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Économie de Montréal


Normand Hamel

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Google Canada confirme des pertes d’emploi

Stéphane Rolland La Presse Canadienne 

Mis à jour hier à 14h16
 

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PHOTO MARCIO JOSE SANCHEZ, ASSOCIATED PRESS

Google confirme que les employés touchés par les mises à pied ont reçu l’annonce lundi. L’entreprise n’a pas voulu donner plus de détails sur le nombre d’employés touchés.

(Montréal) Le couperet est finalement tombé chez Google Canada, plus de deux semaines après que le géant du web a annoncé qu’il abolirait 12 000 postes à travers le monde. 

 

Des employés de l’entreprise ont annoncé sur les réseaux sociaux qu’ils avaient perdu leur emploi. D’autres ont pris la parole pour offrir leur soutien à des collègues mis à pied ou pour annoncer qu’ils conservaient leurs postes. Des employés ont parlé « d’un jour sombre » pour Google Canada. 

Google confirme que les employés touchés par les mises à pied ont reçu l’annonce lundi. L’entreprise n’a pas voulu donner plus de détails sur le nombre d’employés touchés. Google assure que « le Canada demeure un important marché prioritaire pour Google », a dit un porte-parole de l’entreprise. 

En janvier, Google avait annoncé qu’elle abolirait 12 000 postes à travers le monde. L’annonce de la maison-mère en Californie avait créé de l’anxiété dans les bureaux de l’entreprise à Montréal, Toronto, Kitchener et Edmonton. Dans une note de service, la multinationale avait souligné que l’annonce des mises à pied prendrait plus de temps dans les bureaux internationaux de l’entreprise. 

L’attente a représenté « un énorme deuil » et une source de « tristesse » pour Franco Amalfi, directeur stratégique du développement durable pour le secteur public mondial de Google Cloud, à Montréal. « Je fais partie d’une équipe exceptionnelle dirigée par l’une des meilleures gestionnaires, maintenant je ne sais plus si j’ai un rôle chez Google à l’avenir », a-t-il écrit sur LinkedIn. 

Avant l’annonce de lundi, les employés ont appris qu’Alphabet, la maison-mère de Google, fermait son centre de recherche sur l’intelligence artificielle de DeepMind Technologies à Edmonton. Alphabet avait acheté l’entreprise britannique DeepMind en 2014. 

L’annonce survient dans un contexte de refroidissement du marché de l’emploi dans le secteur des technologies. D’autres géants du web comme Amazon et Facebook ont annoncé récemment une vague de mises à pied. Des entreprises canadiennes comme Lightspeed et Shopify ont aussi aboli des postes dans les derniers mois. 

En novembre, Google Canada avait dévoilé en grande pompe ses nouveaux bureaux à Montréal. Les bureaux avaient été conçus de manière à accueillir un plus grand nombre d’employés, soit jusqu’à 1000 personnes tandis que la société californienne employait plus de 300 personnes dans la métropole, avant l’annonce de lundi. Il n’a pas été possible de connaître le nombre de personnes qui ont perdu leur emploi à Montréal. 

L’expertise de l’équipe montréalaise de Google se situe principalement du côté de la cybersécurité, de l’intelligence artificielle et de l’infonuagique. Une importante partie des mesures de cybersécurité entourant le navigateur Chrome est faite à Montréal.

 

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2023-02-06/google-canada-confirme-des-pertes-d-emploi.php

 

Update: 12 emplois perdus à Montréal

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  • 2 semaines plus tard...
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Montréal: l’emploi a atteint un nouveau sommet en janvier

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Malgré la menace d’une possible récession anticipée par de nombreux économistes, le marché du travail se porte bien dans la métropole. Un nouveau sommet en matières d’emplois a d’ailleurs été atteint au mois de janvier dernier. 

D’après les données de Statistique Canada, on dénombrait 1 147 200 personnes en emploi sur le territoire de l’agglomération de Montréal. Il s’agit d’une hausse 1,0 % par rapport au mois de décembre 2022 et d’une hausse de 1,7 % par rapport au mois de janvier 2022.

Une tendance similaire s’observe à l’échelle provinciale. Au Québec, en janvier 2023, 4 511 600 personnes étaient en emploi, soit une augmentation de 1,1 %, par rapport au mois précédent. Le taux de chômage s’établissait pour sa part à 3,9 %. Il s’agit du taux le plus faible enregistré au pays. 

