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  1. Un autre stationnement qui disparait. Nouvel édifice à bureau par le groupe MACH dans la Cité du Multimédia, coin William et Saint-Henri. Le terrain est clôturé et des tests de sols sont en cours. Bientôt en construction.
  2. Rénovation majeure un peu passée sous le radar, le majestueux édifice Board of Trade, rue du Saint-Sacrement dans le Vieux-Montréal. L'intérieur a été "gutté" à 100% et on remplace également toutes les fenêtres.
  3. Projet - Notre-Dame / Saint-François-Xavier / Hôpital / Saint-Jean According to the registre foncier, Mondev acquired the parc at the corner of Notre Dame & St Jean, and the parking lot on St Francois Xavier, in January. Zoning allows for 23m (about 7 floors) and a density of 6 meaning the project can be about 230,000 square feet and over 300 units.
  4. La Ville de Montréal vient de vendre le terrain de stationnement à l'est de la Place d'Armes (lot 1180954) au gouvernement fédéral. Des idées de ce que le Fédéral peut en faire? 1. Identification de l'unité d'évaluation Adresse :46 Rue Saint-Jacques Arrondissement :Arrondissement de Ville-Marie Numéro de lot :1180954 Numéro de matricule :0040-36-7848-5-000-0000 Utilisation prédominante :Terrain de stationnement pour automobiles Numéro d'unité de voisinage :1970 Numéro de dossier : 30 - F11027402 2. Propriétaire Nom :VILLE DE MONTREAL Statut aux fins d'imposition scolaire :Personne morale Adresse postale :303 NOTRE-DAME E 3.500, MONTREAL QUEBEC, H2Y 3Y8 Date d'inscription au rôle :01-01-2001 Superficie : 2 023,80 m² https://www.tvanouvelles.ca/2019/05/01/ottawa-achete-un-terrain-au-lourd-passe Ottawa achète un terrain au lourd passé Dominique Cambron-Goulet | Journal de Montréal Publié le 1er mai 2019 à 07:51 - Mis à jour à 07:55 Le gouvernement du Canada mettra la main pour 7,4 millions $ sur un terrain du Vieux-Montréal qui a fait les manchettes dans une affaire de présumé pot-de-vin. La Ville de Montréal approuvera mercredi la vente au fédéral de ce terrain situé sur la rue Saint-Jacques, à l’est de la place d’Armes, sur lequel se trouve actuellement un stationnement. La Ville tente tant bien que mal de se départir de ce terrain, depuis plus de 15 ans. Mais une enquête du Bureau de l’inspecteur général (BIG) et une poursuite judiciaire ont notamment retardé les choses. Pot-de-vin refusé En 2005, le comité exécutif de la Ville de Montréal, à ce moment présidé par Frank Zampino, décide pour une raison obscure de ne pas donner suite à la meilleure offre d’achat de 3,6 M$ faite par une compagnie à numéro. Peu de temps après, l’un des entrepreneurs ayant répondu à l’appel d’offres a été sollicité sans succès par « un tiers » pour obtenir 100 000 $ en pot-de-vin, « en échange de la progression du dossier auprès des autorités politiques », a fait savoir le BIG dans un rapport publié en 2014. Une autre firme, Constructa, poursuit encore à ce jour la Ville après que le maire Gérald Tremblay eut mis fin aux discussions avec elle. La firme demandera même d’interroger l’ex-argentier du parti Union Montréal, Bernard Trépanier, aujourd’hui décédé, dans cette cause. Une autre transaction, cette fois à Groupe Antonopoulos et DevMcGill, a été annulée en 2014, à la suite du rapport du BIG, dévoilant de nouvelles irrégularités.
  5. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1161733/fermeture-club-prive-357c-vieux-montreal ACCUEIL ÉCONOMIE AFFAIRES Vieux-Montréal : le club privé 357c fermera en mai Publié il y a 54 minutes Le nom du club 357c a été mentionné lors de la commission Charbonneau, parce que certains politiciens y ont été invités. Photo: Radio-Canada La Presse canadienne Le club privé pour gens d'affaires 357c, installé depuis 16 ans dans un immeuble de la rue de la Commune Ouest, dans le Vieux-Montréal, fermera ses portes le 24 mai prochain. Dans un message affiché sur son site web, la direction explique que les habitudes d'affaires ont changé au cours des dernières années et que le niveau des taxes municipales imposées sur l'édifice est élevé. Le message ajoute que les contraintes d’exploitation et d'expansion dans l'immeuble limitent grandement le développement de nouvelles possibilités d'activités commerciales pour l'établissement. Le club 357c dit avoir voulu redonner vie à un immeuble important du patrimoine de Montréal qui avait été laissé à l'abandon pendant de nombreuses années. Le bâtiment a été bâti il y a plus de 140 ans; des travaux majeurs de rénovation et de reconstruction y ont été réalisés. Il y a quelques années, le nom du club 357c, qui était jusque-là méconnu du grand public, a été évoqué pendant les audiences de la commission Charbonneau sur l'octroi et la gestion des contrats publics dans l'industrie de la construction.
