Normand Hamel Posté(e) 17 octobre 2018 Partager Posté(e) 17 octobre 2018 il y a 45 minutes, vincethewipet a dit : Samsung sera aussi de la partie: Cela avait déjà été annoncé il y a un an environ (voir capture d'écran ci-jointe). Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Normand Hamel Posté(e) 23 octobre 2018 Partager Posté(e) 23 octobre 2018 il y a 14 minutes, LindbergMTL a dit : je vois que cet article a deja été publié ici, comment l'effacer? Clique sur Options en bas de ton post et tu verras apparaître l'option Masquer. Tu n'auras alors qu'à donner une raison, comme "duplicata" par exemple, et elle disparaîtra. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LindbergMTL Posté(e) 23 octobre 2018 Auteur Partager Posté(e) 23 octobre 2018 il y a 56 minutes, Normand Hamel a dit : Clique sur Options en bas de ton post et tu verras apparaître l'option Masquer. Tu n'auras alors qu'à donner une raison, comme "duplicata" par exemple, et elle disparaîtra. Merci Normand. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Normand Hamel Posté(e) 25 octobre 2018 Partager Posté(e) 25 octobre 2018 2 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MtlMan Posté(e) 25 octobre 2018 Partager Posté(e) 25 octobre 2018 Lol, tu ne dors pas la nuit, toi? Anyway, merci! 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Né entre les rapides Posté(e) 26 octobre 2018 Partager Posté(e) 26 octobre 2018 Citation d'un extrait: «It is curious to see how Samsung and other companies have chosen to go the the far north of the world...» Félix Leclerc chantait «Fermons le détroit de Belle-Isle. On gèle à Rimouski...» ce à quoi j'ajouterais quelque chose comme «Et vous verrez bien qu'à Montréal on n'est pas dans le grand nord, mais au beau milieu de l'espace entre l'équateur et le pôle nord». C'est un rêve que j'avais eu dans l'enfance, et grande fut ma joie de découvrir plus tard que d'autres, dont Félix Leclerc en personne, y avaient déjà songé. Mais nos copains d'outre-Atlantique, y compris le nord de la France dont Paris et toute la Grande-Bretagne, trouveraient ça moins drôle; ce sont eux les «vrais» nordiques.* ? En tout cas, si on a effectivement un climat nordique en hiver, on a parfois un climat semi-tropical en été, humidité comprise. Alors, si vous êtes de l'étranger et que vous venez travailler à Montéal, apportez un manteau bien chaud avec tuque et mitaines, mais n'oubliez pas votre maillot de bain non plus! * Explication: les eaux glacées qui pénètrent dans le Golfe du Saint-Laurent par le détroit de Belle-Isle seraient repoussées vers l'est dans l'Atlantique, repoussant le Gulf Stream, un courant marin qui réchauffe «artificiellement» le nord-ouest de l'Europe. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. acpnc Posté(e) 31 octobre 2018 C’est un message populaire. Partager Posté(e) 31 octobre 2018 Publié le 31 octobre 2018 à 06h11 | Mis à jour à 06h11 https://www.lapresse.ca/affaires/economie/quebec/201810/31/01-5202367-intelligence-artificielle-un-fonds-de-la-silicon-valley-samene-a-montreal.php Intelligence artificielle: un fonds de la Silicon Valley s'amène à Montréal D'ici janvier, ce sera chose faite : Good AI Capital deviendra le premier fonds de capital de risque issu de la Silicon Valley à s'installer officiellement dans la métropole. Jean-Sébastien Gagnon La Presse Le capital de risque californien s'intéresse depuis longtemps aux entreprises en démarrage du Québec, mais aucune firme de la Silicon Valley ne s'était engagée dans l'écosystème montréalais jusqu'ici au point d'y ouvrir un bureau. D'ici janvier, ce sera chose faite : Good AI Capital deviendra le premier fonds de capital de risque issu de la Silicon Valley à s'installer officiellement dans la métropole. « Ça semble surréaliste que nous soyons les premiers », dit Milad Alucozai, partenaire fondateur de Good AI Capital. « Beaucoup de firmes de la Bay Area