À l’échelle canadienne, l’emploi a bondi de 0,8 % en janvier, et le taux de chômage s’est maintenu à 5,0 %.

«La croissance de l’emploi a été principalement attribuable aux personnes âgées de 25 à 54 ans (+100 000; +0,8 %), et les hausses se sont réparties en parts égales entre les femmes et les hommes de ce groupe. L’emploi a aussi augmenté chez les personnes âgées de 55 ans et plus (+43 000, +1,0 %), tandis qu’il a peu varié chez les jeunes âgés de 15 à 24 ans», détaille Statistique Canada. 

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https://journalmetro.com/actualites/montreal/3010647/montreal-lemploi-a-atteint-un-nouveau-sommet-en-janvier/

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il y a 16 minutes, mtlurb a dit :

Montréal: l’emploi a atteint un nouveau sommet en janvier

hiver-Montreal.jpg?resize=1051%2C591 Photo: iStock

Malgré la menace d’une possible récession anticipée par de nombreux économistes, le marché du travail se porte bien dans la métropole. Un nouveau sommet en matières d’emplois a d’ailleurs été atteint au mois de janvier dernier. 

D’après les données de Statistique Canada, on dénombrait 1 147 200 personnes en emploi sur le territoire de l’agglomération de Montréal. Il s’agit d’une hausse 1,0 % par rapport au mois de décembre 2022 et d’une hausse de 1,7 % par rapport au mois de janvier 2022.

Une tendance similaire s’observe à l’échelle provinciale. Au Québec, en janvier 2023, 4 511 600 personnes étaient en emploi, soit une augmentation de 1,1 %, par rapport au mois précédent. Le taux de chômage s’établissait pour sa part à 3,9 %. Il s’agit du taux le plus faible enregistré au pays. 

À l’échelle canadienne, l’emploi a bondi de 0,8 % en janvier, et le taux de chômage s’est maintenu à 5,0 %.

«La croissance de l’emploi a été principalement attribuable aux personnes âgées de 25 à 54 ans (+100 000; +0,8 %), et les hausses se sont réparties en parts égales entre les femmes et les hommes de ce groupe. L’emploi a aussi augmenté chez les personnes âgées de 55 ans et plus (+43 000, +1,0 %), tandis qu’il a peu varié chez les jeunes âgés de 15 à 24 ans», détaille Statistique Canada. 

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Ce qui nous éloigne un peu d'une récession, j'espère.

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il y a 41 minutes, mtlurb a dit :

Un nouveau sommet en matières d’emplois a d’ailleurs été atteint au mois de janvier dernier.

Ces statistiques ont commencé à être compilées seulement en 1976 et on ne peut donc pas remonter avant. Cependant je ne crois pas que dans l'histoire de Montréal nous ayons eu un tel taux d'emploi avant. Bref, c'est sans précédent. Espérons que d'autres grands projets comme ceux que nous avons connus ces dix dernières années seront réalisés dans les prochaines années. Cependant je ne m'attends à rien de l'ampleur de Turcot ou Champlain. Par contre le REM devrait nous tenir occupés pour des décennies à venir. Quoique on a vu ce qui est arrivé avec le métro de Montréal: de nombreux projets ont été reportés sur une très longue période. Espérons que ce ne sera pas le cas pour le REM. J'ai bon espoir car le contexte politique s'est beaucoup amélioré depuis et Montréal semble vouloir poursuivre sur sa lancée. Si toutefois Armand Guindon (voir photo ci-jointe) devait nous rendre visite à nouveau j'espère qu'il ne s'attardera pas trop comme il l'a fait dans les années 80. 😛

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Couche-Tard acquiert l’américaine True Blue Car Wash

 

Alimentation Couche-Tard annonçait hier une entente exécutoire visant l’acquisition de True Blue Car Wash, une société américaine exploitant 65 lave-autos en tunnel express sous les bannières Clean Freak et Rainstorm, implantées respectivement dans le sud-ouest et le Midwest américain.

La transaction dont la valeur n’a pas été rendue publique devrait se conclure au cours du premier semestre 2023, sous réserve des approbations réglementaires et des conditions de clôture habituelles, déclare la multinationale lavalloise par voie de communiqué.

