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Économie de Montréal


Normand Hamel

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il y a 3 minutes, ToxiK a dit :

Plateforme de transbordement de Ray-Mont Logistiques « Continuez », dit Valérie Plante aux opposants

PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE

Le terrain de Ray-Mont Logistiques, près de la rue Notre-Dame et du Port de Montréal, aux abords du secteur Viauville de Mercier–Hochelaga-Maisonneuve.

La mairesse de Montréal a encouragé les opposants au projet de plateforme de transbordement de Ray-Mont Logistiques, dans Hochelaga-Maisonneuve, à continuer à faire pression sur leurs élus.

Publié à 19h52

PHILIPPE TEISCEIRA-LESSARDLA PRESSE

Le projet industriel – un immense site où les conteneurs en provenance ou à destination du Port de Montréal seraient transférés entre camions et trains – cause l’inquiétude dans le quartier, où l’on craint le bruit excessif, ainsi que la circulation accrue de poids lourds.

Lundi, des résidents du secteur ont participé au conseil municipal de Montréal afin de faire entendre leur mécontentement.

« Vous êtes très mobilisés depuis le jour 1 et vous avez raison. On est très sensibles à la question, notamment parce qu’on sait que dans l’est de Montréal on questionne la qualité de l’air, la quantité d’espace vert, les infrastructures en transport », leur a répondu Valérie Plante, ajoutant que « vos préoccupations, je les porte ».

Mme Plante et son équipe se sont opposées à l’implantation du projet de Ray-Mont Logistiques, mais la justice a donné raison à l’entreprise : le terrain – une ancienne aciérie – peut être développé en projet industriel. Ray-Mont poursuit maintenant la Ville pour un tiers de milliard de dollars à cause du retard infligé à la construction.

« Continuez à faire ce que vous faites bien : poussez chez nous, poussez au provincial, poussez vos élus fédéraux, a continué Mme Plante à l’endroit des citoyens. Et comptez sur nous, comptez sur moi : on va continuer à aller chercher tout ce qu’on peut aller chercher pour bonifier et trouver des aménagements qui vont être pertinents. »

Hey, quelle conn...! En ce moment, les containers traversent Bridge/Wellington, RB, la 720, maintenant 136, N-D, puis le port. Avec l'aménagement proposé, ils traverseront le viaduc au-dessus de N-D, puis le port. Les gens de Homa vont être nettement moins opportunés que ceux de PSC, GFT, V-M, puis ceux qui sont le long de  N-D dans Homa, what th... comme dirait @SameGuy.

Grrrr

 

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Un sujet pour l'anti-économie de Montréal

Citation

460 participants à une École mar*iste de Montréal marquée par l’optimisme révolutionnaire

Je ne cite pas le texte au complet ici... mais j'en reviens pas que c'est ok que l'ultra gauche se réunit impunément à Montréal comme ça, et avec zéro couverture médiatique. Imagine si y a une école na*i qui ouvre à Montréal tranquille...

 

https://www.marxist.com/canada-460-attend-montreal-marxist-school-marked-by-revolutionary-optimism.htm

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Le 2023-02-20 à 21:18, Brick a dit :

Hey, quelle conn...!

En fait c'est Denis Coderre qui a été le premier a mettre des bâtons dans les roues de Ray-Mont Logistiques.

« Les militants et opposants au projet réussiront à récolter 6 600 signatures dans une action d’opposition au développement du site par Ray-Mont Logistiques, ce qui mettra assez de pression sur le maire de l’époque, Réal Ménard (Équipe Denis Coderre pour Montréal), qui changera finalement la réglementation de l’arrondissement dans ce secteur (projet de Cité de la logistique) et qui viendra réduire considérablement la capacité d’opération de l’entreprise. C’est alors, en 2017, que débute la saga judiciaire avec la contestation en Cour supérieure du nouveau règlement par Ray-Mont Logistiques. »

« S’il revient aux commandes de la métropole, Denis Coderre serait prêt à acheter le terrain de l’entreprise Ray-Mont Logistiques. »

https://estmediamontreal.com/affaire-ray-mont-logistiques-charles-raymond-brise-silence/

Terrain.jpeg

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il y a 27 minutes, Normand Hamel a dit :

En fait c'est Denis Coderre qui a été le premier a mettre des bâtons dans les roues de Ray-Mont Logistiques.