investissent ici, mais elles n'ont jamais pris la peine d'établir une vraie relation avec l'écosystème local », ajoute son coassocié Darwin Ling. La firme, dont le siège social se trouve à San Francisco, se spécialise dans l'investissement dans des entreprises d'intelligence artificielle à un stade précoce, notamment dans les secteurs de la santé, de la technologie financière et des logiciels d'entreprise. Dotée de 40 millions US en capital, elle a été l'une des premières à miser sur SoFi, un service de prêt en ligne maintenant valorisé à 4,3 milliards US. « Ouvrir un bureau ici, c'est une façon pour nous d'avoir les "deux mains dedans". En plus de notre argent, nous voulons investir notre temps et nos contacts pour aider les entreprises locales à connaître du succès. » - Darwin Ling, cofondateur de Good AI Capital CHOIX ÉTHIQUE Après avoir songé à ouvrir un second bureau aux États-Unis, en Europe et à Hong Kong, la firme dit avoir arrêté son choix sur Montréal en raison de l'intérêt de la communauté de chercheurs en intelligence artificielle pour les enjeux éthiques liés au développement de cette technologie. « Notre devise, c'est "bien faire en faisant le bien", dit Darwin Ling. Nous nous soucions du rendement de nos investissements, bien entendu, mais aussi de l'impact qu'ils ont sur la communauté et sur le monde. Ainsi, non seulement les intérêts et les valeurs de nos clients et de nos partenaires correspondent mieux aux nôtres, mais nos relations d'affaires sont aussi plus durables. » « La question des valeurs est importante en particulier pour la génération d'entrepreneurs milléniaux », dit Milad Alucozai, un neuroscientifique né à Kaboul, en Afghanistan, qui a grandi au Pakistan avant de déménager aux États-Unis avec ses parents. « Les milléniaux aiment comprendre l'impact de leur travail. » « Nous croyons aussi que l'intérêt marqué de l'écosystème montréalais envers les questions éthiques lui permettra de se démarquer et d'attirer du talent, bien plus que s'il s'engageait dans une course aux salaires qu'il ne pourrait pas gagner. » - Milad Alucozai, cofondateur de Good AI Capital Good AI Capital a pu compter sur l'aide de Real Ventures, un fonds de capital de risque québécois bien branché dans la Silicon Valley, et de Montréal International dans ses démarches exploratoires. « J'espère que leur arrivée dans la métropole est le début d'une nouvelle vague, dit Mark Maclean, qui démarche les firmes de la côte ouest américaine pour le compte de Montréal International. On pourra dire maintenant que si des gens songent sérieusement à investir à Montréal, il faut qu'ils aient un bureau à Montréal. » Le fonds californien, qui agit déjà à titre de mentor auprès des jeunes pousses hébergées par les accélérateurs québécois Techstars Montréal AI et Holt Fintech, devrait annoncer sous peu deux premiers investissements dans des firmes actives dans le secteur des diagnostics médicaux et du marketing automatisé. 10 2 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Normand Hamel Posté(e) 2 novembre 2018 Partager Posté(e) 2 novembre 2018 Une entreprise montréalaise spécialisée en intelligence artificielle signe un partenariat avec Cray AGENCE QMI MONTRÉAL – L’entreprise montréalaise spécialisée en intelligence artificielle Stradigi AI a annoncé lundi la conclusion d’un «partenariat stratégique» avec la compagnie américaine Cray Inc., chef de file mondial en superordinateurs. «Dans le cadre de ce partenariat, Cray se joindra au domaine d’expertise de Stradigi AI avec sa trousse de départ “Cray Accel AI” afin de livrer des solutions personnalisées», ont expliqué les deux entités dans un communiqué conjoint publié lundi. «Pour les deux entreprises, ce partenariat offrira un potentiel de croissance significatif dans une grande gamme d’industries. Ensemble, nous donnerons aux clients la possibilité de résoudre les cas les plus exigeants et