Opportunités intéressantes

«L’ajout des sites de lave-autos de haute qualité de True Blue à notre famille présente des opportunités intéressantes de promotion croisée et de fidélisation et d’engagement pour les clients et notre équipe», d’affirmer le président et chef de la direction de Couche-Tard, Brian Hannasch. Incidemment, 85 % des sites opérés par True Blue logent dans un rayon de 5 kilomètres d’un dépanneur Circle K, propriété de Couche-Tard, fait-on valoir.

Joueur majeur

«Nous sommes impressionnés par la forte croissance réalisée par True Blue au cours des dernières années, comme en témoigne une croissance d’environ 45 % du nombre total de voitures lavées entre l’exercice 2018 et l’exercice 2021», indique pour sa part Claude Tessier, chef de la direction financière de ce géant du commerce de l’accommodation et de la vente de carburant.  En nombre absolu, c’est plus de 10 millions de lavages qui ont été effectués au cours de la dernière année seulement.

Avec environ 170 000 membres abonnés au fast-pass, représentant plus de la moitié de son chiffre d’affaires total, True Blue s’est démarquée «dans une industrie très fragmentée et en croissance, dont plus de 60 % est composé d’opérateurs autonomes possédant un à deux emplacements de lavage de voiture», poursuit Couche-Tard, qui exploite déjà un réseau de 2500 lave-autos.

Chef de la direction de True Blue qui demeure en poste, Stuart Crum trépigne d’enthousiasme.

«Je suis convaincu qu’ensemble, nous bâtirons une entreprise de lave-autos express de classe mondiale tout comme Couche-Tard l’a fait au cours des 40 dernières années dans [l’industrie du] dépanneur», mentionne-t-il.

Fondée en 2016, True Blue, qui est déjà implantée dans des zones fortement achalandées des États de l’Arizona, du Texas, de l’Illinois et de l’Indiana, dispose également d’un «solide pipeline de futurs nouveaux sites industriels», ne manque pas de souligner Couche-Tard.

https://courrierlaval.com/couche-tard-acquiert-americaine-true-blue/

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Olymel ferme ses usines de Laval et Blainville

1 février 2023
 

La direction d’Olymel annonce la fermeture de deux de ses établissements du secteur de la surtransformation de porc, soit son usine de la rue Berlier, à Laval, ainsi que celle de Blainville.

«Cette décision s’inscrit dans le cadre d’une réorganisation entreprise en 2021 qui vise à optimiser les opérations. La date de cessation des opérations a été fixée au 28 avril», indique notamment Olymel dans son communiqué.

Cette décision entraînera la suppression d’un total de 170 emplois.

L’ensemble des employés des deux établissements, ainsi que le syndicat des Travailleurs unis de l’alimentation et du commerce (TUAC 1991P) représentant les travailleurs de l’usine de Blainville, ont été informés de cette décision le mercredi 1er février.

Ils ont reçu un préavis de licenciement de 12 semaines conformément aux dispositions de la Loi sur les normes du travail du Québec.

L’entreprise soutient offrir la possibilité d’une relocalisation dans d’autres établissements d’Olymel et qu’un plan à cet effet sera présenté au cours des prochaines semaines.

Un Comité de reclassement sera également mis sur pied pour accompagner les employés qui souhaiteraient réorienter leur carrière.

«La décision de fermer les usines de Blainville et de Laval dans le secteur du porc surtransformé s’inscrit dans le cadre de la réorganisation entreprise il y a plus d’un an et s’explique par la capacité de plusieurs autres usines à rapatrier la production de ces deux établissements dans le but de réaliser des économies et des gains d’efficience. Je sais qu’il s’agit d’une décision difficile pour les employés touchés mais je tiens à leur réitérer notre ferme intention de relocaliser ceux qui le souhaitent au sein des divers autres établissements d’Olymel. J’estime toutefois que l’annonce d’aujourd’hui devrait nous permettre d’atteindre plus rapidement nos objectifs d’optimisation des opérations dans le contexte d’une conjoncture économique défavorable où la hausse des coûts des matières premières, la pénurie de main-d’œuvre et la faiblesse de certains marchés se conjuguent pour affecter la rentabilité de l’entreprise», d’affirmer le président-directeur général d’Olymel, Yanick Gervais, dans la même communication aux médias.

Les usines de Laval et Blainville affichent respectivement des effectifs de 36 et 134 employés.

Ces deux établissements sont spécialisés dans la production de jambons, pâtés et charcuteries commercialisés sous diverses marques.