« Les militants et opposants au projet réussiront à récolter 6 600 signatures dans une action d’opposition au développement du site par Ray-Mont Logistiques, ce qui mettra assez de pression sur le maire de l’époque, Réal Ménard (Équipe Denis Coderre pour Montréal), qui changera finalement la réglementation de l’arrondissement dans ce secteur (projet de Cité de la logistique) et qui viendra réduire considérablement la capacité d’opération de l’entreprise. C’est alors, en 2017, que débute la saga judiciaire avec la contestation en Cour supérieure du nouveau règlement par Ray-Mont Logistiques. »

« S’il revient aux commandes de la métropole, Denis Coderre serait prêt à acheter le terrain de l’entreprise Ray-Mont Logistiques. »

https://estmediamontreal.com/affaire-ray-mont-logistiques-charles-raymond-brise-silence/

Terrain.jpeg

T'as bien raison, mais on va se le dire, je vois l'administration actuelle comme une extension naturelle du deuxième mandat de Coderre... Bergeron est rentré dans le comité exécutif à ce moment là, ... le loup était dans la bergerie.

Donc, justifier les actions actuelles, sur le maire précédent est un peu faible... ça jamais empêcher l'administration actuelle de faire différent ou pareille ... quand ça fait son affaire.... 

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Il y a 1 heure, mtlurb a dit :

Donc, justifier les actions actuelles, sur le maire précédent est un peu faible... ça jamais empêcher l'administration actuelle de faire différent ou pareille ... quand ça fait son affaire.... 

Je ne connais personne qui justifie les actions actuelles sur le maire précédent. En tout cas pas moi. Je voulais juste mettre les choses en perspective concernant Valérie la Pas fine. Elle n'a pas fait pire que Coderre dans ce dossier. Elle n'a pas fait mieux non plus.

Il y a quatre points de vue dans cette affaire: celui de Ray-Mont, celui de Port de Montréal, celui des citoyens concernés, c'est à dire les résidents, et celui de la Ville, c'est à dire les politiciens.

Ray-Mont Logistiques: cette entreprise est dans son droit car tout est conforme d'un point de vue légal. Elle a certes débuté les travaux avant d'obtenir l'autorisation de Québec sur le plan environmental mais elle n'avait pas le choix car son permis de la Ville arrivait à échéance. 

Port de Montréal: « Le port et les activités de logistiques qui l’entourent sont des infrastructures stratégiques essentielles avec lesquelles il faut apprendre à vivre. » Michel Leblanc, PDG de la CCMM.

Résidents: leurs demandes sont compréhensibles mais pas du tout légitimes et encore moins légales. J'admets qu'il aurait été fantastique d'avoir un parc à cet endroit mais il faut mettre les priorités au bon endroit. Si tu n'aimes pas le bruit des avions ne t'installe pas à proximité d'un aéroport. Et si tu étais là avant le projet dis-toi que le port lui était là bien avant toi.

Politiciens: les deux partis politiques se sont comporté comme des amateurs et avaient chacun pour objectif de se faire réélire sans égard au développement économique de Montréal.

Ray-Mont.png

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Il y a 1 heure, KOOL a dit :

L'astérisque de « mar*iste » ? C'est pour remplacer le « d » ? :silly:

J'ai pas envi que mot soit indexé par google.... et aussi, peut-être, le genre de mots qui attire aucune pub. lol

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La pharmaceutique qui doit produire des vaccins à Montréal pourrait fermer boutique

Novavax doit s’installer sur le site du Conseil national de recherches du Canada de la rue Royalmount, à Montréal. Paul Chiasson La Presse canadienne Novavax doit s’installer sur le site du Conseil national de recherches du Canada de la rue Royalmount, à Montréal. 

