Aller au contenu

Économie de Montréal


Normand Hamel

Messages recommendés

il y a 33 minutes, ToxiK a dit :

Ce n'est pas encore fait...  Reste aussi â voir combien ça coûtera dans le ROC.

 

Plusieurs provinces ont fait des ententes dont l'ontario. 

Et selon ce que je comprend ca sera 10$ par jour.

https://www.pm.gc.ca/fr/nouvelles/communiques/2022/03/28/services-de-garde-denfants-10-jour-les-familles-de-lontario#:~:text=Dans le cadre de cette,le Budget 2021%2C pour un

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 11 heures, mtlurb a dit :

Il peut ben se péter les bretelles Legault, mais nous sommes quand même l'avant dernière province au Canada....

Quand on regarde la liste, le Québec est 10ème (ex-aequo) sur 13. Mais effectivement y'a pas de quoi se péter les bretelles.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Administrateur
il y a 30 minutes, KOOL a dit :

Quand on regarde la liste, le Québec est 10ème (ex-aequo) sur 13. Mais effectivement y'a pas de quoi se péter les bretelles.

Je ne compte pas les territoires qui sont des anomalies en terme statistique et économique.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

12 hours ago, Rocco said:

⬆️ Yukon et Territoires du N-O? Wtf

Wages are higher there as a way to incentivize people to work there. One of my buddies got a job offer there, starting $130,000 a year, vs Québec where the same job was $55,000.

  • D'accord 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Administrateur
Le 2019-11-13 à 08:26, acpnc a dit :

Le Québec construira des dirigeables

Investissement Québec a convaincu la société française Flying Whales de s'installer dans la Belle Province.

Le dirigeable de Flying Whales est développé dans le cadre du projet LCA60T.

Photo : Image fournie par Flying Whales

Radio-Canada

7 h 00 | Mis à jour à 7 h 45

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1387949/partenariat-flying-whales-investissement-quebec-annonce-fitzgibbon

Une usine de « baleines volantes » verra le jour dans le Grand Montréal.

Le ministre québécois de l'Économie, Pierre Fitzgibbon, confirmera à 8 h ce matin un investissement de 30 millions de dollars dans le capital-actions de l'entreprise française Flying Whales et de sa filiale québécoise – les dirigeables Flying Whales Québec – par le biais d'Investissement Québec.

Il annoncera aussi l'implantation d'une usine de production au Québec, qui aura l'exclusivité du marché américain.

Selon nos informations, l'usine en question sera établie dans le Grand Montréal, probablement à Mirabel. Elle devrait s'accompagner de la création d'une centaine d'emplois bien rémunérés au cours des quatre prochaines années, prévoit le gouvernement du Québec.

Concrètement, Investissement injectera 22 M$ dans Flying Whales et 8 M$ dans sa nouvelle filiale québécoise. La part du capital de l'entreprise qui sera ainsi contrôlée par Québec n'a pas été précisée.

Le projet de Flying Whales – évalué pour l'instant à environ 265 M$ – vise à développer, concevoir, industrialiser, commercialiser et exploiter les activités de ballons dirigeables développés dans le cadre du programme LCA60T.

Ces « baleines volantes » seront destinées au transport de charges lourdes et surdimensionnées en territoires éloignés, dépourvus de routes et d'autres infrastructures de transport, comme le Nord québécois.

Cet appareil d'une capacité de 60 tonnes pourra être construit à faible coût, promet Flying Whales, qui ajoute que son empreinte environnementale sera très faible.

Le ministre de l'Économie, Pierre Fitzgibbon (à gauche), et le premier ministre, François Legault (à droite).

Photo : Radio-Canada / Charles Contant

L'entente de principe entre le gouvernement Legault et la société française avait été annoncée en juin dernier au Salon aéronautique du Bourget.

Depuis, le ministre Fitzgibbon a dû se défendre sa décision d'investir 30 M$ dans le projet, notamment parce que Flying Whales compte parmi ses actionnaires Avic General, une compagnie chinoise visée par des soupçons d'espionnage industriel aux États-Unis.

Le mois dernier, il avait notamment affirmé que les Chinois n'auront pas d'implication ici au Québec, minimisant au passage les risques entourant, par exemple, le vol de brevets.

Le communiqué qui sera publié ce matin précisera en outre que le partenariat d’affaires entre Québec et Flying Whales mènera à la réalisation, dès 2020, d’un volet de recherche et développementdont la propriété intellectuelle demeurera au sein de la filiale québécoise.

