchés étudiés, un gain d'une place par rapport à l'an dernier. Montréal se retrouve entre Santo Domingo, capitale de la République dominicaine (98e), et Honolulu, à Hawaii (100e). En dollars canadiens, le coût de location moyen au pied carré a augmenté de 4,7% en un an à Montréal, pour s'établir à 39,32$ au début mai. En banlieue, le prix moyen est de 25,76$CAN, en hausse de 0,7%. «Nous avons à Montréal un marché très stable, surtout par rapport aux autres grandes villes de l'Amérique du Nord, explique à La Presse Affaires Brett Miller, vice-président-directeur de CBRE. Le taux de vacance est relativement bas (autour de 7%), il n'y a pas de nouvelle construction et la demande est raisonnable.» Un seul immeuble offrira de nouveaux locaux, au 250, rue Saint-Antoine, dans le Vieux-Montréal. Il s'agit de l'ancien édifice de la Gazette, dont 100 000 pieds carrés seront à louer. Vers une pénurie? À Toronto et Calgary, la situation est tout autre, observe M. Miller. Dans ces marchés, il y aura beaucoup de nouveaux immeubles dans les prochaines années, alors que la demande plonge. On peut donc s'attendre à une baisse des prix. Mais à Montréal, un tel scénario est peu probable. «Il n'y a pas beaucoup de propriétaires qui sont en situation difficile et qui vont être obligés de baisser les tarifs pour attirer des locataires.» «Mais lorsque l'économie va reprendre, la demande va augmenter; il y a donc possibilité d'une pénurie de locaux, ajoute M. Miller. Il faut donc s'attendre à un marché plutôt favorable aux propriétaires.» Dans ce contexte, M. Miller recommande aux locataires «d'utiliser la faiblesse psychologique aujourd'hui à Montréal et de renégocier les taux à long terme, pour ne pas être pris quand le marché reviendra». Baisse globale des coûts Les villes canadiennes de Montréal, Edmonton (65e), Toronto (46e) et Calgary (39e) ont toutes gagné des places dans le classement de CBRE, «en partie en raison de la force de notre économie relativement aux marchés mondiaux», explique John O'Bryan, vice-président du conseil de CBRE au Canada. «Généralement, les coûts de location au pays ont bien tenu par rapport aux déclins enregistrés dans les autres marchés» dans la foulée de la récession mondiale. Globalement, les prix moyens ont diminué de 2,8% dans l'année qui s'est terminée le 31 mars, un retournement majeur par rapport à la hausse de 8% pour la période de 12 mois qui s'est terminée le 30 septembre 2008. «La grande récession mondiale a clairement frappé les marchés de location de bureaux, particulièrement ceux qui comptent des concentrations significatives d'employés du secteur financier, explique Raymond Torto, économiste en chef de CBRE. Les marchés les plus onéreux sont considérablement moins chers qu'il y a un an, et les locataires sont maintenant en position forte pour dénicher des bureaux de premier plan à coût attrayant.» En Amérique du Nord, le Midtown new-yorkais reste le quartier où les bureaux coûtent le plus cher, à 68$US le pied carré. C'est tout de même un déclin de 32% en une année, le plus important recul au monde, mis à part celui enregistré à Singapour (-34%). Coût moyen de location des bureaux ($US par pied carré) 1- Tokyo (centre): 183,62 2- Londres (West End): 172,62 3- Moscou: 170,24 4- Hong Kong: 150,42 39- Calgary: 54,57 46- Toronto: 51,82 56- Vancouver: 45,47 99- Montréal: 31,19
  5. La LHJMQ à Verdun Mardi 22 janvier 2008 RDS.ca Pour la première fois depuis 1994, il y aura du hockey de la LHJMQ à l'Auditorium de Verdun.Pour la première fois depuis 1994, il y aura du hockey de la LHJMQ à l'Auditorium de Verdun. Par Stéphane Leroux - Il y aura du hockey de la Ligue junior majeur du Québec dans la région de Montréal, plus précisément à Verdun, dès la saison 2008-2009. RDS a appris que l’homme d’affaires montréalais Farrel Miller s’est porté acquéreur de la concession des Fog Devils de St. John’s, Terre-Neuve. Miller, président de la compagnie SportTV.Com, une entreprise oeuvrant dans la diffusion d’événements sportifs sur internet, a acheté l’équipe terre-neuvienne de la famille Dobbin pour un peu plus de trois millions de dollars. La transaction devra être approuvée par l’ensemble des propriétaires du circuit, vendredi, dans le cadre d’une conférence téléphonique, ce qui ne devrait pas causer de problèmes. Monsieur Miller est âgé de 46 ans, il est né à Montréal et il est diplômé de l’Université McGill. En 2000, Farrel Miller a aussi fondé JumpTV, le plus grand distributeur de canaux internationaux sur le web. L’aventure des Fog Devils dans le circuit Courteau n’aura donc duré que trois saisons. En 2005-2006, l’équipe dirigée par Réal Paiement a attirée en moyenne 3928 spectateurs par match, moyenne qui a chutée à 3666 l’an dernier et à 3331 jusqu’ici cette saison. Comme l’équipe a perdu plus de 750 000 dollars la saison dernière, il n’était pas question pour la famille Dobbin de continuer d’opérer l’équipe au Mile One Stadium de St. John’s. Avant de compléter la transaction avec Farrel Miller, la LHJMQ a vérifié l’intérêt de la ville de St. John’s pour garder l’équipe dans la province de Terre-Neuve, mais le maire Andy Wells a mentionné qu’il n’était pas question que les autorités municipales achètent l’équipe qui lutte présentement pour une place en séries. C’est donc dire qu’après cinq ans d’absence, le hockey de la LHJMQ reviendra dans la métropole. Le Rocket de Montréal avait eu pignon sur rue à l’Aréna Maurice-Richard et au Centre Bell de 1999 à 2003. Pour ce qui est de l’Auditorium de Verdun, il verra du hockey junior pour la première fois