«La plupart de ces marques seront maintenues et les volumes de production seront répartis dans d’autres établissements d’Olymel, principalement dans les usines de surtransformation de porc», précise l’entreprise dans son communiqué, avant d’ajouter que le «sort des immeubles abritant les deux établissements fera ultérieurement l’objet d’une évaluation d’ici la fermeture définitive le 28 avril.» (B.L.)

https://courrierlaval.com/olymel-usines-porc-laval-blainville-berlier/

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Biodextris investit 25 M$ dans la Cité de la biotech

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L’organisation de recherche contractuelle (ORC) Biodextris investit 25 M$ dans un nouveau centre de développement et de fabrication de vaccins et produits biologiques.

Trop à l’étroit dans les locaux qui l’ont vu naître au centre multilocataires du 525, boulevard Cartier, l’entreprise fondée en 2015 déménagera ses installations dans les anciens bureaux administratifs que la pharma britannique GlaxoSmithKline (GSK) occupait au cœur même de la Cité de la biotechnologie, plus précisément au 245, boulevard Armand-Frappier.

L’emplacement se trouve à quelques centaines de mètres de l’usine de production de vaccins à ARN messager que le géant américain Moderna mettait en chantier il y a 3 mois au coût de 180 M$.

Usine de haut niveau

Laissé vacant depuis quelques années, cet immeuble de 30 000 pieds carrés fait présentement l’objet d’importants travaux de réaménagement en fonction des besoins de Biodextris.

D’ici la fin de l’été, le bâtiment abritera une toute nouvelle usine vouée au développement, à la fabrication et au conditionnement de vaccins et de produits biologiques à l’échelle industrielle.

Le sous-traitant pharmaceutique lavallois y exploitera, entre autres, un nouveau centre de biofabrication, des laboratoires pour le développement de bioprocédés et des laboratoires analytiques pour le développement, la validation de méthodes et le contrôle de la qualité des produits fabriqués.

Autant d’équipements de pointe pour «accompagner» les entreprises «durant les phases initiales de développement, les essais cliniques et jusqu’à la fabrication commerciale du produit», précise le directeur général, Alain Carrier, dans un communiqué le 13 février.

Création d’emploi

Dans la foulée de cette expansion, Biodextris prévoit dans un horizon de trois ans embaucher une quinzaine de collaborateurs hautement spécialisés, dont la moitié à très court terme mentionne le directeur au développement des affaires, Cédric Héroux, lors d’un entretien téléphonique.
Pour l’heure, l’entreprise met au travail 36 personnes dont «les principaux membres» de l’équipe scientifique ont œuvré pendant près de 20 ans au sein d’entreprises spécialisées dans le développement et la fabrication de vaccins, souligne-t-on.

Incidemment, Biodextris est une startup qui avait été créée par des chercheurs de GlaxoSmithKline après que le géant britannique eut annoncé la fermeture de son centre de recherche sur les vaccins à Laval.

Depuis 2021, l’entreprise lavalloise est une filiale de Clean Biologics SAS, une société française soutenue par le fonds d’investissement Archimed.

Financement

Cet investissement privé de 25 M$ n’aurait été rendu possible sans la participation financière des gouvernements supérieurs.

Ainsi, Québec a consenti un prêt de 4 M$ dans le cadre du programme ESSOR, dont la gestion est confiée à Investissement Québec (IQ). Bras financier du gouvernement provincial, IQ a également accordé un prêt à hauteur de 1,4 M$ à même ses fonds propres.

«Notre soutien, à travers l’initiative Productivité innovation, leur permettra d’acquérir de nouveaux équipements à la fine pointe de la technologie, ce qui contribuera à renforcer l’expertise du Québec dans la fabrication de vaccins», a déclaré Guy LeBlanc, président-directeur général d’Investissement Québec.

Aux yeux du ministre délégué à l’Économie et ministre responsable de la région de Laval, Christopher Skeete, ce projet «réaffirme la position de la Cité de la biotech en tant que leader du secteur des sciences de la vie» et favorise «le développement et l’attraction de nouveaux talents dans la région».