Flying Whales prévoit pour l'instant construire des dirigeables LCA60T en Chine, en France et au Québec. Fondée en 2012, l'entreprise est basée en Nouvelle-Aquitaine, dans le sud-ouest de l'Hexagone.

Avec les informations de Mathieu Dion

Une usine de dirigeables dans le Grand Montréal pour Flying Whales

https://media2.ledevoir.com/images_galerie/nwd_1545086_1196259/image.jpg
Image Flying Whales  Esquisse du LCA60T, le dirigeable de la société française Flying Whales. 

Le projet de Flying Whales d’ouvrir une usine au Québec pour fabriquer des dirigeables géants avance. L’entreprise française hésite entre des sites situés dans la grande région de Montréal. Son objectif est toujours de produire un premier dirigeable au Québec en 2027.

Dans «la grande région de Montréal», Flying Whales inclut le Centre-du-Québec, la Mauricie et l'Estrie, des régions toutes à moins d'une heure et demie de route de la métropole.

Après plusieurs mois d’accalmie, les choses semblent débloquer pour Flying Whales. L’entreprise a annoncé début septembre avoir signé un partenariat stratégique avec l’État de Victoria, en Australie, pour la construction de ce qui deviendra sa troisième usine, après celle prévue en Gironde, en France, et celle au Québec.

En partie québécois

Malgré cette annonce, l’actionnariat de Flying Whales demeure partagé entre la France et le Québec. Des 40 millions d’euros (55 millions de dollars canadiens) investis dans ce projet par Investissement Québec à l’été 2022, 25 millions d’euros (35 millions de dollars canadiens) sont allés dans le capital-actions de la société française. Cela se traduit par une propriété québécoise à hauteur de 25 % de l’entreprise. Le reste appartient à des intérêts français. L’autre partie de la somme consentie par Investissement Québec est allée à la création de la filiale québécoise de Flying Whales.

25 %

C’est le pourcentage de la propriété québécoise de l’entreprise Flying Whales, qui est partagée avec la France.

Dans la foulée du bannissement par plusieurs pays occidentaux de l’équipementier de télécommunications chinois Huawei, Flying Whales a passé une bonne partie des derniers mois à remplacer des investisseurs chinois qui étaient perçus négativement par des partenaires commerciaux potentiels et certains investisseurs. L’annonce d’une usine en Australie boucle en quelque sorte ce chapitre dans la courte histoire de cette entreprise encore toute jeune.

La prochaine étape sera de confirmer dans quelle municipalité sera érigée son usine québécoise. Flying Whales dit avoir réduit de quinze à cinq le nombre de sites potentiels. Ils sont regroupés dans deux municipalités régionales de comté (MRC) du Grand Montréal. La volonté des élus régionaux de s’impliquer dans le projet et la disponibilité de la main-d’oeuvre — Flying Whales compte embaucher 300 personnes — détermineront le choix final.

Entre-temps, la recherche de partenaires locaux va bon train, explique en entrevue au Devoir le p.-d.g. de Flying Whales, Sébastien Bougon. « Certains sont situés au Québec, comme Pratt&Whitney Canada, Thales et Honeywell, entre autres », dit-il.

Du lourd

Flying Whales propose d’établir quelque 160 bases dans le monde d’où ses dirigeables géants pourront assurer le transport de gens ou de marchandises vers des destinations où il serait plus difficile ou plus coûteux de le faire autrement. Ils seront partagés à peu près également entre trois régions : l’Asie-Pacifique, l’Europe et l’Afrique, et les Amériques.

Chaque aéronef devrait mesurer 200 mètres de long. L’espace de chargement fera 96 mètres de long sur 7 mètres de large et 8 mètres de haut. À titre indicatif, un conteneur industriel pour transporter des marchandises mesure généralement 12 m x 2,5 m x 2,5 m. Un dirigeable de Flying Whales pourrait donc, sur papier, transporter l’équivalent d’une quarantaine de ces conteneurs.

Le grand patron de Flying Whales espère pouvoir transporter un tel volume de marchandises à un coût compétitif par rapport à d’autres moyens de transport, là où l’infrastructure traditionnelle n’est pas facilement accessible.

« On pourrait transporter des pales d’éoliennes, qui sont très difficiles à déplacer sur les routes, jusqu’à des endroits loin des grands centres, illustre Sébastien Bougon. En Australie, le gouvernement veut déployer 10 000 km de lignes d’électricité à haute tension. C’est une quantité importante d’équipement à acheminer vers des régions où les routes ne sont pas nombreuses. »

On pourrait transporter des pales d’éoliennes [...] jusqu’à des endroits loin des grands centres

— Sébastien Bougon

Au Québec aussi, le transport d’équipement énergétique vers des régions éloignées est un vecteur prometteur. Flying Whales envisage aussi de créer une espèce d’hôpital volant qui desservira à tour de rôle différents villages du Grand Nord canadien. Un tel dispositif mobile pourrait rapidement être remballé et transféré d’un village à l’autre, par la voie des airs.

