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Solargise - Une usine et 1000 emplois sur le golf d'Anjou?


acpnc

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il y a 38 minutes, ToxiK a dit :

Pas vraiment.  Les futurs travailleurs ne pourront pas se rendre au travail en transport en commun aussi facilement qui si l'usine est à Anjou.  De plus, les gens qui vivent dans l'Est ne profiteront pas de ce nouveau bassin d'emplois, ni des emplois secondaires qui en découleront.  Il y a encore plusieurs terrains de disponibles où on pourrait faire un parc dan l'Est (et le parc prévu sera tout de même présent, juste un peu plus petit).  Finalement, les retombées pour le Québec risquent d'être moindre si le projet est à Valleyfield puisqu'un bon nombre de travailleurs (probablement les mieux payés) pourraient vivre (et payer leurs impôts) en Ontario, ce qui serait plus difficile si l'usine est à Anjou.

Je savais bien qu'un jour on partagerait la même opinion sur un sujet ?

Ce qui fait la différence avec ce projet c'est son extrême rareté par l'importance de l'investissement et le nombre d'emplois très rémunérateurs créés. En prime il donnera un positionnement intéressant pour Montréal dans une industrie de pointe à valeur environnementale ajoutée.

Il n'y a ici que du bon et une occasion inespérée d'ouvrir de nouveaux horizons à notre économie. On parle ici d'un secteur d'avenir qui ne peut que nous aider à renforcer cette grappe industrielle beaucoup moins vulnérable aux hauts et aux bas de l'économie mondiale. 

Finalement c'est sur l'ile de Montréal que l'impact de ce projet aurait le plus d'effets positifs quand on analyse le grand tableau. On n'a donc pas d'hésitation à avoir, il faut favoriser l'implantation de Solargise dans les meilleurs délais et dans des conditions gagnant-gagnant pour tout le monde.

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Une chose est sure. On fait des pieds et des mains pour attirer des entreprises et des investissements. Nos dirigeants politiques vont dans tous les endroits possibles pour courtiser les entreprises partout sur la planète.

En ce moment, nous avons une entreprise qui cogne a la porte avec un cheque de $2.3 milliards et on se demande quoi faire pour sauver un parc... C'est du non sens. Ce n'est absolument pas sérieux. Les deux dossiers n'ont pas a être mis en lien. Solargise a des implications et un potentiel économique beaucoup plus large qu'un parc... Tous les débats que l'on voit se produire pour un parc ou pour autres choses ne devraient même pas avoir lieu. Une équipe compétente et consciente de l'importance économique et sociale de ce projet aurait fait tout ses devoirs a huit clos, de manière pragmatique, concrète et rapide. En ce moment, l'équipe Plante laisse trainer le dossier et ne prend pas de décision. 

Un poisson saute dans ton filet... Tout ce que tu as a faire c'Est le sortir de l'eau et a la place tu attends qu'il s'en aille… Quelqu'un peut m'expliquer ce qui se passe avec ces gens???

Regardez ce qu'on a élu!!!! Bon sens. Tout ce débat ne devrait même pas avoir eu lieu. Imaginez le mauvais signal envoyé… 

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Est-ce qu'on est surpris ? Honnêtement.

Guillaume Lavoie aurait jamais laissé filer ca ...mais ca l'air qu'il était trop à droite au goût de Projet Montréal.

 

Même Coderre aurait fait des pieds et des mains..

 

 

 

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il y a 15 minutes, Habsfan a dit :

Je m'excuse, mais si ce projet se fait à Valleyfield, quelqu'un d'important à la Mairie de Montréal devrait perdre sa job. (la mairesse ne devrait pas être exclue de ce "quelqu'un"). Si la ville a échappé la balle sur ce projet, je considère que c'est bien pire que ce que Coderre a fait avec la course de Formule Électrique. Nous parlons d'un investissement de 2.3 FVCKING milliards de dollars. Sans parler du fait que l'est de Montréal va perdre des bonnes jobs. Ces jobs ne seront pas des jobs à 13$ de l'heure, mais bien des jobs de 50,000-60,000$ par année. Je ne savais pas que Montréal était si riche qu'elle pouvait se permettre de cracher sur autant de bons emplois!?

Est ce que qq'un pourrait m'expliquer c'est quoi l'idée de crisser un parc à cet endroit? Quel imbécile va vouloir aller là? Le parc sera presque complètement enclavé.