  6. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=7317,79867570&_dad=portal&_schema=PORTAL COMITE CONSULTATIF D'URBANISME 13 septembre 2018 3001459117 et 3001431020 4.6.39 DEMANDE DE CERTIFICAT D'AUTORISATION DE DEMOLITION ET DEMANDE DE PERMIS DE CONSTRUCTION 639-643,rue Notre-Dame Ouest La demande vise a autoriser Ia demolition du batiment ainsi que Ia construction d'un hotel de 5 etages comprenant 21 chambres et un restaurant au rez-de-chaussee. Le toil, les planchers ainsi que toute Ia structure du batiment existant seront demolis. Les fac;ades avant et arriere seront conservees, mais plus de 40% du volume hors-sol sera demoli, done le projet doit etre traite comme une demolition et une nouvelle construction. II s'agit d'un immeuble de 3 etages hors sol, avec une fac;ade de pierre grise, construit en 1891. Les 2e et 3e etages ainsi que son couronnement ant conserve leur integrite. La vitrine commerciale du rez-de-chaussee ainsi que Ia fac;ade arriere ant ete largement modifiees.
  7. Développement du site de la Gare Viger Le fil existant pour la Gare Viger semble surtout destiné à la rénovation des deux édifices existants. Je croyais qu'il serait pertinent de créer un nouveau fil (avec des infos à jour) pour les deux autres bâtiments (au minimum) qu'on y prévoit.
  8. Marc-André Carignan vient de parler de ce projet, qui fait parti d'un concours international de réaménagement! Pour écouter la chronique : http://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/le-15-18/episodes/400541/audio-fil-du-lundi-12-fevrier-2018/12 https://www.c40reinventingcities.org/fr/sites/cour-de-voirie-de-la-commune-1309.html La cour de voirie de la Commune, le site proposé, est localisée dans la Cité du multimédia adjacent ouest du Vieux-Montréal. La Cité du multimédia est un quartier situé entre le Vieux-Montréal, Griffintown et le centre-ville de Montréal. Il est le résultat d’un vaste projet immobilier lancé par le gouvernement du Québec à la fin des années 1990. Ce projet a consisté en la réhabilitation de bâtiments industriels du XIXe siècle abandonnés en une grappe d’entreprises pour des compagnies du secteur des technologies de l’information. Ce site consiste en un terrain de 9 910,5 m², actuellement occupé par une cour de voirie satellite. Il jouit d’une exposition exceptionnelle, grâce à sa localisation à l’entrée de la ville par l’autoroute Bonaventure. Il est également très bien desservi par les transports en commun, avec deux stations de métro situées à moins de 1,2 km et trois lignes de bus qui circulent dans le quartier. Le site est aussi connecté au réseau de pistes cyclables de Montréal. En plus de la construction de la cour de voirie satellite de la Ville de Montréal qui devra être prévue dans le projet présenté, le site présente une opportunité intéressante pour développer un programme libre, incluant la possibilité de développer un projet mixte (usages résidentiels, commerciaux, industriels aux équipements collectifs et institutionnels sont autorisés selon le zonage). Le détail ici : https://www.c40reinventingcities.org/data/sites_134e6/fiche/75/ssr_montreal_de_la_commune_service_yard_french_version_45eca.pdf
  9. La division immobilière de Power Corporation veut construire un édifice à bureaux sur le terrain vacant sur la rue St-Jacques, probablement un agrandissement du complexe de la Presse. http://www.lobby.gouv.qc.ca/servicespublic/consultation/AfficherInscriptionsComparaison.aspx?insc1=1PYMarQxwEYWWu1QG9Di%2fA%3d%3d&insc2=WnKmFcGH4v1lwHV2fYfxhA%3d%3d&type=LC&version=0
  10. Conseil du 14 juin Adopter une résolution autorisant la construction d’un bâtiment résidentiel sur le site situé au 1000, rue de la Commune Est, en vertu du Règlement sur les projets particuliers de construction, de modification ou d'occupation d'un immeuble (Projet SAX sur le fleuve) CONTENU CONTEXTE Une demande a été déposée afin de construire un bâtiment résidentiel constituant la seconde phase du complexe l’Héritage du Vieux-Port (ancien entrepôt frigorifique). Une telle intervention requiert un amendement au Règlement sur la modification et l’occupation de l’ancien entrepôt frigorifique localisé en bordure du fleuve Saint-Laurent, à l’est de la rue Berri (01-219) qui encadre le site visé quant au nombre de logements maximum autorisés. De plus, le projet déroge à une disposition du Règlement d’urbanisme (01-282) puisqu’un débarcadère non autorisé est proposé en façade. Ce projet peut faire l’objet d’une autorisation par le biais du Règlement sur les projets particuliers de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (CA-24-011), moyennant le respect des orientations générales de ce règlement. (3001306350). DÉCISION(S) ANTÉRIEURE(S) CO0102563 – 10 