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Métro de Montréal - Discussion générale


Chuck-A

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Il y a 10 heures, Rocco a dit :

 

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Sur cette carte, la station "Du Ruisseau" s'appelle "Monkland" ? Ça porterait hautement à confusion avec NDG, un peu comme LaSalle à Verdun...

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Du Ruisseau has only been there since 1995 after the line was renovated. Before that, Monkland station was at O’Brien, in the former wartime housing neighbourhood of Monkland. The proposed (yes, for 60+ years) Line 2 extension would have intersected with Line 3 at Monkland, not Val Royal.

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"Oeuvre d'art" en stucco dans le nouvel édicule de la station Mont-Royal. Non, ce n'était pas un concours de création pour les enfants de 4 à 8 ans. Il ne faudrait pas les insulter quand même.

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Même si elle n’est pas documentée, la violence existe bel et bien dans le métro

 
station-metro-de-leglise-stm02.jpg?resizLa station de métro De L'Église. / Josie Desmarais/ArchivesMétro Photo: Josie Desmarais

Difficile de connaitre l’ampleur de la violence dans le transport en commun à Montréal. La Société de transport de Montréal (STM) ne possède pas de données à ce sujet. Elle a dirigé Métro vers le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), qui a ensuite suggéré au journal de questionner le Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP). Et ce dernier nous laisse bredouilles.

«Il nous est impossible d’extraire des données relatives à ces circonstances précises, puisqu’il ne s’agit pas d’une infraction spécifique inscrite au Code criminel, mais bien de l’endroit où l’infraction a été commise», répond la porte-parole adjointe du DPCP, Me Patricia Johnson.

Or, la violence demeure bel et bien présente dans le métro. Osman. S* l’a appris à ses dépens le 30 janvier, alors qu’il sortait d’un wagon de la station Saint-Laurent vers 21h 30. «J’ai reçu un coup de poing au niveau de mon œil gauche qui m’a jeté par terre, raconte la victime. Je suis resté inconscient pendant quelques minutes.»

Après avoir repris ses esprits, la victime, d’origine haïtienne, est allée demander de l’aide au commis à la vente de billets. Mais l’agresseur l’a suivi. «Pendant que j’expliquais cela au commis, l’agresseur est revenu menaçant en disant : tu veux un autre, tu veux un autre? », explique-t-il en entrevue avec Métro.

Et c’est là que l’employé de la STM a appelé la police, ce qui a fait fuir l’homme. Osman a passé plusieurs heures à l’hôpital, de 10h du soir à 4h du matin. L’agression lui laisse des séquelles physiques, mais aussi psychologiques jusqu’à maintenant.

Quand je prends le transport en commun, j’ai toujours l’impression qu’il y a quelqu’un qui va venir me frapper.

Osman. S., victime d’agression de la part de Georges Test

Un homme, onze agressions

À la suite de la déposition de Osman S. et l’identification formelle de son agresseur à la police, des accusations ont été portées par le Directeur des poursuites criminelles et pénales contre Georges Test, un homme caucasien.

Ce dernier qui a commis, selon le DPCP, pas moins de 11 agressions dans le Métro entre le 25 janvier et le 6 février dernier, avant qu’il ne soit finalement arrêté. Il est actuellement détenu. «S’il reste détenu, cela voudrait dire qu’il représente un danger pour le public», estime Fo Niémi du Centre de recherche-action sur les relations raciales (CRARR). Il aide la victime dans ses démarches judiciaires devant la Cour supérieure.

«De tels incidents sont heureusement rares et le métro de Montréal est sécuritaire », assure toutefois le relationniste de la STM Philippe Déry.

«Nous comprenons néanmoins qu’il s’agit d’une expérience éprouvante pour cette personne et nous espérons que la personne se porte bien et qu’elle n’hésitera pas à continuer à utiliser nos services pour se déplacer», ajoute M. Déry

La COVID en cause

Ce dernier tente de relativiser la situation en faisant remarquer que l’on constate «les mêmes phénomènes et les mêmes enjeux dans nos réseaux que dans les autres espaces publics.» La COVID aurait amené son lot de violence et de situations de toutes sortes aussi selon la STM.

