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The Economist doc

http://www.citigroup.com/citi/news/2013/130604a.pdf

 

http://globalnews.ca/news/629351/toronto-cracks-top-10-in-world-for-global-appeal/

 

Toronto cracks top 10 cities in world for ‘global appeal’

 

It appears Toronto’s preeminent position among Canadian cities is secure until at least 2025.

 

In fact, only nine other centres across the world outrank the city in terms of overall “global appeal” by the mid-point of the next decade, according to a new study on projected competitiveness of cities to attract business, skilled workers and tourists.

 

That puts Toronto ahead of such cosmopolitan centres as Los Angeles, Berlin — even Beijing.

 

New York will continue its reign as the world’s most competitive city, according to the report from the Economist Intelligence Unit that was commissioned by Citibank.

 

Vancouver is the second-highest ranked Canadian city at No. 28 while Montreal placed 36th on the list.

 

Calgary, Ottawa and Edmonton weren’t included in the report which ranked 120 cities across the globe “based on their projected ability to attract capital, business, talent and tourists.”

 

The report assigned scores to a city’s economic strength as well as other factors, like capacity to govern itself and the quality of its infrastructure.

 

 

Economic strength was the biggest consideration, however, with a 30 percent weighting, followed by “human capital” (skilled workforce, access to education and healthcare) and “institutional character” or a city’s ability “to tax, plan, legislate and enforce rules as well as the degree to which citizens can hold a city’s politicians accountable.”

 

(The data was collected between November 2012 and March, well before certain events could serve to undermine Toronto’s score in the latter category.)

 

Points for physical infrastructure such as airports, transit and access to broadband networks – both wireless and wireline – took up 10 per cent of the score, with another 10 was assigned to the size of the local banking system. Ten per cent went to overall “global appeal” to businesses and individuals abroad.

 

Adding up all scores across the eight assessment categories, Toronto’s score was 64.7 out of 100 (see additional scores below).

 

Still, while the Citi study may be an impressive endorsement, Torontonians may see a small defeat in the rankings.

 

In March, Toronto’s economic development committee trumpeted new data showing the city had overtaken Chicago as the fourth-largest centre on the continent, a statistical symbol that the city’s dynamism and stature was at least even with the U.S. Midwest hub in the eyes of the world.

 

Sitting one spot ahead of Toronto, Chicago appears to still have the edge.

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Membres prolifiques

L'étude UBS est bien différente..comme par hasard:

 

http://www.ubs.com/global/fr/wealth_management/wealth_management_research/prices_earnings.html

 

 

Montréal se classe première ville d’accueil d’évènements internationaux.

 

Pour une deuxième année d’affilée, Montréal se classe numéro 1 en Amérique au classement 2012 de l’Union des associations internationales (UAI).

 

Avec la tenue de 79 évènements internationaux d’envergure, Montréal remporte le titre de première destination en Amérique pour l’accueil d’évènements associatifs internationaux.

 

Pour Marc Temblay, président-directeur général du Palais des congrès de Montréal, obtenir le premier rang pour une deuxième année consécutive témoigne des efforts constants de son équipe et de celle de Tourisme Montréal pour faire de Montréal une destination de congrès incontournable pour les associations internationales. Il se félicite également d’avoir pris la décision de miser sur la performance commerciale de l’organisation.

 

Le Palais des congrès de Montréal a été finaliste en 2010 et 2012 pour le prix APEX du meilleur centre de congrès au monde. Il accueille chaque année des milliers de congressistes venus assistés à des rencontres internationales.

 

Selon Tourisme Montréal, par cette victoire, Montréal confirme sa position de tête parmi toutes les destinations en Amérique. Ainsi donc, la métropole devancerait Washington, New York, Boston, San Diego, Rio de Janeiro, Buenos Aires, ainsi que Toronto et Vancouver.

 

Seconde étude en deux mois:

 

 

http://journalmetro.com/actualites/montreal/325772/montreal-se-classe-premiere-ville-daccueil-devenements-internationaux/

 

 

http://www.montrealinternational.com/montreal-premiere-ville-hote-de-congres-organises-par-des-associations-internationales-en-amerique-du-nord/

 

Le Grand Montréal au sommet du palmarès American Cities of the Future.