septembre 2001 – Adoption par le Conseil municipal du Règlement 01-219 autorisant la conversion du bâtiment. CA05 240329 – 3 mai 2005 – Autoriser l’agrandissement du bâtiment afin d’aménager 10 logements supplémentaires DESCRIPTION Le site Le projet est situé sur l’emplacement de l’ancien entrepôt frigorifique pour lequel une autorisation de conversion en bâtiment résidentiel a été accordée en 2001. Adjacent au site du projet, la construction d’un stationnement intérieur de deux étages en sous-sol a été autorisée en 2004. Cette nouvelle construction étant liée au bâtiment de l’entrepôt frigorifique, elle était considérée comme un agrandissement. Le projet Il est proposé d’agrandir le bâtiment du stationnement en construisant 7 étages résidentiels supplémentaire aux niveaux supérieurs pour un total de 48 logements. Le parti architectural du projet vise à mettre en valeur la structure existante de l’entrepôt frigorifique. Enfin, les aménagements extérieurs comprennent les éléments suivants : § un jardin commun et une promenade du côté du fleuve; § un débarcadère et un stationnement extérieur en façade sur la rue de la Commune; § une promenade et une piscine surélevées du côté nord (rue de la Commune). Cadre réglementaire Le projet présente un nombre de logements dépassant le nombre maximal autorisé. En effet, selon l’article 3 du Règlement sur la modification et l’occupation de l’ancien entrepôt frigorifique localisé en bordure du fleuve Saint-Laurent, à l’est de la rue Berri (01-219) tel que modifié par la résolution CA05 240329, l’habitation est autorisé sur le site pour un maximum de 210 logements. De plus, l’article 5 de ce règlement prévoit que les modifications au bâtiment doivent être conformes aux plans annexés. Enfin, selon l’article 381 du Règlement d’urbanisme (01-282), un débarcadère n’est pas autorisé pour un bâtiment résidentiel qui n’est pas situé dans un secteur de la catégorie R.1. JUSTIFICATION Le maximum de logements imposé par le règlement 01-219 ne correspond à aucune typologie de la réglementation d’urbanisme actuelle. En effet, les catégories d’usages résidentielles sont maintenant regroupées selon trois catégories : R.1 : 1 ou 2 logements R.2 : 1 à 8 logements R.3 : nombre de logements illimité Ces nouvelles typologies correspondent aux trois grandes catégories de bâti résidentiel et ont été introduites avec l’entrée en vigueur du Règlement omnibus redéfinissant la nomenclature des usages du Règlement d’urbanisme (01-282). Par conséquent, afin de maintenir une certaine cohérence dans l’application de la réglementation, une modification au Règlement de plan d’ensemble du projet allant dans le sens de cette révision réglementaire peut être considérée comme souhaitable notamment dans une perspective de densification des quartiers centraux. En ce qui concerne le débarcadère, la configuration particulière du terrain justifie une telle dérogation. Dans ce secteur, les arrêts fréquents sur rue risqueraient de nuire aux activités du Port de Montréal puisque la rue de la Commune sert également de voie d’accès aux activités portuaires. De plus, le caractère industriel du secteur se prête bien à un tel aménagement en façade. En conséquence, la Direction de l’aménagement urbain et des services aux entreprises est d’avis que l’on devrait donner une suite favorable à la modification de l’article 3 du règlement 01-219 afin d’autoriser un nombre de logements illimité à la condition que toute nouvelle construction soit soumise au comité consultatif d'urbanisme pour une révision de projet. Les critères attachés à cette révision devraient être les suivants : § Le nouveau bâtiment doit être compatible avec l’architecture de l’ancien entrepôt frigorifique, tout en laissant à ce dernier la prédominance sur le site et en préservant son caractère unique. § Reprendre la verticalité des façades du bâtiment existant. § Assurer un dialogue entre l’architecture du bâtiment existant et celui à construire. § Favoriser une expression architecturale contemporaine sobre et adéquatement intégrée, de même que des espaces extérieurs intégrés à la masse du bâtiment plutôt qu’en saillie. § Prévoir des matériaux et des détails architecturaux d'une qualité supérieure ou équivalente à ceux du bâtiment de l'ancien entrepôt.
  11. Rénovation de l'Hôtel de ville de Montréal Travaux de rénovation de l'Hôtel de ville de Montréal. Les travaux commenceront en 2019 et dureront 3 ans, jusqu'en 2022. Les coûts prévus sont de 140 millions de dollars. La certification LEED Or V4 est visée. Les activités de l'hôtel de ville déménageront dans l'édifice Lucien-Saulnier durant les travaux. Ce dernier sera rénové au coût de 8.3 millions de dollars durant un an (début des travaux avril 2018).