 «La pandémie a notamment eu pour effet d’exacerber certains phénomènes sociaux complexes tels que l’itinérance, la toxicomanie ou la santé mentale et on constate l’évolution du profil des personnes qui transitent dans nos stations de métro», note M. Déry.

La société se dit «consciente et sensible aux préoccupations exprimées par nos employés et clients face à cette situation » et prône une cohabitation harmonieuse. À cet effet, la STM dit travailler actuellement à la mise en place d’un plan d’action conjoint STM et le SPVM afin d’assurer des actions proactives qui vont permettre d’assurer un équilibre social dans le réseau du métro entre les différentes clientèles d’ici la fin de la période hivernale.

 Plusieurs actions de renforcement sont déjà en cours selon les autorités. Au total, 150 constables spéciaux, patrouillent les réseaux de bus et de métro de la STM et en plus des boutons d’urgence 911 dans les autobus, le métro compte plus de 2000 caméras.

* Un nom fictif a été utilisé pour protéger l’identité de la victime

 

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Continuez à tolérer n'importe quoi et n'importe qui dans le métro.... Ça va juste aller en amplifiant. Il n'y a plus aucune rigueur à la STM. Nada. Niet. Quand tu élèves des enfants, tu leur laisses-tu faire tout ce qu'ils veulent? Pourquoi en société faudrait-il tout tolérer?? 

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Il y a 16 heures, TurboLed a dit :

Notre métro est devenu une porte d'entrée affreuse pour nos touristes qui arrivent au centre-ville en transport en commun. 

Ouin et avec la diminution des coûts et des services pour pallier à la diminution des revenus au cours des dernières années, c'est tous ce qui entoure la sécurité qui est la première à être coupé ... C'est simple, les gouvernements doivent investir massivement dans le transport collectif.

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lapresse.ca
 

Métro de Montréal | Une vingtaine de trains Azur à l’arrêt pour « usure prématurée »

Henri Ouellette-Vézina

Une vingtaine des 71 trains Azur de la Société de transport de Montréal (STM) sont actuellement à l’arrêt en raison d’une « usure prématurée » du roulement des roues, a appris La Presse. Cette pause forcée ne nuit pas au service pour le moment, mais le transporteur ne peut assurer qu’aucun impact ne sera ressenti à plus long terme.

« On a déjà des plans de mitigation prêts si jamais on avait un impact sur le service. Cela dit, actuellement, on a une marge de manœuvre. Non seulement on a gardé des trains MR-73 [les anciens modèles] de plus, mais l’achalandage demeure aussi à environ 70 % alors qu’on livre le même volume de service. Je ne peux toutefois pas vous dire que le risque zéro n’existe pas », avoue la directrice générale de la société, Marie-Claude Léonard, en entrevue avec La Presse.

Son groupe dit s’être aperçu dès 2019 d’une « anomalie » sur le matériel de roulement des trains – l’équivalent de ce qu’on appelle souvent un bearing pour les voitures –, c’est-à-dire la pièce fixant la roue au véhicule et lui permettant de tourner. Essentiellement, un défaut de construction permet au courant électrique de passer à travers les roulements, créant par la suite des arcs qui les détruisent.

Les ingénieurs de la STM avaient d’abord trouvé à l’époque une « solution temporaire » en retirant les tresses de masse protégeant les câbles électriques, afin d’éviter d’user prématurément les pièces.

À l’automne 2022, une solution « permanente » et plus durable a finalement été implantée pour corriger le problème. Il s’agit d’installer sur chacun des moyeux – la partie centrale de la roue du train – un ensemble de couronnes conductrices qui redirigent le courant électrique ailleurs que sur le matériel de roulement, par exemple vers le rail qui récupère le courant par la suite. C’est la multinationale française Alstom qui a mis en place ce dispositif.

Ils devront tous y passer

Selon nos informations, tous les trains Azur sont touchés par cette « anomalie » sur le matériel roulant. Ils devront donc à terme passer par cette remise à niveau, en commençant par la vingtaine de rames qui viennent d’être mises hors service. « En fonction du protocole, on va retirer les trains et en mettre d’autres en fonction. On va toujours rester à environ une vingtaine de trains », affirme Mme Léonard.