- à l'ouest: Le parc industriel d'Anjou

- à l'est: Centre de Recylage, raffinerie de pétrole et zone industrielle.

- au Nord: Le boulevard Henri-Bourassa et des chemins de fer

-au Sud: Lafarge, ainsi que les secteurs résidentiels d'Anjou. Mais ils seront séparé du parc par l'autoroute 40.

Who the fvck will want to go to the park!?!?!

Ne mettons pas la charrue avant les boeufs. Les doutes sur le projet ont été soulevés par le maire de Ville d'Anjou qui alarme tout le monde avec ses propres suppositions. Le projet de parc a été pensé et préparé avant l'arrivée soudaine de ce projet colossale. Pas étonnant que le projet bouscule la planification du secteur.

D'un côté la Ville doit s'assurer d'avoir un plan B si jamais Solargise changeait d'idée pour une raison d'affaires. L'important étant que tant que l'intérêt de l'entreprise est manifesté, la Ville doit collaborer au maximum pour faciliter l'investissement. C'est un devoir de toute administration municipale comme du gouvernement de créer des conditions favorables au développement économique. Ici c'est tout simplement du bonbon, un cadeau qui n'arrive qu'une fois par siècle et sur lequel on doit s'appuyer pour l'avenir de la métropole.

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J'ai l'impression que Valleyfield avait de meilleurs atouts à offrir....(autoroute 30 pas de congestion, port de Valleyfield, pas de contreverse avec le terrain sur lequel il batiront.) de toute façon, Valleyfield c'est la banlieue de Montreal....

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Solargise : Valérie Plante accuse Luis Miranda de faire du « sabotage »

Publié aujourd'hui à 13 h 07 Mis à jour à 16 h 52
Montage présentant M. Miranda et Mme Plante.
Luis Miranda croit que Solargise ne veut plus s'installer chez lui et que c'est la faute de Valérie Plante et de son équipe. Photo : Radio-Canada
 

La mairesse de Montréal, Valérie Plante, reproche ses sorties publiques au maire d'Anjou, Luis Miranda, au sujet des négociations avec l'entreprise indo-britannique Solargise, les qualifiant de « sabotage ». M. Miranda est persuadé que l'entreprise n'installera pas son usine de panneaux solaires dans l'arrondissement qu'il dirige et que c'est la faute de l'administration Plante.

« Les discussions sont toujours en cours, il n’y a rien d’arrêté », a assuré Mme Plante en entrevue à Radio-Canada.

« Je suis très mal à l’aise avec les propos du maire d’Anjou, alors qu’il n’est pas au courant de l’entièreté des informations », a-t-elle ajouté. « Je trouve ça très dommageable. »

Je pense qu’il a vraiment raté une belle occasion de se taire. Je vais même aller plus loin : ses propos, qui sont très paternalistes, qui sont faux, qui sont négatifs, pour moi, c’est du sabotage. Ça nuit au processus de négociation qui est toujours en cours.

Valérie Plante, mairesse de Montréal

M. Miranda dit tenir des propriétaires du Club de golf Métropolitain Anjou, dont le terrain faisait l’objet de négociations avec Solargise, la confirmation que celles-ci avaient pris fin.

Les propriétaires du golf ont reçu un courriel de Solargise, samedi, leur confirmant [qu'elle] mettait fin au projet à Anjou.

Luis Miranda, maire de l’arrondissement d’Anjou

Il tient Valérie Plante et son entourage responsables de cette situation.

« De l'amateurisme, de l'improvisation, du gros n'importe quoi » : ainsi a-t-il résumé leur contribution au dossier, selon La Presse.

M. Miranda croit que l’entreprise a décidé de s’installer à Salaberry-de-Valleyfield, dont les élus se sont réunis la semaine dernière pour deux séances extraordinaires. Un seul sujet était alors à l’ordre du jour, disponible sur le site web de la municipalité : la vente éventuelle à Solargise de terrains d'une valeur de 8 millions de dollars.

« Normalement, quand le conseil fait une séance spéciale, c’est du sérieux », a souligné M. Miranda.

