LeTravailleur Posté(e) 11 décembre 2019 Partager Posté(e) 11 décembre 2019 Il y a 3 heures, mk.ndrsn a dit : Tu l'as publié ici? Non pas encore, j'avais publié une vieille version de la vision en 2017, faudrait que je fasse ça ici sous peu! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
acpnc Posté(e) 4 juin 2021 Partager Posté(e) 4 juin 2021 Après Québec, Laval veut son tramway ILLUSTRATION FOURNIE PAR LA VILLE DE LAVAL Selon une carte préliminaire, le tramway permettrait à quelqu’un d’embarquer à l’angle du boulevard Chomedey et de rouler jusqu’au boulevard Laval, tronçon d’environ trois kilomètres dans le centre-ville qui pourrait se prolonger à d’autres quartiers. Après Québec, Laval veut son tramway. La Ville a déjà commencé à plancher sur un tracé, qui suivrait le boulevard Saint-Martin. Un plan pour modifier les règles d’urbanisme du secteur a été déposé discrètement sur le site web de la Ville. Publié le 4 juin 2021 à 5h00 https://www.lapresse.ca/actualites/2021-06-04/apres-quebec-laval-veut-son-tramway.php Myriam Boulianne La Presse La troisième ville du Québec prépare un projet de programme particulier d’urbanisme (PPU), mécanisme qui permet aux municipalités de changer les règles d’urbanisme de grands secteurs. Les changements que Laval souhaite apporter visent notamment à faciliter l’implantation d’un tramway sur le boulevard Saint-Martin. Le plan a été publié sur le site web de Laval en mai, mais n’a pas été annoncé officiellement. Si le PPU est adopté par le conseil municipal dans quelques mois, la Ville espère entamer des études plus approfondies d’ici cinq ans. Des analyses de faisabilité technique et financière sont également prévues d’ici 5 à 10 ans. Selon une carte préliminaire, le tramway permettrait à quelqu’un de monter à l’angle du boulevard Chomedey et de rouler jusqu’au boulevard Laval, tronçon d’environ trois kilomètres dans le centre-ville qui pourrait s’étendre à d’autres quartiers. ILLUSTRATION FOURNIE PAR LA VILLE DE LAVAL « On veut bonifier l’offre de transports entre l’est et l’ouest de la ville. On considère que le boulevard Saint-Martin est l’un des axes où il y a le plus de potentiel, puisqu’il relie plusieurs quartiers de Laval moins bien desservis ainsi que des pôles d’emplois et les principaux attraits », explique le maire suppléant et candidat à la mairie Stéphane Boyer, en entrevue avec La Presse. « Le PPU, en soit, c’est une vision sur 20 ans. Par la suite, on vient raffiner la vision avec des études complémentaires », précise-t-il. M. Boyer ajoute que le tramway n’est qu’une option parmi plusieurs « modes de transport structurant ». « Ce n’est pas coulé dans le béton que ce sera un tramway, ça peut-être un autre mode [de transport]. Il reste des choses à étudier », spécifie-t-il, tout en indiquant qu’il souhaite un mode de transport « autre qu’une simple ligne d’autobus ». Toutefois, l’option du tramway est longuement détaillée dans le PPU. Les maquettes proposées montrent deux voies en sens inverse réservées au tramway circulant au centre du boulevard Saint-Martin, quatre voies destinées aux voitures et des pistes cyclables de chaque côté. Le document fait également référence au réseau de tramway de la ville de Lyon, l’un des plus importants en France. Manque de visibilité, déplore l’opposition Le chef de l’opposition officielle à Laval, Michel Trottier, du Parti Laval, déplore le manque de visibilité accordée au projet de tramway par l’administration actuelle. « Ce n’est pas quelque chose qui a été très publicisé. On n’en a parlé nulle part », ajoute-t-il, « impressionné » par la faible visibilité. Même lui affirme ne pas en savoir « autant que ça » sur le sujet, qui doit pourtant être approuvé par le conseil municipal dans les prochains mois. Selon lui, le projet doit être mis de l’avant pour qu’il fonctionne. Pourquoi est-ce que Québec a un tramway et [qu’en ce qui concerne] Laval, qui est situé en périphérie de Montréal, qui est un centre urbain, on n’en parle même pas ? C’est la troisième ville au Québec, renchérit-il. Il faut le vendre [ce moyen de transport structurant] à nos citoyens. C’est comme ça que