Du transport propre… un jour

Il reste encore à Flying Whales à faire approuver ses dirigeables par les autorités gouvernementales. Déjà, l’entreprise espère gagner des points grâce à une combinaison de technologies qui, dit-elle, rendra son moyen de transport beaucoup moins polluant que d’autres.

D’abord, l’énorme ballon qui soutiendra la gondole de ses dirigeables sera gonflé à l’hélium. Chacun de ces dirigeables sera ensuite propulsé par 32 hélices animées chacune par son propre moteur électrique. Pour alimenter ces moteurs, dans un monde idéal, Flying Whales se rabattrait sur des piles à hydrogène. De l’hydrogène vert, produit par l’électrolyse de l’eau à l’aide d’énergie renouvelable.

Sauf que cette technologie tarde à voir le jour, si bien que les premiers dirigeables de Flying Whales devront recourir à des turbines génératrices alimentées par du kérosène ou du carburant synthétique comme celui développé à Montréal par le consortium SAP.

« On va commencer par utiliser des technologies que l’on connaît, indique Sébastien Bougon. J’ai quand même bon espoir qu’on finira par utiliser de l’hydrogène. Tous les motoristes de la planète travaillent à faire cette transition. Ils finiront par y arriver. »

  • Like 2
  • Thanks 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Administrateur

Record de voyageurs d’outre-mer à Montréal cet été

https://media1.ledevoir.com/images_galerie/nwd_1550183_1200199/image.jpg
Julien Cadena Le Devoir  Tourisme Montréal met de plus en plus l’accent sur la durabilité de l’industrie touristique, notamment en encourageant les visiteurs à prendre leur temps, à rester plus longtemps au même endroit, à consommer des produits locaux et à utiliser les transports en commun ou actifs. 

Il n’y a jamais eu autant de voyageurs d’outre-mer à Montréal que l’été dernier, selon le bilan de fin de saison de Tourisme Montréal publié aujourd’hui. Ces derniers, surtout des Français et d’autres Européens, étaient 15 % plus nombreux que lors de la saison estivale 2019.

Globalement, 11 millions de touristes ont découvert la métropole québécoise, ce qui équivaut aux niveaux prépandémiques.

« Selon nos prévisions, on ne pensait pas que ça irait aussi bien pour Montréal, surtout avec le contexte d’inflation », a lancé Manuela Goya, vice-présidente au développement de la destination et aux affaires publiques pour Tourisme Montréal.

« Les gens aiment voyager un peu plus loin, a-t-elle poursuivi. Aussi, il y a de plus en plus de voyages mixtes. Ce sont des congressistes qui viennent passer plus de temps en jumelant les affaires avec les congés de loisirs. »

L’ajout de vols directs entre Montréal et diverses villes du monde favorise l’afflux de voyageurs d’outre-mer, estime Mme Goya. Elle précise toutefois qu’il y a « beaucoup de choses à mettre au point avec l’aéroport ». Ce dernier a été hautement critiqué durant l’été, notamment pour la formation de files de voitures et l’attente aux douanes. « On ne veut surtout pas qu’une fois les touristes ici, ils regrettent leur choix », a affirmé la porte-parole.

Une goutte d’eau dans l’océan

En outre, il semble que les efforts déployés par l’organisme pour compenser l’empreinte carbone de tous ces visiteurs n’aient pas porté leurs fruits. Depuis l’été 2022, un outil sur le site Internet de Tourisme Montréal permet aux utilisateurs de calculer les émissions de GES associées à leur voyage. Il leur est ensuite suggéré de faire un don, proportionnel à ce total, au projet Carbone boréal pour la plantation d’arbres. Or, Mme Goya admet que le volume d’utilisateurs est faible.

« C’est en deçà de nos attentes », a-t-elle avoué. Pourtant, le site Web est de plus en plus consulté, attirant huit millions de visiteurs, comparativement à six millions en 2022. La porte-parole estime que l’organisme devra faire la promotion de son calculateur de façon plus active et intelligente, notamment au sein des hôtels partenaires.

Tourisme Montréal met de plus en plus l’accent sur la durabilité de l’industrie touristique, notamment en encourageant les visiteurs à prendre leur temps, à rester plus longtemps au même endroit, à consommer des produits locaux et à utiliser le transport en commun ou actif.