Toutefois, le maire de Salaberry-de-Valleyfield, Miguel Tremblay, a indiqué en entrevue que les négociations sont toujours en cours et que les terrains n'ont pas encore été vendus : « Il a été question de certains terrains que la Ville de Salaberry-de-Valleyfield serait disposée à vendre à l’entreprise Solargise. »

Nous, on a fait notre bout de chemin : nous avons offert des terrains qui, on l’estime, répondraient aux exigences et aux besoins de l’entreprise.

Miguel Tremblay, maire de Salaberry-de-Valleyfield

« Maintenant, c’est l’entreprise qui va décider si elle donne suite ou non à notre offre », a-t-il ajouté. Aucun délai n'a été fixé en vue d'une réponse.

Le projet, évalué à 2,3 milliards de dollars, pourrait permettre la création de quelque 1000 emplois directs, selon l’entreprise.

Vue panoramique du terrain de golf.
Le Club de golf Métropolitain Anjou, qui pourrait être annexé au parc-nature du Bois-d'Anjou.  Photo : Conseil régional de l’environnement de Montréal/E. Langlois

L’administration de Valérie Plante souhaite annexer le golf d'Anjou au parc-nature du Bois d’Anjou, une idée à laquelle Luis Miranda s'oppose farouchement, car le terrain est au coeur d'une zone industrielle.

La Chambre de commerce de l’Est de Montréal (CCEM) et la Ville de Montréal soutiennent malgré tout que Solargise n’a pas complètement écarté la possibilité de s’établir à Anjou.

Mme Plante a noté qu'il n'est pas nécessaire d'opposer développement durable et développement économique, et a laissé entendre que d'autres options sont sur la table.

Elle a dit ne pas pouvoir donner de détails sur les « solutions » qui ont été proposées à Solargise, précisant qu'elles sont « très intéressantes » et qu'elles permettraient à l'entreprise de venir s'installer à Montréal.

L'opposition officielle à l'Hôtel de Ville avait pour sa part déjà dénoncé le peu d'enthousiasme de l'administration Plante à l'égard du projet de Solargise.

« Depuis le début, on a vu le manque d’intérêt de la mairesse sur cet enjeu », a réitéré mercredi Lionel Perez, chef d'Ensemble Montréal.

Si quelqu’un a fait du sabotage, c’est bien la mairesse. Elle a refusé de rencontrer le promoteur pendant des semaines. C’est seulement suite à notre sortie et à une lettre des acteurs économiques qu'elle a finalement commencé à négocier.

Lionel Perez, chef d'Ensemble Montréal

Les représentants de la Ville et de l'entreprise se sont rencontrés à la fin juillet et se sont engagés à travailler ensemble.

Avec des informations de Julie Marceau et de Diana Gonzalez

 
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A date ce que l'on constate c'est que les mauvaises nouvelles sont colportées par des personnes de l'opposition et on n'a rien vu ou lu de concret sur les véritables intentions de la Ville. C'est bien beau de dénoncer, mais on n'a pas d'autres choix que d'attendre l'issu finale des négociations avec l'administration municipale montréalaise, avant de conclure à une décision définitive de Solargise.

C'est sûr qu'en politique on ne se fait pas de cadeau, mais jouer le jeu de la confusion et de la désinformation est un  jeu dangereux qui peut miner la confiance de l'investisseur. Logiquement parlant, PM et Valérie Plante ont bien trop à perdre pour ne pas agir en professionnels, surtout qu'une opportunité pareille ne reviendra pas de sitôt. 

Personnellement je crois qu'aucune administration municipale ne peut se payer le luxe de se mettre à dos le milieu des affaires, le gouvernement provincial et la population, qui ont tous des attentes très élevées en matière économique, sans en payer chèrement le cout au prochaine élection. 

Donc pour le moment on doit faire confiance à la mairesse et à son équipe pour livrer la marchandise dans cet important dossier d'affaires. VP a un devoir de résultat et ne peut pas se permettre de perdre cette bataille qui prendra valeur de symbole et entacherait sa formation durablement.

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2 hours ago, Né entre les rapides said:

Un site à Anjou et un site à Valleyfield,  ce n'est pas équivalent en termes d'accès à un bassin de main-d'oeuvre qualifiée. En toute logique, ça devrait être un facteur de localisation important.

je suis d'accord, mais ils ont accès aux bassins de population de Vaudreuil-Dorion, Chateauguay, Saint Lazarre et même la pointe ouest du West-Island.

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