L’usine de vaccins du gouvernement fédéral à Montréal risque de voir son occupant actuel la déserter. L’entreprise pharmaceutique américaine Novavax, dont le vaccin contre la COVID-19 doit être fabriqué dans ces installations flambant neuves, éprouve des difficultés financières majeures qui menacent sa survie. Elle assure toutefois que sa collaboration avec le Canada se poursuit.

En février 2021, Ottawa annonçait en grande pompe une entente avec Novavax, qu’il invitait à s’installer sur le site du Conseil national de recherches du Canada(CNRC) de la rue Royalmount, à Montréal. Le gouvernement fédéral y finançait alors, à hauteur de 123 millions de dollars, la construction d’une nouvelle usine de vaccins.

Quatre mois plus tard, en juin 2021, la construction du Centre de production de produits biologiques de Montréal était achevée. Le vaccin de Novavax n’était toutefois pas encore autorisé par Santé Canada — il le serait en février 2022, quand la majorité de la population serait déjà vaccinée — et sa production nécessiterait encore de nombreuses approbations réglementaires avant de pouvoir débuter.

Ces processus se poursuivent jusqu’à aujourd’hui : aucune dose du vaccin de Novavax n’a encore été produite dans la métropole québécoise. En décembre dernier, l’entreprise basée au Maryland affirmait qu’elle fabriquerait de premiers lots à Montréal au début de l’année 2023.

Or, dans ses résultats financiers présentés mardi soir, Novavax a soulevé des « doutes sérieux » quant à sa capacité à rester en affaires pendant plus d’une année. Ses revenus pour l’année 2023 sont loin d’être assurés. La direction envisage de réduire ses dépenses, ce qui pourrait impliquer d’abolir des postes.

Peu populaire

Le laboratoire a révélé mardi que le gouvernement américain lui avait fait part de la fin anticipée de son contrat d’achat de vaccins dès le mois de décembre prochain. Au début de la pandémie, Washington avait promis d’acheter 100 millions de doses de ce vaccin, au prix total de 1,6 milliard $US. Pour l’instant, moins de 80 000 doses de Nuvaxovid ont été administrées aux États-Unis.

Le Nuvaxovid n’est pas plus populaire au Canada. À peine 30 000 doses ont été injectées au pays, sur les presque 100 millions de doses de vaccin contre la COVID-19 administrés. Au Québec, moins de 5000 doses de Nuvaxovid ont trouvé preneur.

Christine Jodoin, la vice-présidente des Initiatives stratégiques au Conseil national de recherches du Canada, affirme maintenant que, malgré les embûches financières de Novavax, la collaboration avec ce partenaire se poursuit.

Elle précise aussi, dans une déclaration transmise au Devoir, que le CNRC continue « à explorer des options avec des collaborateurs potentiels pour produire des vaccins et d’autres produits biologiques sur la seconde ligne de production de l’installation » de Montréal.

123 millions $ 

C'est la somme qui a été investie par le gouvernement fédéral pour la construction de la nouvelle usine de vaccins sur le site du Conseil national de recherches du Canada. 

Dans un courriel au Devoir, Novavax indique pour sa part : « Nous continuons à travailler avec le CNRC sur la production de notre vaccin contre la COVID-19, le Nuvaxovid, et la fabrication des lots de qualification de la performance du processus devrait commencer au début de l’année 2023. »

Selon les études cliniques — réalisées avant l’émergence du variant Omicron —, le vaccin contre la COVID-19 de Novavax est efficace à 90 % pour protéger les adultes contre les cas légers, moyens ou graves de la maladie.