Les hôtels de l’île ont pour leur part affiché un taux d’occupation de 80 %, contre 85 % en 2019.

Pour 2024, une liste d’événements majeurs est déjà annoncée, dont le congrès de l’Union internationale de patinage et la Coupe des présidents chez les golfeurs.

 

https://www.ledevoir.com/economie/800263/tourisme-record-voyageurs-outre-mer-montreal-cet-ete?

  • Thanks 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Administrateur

French investment manager Ardian opens first Canadian office to tap sustainable investments

French private equity company Ardian SAS is opening its first office in Canada to tap what it says is fertile ground for sustainable investments in renewable energy and other sectors.

The Paris-based firm, which counts about US$9.3-billion from Canadian clients out of US$156-billion in total assets under management, is setting up shop in Montreal with a dozen employees to start. The team will be led by Frédérick Castonguay, a finance specialist who previously worked at Blue Bridge Wealth Management and Rio Tinto RTPPF.

The company sees a chance to build on existing partnerships with Canadian pension funds, endowments and other investors. It says having a team on the ground in Canada will boost opportunities for socially responsible investing, adding to Ardian’s existing Canadian holdings such as Maple Leaf – a battery storage joint venture in Ontario with energy supplier Enel X.

“We have a big ambition to grow our footprint,” Mark Benedetti, a member of Ardian’s executive committee and co-head of its U.S. business, said in an interview. “I really feel like it’s just the beginning. I think we can do a lot here.”

The private investment house will take a broad view when weighing how to spend fund money in Canada, Mr. Benedetti said. Still, there will be some clear focus areas, such as renewable energy.

“That could be wind, that could be solar, that could be hydrogen. That could be part of the hydrogen value chain,” he said. “So it’s not just in the creation of the energy itself but also all the different players that contribute to that.”

The Canadian government announced $80-billion in tax credits and investments in its spring budget aimed at promoting clean energy and sustainable infrastructure projects over the next decade. Observers have said they represent an unprecedented industrial policy leap by Canadian standards, even if they are dwarfed in many sectors by new American spending widely expected to surpass Washington’s projection of US$370-billion over a similar period.

Ardian’s investments span private equity, infrastructure, real estate and credit. Montreal will be its third office in North America after New York and San Francisco.

On Thursday, it will announce what it calls a “pioneering private equity investment platform” dedicated to the semi-conductor industry, largely focused on European companies. The sector is hugely strategic for the global economy, with semi-conductor components found in a plethora of consumer and commercial products, from cars to computers.

In addition to Maple Leaf, Ardian’s corporate investments in Canada include Syntax, a Montreal-based IT services company, and Montreal-based New Look Vision, Canada’s biggest eyewear retailer. Clients in Canada include pension giant Caisse de dépôt et placement du Québec, the City of Montreal, University of Montreal, the Fondation Chagnon and Investment Management Corp. of Ontario.

The Caisse was an early backer of Ardian, when it was the private equity arm of French insurer Axa. Among the first commitments Ardian received from a third-party investor was from the pension fund manager, around 1997. French businesswoman Dominique Senequier led an employee buyout of Axa Private Equity in 2013 and created Ardian.

That relationship with the Caisse led to other local investors for Ardian, and it’s a key part of the reason Ardian set up in Montreal, Mr. Benedetti said. “We owe them a lot,” he said of the Caisse. “It was important to be there with them, alongside them and interacting with them locally with our office here.”

https://www.theglobeandmail.com/business/article-tk-embargo-french-investment-manager-ardian-opens-first-canadian/

  • Thanks 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Administrateur

Montreal’s Logistec agrees to $1.2B acquisition deal

October 16 at 11:40 AM

The marine-services provider said New York-based private equity firm Blue Wolf Capital will pay $67 per share in the deal, which is subject to closing conditions. The company has been controlled by the Paquin family since Roger Paquin founded it in 1940. (The Logic)

Talking point: Blue Wolf will keep Logistec’s head office in Quebec as part of the deal, which is expected to close in the first quarter next year. It is the latest in a series of U.S.-based acquisitions of Quebec firms. Last month, Boston-based Haemonetics said it was buying Quebec City-based OpSens, a fibre-optic cardiology device maker, in a deal valued at roughly $345 million. Also in October, New York-based Ember said it was acquiring H2O Innovation, a Quebec City-based water solutions provider, in a deal that valued the company at $395 million.

https://thelogic.co/briefing/montreals-logistec-agrees-to-1-2b-acquisition-deal/

  • Thanks 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.




×
×
  • Créer...