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  1. Internet: dérapage à haute vitesse? Le Devoir Fabien Deglise Édition du mardi 09 juin 2009 Mots clés : CRTC, Internet, Bell, Consommateur, Canada (Pays) Des fournisseurs d'Internet demandent au CRTC de rappeler Bell à l'ordre Le réseau Internet au pays ne va pas très vite. Et Bell Canada y serait un peu pour quelque chose, prétend l'Association canadienne des fournisseurs Internet (ACFI) qui demande au Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) d'intervenir. Comment? En interdisant au géant de la téléphonie «d'interférer» sciemment sur la vitesse de transmission des données, aux dépens des fournisseurs indépendants d'accès à Internet. Le regroupement de petits fournisseurs n'en démord pas. Le CRTC doit contraindre Bell Canada à mettre fin au ralentissement de son service Internet imposé sur l'ensemble de son réseau pendant les heures de pointe, soit entre 16h30 et 2h, tous les jours. Cette mesure, techniquement appelée «lissage du trafic», vise à dissuader l'échange de fichiers sonores et vidéo volumineux durant cette plage horaire, et ce, afin de prévenir l'engorgement des «tuyaux» servant à la transmission de données numériques. Le hic, c'est que les fournisseurs d'accès Internet (FAI) indépendants en font également les frais, à leur corps défendant, puisque leur offre de branchement passe en partie par les installations de Bell Canada et son service de ligne numérique à paires asymétriques de gros, comme on dit dans le milieu, loué par les FAI. Et ils demandent aujourd'hui à Ottawa de sévir. Un premier échec «La situation n'est pas nouvelle, clame Tom Copeland, président de l'Association, joint hier au téléphone par Le Devoir, mais depuis six mois, ça devient pire. On a l'impression que Bell veut réduire et éliminer les indépendants du paysage. Et on ne peut pas rester là, sans rien dire.» L'an dernier, l'ACFI s'est tournée vers le CRTC afin que cesse cette histoire de lissage. L'organisme fédéral a toutefois rejeté la plainte déposée par le regroupement contre Bell, estimant que les pratiques de ralentissement ne contrevenaient pas à la loi. C'était en novembre dernier. «Le CRTC a pris une très bonne décision», a indiqué hier Jacques Bouchard, porte-parole de Bell Canada qui justifie sa «gestion du trafic» pour «assurer un service optimal à la majorité des consommateurs.» Tom Copeland n'est pas du même avis et demande désormais au Conseil de revenir sur cette décision qui «a donné carte blanche à Bell pour interférer avec les services que nous fournissons à nos clients», dit-il. Une interférence qui dépasse d'ailleurs le lissage de trafic, selon lui. «Actuellement, Bell offre à ses clients la possibilité d'accéder à Internet à des vitesses plus élevées [soit cinq à huit fois plus vite que le service traditionnel], poursuit-il. Mais ces vitesses, nous ne pouvons pas les offrir à nos clients, puisque Bell ne veut pas les rendre disponibles dans son service d'accès Internet en gros.» Pour l'entreprise, la raison est purement technique, Bell ne pouvant pas partager ces liens un peu plus rapides avec d'autres, indique M. Bouchard. Un argument fallacieux, dénonce M. Copeland qui parle plutôt d'une tentative de réduire la concurrence au silence. L'homme attend d'ailleurs avec impatience la tenue d'audiences publiques sur la gestion du trafic Internet proposée par le CRTC. La rencontre doit avoir lieu le 6 juillet prochain à Gatineau. Le lissage tout comme le retard technologique du Canada en matière d'accès à une bande passante ultrarapide devraient y être mis au menu. http://www.ledevoir.com/2009/06/09/254101.html
  2. La société d'État et deux fournisseurs d'électricité de la Nouvelle-Angleterre projettent d'ériger une ligne de transport de plus de 700 M$ US entre le Québec et le New Hampshire. Pour en lire plus...
  3. Le câblodistributeur qui a décidé de ne pas se doter d'un réseau cellulaire, n'exclut pas de revendre les services de téléphonie sans fil d'autres fournisseurs, comme le fait actuellement Vidéotron. Pour en lire plus...
