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Le Victoire - 26 étages


GDS

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ouaouaron

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Having personally dealt with Redfoxco, I would not get my hopes up based on their word (they have not been very forthcoming in the past). I would love to see this project go up, but I do not know how quickly that will happen.

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J'ai écrit au courriel du site web. J'ai écrit constater que le chantier était inactif depuis plusieurs mois et je demandais si le projet était sur la glace.

Contre toute attente, on m'a répondu en 10 minutes.

Remarquez que Redfox Co sont toujours impliqués dans le projet.

 

Haha, ils veulent ton argent avant de faire valise! ;)

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Bonjour à tous,

 

J'ai des contacts qui travaillent en relation avec eux, et le projet n'est pas abandonné.

L'un des gros problèmes qu'ils ont rencontré, c'est qu'il y a une rivière souterraine et que chaque pieu qui a été posé prenait beaucoup plus de temps que ce qui était prévu initialement, d'autant que personne n'a d'expérience face à ce genre de problèmes à Montréal.

Ce n'est pas le premier projet dans lequel un des investisseurs principaux se retire en cours de chemin (sans doute pour les raisons précédentes qui ont rallongé la possibilité de faire les fondation de presque un an), mais il semble qu'ils soient en train de finaliser une entente avec un remplaçant Ontarien.

D'après ce que l'on m'a dit, c'est une question de jours, et aussitôt, le chantier pourra commencer. Si tout se passe comme il veulent, on peut espérer le voir fini fin 2016 début 2017 je pense !

C'est un des beaux projets qui va pousser à Montréal, malheureusement bien haut dessus de mes moyens...

 

PS : Évitez de spéculer négativement sur des projets, tant qu'il n'y a pas de fermeture officielle il y a toujours de l'espoir. Mettez-vous dans la peau d'un acheteur qui tomberait sur vos commentaires (j'avais lu à un moment dans LaPresse+ qu'un acheteur du Victoire s'était retourné contre eux pour récupérer son dépôt car il croyait le projet abandonné).

Modifié par Nemo
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Bonjour à tous,

 

J'ai des contacts qui travaillent en relation avec eux, et le projet n'est pas abandonné.

L'un des gros problèmes qu'ils ont rencontré, c'est qu'il y a une rivière souterraine et que chaque pieu qui a été posé prenait beaucoup plus de temps que ce qui était prévu initialement, d'autant que personne n'a d'expérience face à ce genre de problèmes à Montréal.

Ce n'est pas le premier projet dans lequel un des investisseurs principaux se retire en cours de chemin (sans doute pour les raisons précédentes qui ont rallongé la possibilité de faire les fondation de presque un an), mais il semble qu'ils soient en train de finaliser une entente avec un remplaçant Ontarien.

D'après ce que l'on m'a dit, c'est une question de jours, et aussitôt, le chantier pourra commencer. Si tout se passe comme il veulent, on peut espérer le voir fini fin 2016 début 2017 je pense !

C'est un des beaux projets qui va pousser à Montréal, malheureusement bien haut dessus de mes moyens...

 

PS : Évitez de spéculer négativement sur des projets, tant qu'il n'y a pas de fermeture officielle il y a toujours de l'espoir. Mettez-vous dans la peau d'un acheteur qui tomberait sur vos commentaires (j'avais lu à un moment dans LaPresse+ qu'un acheteur du Victoire s'était retourné contre eux pour récupérer son dépôt car il croyait le projet abandonné).

 

Si j'étais un acheteur, il y a longtemps que j'aurais repris mon dépôt et acheté ailleurs!

 

Les tests de sols sont fait assez tôt dans une construction et le problème aurait dû être présenté aux acheteurs dès le début quand les délais de livraisons allaient augmenter...

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Like I previously mentioned, I know people who actually did buy multiple units in this building. They backed out and got their money back one month ago after numerous incidents with the promoters. They never doubted that the building would go up, but from their point of view, the promoters were constantly lying about what was really going on with the construction and why things were delayed. Naturally, when you're going to be spending over $2 million on a condo, you want to know that your money is in good hands. So the reason many people backed out really was poor management, which is unfortunate because this project will be really great for the area.