Le Nuvaxovid est un vaccin un peu plus classique que ceux à ARN messager fabriqués par Pfizer ou Moderna. Pour le fabriquer, on utilise des cellules de papillon de nuit pour produire en grand nombre les « petits pics » à la surface du coronavirus. Ces spicules sont ensuite assemblés dans une molécule synthétique, qui est administrée au patient.

Medicago

Les sombres développements au sujet de Novavax surviennent un mois après ceux concernant Medicago. Début février, le propriétaire japonais de cette entreprise basée à Québec annonçait l’interruption définitive des activités de sa filiale. Medicago avait reçu plus de 250 millions de dollars en prêts et en subventions d’Ottawa et de Québec pour son vaccin contre la COVID-19.

L’entreprise biopharmaceutique fondée en 1997 n’a ainsi livré qu’une poignée de doses après l’approbation de son vaccin contre la COVID-19 au Canada, en février 2022. Ses déboires financiers s’expliquent notamment par le refus de l’Organisation mondiale de la santé de recommander ce vaccin fabriqué grâce à des feuilles de tabac parce que le cigarettier Philip Morris faisait partie de ses actionnaires.

La production future de vaccins au Canada repose donc maintenant en bonne partie sur Moderna, qui bâtit actuellement une usine de vaccins à ARN messager à Laval. Celle-ci, censée pouvoir produire 100 millions de doses par année, doit entrer en fonction l’an prochain. Polyvalente, elle pourra produire des vaccins ou des traitements pour d’autres maladies que la COVID-19.

La pharmaceutique française Sanofi bâtit pour sa part à Toronto une installation de fabrication de vaccins contre l’influenza. Le gouvernement fédéral soutient cette initiative avec une enveloppe allant jusqu’à 415 millions de dollars.

Avec l’Agence France-Presse

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NS Nanotech annonce l'ouverture d'un centre de recherche canadien à Montréal

NS Nanotech annonce l’ouverture d’une filiale canadienne à Montréal qui aura pour mission de faire avancer la recherche de pointe et accélérer la commercialisation des technologies nanoDEL les plus novatrices. L’équipe locale misera sur un accès exclusif à des brevets qui ont été accordés à l’Université McGill et ses chercheurs afin de faire avancer la mission globale de l’entreprise, soit de mettre au point les premières nanoDEL submicroniques fonctionnelles au monde pour les grands écrans, les micro-écrans et les applications de désinfection par UVC ultraviolet.

NS Nanotech Canada a conclu une entente de collaboration avec l’Université McGill en janvier 2023. Celle-ci prévoit notamment l’appui du professeur Songrui Zhao, une sommité mondiale dans le domaine des nanoDEL qui possède de nombreux brevets reliés. Le professeur Zhao a fait progresser les connaissances en épitaxie par jets moléculaires ainsi que d’autres technologies fondamentales conçues pour permettre une vaste gamme d’améliorations en termes de coûts et d’efficacité par rapport aux DEL actuelles.

« Le marché mondial de l’affichage, qui est évalué à 120 milliards de dollars, repose sur des technologies du vingtième siècle qui présentent des lacunes importantes en matière de coûts et de rendement. NS Nanotech cherche à y remédier », a déclaré le Dr. Seth Coe-Sullivan, président-directeur général et cofondateur de NS Nanotech. « L’Université McGill est un pôle d’excellence mondial en nanotechnologies qui répondent à ces enjeux. Ensemble, nous avons le potentiel de repenser le marché mondial des écrans micro-DEL multicolores et des solutions de désinfection par DEL-UVC. »

Derrick Wong, MSc-MBA, chargé de cours et mentor à temps partiel à l’Université McGill, occupera la fonction de chef des exploitations de NS Nanotech Canada, alors que Dr. David Laleyan, diplômé de l’Université McGill et doctorant de l’Université du Michigan (2020), agira à titre de chercheur principal. Plusieurs autres chercheurs seront aussi invités à rejoindre l’entreprise afin de poursuivre la collaboration avec l’Université McGill à court et à long termes.