depuis 1994, année où le Collège Français avait décidé de fermer ses portes. Contrairement au Rocket, la nouvelle équipe de Verdun n’en sera pas une d’expansion et se présentera l’an prochain avec un noyau relativement solide qui comptera un minimum de quatre joueurs appartenant déjà à des formations de la Ligue nationale. Des travaux de construction de loges corporatives et d’une galerie de presse fonctionnelle seront mis en branle par l’arrondissement de Verdun au cours des prochains jours. Le maire de l'arrondissement, Claude Trudel, nous a d'ailleurs confirmé qu'une entente de principe était intervenue. Le réalignement des sections, le nom de la future équipe de Verdun et la possibilité de voir l’entraîneur-chef et directeur général de l’équipe, Réal Paiement, s’amener à Verdun sont des sujets qui n’ont pas encore été discutés. Les Fog Devils avaient obtenus une équipe d’expansion pour la saison 2005-2006 en même temps que les Sea Dogs de Saint John, au Nouveau-Brunswick. Depuis le départ du Rocket, il était de notoriété publique que le commissaire de la LHJMQ Gilles Courteau tente de ramener une équipe dans la grande région de Montréal… C’est maintenant chose faite !
  6. NEW YORK (CNNMoney.com) -- The Masters of the Universe have been dethroned. Now the question is just how much Wall Street's meltdown is going to hurt the city of New York and, by extension, its high-priced housing market. Even in a city where $20 million townhouse listings don't raise an eyebrow, signs of trouble abound. Fourth quarter 2008 sales volume was down a whopping 40% from 2007 according to New York brokerage the Corcoran Group. And the average price of existing homes dropped 3.6% during the same period. The S&P Case-Shiller Home Price Index showed a price decline of 8.6% for the New York metro area, including the city and the surrounding suburbs, for the 12 months ending November 30. New York's economy runs on Wall Street money, and after the failure of Lehman Brothers and the sales of both Merrill Lynch and Bear Stearns, there isn't nearly as much of it as there used to be. After the financial markets imploded, the New York real estate market "stopped dead," said Dottie Herman, CEO of broker Prudential Douglas Elliman. "If you think you're going to lose your job, you're not going to buy. [We're] a long way off from the past couple of years." Whereas bidding wars were once commonplace, city apartments are now languishing on the market. Leonard Steinberg, a Prudential Douglas-Elliman agent who handles many high end listings, has been trying to move a $1.2 million condo located in the Chelsea part of town for more than a year. The home was originally priced at $1.4 million. Gotham's grim outlook And the city's economic conditions are only getting worse. On Friday, New York City Mayor Michael Bloomberg announced $1 billion worth of budget cuts as Gotham steels itself against a rapidly dwindling tax base. Its coffers are expected to dwindle by a stunning $4.1 billion for fiscal 2009, which ends June 30, thanks to the economic turmoil. Perhaps it's no surprise then that Goldman Sachs recently issued a report predicting that New York City's normally-stratospheric prices will fall as much as 44%. And investors betting on derivatives based on the Case-Shiller Home Price Index aren't much more optimistic. They're betting that New York prices will tumble over 21% over the next 4 years. Jobs are the obvious problem. Some 65,000 payroll jobs were lost in the last three months of 2008 alone, according to the city Comptroller's office. New York's unemployment rate jumped to 7.4% in December, up from 6.3% in November. Jonathan Miller, president of Miller Samuel, a premier appraisal firm in the city, said that financial market turmoil could hit home prices harder in New York than anywhere else. "It's more exposed than other metro areas to financial industry job losses," Miller said. And Wall Street types who are lucky enough to hang onto their jobs have seen their 2008 bonuses slashed by 44% compared with 2007 levels. If New York City does somehow manage to dodge the real estate bullet that's crippled so many other metro areas nationwide, it may be thanks to some of the market's unique qualities. "We didn't have the rampant speculation that many places had," said Miller, who cited cities like Phoenix and Las Vegas. Most New York buildings require buyers to run their finances by a coop board for approval, and to put down at least 20%. And, by virtue of its limited size, the city didn't experience the kind of rampant overbuilding that places like the Sun Belt saw. Additionally, the city is benefiting from the overall trend toward urban living that should help maintain demand for housing. "Our findings indicate that upper-middle and high-income households have increasingly chosen to reside in the city, said city Comptroller William Thompson, "suggesting that our city may be more resilient to this economic downturn than in 1990 when companies and families were fleeing New York." All that, however, only helps so much. Any time you subtract billions of dollars from a local economy there will be vast ripple effects. Restaurants, retail putfits and of course, real estate will all suffer. Said Miller: "We're going to have to go through more pain before things get better."
  7. Le titre du groupe Internet réagit à des informations de presse indiquant que l'ancien patron du portail AOL, Jonathan Miller, chercherait à le racheter. Pour en lire plus...
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