Du côté d’Ottawa, une contribution remboursable d’un million de dollars a été versée en vertu du programme Croissance économique régionale par l’innovation (CERI) de l’agence de Développement économique Canada (DEC) pour les régions du Québec. Cette aide servira à l’achat et l’installation d’équipements de biologie, de biophysique et de chimie médicale, lesquels permettront à Biodextris d’augmenter sa compétitivité et de poursuivre son expansion.

https://courrierlaval.com/biodextris-investit-25-m-cite-de-la-biotech/

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Investissements étrangers à Montréal

Les signes de ralentissement se font ressentir

Les signaux de ralentissement économique ont eu un effet sur la valeur des investissements directs et étrangers dans le Grand Montréal l’an dernier : elle s’est contractée de 5,8 %, à 3,58 milliards, selon le bilan présenté lundi par Montréal International (MI). L’organisme dit avoir accompagné 102 projets en 2022 – un record. 

Ce bilan a été présenté en conférence de presse en présence de représentants des trois ordres de gouvernement : le ministre fédéral du Patrimoine canadien et lieutenant québécois du gouvernement Trudeau Pablo Rodriguez et le ministre de l’Économie et de l’Énergie Pierre Fitzgibbon. 

La mairesse de Montréal et présidente de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) Valérie Plante, la mairesse de Longueuil Catherine Fournier et le maire de Laval Stéphane Boyer étaient également présents. 

MI calcule qu’environ 8300 emplois au salaire moyen annuel de plus de 88 000 $ ont été créés. Le secteur des sciences de la vie a récolté 12 projets d’une valeur de 685 millions. L’implantation de l’usine de vaccins de la multinationale Moderna à Laval constitue le fait saillant dans cette catégorie. 

Par ailleurs, 21 projets, d’une valeur de 755 millions, ont élu domicile à l’extérieur de l’île de Montréal. Selon MI, plus de 50 % des investissements directs et étrangers ont émané des Amériques l’an dernier. Le reste provient essentiellement de la France, la Suisse, le reste de l’Europe ainsi que le Moyen-Orient.

https://www.lapresse.ca/affaires/economie/2023-02-20/investissements-etrangers-a-montreal/les-signes-de-ralentissement-se-font-ressentir.php

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How Montréal’s unique agtech community is boosting local food production

In Association with Montreal International 

Greater Montréal is leveraging its expertise in agricultural technology and artificial intelligence to help reduce greenhouse gas emissions and rethink how we will grow our food in the future. 

montreal-veg-fields_1849908733.jpg Innovative agtech is helping to reduce carbon emissions from food production in Montréal. (Photo by PatrickLauzon photographe via Shutterstock)

Québec’s northern climate has historically been a challenge for the local agri-food sector as crops could only grow for half of the year. Yet, in recent times, the industry has made giant strides in greenhouse production to the extent that the province now produces C$200m ($148.53m) worth of fruit, vegetables and leafy greens annually. Fresh produce includes cucumbers, eggplants, lettuces, peppers, raspberries, strawberries, tomatoes and more, according to official government data.

Greater Montréal is at the forefront of this type of controlled-environment agriculture with key players such as large-scale tomato producer Savoura, and rooftop farming pioneer Lufa Farms, while Canadian vertical farming leader GoodLeaf Farms recently opened a 100,000ft2 indoor microgreen farm in the region.

Such food production is gaining momentum with consumers who are increasingly aware of the issues related to food imports. Governments are also on board, with Québec on a mission to reduce its greenhouse gas (GHG) emissions by 37.5% by 2030 compared with 1990s levels and become carbon neutral by 2050. Achieving this target will require substantial efforts in many sectors of the economy, including transport, construction and agri-food.

Alongside such goals as the optimisation of nitrogenous fertilisation, the reduction of methane emissions from livestock and energy efficiency at the farm, the government aims to increase the local food production capacity. This would offer the double advantage of reducing GHG emissions linked to the transport of foodstuffs while increasing the province’s food autonomy.

The rapid growth of agtech in Montréal

Québec is also leveraging innovation and recent technologies to make its agriculture greener and more sustainable – and the province has many assets to achieve success. As a leader in Canada’s organic agriculture sector with 50% of the national production, the province is also one of the country’s main agtech hubs with over 220 organisations.

Furthermore, Greater Montréal is the epicentre of this thriving community dedicated to the development and marketing of innovative technologies in agriculture, from precision agriculture to vertical farming, smart farming, agrobiotechnology, automation, new agricultural techniques and more.