Montréal International et Investissement Québec International ont appuyé NS Nanotech tout au long de ce projet d’implantation à Montréal.

« Nous sommes fiers de contribuer à la croissance du secteur stratégique des semi-conducteurs dans le Grand Montréal avec l’arrivée de NS Nanotech. Ce centre de recherche démontre à quel point nos chercheurs et établissements d’enseignement supérieur, dont l’Université McGill, constituent un attrait sans équivoque pour les investisseurs qui développent des projets structurants. À cela s’ajoute un bassin de main-d’œuvre hautement qualifié, notamment en STIM (science, technologie, ingénierie et mathématiques) et en intelligence artificielle, des domaines clés au développement des nanotechnologies », a déclaré Alexandre Lagarde, vice-président, Investissements étrangers chez Montréal International.

« Investissement Québec International est heureux de voir NS Nanotech s’implanter à Montréal et s’associer à l’Université McGill dans leurs projets de recherche pour développer des technologies nanoLED plus performantes ayant des applications potentielles concrètes dans une variété de domaines. L’implantation de Nanotech démontre l’attractivité du Québec dans le domaine des technologies des semi-conducteurs et nos équipes sont fières d’avoir accompagné l’entreprise dans leurs démarches d’implantation. » – Hubert Bolduc, président d’Investissement Québec International

Une question de taille : des nanoDEL submicroniques (beaucoup) plus petites qu’une mèche de cheveux humains

Les recherches en laboratoire ont permis à NS Nanotech de créer des échantillons de DEL de taille submicronique, considérablement plus petits que celles que l’on connaît aujourd’hui. Un micromètre est un millionième de mètre ou un soixante-dixième de la largeur d’une mèche de cheveux humains.

Les DEL classiques ont une taille supérieure à 200 micromètres, et les « mini-DEL » d’aujourd’hui ont généralement une taille comprise entre 100 et 200 micromètres. Les nouvelles « micro-DEL » sont plus petites que 100 micromètres, alors que les nanoDELs de NS Nanotech sont plus petites qu’un micromètre. On compte parmi les applications potentielles des nanoDELs les lunettes de réalité augmentée intégrant des micro-écrans de couleur ainsi que des écrans de grande taille. Les nanoDEL peuvent également être réglées pour émettre une lumière invisible dans une gamme de longueurs d’ondes ultraviolettes très courtes qui permet d’éliminer les virus SRAS-CoV-2 et de nombreux autres agents pathogènes en toute sécurité.

« Puisque les DEL plus petites sont associées à des coûts plus faibles et une plus haute résolution, la production commerciale des premières DEL à l’échelle nanométrique aura un impact important », explique M. Coe-Sullivan. « Le fait d’établir à Montréal une équipe de R-D composée d’experts en la matière pouvant collaborer avec des chercheurs de classe mondiale de l’Université McGill permettra d’accélérer le développement et la commercialisation des nanoDEL dans les années à venir. »

À propos de NS Nanotech

Fondée en 2017 à Ann Arbor, au Michigan, NS Nanotech, Inc. a constitué NS Nanotech Canada en novembre 2022. Les chercheurs principaux de NS Nanotech Canada collaboreront avec les scientifiques de l’Université McGill pour accélérer les recherches en cours de l’entreprise sur les nanoDEL. Au Michigan, NS Nanotech dispose d’une installation de production de prototypes pour développer des semi-conducteurs à base de nitrures d’éléments III pour les applications de désinfection par UVC. Elle détient également des licences exclusives sur un portefeuille supplémentaire de brevets nanoDEL détenus par l’Université du Michigan et collabore avec les chercheurs de cette université pour le développement de ses technologies nanoDEL.

 

https://www.montrealinternational.com/fr/actualites/ns-nanotech-annonce-louverture-dun-centre-de-recherche-canadien-a-montreal/

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