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KNOW YOUR HISTORY & FACTS before you make unfounded statements. Yes they are have technical problems because there are fucking rivers that criss cross the city in these areas of downtown. See below and of all the people that should have been objective and calmed everybody's doubts. La Presse had it's head office built back in the 50's and they had a shit load of problems and delays because of the undergrounfd streams and rivers. I remember my late father telling me stories about the construction headaches that they faced putting up the La Presse building. Guys relax stop speculating and look for the facts...stop spewing baseless crap.... Read the article on the following site :mad::mad::mad::mad::mad::mad:

 

http://www.vieux.montreal.qc.ca/inventaire/fiches/fiche_bat.php?num=13&sec=q

 

 

 

Histoire du bâtiment

 

 

 

Cet édifice est construit par le journal La Presse en 1958-1959, afin d'agrandir ses bureaux et d'automatiser son imprimerie. Les travaux de préparation commencent dès 1955. L'architecte Jacques M. Morin conçoit le nouvel immeuble. Il faut démolir plusieurs bâtiments; on découvre aussi des vestiges des anciennes fortifications lors des travaux d’excavation, qui révèlent aussi des problèmes techniques qui retardent la construction proprement dite.

 

Le futur édifice reposera sur le lit de la rivière Saint-Martin, située sous la rue Saint-Antoine. Le roc sur lequel l’édifice peut s’ancrer se trouve 60 pieds plus bas. Les ingénieurs-conseils Surveyer, Nenninger et Chênevert doivent donc travailler à rendre étanches les fondations qui, de plus, devront supporter les vibrations des presses rotatives installées au niveau de la rue Saint-Antoine. Cet ancrage se fait à l’aide de 265 pieux accrochés au roc et, pour la première fois au Canada, une membrane étanche I.C .O.S.-Veber est utilisée pour protéger les fondations des effets destructeurs de la rivière souterraine. Quelques années plus tard, on utilisera cette même technologie pour le Palais de justice situé de l’autre côté de la rue Saint-Laurent.

 

En octobre 1958, alors que le nouvel édifice est presque terminé, une grève éclair des journalistes secoue l’entreprise pendant 13 jours. Madame Angélina Berthiaume-Du Tremblay est alors propriétaire du journal. Au moment où la grève prend fin, elle nomme Jean-Louis Gagnon chef de la rédaction. Celui-ci amorce alors un renouveau dans l’orientation journalistique du quotidien. La première action du nouveau rédacteur en chef sera de travailler à une nouvelle page éditoriale. Au même moment, il renouvelle l’image du journal en rafraîchissant la mise en page. De plus, la façon d’aborder l’information change : la une traite maintenant en priorité des nouvelles régionales et locales plutôt que les nouvelles internationales. Une typographie plus aérée, des articles signés, un caricaturiste régulier et l’introduction d’une tribune libre complètent ces changements.

 

L’équipe de journalistes de Jean-Louis Gagnon prend possession des locaux avec enthousiasme en octobre 1959. L’aménagement intérieur souligne l’importance que l’on accorde à la « nouvelle ». L’immense salle de rédaction de 75 pupitres, les chambres noires et les bureaux des chefs de service de la rédaction accueillent le personnel relié à l’information. Le 2e étage est réservé à la mise en page, caractères, linotypes et rangées de marbres. Les machines rotatives à haute vitesse fournissent un débit de 100 000 exemplaires à l’heure. Dans les entrepôts souterrains, on emmagasine les rouleaux de papier-journal.

 

À la structure de béton et aux deux cages d’escalier en granit et calcaire de l’Indiana du nouvel édifice vient s’accrocher un rideau de verre retenu par des moulures d’aluminium. Au niveau de la rue Saint-Antoine, les larges baies inclinées vers l’intérieur permettent d’éviter la réflexion du soleil à ceux qui s’arrêtent pour observer le travail de la rotative ultra-rapide. Elles alternent avec des montants en granit bleu minuit de Rivière-à-Pierre, sans compter que des blocs de granit gris de Saint-Sébastien servent de seuil pour ces mêmes vitrines. Au moment où ce nouvel édifice est construit, il présente la plus grande surface vitrée à Montréal. Une passerelle au-dessus de la ruelle des Fortifications relie l’ancien bâtiment au nouveau.

 

En 1959, la construction de cet édifice marque une évolution radicale dans la production du journal en plus de projeter une image moderne de l’entreprise. Mais tout aussi importante que les transformations physiques, la nouvelle approche journalistique annonce des changements de mentalité qui bientôt amorceront la révolution tranquille.

Modifié par MARTY
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