  12. Un aquarium est un outil pédagogique qui s'adresse à tout le monde. Il doit alors nécessairement être bien situé, afin de pouvoir le visiter aisément tous les mois de l'année. Incidemment nous avons déjà eu un aquarium à La Ronde et justement son accès était problématique à cause de son éloignement. Il devient donc indispensable d'assurer sa popularité, en l'érigeant idéalement près des autres grandes attractions montréalaises, que sont le Vieux-Montréal et le Vieux-Port. Je verrais donc un aquarium spectaculaire installé dans le Silo no5. C'est à mon avis un des meilleurs endroits dans le secteur, à la jonction du Vieux-Port et du canal Lachine, au pied de la rue McGill, à quelques minutes de marche du métro Victoria et/ou d'une éventuelle ligne de bus ou tram, allant dans cette direction. Comme toutes les attractions d'importances, l'aquarium de Montréal devrait profiter de l'achalandage naturel de ce secteur touristique névralgique pour en assurer une rentabilité supérieure. Pourquoi pas d'ailleurs un partenariat public-privé où les risques et profits seraient partagés, dans un complexe multifonctionnel où l'aquarium serait l'élément principal. Il aurait bien sûr un mandat différent du Biodôme, qui se spécialise davantage dans la biodiversité et l'écologie du fleuve. On ferait ainsi d'une pierre plusieurs coups: la réutilisation d'une infrastructure majeure super bien située et abandonnée depuis trop longtemps; la revitalisation complète de cette partie du Vieux-Port avec une attraction de classe mondiale, si on s'en donne la peine; et le renforcement de ce pôle touristique qui permettrait de retenir encore plus longtemps les visiteurs, en multipliant les nuitées. A bien y penser, le site du Silo no5 est de loin supérieur au terrain proposé voisin du Pont Jacques-Cartier. Non que ce dernier soit un mauvais choix, mais à cause de l'incertitude qui plane quant à la vocation de tout le secteur, tout en étant retiré des foules à qui on voudrait s'adresser en priorité. Or le Silo est libre et déjà prêt à être transformé. Ne suffit que d'un projet original bien ficelé, avec un budget à l'échelle du potentiel des lieux. On éliminerait conséquemment un grand terrain en friche, facilement accessible par tous les modes de transport, incluant à pied à partir des grands hôtels du centre-ville. Personnellement je crois que c'est une idée qui devrait faire son chemin et qui n'a jamais été abordée sous cet angle. Qui sait, peut-être avons-nous ici un élément déclencheur qui relancerait simultanément le projet de développement du fameux Silo? Il aurait au passage une vocation en synergie avec celle du Vieux-Port puisque nous sommes toujours dans la thématique de l'eau. Ainsi avec le redéveloppement du quai Alexandra pour les croisières, c'est tout l'ouest du Vieux-Montréal et du V-P qui gagnerait du galon, par de précieux investissements indispensables pour bien positionner Montréal sur la carte touristique du monde.
  13. http://journalmetro.com/actualites/montreal/816231/le-musee-du-futur-sinvite-dans-les-rues-du-vieux-montreal/ 29/07/2015 Mise à jour : 30 juillet 2015 | 7:40 Le musée du futur s’invite dans les rues du Vieux-Montréal Par Mathias Marchal Métro Montréal en histoires Revivre le krach de 1929, assister à la construction de la Basilique Notre-Dame ou en apprendre plus sur les déboires de la Banque du peuple, voici ce que propose la nouvelle application Montréal en Histoires, qui mise sur la réalité augmentée pour permettre l’immersion du promeneur muni d’une tablette ou d’un téléphone intelligent. La réalité augmentée?!! «Imaginez que votre téléphone est une brèche vers le passé qui permet de se projeter 100 ou 200 ans en arrière à partir de documents d’archives», expliquait Guillaume Langlois, président la firme Space & Dreams, lors du lancement officiel de l’application mercredi. Cette dernière comprend une douzaine de capsules animées basées sur des archives historiques permettant ainsi de voir que les édifices du Vieux-Montréal sont relativement bien protégés. Mais aussi une cinquantaine de points d’intérêt historiques qui prennent une autre dimension grâce à l’audiodescription. Selon l’élu responsable des nouvelles technologies, Harout Chitilian, ce projet est emblématique de la ville intelligente, car «il concrétise l’interconnexion entre la créativité montréalaise, le secteur privé qui a soutenu financièrement le projet et les autorités publiques». Ces dernières ont assuré sa viabilité à long terme en finançant l’installation de deux réseaux WiFi permettant de vivre pleinement l’expérience. Reste à voir si la bande passante sera capable de répondre à la demande, ce qui ne semblait pas acquis d’avance lors du lancement. En plus de l’application, le projet Montréal en Histoires comprend un volet éducatif destiné aux écoles, ainsi qu’un très attendu programme de vidéoprojestions à saveur historique sur les murs aveugles du quartier qui sera dévoilé l’année prochaine.