les gens vont embarquer. Michel Trottier, chef de l’opposition officielle à Laval Même constat chez le candidat indépendant à la mairie Nicolas Lemire, qui qualifie le projet de « fantomatique » et avance même l’idée que ce pourrait être un enjeu électoral. « C’est soit un manque de volonté politique, soit que l’administration ou les partis de l’opposition se gardent des wild cards pour les élections [du 7 novembre] », croit-il. Le maire suppléant se défend de cacher le projet de tramway. « Le dévoilement s’est fait il y a à peine deux, trois semaines. Sur toutes les plateformes de la Ville, on publicise les consultations publiques, souligne-t-il. On est rendu à la troisième consultation des citoyens sur ce PPU centre-ville […] et, chaque fois, il y a de 100 à 200 citoyens présents. » « Un cocktail de mesures » Le ministère des Transports a actuellement trois projets à l’étude ou en cours de réalisation à Laval. Il s’agit du prolongement du Réseau express métropolitain (REM) vers l’est de Laval, un projet de transport collectif structurant sur les boulevards Notre-Dame et de la Concorde, ainsi qu’un service rapide par bus sur le boulevard Pie-IX entre Montréal et Laval. Un tramway ne figure pas dans les priorités à l’heure actuelle. Malgré cela, sur le terrain, tant l’opposition officielle que l’administration s’entendent pour dire que le projet de tramway à Laval est « faisable » et qu’une meilleure desserte reliant l’est ou l’ouest de Laval est nécessaire afin de réduire la congestion routière. « Si on réussit à avoir un système efficace [de transport collectif structurant], je suis convaincu qu’on diminuera le nombre d’automobilistes. Pour désengorger Laval, ça prend un cocktail de mesures efficaces en transport collectif […] pour arriver à passer par-dessus nos autoroutes, qui sont des cicatrices partout au cœur de Laval », croit le chef de l’opposition. Commerçants divisés Les commerçants installés sur le boulevard Saint-Martin ont des avis divergents face à ce projet. Le gérant de Beauté Hera, Hwa Soo, ne croit pas que cela augmentera l’achalandage de son commerce, puisque la plupart de ses clients possèdent une voiture. « Je ne vois pas cela nécessairement comme une bonne nouvelle. Je n’ai pas l’impression que ça va changer grand-chose [pour nous]. Mais c’est une bonne chose pour les étudiants [qui n’ont pas de voiture]. Donc, ça pourrait devenir avantageux pour nous », dit-il. PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE Hwa Soo, gérant de Beauté Hera À quelques pas de là, la gérante de la boutique L’Enfantillon, spécialisée dans les vêtements de maternité, croit plutôt que c’est une bonne nouvelle. « S’il y a un tramway, on espère qu’on aura de nouveaux clients. Ça pourrait nous aider, c’est sûr, puisqu’on est situés au centre-ville de Laval. Aussi, les gens appuient de plus en plus les projets de transport durable », explique Miriana Morgante. PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE Miriana Morgante, gérante de la boutique L’Enfantillon Quant au copropriétaire du restaurant de sushis Mikado Go, Andy Phan, ce n’est pas tant l’idée du tramway qui l’inquiète que les travaux à venir. Cela pourrait décourager certains clients de venir sur le boulevard Saint-Martin, croit-il. « C’est un boulevard assez important. [S’il y a des travaux], ça va être bourré de trafic. Et connaissant les délais de construction, ça va prendre beaucoup de temps. Donc, ce n’est pas vraiment l’idéal. » En 2011, Laval voulait un tramway aérien La Ville de Laval n’en est pas à son premier projet de tramway. À la suite du succès des trois stations de métro inaugurées en 2007, l’ancien maire Gilles Vaillancourt proposait, en 2011, un tramway aérien (téléphérique) dans le but de réduire la congestion routière et de promouvoir le transport collectif. La Ville suggérait que le téléphérique parte de la station Montmorency pour se terminer au terminus d’autobus du Carrefour Laval. Une étude de faisabilité, évaluée à 500 000 $, avait même été commandée. Le projet a toutefois été délaissé en 2012, puisque la Place Bell a finalement été construite à proximité du métro Montmorency, ce qui a conduit la Société de transport de Laval à réviser la priorité du dossier. 