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ville-marie Le Christophe-Hubert - 4 étages
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ville-marie 987 Côté
Par _mtler_,
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ville-marie MAA Condominiums - 33 étages
Merci @Brick pour la précision. Je ne sais pas sur quoi travaillent ces quelques ouvriers car depuis plusieurs mois je ne perçois pas/peu de changement à la finalisation extérieure de cet immeuble. Est-ce que quelqu'un a réponse à la question suivante: Existe-t-il un délai de réalisation maximum imposé par la Ville lorsqu'un permis de construction est accordé afin d'éviter que des projets s'éternisent en longueur et/ou demeurent inachevé sur une très grande période comme c'est le cas ici ?- association des athlètes amateurs de montréal
- club sportif maa
- (et 2 en plus)
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centre-ville Le Livmore2 - 46 étages
Ça serait quoi les Rocco d'Or, la plus belle photo prise à partir d'une des terrasses du 21A ?- 1
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ville-marie 1050, rue de la Montagne - 38 étages
Ça fait quand même un p'tit bout temps que « découpage » du building est fait et c'est pas comme s'il n'y avait plus de pieuteuses ou de grues disponibles à Montréal. Quoique, à bien y penser elles sont sûrement toutes rendues à Longueuil ou Laval.- 2
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rive-sud Pont Samuel-De Champlain
Encore ce matin.- 2
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Hydro-Québec : actualités
Hydro-Québec souhaite encore ériger un poste de 315 000 volts devant la gare d’autocars Le terrain où Hydro-Québec veut installer le poste Hydro-Québec ne partage « pas du tout » la « lecture alarmiste » des sept figures de la société québécoise qui dénoncent le projet controversé consistant à ériger un imposant édifice industriel destiné à abriter un poste de 315 000 volts sur les terrains de la Grande Bibliothèque, juste devant la Gare d’autocars de Montréal. Par la voix de Graham Fox, son vice-président aux affaires publiques, la société d’État dit s’étonner « des conclusions catégoriques et fatalistes » publiées dans les pages du Devoir le 3 décembre. Lise Bissonnette, ancienne directrice de Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ), l’urbaniste Gérard Beaudet, l’architecte Phyllis Lambert, l’ancienne ministre de la Culture Christine St-Pierre, le dramaturge Michel Marc Bouchard, l’historien Yves Gingras et l’archiviste Carol Couture dénoncent ce projet qui, selon eux, menace le quartier et ses institutions s’il est conduit en ce lieu. Que répond Hydro-Québec ? Elle réaffirme qu’un concours d’architecture rendra ce projet enviable. « Pour relever le défi, nous allons mener un concours d’architecture. Nous avons confiance que nos talents québécois sauront innover et proposer un projet dont nous serons doublement fiers : d’abord pour le rôle qu’il jouera dans la décarbonation, ensuite pour la qualité de son architecture. » La société d’État réitère en outre souhaiter, en construisant au milieu de cet espace vert, « éviter les expropriations ». Le terrain vierge sur lequel elle met la main comprend une partie des jardins aménagés et occupés par la Grande Bibliothèque. Par la voix de son porte-parole, Hydro-Québec affirme que, tout en travaillant en partenariat avec BAnQ et la Ville de Montréal, elle s’engage « à poursuivre la consultation du milieu afin de définir le meilleur projet possible pour la décarbonation et le voisinage ». La ministre va de l’avant « Nous en sommes au début de la réflexion et des discussions », indique la société d’État. « Les plans du bâtiment ne sont pas conçus. On s’étonne donc des conclusions catégoriques et fatalistes publiées [le 3 décembre] dans ces pages. » En mêlée de presse à Québec, la ministre Christine Fréchette, responsable du dossier, a dit considérer que beaucoup de discussions avaient déjà eu lieu. « Il y a eu beaucoup de rencontres au cours des dernières années », a-t-elle déclaré. La députée Manon Massé, tout comme les opposants au projet publiés par Le Devoir, fait observer au contraire qu’Hydro-Québec a agi jusqu’ici dans un secret relatif et que l’essentiel a progressé en catimini. « Moi, ce qui me fascine là », indique Mme Massé, est que « ça fait pas longtemps qu’on arrive à avoir de l’information » sur ce projet. La députée a réitéré en mêlée de presse avoir proposé d’autres options à Hydro-Québec, mais que personne, en revanche, ne lui a jamais présenté d’études, d’explications valables ou de solutions réelles à des problèmes pourtant concrets pour le quartier. C’est aussi ce qu’affirment les signataires du manifeste contre ce projet publié dans les pages du Devoir. La ministre Fréchette indique aussi « que c’est important qu’on ait quelque chose qui s’harmonise avec l’environnement », mais elle ajoute qu’il faut constater que la demande d’énergie, « elle va croissant », et qu’« il faut répondre à cette demande ». À titre de ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, mais aussi de responsable de la Métropole et de la région de Montréal, elle n’a pas indiqué vouloir considérer d’autres scénarios que celui présenté par Hydro-Québec. Quelle image pour les visiteurs ? À l’Assemblée nationale, la députée Manon Massé s’est demandé de son côté quelle image Montréal proposera à ses visiteurs qui transitent par la gare d’autocars, située dans le Quartier latin, si l’État accepte la construction, tout juste devant, d’un imposant édifice industriel capable d’abriter un poste de 315 000 volts. La députée de Sainte-Marie–Saint-Jacques maintient que cet emplacement n’est tout simplement pas le bon pour ce projet, tant pour l’avenir du quartier qu’elle représente que pour le Québec tout entier. « C’est sûr que dans un endroit comme le Quartier latin, où tu accueilles le Québec, soit à travers la gare d’autobus qui est là ou la 747, [la ligne de transport] qui débarque [les voyageurs] de l’aéroport, ce que tu as, c’est un gros bloc industriel […] qui transforme de l’électricité… Sérieusement ! Il me semble que c’est ne pas avoir de dignité » que d’édifier une chose pareille en ce lieu, a-t-elle indiqué devant les journalistes. À son sens, ce terrain doit être réservé à des fonctions sociales, en continuité avec ce qui se trouve déjà dans les environs. « C’est le seul terrain qui reste au coeur du centre-ville », observe l’élue solidaire. Manon Massé ajoute que, n’en déplaise à Hydro-Québec et au gouvernement, « les gens du coin ne veulent pas » du projet tel qu’il est présenté. Le vice-président aux affaires publiques d’Hydro-Québec conclut sa défense du projet controversé en disant ne pas savoir encore si ce poste électrique de grande envergure « sera en partie souterrain ou en hauteur », ni s’il pourra être logé dans « deux bâtiments distincts, comme l’a proposé la députée Manon Massé ». Des « discussions avec le milieu et les analyses de nos experts » devraient y répondre, ajoute-t-il. La société d’État indique « qu’à terme », le projet sera soumis au processus du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement. http://url4076.ledevoir.com/ls/click?upn=u001.u5fP6CjschWVz-2B-2BJCjMy2d0DbLyoi6nGyDdbkcYjJF751eRYblSC5kIRbv4l8NHE0wJ-2FkYGolrErlN-2Bb2DuN-2BnAlWo604lL048xthBjF5DEYyHxOAqaJmmv95R7dO5b267CtGomlkWiuJtnqO4fDnA1WDNFLKekfN9dwvbG73AHs5p-2BGWU1YmshdQgb-2BhKOegTQSIoGqsup5-2FsMl90uV1A-3D-3D4esl_Xtt4-2FBpONRcUua7JLxmdyMhJQ-2B85d-2FEXCpPPJUB024mph6n-2FNjhm8BcI6mBBSicabYlzeIWkEY5B5ya3n2C7hjII17F44rGTkwBfgwzd-2Fb-2FSOG0FQXIIQBI1kgo7hP0qiskjJMnvyH74OG5CLFvMs5pE8UU42an0wBs-2F0HiLB3tg0JK3KFxPEzIsb9n3OlgE-2FluIlHCTBOo5i-2BfXiuxaEw-3D-3D Commentaire à Manon Massé: ce qui donne une mauvaise image de Montréal, particulièrement dans ce quartier, ne sera pas un poste d'Hydro issu d'un concours architectural, mais plutôt la piquerie à ciel ouvert, la misère sociale mur-à-mur, les comportements manquants de civilité, voire carrément (rouge) antisociaux et j'en passe.- 1
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