  14. http://www.vieuxportdemontreal.com À l’intérieur comme à l’extérieur, le Vieux-Port déborde d’activités qui feront battre votre cœur, travailler vos méninges, titiller votre imagination ou vous feront simplement apprécier le moment. Une foule de possibilités comme le Segway, la pêche, les films IMAX®, les croisières, le Centre des sciences et bien plus, vous attendent en famille ou entre amis pour des journées bien remplies. sent via Tapatalk
  15. Mes photos, dimanche 17 mai.
  16. http://www.vieux.montreal.qc.ca/inventaire/fiches/fiche_rue.php?id=65[TABLE=width: 630, align: center] <tbody>[TR] [TD][TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD][/TD] [/TR] [TR] [TD=align: right][TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=width: 630, align: center]FICHE D'UN ESPACE PUBLIC [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: titre1, width: 60%, bgcolor: #C8B0B1]Place Vauquelin[/TD] [TD=width: 40%][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=width: 140][/TD] [TD=width: 490][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=align: center][TABLE=width: 210] <tbody>[TR] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD=align: right][/TD] [TD=width: 125][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] [TR] [TD=class: legende, align: right]Photographie prise vers 1900 montrant la place depuis son côté nord-est en direction de la colonne Nelson; à gauche se trouve la fontaine à Neptune et à droite un kiosque à journaux en forme de bouteille. Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Albums de rues E.-Z. Massicotte, 3-128-b[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [TD=align: center][TABLE=width: 210] <tbody>[TR] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD=align: right][/TD] [TD=width: 125][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] [TR] [TD=class: legende, align: right]Photographie prise vers 1900 montrant la place depuis la rue Notre-Dame en regardant vers le nord; à l’arrière-plan se trouve le Drill Hall, rue Craig (rue Saint-Antoine actuelle). Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Albums de rues E.-Z. Massicotte, 3-170-b[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [TD=align: center][TABLE=width: 210] <tbody>[TR] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD=align: right][/TD] [TD=width: 125][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] [TR] [TD=class: legende, align: right]Photographie prise vers 1930 depuis l’édifice de La Sauvegarde allant vers l’Hôtel de Ville. A cette époque les voitures circulent de part et d'autre de la place, entre la rue Notre-Dame et le Champ-de-Mars. Ville de Montréal, Gestion de documents et archives, Z-21-1[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: titre1, width: 50%, bgcolor: #C8B0B1]Histoire[/TD] [TD=width: 50%][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=width: 140][/TD] [TD=width: 490][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: bordure_bas, bgcolor: #EDE8DE, align: left]Située entre la rue Notre-Dame et le Champ-de-Mars, entre l'Hôtel de Ville et l'ancien Palais de justice, la place Vauquelin occupe un site qui, pendant longtemps, était occupé ou limité par des institutions religieuses, puis civiles. Les Jésuites y ont établi leur résidence à partir de 1692, et, suite à la confiscation de leur propriété après la Conquête, l'immeuble est aménagé en prison vers 1768. En 1803, un incendie a endommagé le bâtiment et, bien qu'on y a fait des réparations temporaires, le gouvernement fait construire une nouvelle prison sur le site de 1808 à 1811. Trop petit face à une population qui croît rapidement, l'immeuble perd sa fonction de prison suite à la construction de la nouvelle prison du Pied-du-Courant en 1836. Pendant un an, le bâtiment abrite la « House of Industry » mais les Rébellions de 1837-1838 entraînent son réaménagement en caserne. Cette fonction est confirmée en 1840 lorsque le gouvernement cède l'immeuble aux principaux officiers de l'artillerie pour en faire les casernes Queen's. Cette nouvelle affectation ne durera que six ans, et en 1846 le gouvernement reprend l'immeuble et le démolit en vue de faire construire l'ancien Palais de justice en 1850. La démolition de l'ancienne prison libère un espace dont seulement la partie ouest est requise pour le nouveau palais de justice. Dès 1858, le reste de ce terrain (dont les limites latérales sont exactement alignées sur le prolongement des bornes de la place Jacques-Cartier) est aménagé en place publique nommée place Neptune. Au centre de la nouvelle place, une fontaine à vasques était surmontée par une petite statue du dieu de la mer. À partir de 1895, la place est dotée d'une autre structure tout à fait originale : un kiosque à journaux en forme de bouteille faisant l'annonce du cognac Jockey-Club V.S.O.P. La province conserve la propriété de la place, mais à partir de 1902, la Ville loue le terrain pour la somme d'un dollar par année, à la charge de l'entretenir. En 1924, suite à la reconstruction de la mairie, la place prend, pendant une courte période, le