The region is home to an important innovation campus in agtech with more than 250 members and partners including 13 universities and research centres. With more than C$400m in funding, the Zone Agtech based in L’Assomption in Greater Montréal supports the development and deployment of technologies and companies that can help reduce the environmental footprint of the agri-food sector. Other areas of focus include promoting the need to adapt to climate change, and increasing bio-food security and self-reliance. Set in an area covering some 15km2, the zone provides access to an innovative business environment, greenhouses and experimental plots, demonstration areas, consulting services and incubation spaces, as well as laboratories. 

“The land where the Zone Agtech is located used to be a manufacturing plant,” recalls Alexandre Lagarde, vice-president of foreign investments at Montréal International. “When it became vacant, the community, along with various government partnerships, looked at sustainable uses of the space and came up with the Zone Agtech. This transformation shows how Greater Montréal’s economy is moving forward with sustainability as a priority.” 

Montréal’s agtech sector also benefits from extensive incentives, venture capital funds, and the city’s strong information technology and artificial intelligence (AI) ecosystems. 

“The city’s expertise in AI is a real plus as it helps propel several high-value industries forward, agtech being one of them,” says Lagarde. “The presence of Mila, a world-renowned AI hub with more than 1,100 researchers, and IVADO, a unique centre of excellence in AI with more than 150 partners and 1,400 scientists working together with key industry players to foster responsible AI technology, makes the city the perfect place to develop solutions for the environmental challenges we are facing, such as climate change.”

Currently, some 130 agtech businesses in the province have started integrating AI into their operations, such as Montréal-based Sollum. The company’s “sun-as-a-service” AI-powered platform allows greenhouse growers to programme light fixtures that replicate the full spectrum of the sun’s natural rays, with this technology reducing electricity consumption by up to 40%. In addition, Montréal’s ChrysaLabs has developed a solution that uses state-of-the-art photonics and AI technology to measure soil nutrients in real time, providing farmers and agronomists with fast, laboratory-grade data that can be used as needed to better manage soil health and fertility. 

And with many government initiatives geared at fostering innovation to help lower the province’s GHG emissions, Greater Montréal’s agtech sector is successfully helping to build tomorrow’s agriculture.

https://www.investmentmonitor.ai/sponsored/agtech-montreal-boosting-local-food-production/

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Plateforme de transbordement de Ray-Mont Logistiques « Continuez », dit Valérie Plante aux opposants

PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE

Le terrain de Ray-Mont Logistiques, près de la rue Notre-Dame et du Port de Montréal, aux abords du secteur Viauville de Mercier–Hochelaga-Maisonneuve.

La mairesse de Montréal a encouragé les opposants au projet de plateforme de transbordement de Ray-Mont Logistiques, dans Hochelaga-Maisonneuve, à continuer à faire pression sur leurs élus.

Publié à 19h52

PHILIPPE TEISCEIRA-LESSARDLA PRESSE

Le projet industriel – un immense site où les conteneurs en provenance ou à destination du Port de Montréal seraient transférés entre camions et trains – cause l’inquiétude dans le quartier, où l’on craint le bruit excessif, ainsi que la circulation accrue de poids lourds.

Lundi, des résidents du secteur ont participé au conseil municipal de Montréal afin de faire entendre leur mécontentement.

« Vous êtes très mobilisés depuis le jour 1 et vous avez raison. On est très sensibles à la question, notamment parce qu’on sait que dans l’est de Montréal on questionne la qualité de l’air, la quantité d’espace vert, les infrastructures en transport », leur a répondu Valérie Plante, ajoutant que « vos préoccupations, je les porte ».

Mme Plante et son équipe se sont opposées à l’implantation du projet de Ray-Mont Logistiques, mais la justice a donné raison à l’entreprise : le terrain – une ancienne aciérie – peut être développé en projet industriel. Ray-Mont poursuit maintenant la Ville pour un tiers de milliard de dollars à cause du retard infligé à la construction.

« Continuez à faire ce que vous faites bien : poussez chez nous, poussez au provincial, poussez vos élus fédéraux, a continué Mme Plante à l’endroit des citoyens. Et comptez sur nous, comptez sur moi : on va continuer à aller chercher tout ce qu’on peut aller chercher pour bonifier et trouver des aménagements qui vont être pertinents. »

 

https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/2023-02-20/plateforme-de-transbordement-de-ray-mont-logistiques/vos-preoccupations-je-les-porte-dit-valerie-plante-aux-opposants.php

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