 

Le Grand Montréal s’est hissé en première position du classement American Cities of the Future (Villes d’avenir des Amériques) 2013-2014 du fDi Magazine, pour la meilleure stratégie d’attraction des investissements directs étrangers, battant ainsi tous les autres grands centres urbains des Amériques. La métropole québécoise a devancé 126 villes concurrentes de l’Amérique du Nord et du Sud qui ont participé au concours à ce chapitre. C’est l’organisme de développement économique Montréal International (MI), mandataire de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) pour l’attraction des investissements directs étrangers (IDE) dans le Grand Montréal, qui a soumis la candidature montréalaise.

 

La stratégie d’attraction d’IDE de MI, à l’instar de la stratégie de développement économique de la région métropolitaine de Montréal, s’appuie principalement sur ses grappes industrielles, dont celles de haute technologie : aérospatiale, technologies de l’information et des communications, sciences de la vie et technologies de la santé.

 

Le Grand Montréal parmi les meilleures villes d’avenir des Amériques pour l’attraction d’IDE

 

Au classement général, la métropole du Québec a obtenu la troisième marche du podium, de même qu’une quatrième place, respectivement dans les catégories « meilleure ville d’Amérique du Nord » et « meilleure ville des Amériques » parmi 422 centres urbains. Grâce à la robustesse et à l’ouverture de son économie, à la solidité de ses institutions financières et à la compétitivité de sa fiscalité pour les entreprises, le Grand Montréal a par ailleurs décroché la troisième place dans la catégorie « climat d’affaires » parmi les agglomérations urbaines majeures des Amériques.

 

« La performance exceptionnelle du Grand Montréal dans le classement 2013-2014 des Villes d’avenir des Amériques du fDi Magazine démontre toute la force de l’attractivité de notre métropole, qui repose sur la vitalité de ses secteurs de pointe, l’excellence de ses universités et centres de recherche et le talent de sa main-d’œuvre hautement qualifiée et bilingue. Nous sommes particulièrement heureux et fiers que la qualité de notre stratégie d’attraction d’IDE soit ainsi reconnue par une publication aussi prestigieuse que fDi Magazine », a déclaré Jacques St-Laurent, président-directeur général de Montréal International.

 

http://www.montrealinternational.com/le-grand-montreal-au-sommet-du-palmares-american-cities-of-the-future/

 

http://www.montrealinternational.com/le-grand-montreal-champion-canadien-de-la-creation-demplois-en-2012/

 

http://www.montrealinternational.com/indicateurs-dattractivite-2012-2013/

 

Coût de la vie - Montréal maintenant plus chère que Toronto.

 

http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/359514/montreal-maintenant-plus-chere-que-toronto

 

Ces études n'ont qu'une certaine valeur,on peut faire dire ce que l'on veut aux chiffres aussi.

D'autres facteurs interviennent aussi comme la qualité de la vie et la dessus chacun a sa propre définition.

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Invité Titec
This is yet another sad ranking for Montreal (where we lose appeal to Vancouver). Sadly the pundits on this board will take an aim at me for being negative etc. Wake up Montreal!!!

 

Si tes collèguent voient le potentiel de montreal comme toi tu le vois,l'avenir d'air canada à montreal parait trés sombre...

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Nous voilà replongés dans les sempiternelles comparaisons, où Montréal monte et descend comme un yoyo, selon les études. Quand allons-nous comprendre que toutes ces statistiques ne sont que relatives et qu'elles comparent souvent des villes qui sont loin d'être équivalentes au départ. Certaines parmi les premières sont des capitales où le pouvoir central d'un pays ou d'un territoire peut faire toute la différence. D'autres sont des mégalopoles avec une population très importante et une économie qui génère beaucoup, beaucoup d'activités.

 

Montréal n'est ni l'une ni l'autre, elle est une ville moyenne, métropole d'une province qui doit constamment quêter des appuis à Québec ou Ottawa, pour son développement. Elle ne peut alors compter que sur son propre dynamisme et l'incroyable créativité de sa population pour se tailler une place de choix parmi les grands. Le simple fait de faire partie des meilleures, dans une foule de comparaisons, tient déjà presque du miracle, tellement il y a d'efforts à faire dans ce monde devenu ultra compétitif.

 

Prenons le dossier des vols internationaux où Montréal perd beaucoup de points dans la liste de l'Economist. La ville réclame des vols directs vers l'Asie et l'Amérique du Sud depuis plusieurs années, parce qu'elle y génère un volume substantiel de voyageurs. Routes qui lui sont systématiquement refusées par AC, avec l'assentiment d'Ottawa, par sa politique d'ententes bi-latérales. L'aviation est pourtant une industrie reconnue comme une des plus porteuses d'avenir. Comment alors lui dire "wake up" quand on l'empêche de se développer naturellement, en forçant une partie importante de son public voyageur à transiter par Toronto?