nom de place de l'Hôtel-de-Ville. Mais six ans plus tard, l'appellation change encore. En 1930, à la suite d'une souscription populaire, on érige une statue à la mémoire de Jean Vauquelin (1728-1772), oeuvre du sculpteur Paul-Eugène Benet. Vauquelin, capitaine de navire français, s'est illustré lors de la défense de Louisbourg pendant la guerre de la Conquête. Un mois après le dévoilement du monument, la Ville de Montréal renomme la place en hommage à ce héros. En 1966, la place est aménagée pour prendre la forme qu'on lui connaît aujourd'hui. Jusque là, les voitures circulaient de part et d'autre de la place, entre la rue Notre-Dame et le Champ-de-Mars. La statue de Vauquelin est alors déplacée, et prend plus de recul face au monument à l'amiral Nelson. D'autres travaux complémentaires seront réalisés en 1984.[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=align: center][/TD] [TD=align: center][TABLE=width: 210] <tbody>[TR] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD=align: right][/TD] [TD=width: 125][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] [TR] [TD=class: legende, align: right]La place Vauquelin, photo prise en 2002. © Denis Tremblay, 2002[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [TD=align: center][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=align: right][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: titre1, width: 550, bgcolor: #C8B0B1]Localisation[/TD] [TD=width: 80, align: right][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=width: 140][/TD] [TD=width: 490][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: bordure, bgcolor: #EDE8DE, align: left] Secteur de l'hôtel de ville [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=width: 140][/TD] [TD=width: 490][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: titre1, width: 352, bgcolor: #C8B0B1]Pour plus d'informations...[/TD] [TD=width: 278, align: right][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: bordure, bgcolor: #EDE8DE, align: left]Pour plus d'information sur l'histoire de cet espace public, veuillez consulter les sources suivantes : Sources - Rues et places Ville de Montréal, Rues (1995), p. 485 [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=align: left]Droits réservés. Données mises à jour le 30 décembre 2005[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=class: bordure_bas, width: 630] <tbody>[TR] [TD=align: left]| Accueil | Index | Contactez-nous |[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: bordure_bas, width: 244, align: left] [/TD] [TD=class: bordure, width: 366][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE]
  17. Pas vraiment une annonce sur des rénovations, mais avec des nouveaux propriétaires, on peut p-ê s'y attendre. via LaPresse : Publié le 13 août 2014 à 07h31 | Mis à jour à 07h31 Gad Bitton met le pied dans le Vieux-Montréal ANDRÉ DUBUC La Presse Le tandem d'investisseurs qui vient d'acquérir le 507, place d'Armes, dans le Vieux-Montréal, se promet de renouveler son plaisir à la prochaine occasion. Dans une rare entrevue accordée à un média, le propriétaire de l'entreprise de location et de financement d'automobiles Holand, Gad Bitton, a expliqué ses visées au sujet de sa plus récente acquisition: le 507, place d'Armes, communément appelé édifice Aldred. Édifice patrimonial de style Art déco du Vieux-Montréal, le bâtiment haut de 23 étages, dont la silhouette est inspirée de l'Empire State Building de New York, a été construit au début des années 30. M. Bitton et son partenaire à parts égales - la famille de Michael Serruya, président de CoolBrands International, de Toronto - ont acquis la propriété du fondateur de Guess Jeans, Georges Marciano, le 30 juin pour la somme de 23,5 millions. «J'aime diversifier mes risques, dit Gad Bitton, 51 ans, qui a oeuvré toute sa vie dans le domaine automobile. J'ai acquis de l'expérience en immobilier avec les années.» Il a, en effet, fait ses premières armes en multipliant les achats à compter de 1995 dans les environs du métro De la Savane, au carrefour des autoroutes 15 et 40, là où se trouve le siège social de son entreprise, Holand. Le secteur est depuis en complète transformation, pour le mieux. Mais, c'est la vision de M. Marciano et sa rencontre avec lui, soutient-il, qui l'ont convaincu d'investir dans le Vieux-Montréal. «C'est un homme qui a accompli des choses remarquables dans son industrie. Il m'a dit d'aller marcher dans le Vieux-Montréal avec ma famille un dimanche matin. Je n'avais jamais fait ça de ma vie. Je l'ai fait et je n'en reviens pas de ce que j'ai vu. J'ai ensuite pris la calèche dix fois de suite et j'ai passé une journée entière sur la place d'Armes à regarder et écouter les passants.» Quand M. Marciano l'a plus tard approché pour dire qu'il vendait son portefeuille pour des raisons personnelles, M. Bitton était prêt. Il a d'abord acheté le 11-15, rue Notre-Dame Ouest, puis le 200, sur la même rue, et le 249, rue Saint-Jacques. Fin juin, il mettait le grappin sur le 507, place d'Armes. «J'aime beaucoup le Vieux-Montréal, fait savoir