« Actuellement, on sort un peu plus de trains qu’on en remet en fonction », avoue toutefois la DG, qui veut « doubler la cadence » de remplacement des moyeux dans les prochaines semaines, afin d’éviter toute coupe de services.

À l’heure actuelle, on est sur une cadence de remplacement de 30 moyeux par semaine. Il y en a environ 72 sur un train. On veut atteindre les 60 par semaine.

Marie-Claude Léonard, directrice générale de la STM

Pour l’instant, la STM n’est pas encore en mesure de déterminer combien lui coûtera la remise à niveau des moyeux sous ses trains Azur. Le tout serait « en analyse ». La société compte 71 de ces trains, surtout en service sur les lignes orange et verte, ainsi que 40 trains MR-63, qu’on voit surtout sur les lignes bleue et jaune.

Le service et les défis de l’approvisionnement

À ce jour, la situation ne cause « aucun impact sur le service » rendu dans le métro, assure Marie-Claude Léonard. « On suit cette problématique-là au quotidien, on est très rigoureux. S’il devait y avoir des impacts sur le service, on informerait nos clients au moins deux semaines à l’avance », insiste-t-elle.

Se disant optimiste à court terme, la directrice générale avoue tout de même que rien n’est garanti. « Je ne peux pas vous dire jamais », convient-elle au sujet d’une possible baisse de services, dans l’éventualité où les problèmes mécaniques persisteraient.

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PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE

Train Azur sur la ligne orange

L’autre enjeu, ce sont les chaînes d’approvisionnement, qui ont pour la plupart été fortement perturbées en pleine pandémie de COVID-19. Selon nos informations, certaines pièces de remplacement pour les trains ne sont pas encore disponibles.

« Les pièces requises, on les a, assure toutefois Marie-Claude Léonard. En même temps, tout le monde connaît l’enjeu d’approvisionnement mondial. La bonne nouvelle, c’est qu’on a sécurisé un bon nombre de pièces, ce qui nous dit qu’on devrait être en mesure de doubler la cadence de remplacement », réitère-t-elle.

Pas une première

Ce n’est pas la première fois que des problèmes mécaniques sont repérés sur des trains Azur. Début 2017, la STM avait été forcée de retirer de son réseau plusieurs trains après que des frotteurs, pièces d’équipement situées sous la caisse des voitures qui servent à assurer l’alimentation électrique, eurent été endommagés sur huit rames de voitures Azur et une rame de voitures MR-73.

À l’époque, cet évènement majeur avait provoqué une interruption complète de service pendant 10 heures sur une partie de la ligne orange du métro, frustrant les usagers et les élus municipaux. Des dommages avaient notamment été causés par les frotteurs déficients aux équipements de signalisation de la station Du Collège.

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il y a 45 minutes, acpnc a dit :
lapresse.ca
 

Métro de Montréal | Une vingtaine de trains Azur à l’arrêt pour « usure prématurée »

Henri Ouellette-Vézina

Une vingtaine des 71 trains Azur de la Société de transport de Montréal (STM) sont actuellement à l’arrêt en raison d’une « usure prématurée » du roulement des roues, a appris La Presse. Cette pause forcée ne nuit pas au service pour le moment, mais le transporteur ne peut assurer qu’aucun impact ne sera ressenti à plus long terme.

« On a déjà des plans de mitigation prêts si jamais on avait un impact sur le service. Cela dit, actuellement, on a une marge de manœuvre. Non seulement on a gardé des trains MR-73 [les anciens modèles] de plus, mais l’achalandage demeure aussi à environ 70 % alors qu’on livre le même volume de service. Je ne peux toutefois pas vous dire que le risque zéro n’existe pas », avoue la directrice générale de la société, Marie-Claude Léonard, en entrevue avec La Presse.

Son groupe dit s’être aperçu dès 2019 d’une « anomalie » sur le matériel de roulement des trains – l’équivalent de ce qu’on appelle souvent un bearing pour les voitures –, c’est-à-dire la pièce fixant la roue au véhicule et lui permettant de tourner. Essentiellement, un défaut de construction permet au courant électrique de passer à travers les roulements, créant par la suite des arcs qui les détruisent.