exploiter le plein potentiel de l’intelligence artificielle pour leurs affaires», a expliqué le président-directeur général et fondateur de Stradigi AI, Basil Bouraropoulos. «Nous sommes heureux d’élargir notre empreinte avec Cray et d’aider les clients à accélérer leur transformation numérique», a-t-il poursuivi. «Nous avons hâte de collaborer avec Stradigi AI pour amener un avantage indéniable aux entreprises qui se lancent vers l’IA. Nous savons que le processus, de la planification à la mise en place réussie d’IA, demande à une entreprise de briser la redondance du flux de travail, de résoudre les lacunes de compétences et de gérer une puissance de calcul significative», a pour sa part affirmé Per Nyberg, vice-président au développement marketing, intelligence artificielle et infonuagique à Cray. Basée à Montréal, l’équipe de Stradigi AI est spécialisée dans le développement de solutions paramétrables, flexibles et sécuritaires pour résoudre les problèmes d’affaires en utilisant l’intelligence artificielle. Les clients mondiaux de Stradigi AI comprennent des entreprises œuvrant dans un vaste éventail d’industries. «Nous savons que le processus, de la planification à la mise en place réussie d’IA, demande à une entreprise de briser la redondance du flux de travail, de résoudre les lacunes de compétences et de gérer une puissance de calcul significative. Le partenariat Cray et Stradigi AI est parfait pour apporter ces compétences et ces bénéfices concurrentiels à nos clients», a-t-il ajouté. https://www.journaldemontreal.com/2018/10/22/une-entreprise-montrealaise-specialisee-en-intelligence-artificielle-signe-un-partenariat-avec-cray 2 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Normand Hamel Posté(e) 3 novembre 2018 Partager Posté(e) 3 novembre 2018 Un concentré d’expertise qui attire les regards du monde entier Pour voir la vidéo en anglais (avec sous-titres) cliquer sur le lien suivant: https://www.ledevoir.com/contenu-commandite/540043/un-concentre-d-expertise-qui-attire-les-regards-du-monde-entier Montréal, chef de file mondiale en intelligence artificielle : si la métropole a su se positionner ainsi au cours des dernières années, c’est en bonne partie grâce à son vaste réseau de scientifiques et de chercheurs. Je pense qu’on nous regarde autant à travers le monde parce que nous sommes l’un des plus grands bassins de professeurs et de chercheurs réunis au même endroit. — Andrea Lodi, codirecteur scientifique d’IVADO, l’Institut québécois de valorisation des données, et professeur à Polytechnique Montréal Ce scientifique d’origine italienne de renommée internationale fait partie des grands talents que Montréal a su attirer. En 2015, on le désigne titulaire d’une nouvelle chaire de recherche en big data : la Chaire d’excellence en recherche du Canada sur la science des données pour la prise de décision en temps réel. L’un des domaines de recherche les plus actifs et prometteurs en intelligence artificielle. Créée par Polytechnique Montréal et ses partenaires du campus, la chaire qu’il dirige a permis de fusionner différentes expertises en mathématiques appliquées et en informatique. « Un pas visionnaire » qui permet de pousser encore plus loin les recherches, croit M. Lodi, alors que ces universités sont déjà renommées pour leur expertise dans les domaines de la recherche opérationnelle et l’apprentissage automatique. C’est IVADO qui fédère les institutions de recherche et les chercheurs universitaires dans le domaine de la science des données, de la recherche opérationnelle et de l’intelligence artificielle. Comptant plus de 1000 scientifiques affiliés, IVADO fait le pont entre l’expertise académique et les besoins de l’industrie. Cet institut est aussi le maître d’œuvre des ressources importantes accordées par le gouvernement fédéral ces dernières années. En 2016, le Fonds d’excellence en recherche Apogée Canada a