M. Bitton. Si les occasions se présentent, on envisagera d'autres acquisitions potentielles, autant dans les bureaux que dans le résidentiel locatif», ajoute-t-il. Une préférence pour le partage de bureaux Pour ce qui est du joyau de son portefeuille, M. Bitton entend miser sur la proximité du palais de justice pour le remplir. Le taux d'inoccupation de la tour de 240 000 pieds carrés atteint actuellement 23%. «Avec la technologie, les juristes n'ont plus besoin de grands bureaux pour fonctionner», dit-il. L'avenir du 507, place d'Armes passe, selon lui, par la venue de centres d'affaires qui loueront des bureaux aux cabinets indépendants d'avocats et études de notaires. «Ce n'est pas tout le monde qui a les moyens de louer à 50 ou 60$ le pied carré au centre-ville», souligne-t-il. Le fils de Gad Bitton, Meir, s'occupera de la gérance de l'immeuble. La gestion et la location de la propriété ont été confiées à la société Cogir, dirigée par Mathieu Duguay. Un partenaire aux poches profondes M. Bitton est associé à Serruya Private Equity (SPE) dans l'édifice Aldred. SPE détient un portefeuille de plus d'un million de pieds carrés dans la grande région de Toronto. Le holding familial possède notamment l'hôtel King Edward. «Ça nous intéresse toujours d'investir dans des immeubles d'exception comme celui-ci», dit Michael Serruya, cofondateur la chaîne Yogen Früz, dans un entretien. L'édifice Aldred constitue le premier investissement immobilier de la famille à Montréal. «Nous pouvons toujours nous tromper, mais nous pensons que le marché torontois est en surchauffe, alors qu'il y a encore des occasions sur le marché montréalais. Notre famille souhaite y bâtir un portefeuille significatif au cours des dix prochaines années.» Ces investissements se feraient idéalement en partenariat avec Gad Bitton, a-t-il précisé.
  18. http://www.vieux.montreal.qc.ca/inventaire/fiches/fiche_rue.php?id=36 [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=width: 630, align: center]FICHE D'UN ESPACE PUBLIC [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: titre1, width: 60%, bgcolor: #C8B0B1]Place Jacques-Cartier[/TD] [TD=width: 40%][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=width: 140][/TD] [TD=width: 490][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=align: center][TABLE=width: 210] <tbody>[TR] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD=align: right][/TD] [TD=width: 125][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] [TR] [TD=class: legende, align: right]James Pattison Cockburn, Nelson's Monument and Market Place of Montreal, 1829. Des étals de bois du Marché neuf occupaient la place entre 1808 et 1847. Bibliothèque et Archives Canada, Collection de Canadiana Peter Winkworth, R9266-154[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [TD=align: center][TABLE=width: 210] <tbody>[TR] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD=align: right] [/TD] [TD=width: 125][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] [TR] [TD=class: legende, align: right]Jour de marché, place Jacques-Cartier, photographie de William Notman & Son vers 1890. Archives photographiques Notman, Musée McCord d’histoire canadienne, View-2421. Collaboration spéciale dans le cadre d'un partenariat.[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [TD=align: center][TABLE=width: 210] <tbody>[TR] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD=align: right][/TD] [TD=width: 125][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] [TR] [TD=class: legende, align: right]Lors du carnaval d’hiver en 1886, une énorme glissade en bois fut aménagée sur la place Jacques-Cartier, photographie prise en 1886 depuis la rue de la Commune. Archives du Port de Montréal, HT241 1886 326[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: titre1, width: 50%, bgcolor: #C8B0B1]Histoire[/TD] [TD=width: 50%][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=width: 140][/TD] [TD=width: 490][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: bordure_bas, bgcolor: #EDE8DE, align: left]À partir de 1701 et pendant vingt ans, Philippe de Rigaud de Vaudreuil, gouverneur de Montréal puis gouverneur de la Nouvelle-France, loue une maison et un terrain à l'angle des rues Saint-Paul et Saint-Charles. Après avoir acheté le tout en 1721, il commence la construction d'une résidence imposante en 1723, probablement selon les plans de l'ingénieur royal, Gaspard-Joseph Chaussegros de Léry. Vaudreuil et sa famille ne l'occupent que brièvement : il est décédé en 1725, et sa veuve, Louise-Elisabeth de Joybert, est passée en France la même année. Jusqu'à la fin du régime français les héritiers de Vaudreuil louent la propriété au Roi, notamment comme résidence du gouverneur à Montréal. Le dernier gouverneur français à occuper les lieux sera Pierre-François de Rigaud de Vaudreuil, fils de Philippe, qui rassemble quelques parcelles en achète d'autres, afin de créer un terrain s'étendant de la rue Saint-Paul à la rue Notre-Dame. Suite au départ définitif de la famille Vaudreuil en 1763, la propriété a changé de mains deux fois