Les ingénieurs de la STM avaient d’abord trouvé à l’époque une « solution temporaire » en retirant les tresses de masse protégeant les câbles électriques, afin d’éviter d’user prématurément les pièces.

À l’automne 2022, une solution « permanente » et plus durable a finalement été implantée pour corriger le problème. Il s’agit d’installer sur chacun des moyeux – la partie centrale de la roue du train – un ensemble de couronnes conductrices qui redirigent le courant électrique ailleurs que sur le matériel de roulement, par exemple vers le rail qui récupère le courant par la suite. C’est la multinationale française Alstom qui a mis en place ce dispositif.

Ils devront tous y passer

Selon nos informations, tous les trains Azur sont touchés par cette « anomalie » sur le matériel roulant. Ils devront donc à terme passer par cette remise à niveau, en commençant par la vingtaine de rames qui viennent d’être mises hors service. « En fonction du protocole, on va retirer les trains et en mettre d’autres en fonction. On va toujours rester à environ une vingtaine de trains », affirme Mme Léonard.

« Actuellement, on sort un peu plus de trains qu’on en remet en fonction », avoue toutefois la DG, qui veut « doubler la cadence » de remplacement des moyeux dans les prochaines semaines, afin d’éviter toute coupe de services.

À l’heure actuelle, on est sur une cadence de remplacement de 30 moyeux par semaine. Il y en a environ 72 sur un train. On veut atteindre les 60 par semaine.

Marie-Claude Léonard, directrice générale de la STM

Pour l’instant, la STM n’est pas encore en mesure de déterminer combien lui coûtera la remise à niveau des moyeux sous ses trains Azur. Le tout serait « en analyse ». La société compte 71 de ces trains, surtout en service sur les lignes orange et verte, ainsi que 40 trains MR-63, qu’on voit surtout sur les lignes bleue et jaune.

Le service et les défis de l’approvisionnement

À ce jour, la situation ne cause « aucun impact sur le service » rendu dans le métro, assure Marie-Claude Léonard. « On suit cette problématique-là au quotidien, on est très rigoureux. S’il devait y avoir des impacts sur le service, on informerait nos clients au moins deux semaines à l’avance », insiste-t-elle.

Se disant optimiste à court terme, la directrice générale avoue tout de même que rien n’est garanti. « Je ne peux pas vous dire jamais », convient-elle au sujet d’une possible baisse de services, dans l’éventualité où les problèmes mécaniques persisteraient.

37a9b8e625b134b8a53e9ed4f2a37561.jpg

PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE

Train Azur sur la ligne orange

L’autre enjeu, ce sont les chaînes d’approvisionnement, qui ont pour la plupart été fortement perturbées en pleine pandémie de COVID-19. Selon nos informations, certaines pièces de remplacement pour les trains ne sont pas encore disponibles.

« Les pièces requises, on les a, assure toutefois Marie-Claude Léonard. En même temps, tout le monde connaît l’enjeu d’approvisionnement mondial. La bonne nouvelle, c’est qu’on a sécurisé un bon nombre de pièces, ce qui nous dit qu’on devrait être en mesure de doubler la cadence de remplacement », réitère-t-elle.

Pas une première

Ce n’est pas la première fois que des problèmes mécaniques sont repérés sur des trains Azur. Début 2017, la STM avait été forcée de retirer de son réseau plusieurs trains après que des frotteurs, pièces d’équipement situées sous la caisse des voitures qui servent à assurer l’alimentation électrique, eurent été endommagés sur huit rames de voitures Azur et une rame de voitures MR-73.

À l’époque, cet évènement majeur avait provoqué une interruption complète de service pendant 10 heures sur une partie de la ligne orange du métro, frustrant les usagers et les élus municipaux. Des dommages avaient notamment été causés par les frotteurs déficients aux équipements de signalisation de la station Du Collège.

J'aime mieux en rire jaune qu'en pleurer, tellement que tout ce qui touche le métro et la STM est désespérant. Pas du tout surpris.

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