  4. Où iront les milliards du sans fil? 22 juillet 2008 - 12h09 Presse Canadienne Jim Prentice a affirmé que son gouvernement n'a pas encore décidé de ce qu'il fera avec les 4,25 G$ générés par les enchères. Le ministre fédéral de l'Industrie, Jim Prentice, a affirmé mardi que son gouvernement n'a pas encore décidé de ce qu'il fera avec les 4,25 G$ générés par la récente mise aux enchères de fréquences de services sans fil évolués et d'autres bandes de fréquences dans la gamme de deux gigahertz. Le résultat des enchères a été dévoilé lundi par Industrie Canada. Au total, 282 licences ont été attribuées à 15 entreprises au cours du processus d'enchères en ligne mené du 27 mai au 21 juillet par le gouvernement, pour une contrepartie de 4,25 G$. Mardi, lors d'une conférence de presse organisée à Edmonton, en Alberta, le ministre Prentice a indiqué que son collègue des Finances, Jim Flaherty, a déjà affirmé que le remboursement de la dette nationale et la réduction des impôts étaient des priorités. M. Prentice a ajouté que la vente de cette bande de fréquences de 105 mégahertz, dont 40 mégahertz ont été réservés exclusivement aux nouveaux fournisseurs qui se sont fait concurrence pour les obtenir, a été un véritable succès et que cette initiative marquera pour toujours l'industrie du téléphone cellulaire au Canada. Cette vente aux enchères avait pour objectif d'accroître la concurrence et le nombre de fournisseurs de services sur le marché, ce qui devrait avoir pour effet, selon le ministre, de réduire les prix.
  5. CGI et ses partenaires déposeront une offre dans le cadre d'un contrat pouvant rapporter 5,3 G$ US par année aux fournisseurs de l'armée de mer. Pour en lire plus...
  6. Ottawa n'aide pas assez les manufacturiers 11 juin 2008 - 16h31 Presse Canadienne L'organisme fait écho au ministre québécois du Développement économique, Raymond Bachand (photo), qui a dénoncé publiquement la décision d'Ottawa de ne plus subventionner les budgets de fonctionnement des organismes à but non lucratif oeuvrant dans le secteur économique. Le président des Manufacturiers et Exportateurs du Québec (MEQ), Jean-Luc Trahan, a déploré mercredi que le gouvernement fédéral ait refusé de contribuer financièrement à une initiative visant à aider les PME à brasser plus d'affaires avec les géants Bombardier, CAE, et RioTintoAlcan, entre autres. L'organisme a ainsi fait écho au ministre québécois du Développement économique, Raymond Bachand, qui a dénoncé publiquement, la semaine dernière, la décision d'Ottawa de ne plus subventionner les budgets de fonctionnement des organismes à but non lucratif oeuvrant dans le secteur économique. Les MEQ lancent ces jours-ci le programme Puissance 5, dont l'objectif est de faire en sorte que les fournisseurs québécois de cinq multinationales puissent obtenir des mandats auprès de leurs filiales internationales. Cinq fournisseurs de chacun de ces grands donneurs d'ordres seront sélectionnés pour le programme. Outre CAE, Bombardier et RioTintoAlcan, le fabricant d'électroménagers Mabe (anciennement Camco) et l'entreprise d'ameublement Teknion seront ciblés. Pour justifier son refus de venir en aide aux MEQ, le gouvernement fédéral a soutenu qu'il avait déjà, par le passé, financé des projets de l'organisme, a indiqué M. Trahan au cours d'un entretien téléphonique. Selon lui, Puissance 5 s'inscrit parfaitement dans l'air du temps puisque les grandes entreprises ont désormais tendance à limiter le nombre de fournisseurs avec lesquels ils traitent. Il est donc primordial, pour les PME, d'établir des liens étroits avec les grandes sociétés. Faute d'appui fédéral, les MEQ se sont tournés vers Québec, qui a consenti à accroître son aide financière. Sur deux ans, le gouvernement québécois versera 1,7 M$ pour Puissance 5, alors que les entreprises apporteront une contribution de 1,9 M$. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080611/LAINFORMER/80611204/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  7. À la suite de pressions du gestionnaire The Ethical Funds, le détaillant compte rendre public le code d'éthique auquel elle soumet ses fournisseurs. Pour en lire plus...
  8. Le tiers des arénas portent le nom de banques et fournisseurs de services financiers, et moins en moins de ces édifices conservent des noms traditionnels. Pour en lire plus...
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