avant de passer à la fabrique de la paroisse Notre-Dame qui en fera un collège pour garçons. Le collège de Montréal (alors appelé collège Saint-Raphaël) s'est installé dans le château de Vaudreuil en 1773 et y reste jusqu'en 1803 lorsqu'un incendie détruit l'édifice. À la recherche d'un espace suffisamment vaste pour installer un nouveau marché public, les juges de paix ont demandé la cession d'une partie du lot désaffecté. Entre-temps la fabrique a cédé la propriété à deux marguilliers, Jean-Baptiste Périnault et Jean-Baptiste Durocher, qui veilleraient à la disposition du terrain. La ville recevra la moitié est pour ouvrir un marché, limité à l'est par la rue Saint-Charles (tracée en 1672), et à l'ouest par une rue qu'on nomme « de la Fabrique ». La moitié ouest est subdivisée par Périnault et Durocher. L'aménagement du site en marché prendra presque cinq ans pendant lesquels les magistrats doivent faire confirmer les titres de propriété et abandonner un projet ambitieux pour la construction d'un halle en pierre. Sur le terre-plein entre les deux rues, on érige des étals de bois pour le « Marché Neuf » en 1808. En 1809, une souscription permet l'érection de la colonne Nelson pour commémorer la victoire de l'amiral Horatio Nelson (1758-1805) à Trafalgar. Après l'ouverture du marché Bonsecours en 1847, les structures de bois sont démolies, les rues Saint-Charles et de la Fabrique disparaissent et la place Jacques-Cartier prend son nom actuel. Son nom rappelle le navigateur français Jacques Cartier, le premier européen à remonter le fleuve Saint-Laurent jusqu'à Montréal. Dans l'acte de cession de Jean-Baptiste Périnault et Jean-Baptiste Durocher, en 1803, il est spécifié que la place devra toujours garder sa fonction de marché public. Ainsi, bien que les étals du marché soient enlevés, la place sert de marché en plein air jusqu'au milieu du XXe siècle. Aujourd'hui encore, la ville est tenue de respecter cette clause : un petit kiosque à fleurs permet de nos jours à la ville de rester dans la légalité. Quant à l'ancien hôtel de Vaudreuil, des fouilles archéologiques pendant les années 1990 ont permis d'en cerner les contours exacts. Un pavage noir met en évidence l'emprise au sol de cette ancienne résidence des gouverneurs français. À l'automne 1997, la place Jacques-Cartier fait l'objet de grands travaux d'aménagement sous la responsabilité et la conception de Robert Desjardins du Service des parcs, jardins et espaces verts de la Ville de Montréal.[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=align: center][TABLE=width: 210] <tbody>[TR] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD=align: right][/TD] [TD=width: 125][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] [TR] [TD=class: legende, align: right]Jour de marché, place Jacques-Cartier, carte postale vers 1930. Collection privée, Christian Paquin[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [TD=align: center][TABLE=width: 210] <tbody>[TR] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD=align: right][/TD] [TD=width: 125][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] [TR] [TD=class: legende, align: right]Photographie prise en 1956 depuis l’Hôtel de Ville en direction du port. Ville de Montréal, Gestion de documents et archives, Z-1466[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [TD=align: center][TABLE=width: 210] <tbody>[TR] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody>[TR] [TD=align: right][/TD] [TD=width: 125][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] [TR] [TD=class: legende, align: right]La place Jacques-Cartier, en 2004. © Photographie de Normand Rajotte réalisée pour l'ouvrage L'histoire du Vieux-Montréal à travers son patrimoine, 2004[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=align: right][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: titre1, width: 550, bgcolor: #C8B0B1]Localisation[/TD] [TD=width: 80, align: right][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=width: 140][/TD] [TD=width: 490][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: bordure, bgcolor: #EDE8DE, align: left] Secteur de l'hôtel de ville Secteur des marchés [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=align: right][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: titre1, width: 352, bgcolor: #C8B0B1]Pour plus d'informations...[/TD] [TD=width: 278, align: right][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=width: 140][/TD] [TD=width: 490][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [TABLE=width: 630] <tbody>[TR] [TD=class: bordure, bgcolor: #EDE8DE, align: left]Pour plus d'information sur l'histoire de cet espace public, veuillez consulter les sources suivantes : Lauzon, Forget, Histoire du Vieux-Montréal, 113, 115, 242, 249, 257, 265 Morin, Le Vieux Montréal (1884), p. 36-37 Poddubiuk, Place Jacques-Cartier, p. 15-23 Sources - Rues et places Trépanier, Rues du Vieux-Montréal, p. 63-65 Ville de Montréal, Rues (1995), p. 240-241 [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE]
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