2 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. samal90 Posté(e) 4 juin 2021 C’est un message populaire. Partager Posté(e) 4 juin 2021 Bon voici le probleme qu'on a au Quebec. Il n'y a pas de vision a long terme. Ce qui fait qu'il n'y pas de cohesion entre les nouvelles infrastructure cree. On fait des nouveaux tracé, sans tenir compte des tracé possible dans 20-30ans. Il faut une vision d'ensemble du systeme de transport en commun dans le grand montreal (Montreal, Laval, rive-sud et rive-nord). Il faut qu'on se fasse un gros plan du genre...voici ce qu'on veut pour 2050-2060. On va developper ca section par section, etc. La on veut un tramway sur st-martin...qui est relier a aucun autre mode de transport lourd. Ni a un metro, ni au REM de l'ouest...rien. C'est un manque de vision. Oui je suis content qu'on pense finalement au tramway. Mais le but du tramway c'est d'ammener des gens des zones residentielles, jusqu'aux zones commerciales. Mais la c'est juste sur st-martin dans une artere commerciale qui relie aucunement des cartiers residentielles. Ca serait bien plus utile, si le tramway partait de la gare st-dorothee, a travers ce cartier, remonte sur st-martin jusqu'au boulevard des laurentides et redescend jusqu'au metro Cartier. La ca sera utile. J'aurais ete content s'ils avaient dit, voici le tracé a long terme, mais pour l'instant on va commencer par ca. 7 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Enalung Posté(e) 4 juin 2021 Partager Posté(e) 4 juin 2021 Personnellement, je pense que Saint-Martin, ce n'est pas le bon Axe. Nôtre-Dame / de la Concorde est un axe qui se prolonge plus loin à l'est et à l'ouest et qui offre une connexion importante au métro et au train de banlieue. 2 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Maximus Posté(e) 4 juin 2021 Partager Posté(e) 4 juin 2021 Notre dame accueillera un SRB selon les plans prévus. St Martin aura plus de points d'intérêts a long terme, étant au coeur du futur développement du centre ville prévu, qui sera situé entre notre dame et la 440. 2 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
vivreenrégion Posté(e) 4 juin 2021 Partager Posté(e) 4 juin 2021 Transport en commun veut dire marcher, et je dirais qu'au Québec, à part les quartiers centraux à Montréal, la crowd à Laval ce n'est pas le genre à marcher pour aller à job. Non seulement ça, mais avec des enfants ça prend une voiture. Laval c'est quand même dense mais c'est simplement causé par des erreurs dans l'urbanisme de la ville. Je crois sincèrement que toute l'idée de voir des adultes et des familles utiliser les TEC comme moyen de transport principal en jour de semaine c'est une utopie. On devrait assumer que c'est une cause perdue et on devrait mettre tout l'argent pour améliorer la fluidité sur le réseau routier. Surtout avec le travail à la maison, tout l'argent investi ne servira pas autant que prévu. La STM va être en déficit pour les années à venir, rendu là si tu veux le monde reviennent à Montréal aussi bin mettre ça gratuit. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
vivreenrégion Posté(e) 5 juin 2021 Partager Posté(e) 5 juin 2021 il y a 29 minutes, Kolev3000 a dit : Laval est en train de se transformer ! J'en doute pas, mais les quartiers résidentiels avec maison sont majoritaires. Les vieilles maisons de 1950 ne sont pas transformées en multi logement sauf à LDR et peut-être Chomedey. Dans les majorité des quartiers, les vieilles maisons 1 étage sont transformées en grosse maison 2 étages de luxe à 800k$. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Né entre les rapides Posté(e) 5 juin 2021 Partager Posté(e) 5 juin 2021 Il y a 2 heures, vivreenrégion a dit : Transport en commun veut dire marcher, et je dirais qu'au Québec, à part les quartiers centraux à Montréal, la crowd à Laval ce n'est pas le genre à marcher pour aller à job. Non seulement ça, mais avec des enfants ça prend une voiture. Laval c'est quand même dense mais c'est simplement causé par des erreurs dans l'urbanisme de la ville. Je crois sincèrement que toute l'idée de voir des adultes et des familles utiliser les TEC comme moyen de transport principal en jour de semaine c'est une utopie. On devrait assumer que c'est une cause perdue Je ne sais pas d'où tu tires cette impression (ou est-ce simplement une opinion?). Ça fait pourtant longtemps que des résidents de l'Île jésus et de la Rive-Nord empruntent en grand nombre le TEC pour se rendre à Montréal; bien avant la création de la STL (qui a remplacé deux compagnies privées à but lucratif) et bien avant l'arrivée du métro à la station Henri-Bourassa (Cartier, Concorde et Montmorency sont venues encore plus tard). Le choix de l'automobile personnelle n'est pas à la portée de tous; et surtout, des trajets à destination du centre des affaires de Montréal sont souvent plus rapides (et moins stressants) qu'en automobile, sans compter le différentiel de coûts (pense aux stationnements). Naturellement, pour des trajets à destination de secteurs moins denses de Montréal, notamment les parcs industriels de l'ouest de l'Île de Montréal, le recours à l'automobile demeure plus pratique. Je ne vois aucune espèce de différence de comportement entre les résidents de Laval/Rive-Nord et ceux des quartiers périphériques de l'Île de Montréal: ce sont toujours les mêmes considérations qui prévalent. Des couples ayant de jeunes enfants, il y en a à Laval comme il y en a à Montréal; leurs choix des modes de déplacement dépendent de leurs circonstances personnelles. Et des couples sans enfants et des personnes seules d'âge adulte, il y en a aussi à Laval; le stéréotype de la petite famille avec sa maison de banlieue réflète une partie de la réalité seulement. De plus, cette "réalité" est en train de changer, en ce que la majorité des nouvelles constructions résidentielles à Laval sont de type multifamilial, et que la part des "ménages" de une ou deux personnes est déjà très importante, comme presque partout ailleurs au Québec, au Canada et en Occident. Et de toutes façons, au-delà de possibles différences d'opinion quant aux pourcentages respectifs à Laval et à Montréal, ça ne change pas le fait très évident qu'il y a une forte demande pour du TEC efficace -- pas pour tous les déplacements, mais pour un nombre très considérable. On ne sait pas encore très bien jusqu'à quel point le monde "post-covid" affectera l'intensité des déplacements. Ce qui est certain selon moi, c'est qu'il serait impossible que tous ces déplacements se produisent en automobile. Le TEC demeurera un élément essentiel de la mobilité. 4 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
vivreenrégion Posté(e) 5 juin 2021 Partager Posté(e) 5 juin 2021 Il y a 19 heures, Né entre les rapides a dit : Je ne sais pas d'où tu tires cette impression (ou est-ce simplement une opinion?). Ça fait pourtant longtemps que des résidents de l'Île jésus et de la Rive-Nord empruntent en grand nombre le TEC pour se rendre à Montréal; bien avant la création de la STL (qui a remplacé deux compagnies privées à but lucratif) et bien avant l'arrivée du métro à la station Henri-Bourassa (Cartier, Concorde et Montmorency sont venues encore plus tard). Le choix de l'automobile personnelle n'est pas à la portée de tous; et surtout, des trajets à destination du centre des affaires de Montréal sont souvent plus rapides (et moins stressants) qu'en automobile, sans compter le différentiel de coûts (pense aux stationnements). Naturellement, pour des trajets à destination de secteurs moins denses de Montréal, notamment les parcs industriels de l'ouest de l'Île de Montréal, le recours à l'automobile demeure plus pratique. Je ne vois aucune espèce de différence de comportement entre les résidents de Laval/Rive-Nord et ceux des quartiers périphériques de l'Île de Montréal: ce sont toujours les mêmes considérations qui prévalent. Des couples ayant de jeunes enfants, il y en a à Laval comme il y en a à Montréal; leurs choix des modes de déplacement dépendent de leurs circonstances personnelles. Et des couples sans enfants et des personnes seules d'âge adulte, il y en a aussi à Laval; le stéréotype de la petite