 

Cette situation s'apparente à un véritable détournement de fonds qui, en toute logique, appauvrit sérieusement l'économie montréalaise au profit de Toronto. Ce que Montréal perd, Toronto le gagne doublement, car elle profite des multiples retombées directes que génère sa plaque tournante, en augmentant artificiellement son trafic des entrées et des sorties du pays. Dans les circonstances Montréal ne peut pas jouer pleinement son rôle de ville touristique, dont le potentiel est limité par manque de liaisons directes. Une situation qu'il faudra corriger d'une manière ou d'une autre et qui devient intenable avec le temps. Il faut être imbécile ou d'une extrême mauvaise foi, ou les deux, pour nier ce fait. Et ce sont toujours les même personnes qui critiquent négativement la ville, mais n'apportent, eux, absolument aucune solution constructive ou idées originales.

 

Je reviendrai toujours sur le sujet, quand cela sera pertinent, parce que ce dossier fait très mal à notre économie, parce qu'il nous prive d'un levier majeur, qui a même eu une incidence dans la tentative de nous "voler" le siège de l'OACI dernièrement. En conséquence on défend toutes les positions et revendications de Montréal, ou on se tait. Car il n'y a pas de "vache sacrée" que l'on doit sacrifier au profit d'une ville rivale. Dans toutes ces listes nous sommes comparés, autant vis à vis d'autres villes canadiennes, que celles d'ailleurs dans le monde. Nos efforts doivent donc prioritairement servir notre cause et profiter directement à notre économie, puisque c'est de là qu'on nous évalue.

 

Alors on donne de l'importance à ces listes et on corrige absolument toutes les faiblesses de Montréal, pour qu'elle figure mieux dans le palmarès. Ou on réalise que tout est relatif et qu'aucune ville, aussi importante soit-elle, n'est et ne peut être numéro 1 dans tout. Une chose demeure, personne ne nous a fait de cadeau. Et tout ce que l'on a accompli, on le doit à nos propres efforts et à notre détermination à être ce que nous sommes indiscutablement: une ville exemplaire qui bouge réellement, qui n'a pas fini de nous étonner et dont on peut vraiment être fier.

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If we happily accept the occasions when Montréal does well on these lists, we also have to accept the contrary. We could however debate their data or information and try to show how they are skewed (if we believe they are), but it might be more productive to suggest ways how we can improve our lot in specific areas, if we want to at all.

 

We can't be good in everything, no city can. To remain competitive, Montréal needs to concentrate on areas where it has an edge, improve in other areas and continue to innovate and develop new ones...and hope we come out near the top.

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Ce qu'il serait bien de connaître aussi, c'est l'évolution de ce positionnement. Montréal baisse-t-elle ou monte-t-elle par rapport aux autres palmares passés de cette publication? Quelles sont les éléments qui posent problèmes selon cette étude? Les conclusions de The Economist sont basées sur quels barèmes, et ceux-ci sont-ils contestables? Y a-t-il d'autres études appuyées sur les mêmes bases qui contredisent celle-ci? Et à partir du moment où on accepte les critiques formulées, quels sont les moyens de remédier le plus efficacement à ces problèmes? Et puis, quels sont les éléments de force mentionnés sur lesquels on devrait s,appuyer davantage?

 

Bref, il est inutile de se servir du seul ranking, sorti de tout contexte analytique, pour brailler encore. C'est ça une attitude positive: regarder de face les problèmes qui nous ralentissent, mais toujours nuancer afin d'avoir le le portrait le plus juste possible. Une fois que c'est fait, se relever les manches et bien utiliser ce que nous avons de bon pour mieux se propulser vers l'avant et, au besoin, corriger nos défauts. Après tout, on ne part pas de zéro, loin de là. Et nous avons même une longueur d'avance dans plusieurs domaines sur beaucoup d'autres villes.

 

Y'en aura pas de facile, mais sachant qu'on PEUT faire mieux, prenons les moyens appropriés pour y arriver.

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De quelles criteres ou donnés dans l'étude fais-tu fais reference pour arriver avec cette conclusion?

 

LOL! You don't think that he actually read it or understands it do you?

 

This is all he saw: Some study about something...... Toronto.. 10....... Vancouver.. 28......... Montreal..36!!!!!!!!!! HAHA!!! SKY IS FALLING ONCE AGAIN!!!!!

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