attribué plus de 93 millions de dollars à l’Université de Montréal et à Campus Montréal, la plus importante subvention jamais reçue en IA par Campus Montréal. Le plan : embaucher 25 nouveaux professeurs dans le domaine de la science des données. « C’est du jamais vu, d’avoir autant de professeurs en cinq ans qui travailleront sur un même sujet », s’enthousiasme Andrea Lodi. Plus récemment, le gouvernement fédéral a aussi accordé 950 millions de dollars sur cinq ans aux cinq supergrappes d’innovation dont fait partie le projet SCALE.AI — la supergrappe sur les chaînes d’approvisionnement propulsées par l’intelligence artificielle — soutenu par IVADO. Montréal, bolle des algorithmes Qui dit intelligence artificielle dit technologie et robotique. Mais selon Andréa Lodi, Montréal excelle surtout du côté algorithmique. « Les algorithmes que nous concevons commencent la plupart du temps écrits à la craie, sur le tableau noir... Ce n’est vraiment pas un processus qui relève de la science- fiction ! » dit-il en rigolant. C’est plutôt de la science fondamentale comme nous le faisions par le passé. La grande différence aujourd’hui, c’est d’avoir la possibilité d’acquérir des quantités extrêmement importantes de données. » Ses équipes travaillent donc à développer de nouveaux algorithmes plus complexes et à utiliser l’apprentissage automatique pour faire des choses que le cerveau humain ne peut pas, comme donner un sens au grand nombre d’indicateurs différents provenant des données massives. L’objectif : aider à prendre les décisions en temps réel et transformer une prédiction en action. Ces champs d’études sont par ailleurs encore à l’étape préliminaire et comportent énormément de défis pour les chercheurs. L’un de ceux-ci est d’exploiter de façon responsable les données massives, un grand engagement de Campus Montréal. « Notre objectif est d’améliorer la vie des gens », insiste Andrea Lodi. Bien que son expertise soit très pointue, les applications du travail du chercheur sont très vastes. « Je travaille régulièrement dans les domaines de la santé, du transport, de la cybersécurité, de l’énergie, et même dans l’humanitaire, par exemple, en aidant les services de secours durant un tremblement de terre en assurant la bonne prise de L’expertise de sa Chaire de recherche est très courue, continue-t-il. «On joue un double rôle: d’une part, on fait la recherche motivée par les questions posées par les compagnies et, d’autre part, on effectue le transfert de technologie de ce qu’on connaît déjà vers les compagnies pour les aider à être compétitives sur le marché mondial. » La demande est si grande, continue-t-il, que les talents sont activement recherchés dans tout l’écosystème québécois, où il y a encore un grand manque à combler. Les besoins, surtout du côté du transfert de technologie, sont énormes. Quoi qu’il en soit, participer à cette « nouvelle révolution » est exceptionnel pour les scientifiques, conclut M. Lodi. « Cela arrive à une très petite minorité de scientifiques d’être aussi pertinents dans le présent comme nous le sommes actuellement, dit-il. C’est très excitant d’être à Montréal. C’était un bon choix de venir ici. » 1 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Normand Hamel Posté(e) 4 novembre 2018 Partager Posté(e) 4 novembre 2018 (modifié) Au mois de septembre dernier IVADO et AI MTL ont présenté pour la première fois une réunion dans le cadre des AI Problem Solving Sessions. Cette réunion avait lieu dans les bureaux de Dentons au 39e étage de la Place Ville-Marie. La vue est vraiment spectaculaire! Ils ont tellement aimé l'expérience qu'une deuxième réunion est prévue pour le 22 novembre prochain. Voici quelques photos (gracieuseté de AI MTL) de la réunion du 5 septembre. Modifié 4 novembre 2018 par Normand Hamel Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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