famille avec sa maison de banlieue réflète une partie de la réalité seulement. De plus, cette "réalité" est en train de changer, en ce que la majorité des nouvelles constructions résidentielles à Laval sont de type multifamilial, et que la part des "ménages" de une ou deux personnes est déjà très importante, comme presque partout ailleurs au Québec, au Canada et en Occident. Et de toutes façons, au-delà de possibles différences d'opinion quant aux pourcentages respectifs à Laval et à Montréal, ça ne change pas le fait très évident qu'il y a une forte demande pour du TEC efficace -- pas pour tous les déplacements, mais pour un nombre très considérable. On ne sait pas encore très bien jusqu'à quel point le monde "post-covid" affectera l'intensité des déplacements. Ce qui est certain selon moi, c'est qu'il serait impossible que tous ces déplacements se produisent en automobile. Le TEC demeurera un élément essentiel de la mobilité. Moins de 50% de la population active de Laval travail à Montréal. C'est justement ça le point, vous parlez de TEC allant à Montréal, et bien ce temps est terminé et on risque d'avoir atteint un peak du trajet vers l'île de Montréal. Maintenant ce sont les TEC à l'intérieur des villes qu'il faut développer. Regarde le groupe type de gens qui utilise le TEC à Montréal. Avec le work from home, la passe mensuelle coûte plus cher que le billet individuel 2x semaine. À partir de 2022, le Métro de Montréal va probablement être utilisé à 80% par des étudiants ou des habitants des quartiers centraux. On risque de se retrouver avec des quartiers où les seuls qui vont utiliser les TEC seront des gens qui n'auront pas les moyens de rouler une voiture. Je ne serais même pas surpris si les TEC sur l'île de Montréal se faisaient prendre des parts de marché par les compagnies comme UBER, ou les véhicules de partage. Les voitures autonomes vont peut-être être aussi rapide sinon plus rapide que le Métro pour se rendre du point A au point B. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Maxurb Posté(e) 7 juillet 2021 Partager Posté(e) 7 juillet 2021 Le 2021-06-05 à 18:54, vivreenrégion a dit : Moins de 50% de la population active de Laval travail à Montréal. C'est justement ça le point, vous parlez de TEC allant à Montréal, et bien ce temps est terminé et on risque d'avoir atteint un peak du trajet vers l'île de Montréal. Maintenant ce sont les TEC à l'intérieur des villes qu'il faut développer. Regarde le groupe type de gens qui utilise le TEC à Montréal. Avec le work from home, la passe mensuelle coûte plus cher que le billet individuel 2x semaine. À partir de 2022, le Métro de Montréal va probablement être utilisé à 80% par des étudiants ou des habitants des quartiers centraux. On risque de se retrouver avec des quartiers où les seuls qui vont utiliser les TEC seront des gens qui n'auront pas les moyens de rouler une voiture. Je ne serais même pas surpris si les TEC sur l'île de Montréal se faisaient prendre des parts de marché par les compagnies comme UBER, ou les véhicules de partage. Les voitures autonomes vont peut-être être aussi rapide sinon plus rapide que le Métro pour se rendre du point A au point B. Moins de 50%, pour une ville peuplée comme Laval, ça fait quand même beaucoup de monde. Je suis l’exemple, ou le contre-exemple, parfait de vos propos. J’habite dans une unifamiliale de Laval, pas de voiture (1 pour le couple), je travaille au centre-ville de Montréal (de retour cet automne), évidemment en métro car l’auto n’est même pas envisageable (coût d’une voiture, coût mensuel du stationnement, temps de trajet comparable, etc.), je marche ou fait du vélo pour plusieurs de mes déplacements. Bref, il y a une réalité de Laval qui est que beaucoup de la population utilise du TEC, de plus en plus le vélo et la marche. Maintenant, un tramway, oui, mais il doit minimalement relier des gares, des quartiers plus denses et des zones commerciales ou équipements régionaux. Je ne vois aucunement l’utilité d’un tramway sur Saint-Martin en ce sens. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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