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Né entre les rapides

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Tout ce qui a été posté par Né entre les rapides

  1. Certainement! Je laisse de côté l'aspect "sportif". Pour le reste, je pense qu'une marina peut bien être un pôle d'attraction pour un village/hameau qui n'a rien d'autre à offrir, mais Lachine, c'est Montréal. Des sites naturels aussi exceptionnels doivent être pleinement mis à la disposition du plus grand nombre. En d'autres mots, une solution de compromis, suggérée par quelques-uns (pas des membres du forum mais des utilisateurs de la marina), devrait être simplement rejetée.
  2. D'autant plus qu'avant la pandémie, et en dépit des taxes élevées (ou jugées comme telles par certains), Montréal attirait plus de nouveaux-venus qu'elle ne perdait de résidents existants. C'est dire que les facteurs positifs surpassaient les facteurs négatifs. Aussi, les facteurs explicatifs du départ de certains citoyens montréalais vers la banlieue ne se limitent nullement à un écart de fardeau fiscal municipal. Des réductions de taxes qui s'accompagneraient de réductions de services pourraient bien être contre-productives. On l'a vu à l'échelle d'un Etat américain --le Kansas.
  3. Parce que cela aurait requis 1) de trop longues consultations pour obtenir un consensus, et 2) qu'il aurait fallu faire appel à une équipe d'artistes chevronnés pour réfléter fidèlement toutes les nuances de couleurs arborées par le pont tournant y compris les taches de rouille et les graffitis. Heureusement, de nouveaux graffitis réussiront à harmoniser le tout d'ici peu de temps. A Griffintown, l'harmonisation se produit spontanément, à sa propre façon, distinctive.
  4. Dans ce scénario optimiste, les grands employeurs privés et publics auront rapatrié leurs employés au centre-ville, et les touristes internationaux seront de retour! Mais qu'en sera-t-il de ceux parmi les petits commerçants/restaurateurs/prestateurs de services personnels qui ne seront pas parvenus à surmonter la crise --ayant encouru de lourdes pertes irrécupérables et/ou ayant fait faillite? Seront-ils comme par magie remplacés par d'autres disposant du capital et des aptitudes nécessaires? Je souhaite certainement et j'espère aussi que l'économie reprendra de la vigueur, mais je doute fort que les choses reviendront comme elles l'étaient, même si (un gros "si") toute peur disparaissait. Les pertes encourues par plusieurs, les déficits accumulés par les gouvernements, laisseront des traces.
  5. Je suis persuadé que la réalité est plus nuancée. Il est vrai qu'à Montréal, comme dans la plupart des grandes villes du monde, les taxes sont plus élevées et les logements plus chers, alors même que les nuisances sont plus grandes et que certains aspects sont souvent moins biens. Cependant, ce qu'on "obtient" en habitant dans une grande ville va bien au-delà de l'état de la chaussée. Les services publics sont beaucoup plus diversifiés --musées, hôpitaux spécialisés, universités etc. Il y a plus d'opportunités d'emplois grassement rémunérés, notamment dans des secteurs qui sont l'apanage des métropoles, comme la haute finance, la recherche spécialisée et les sièges sociaux; le milieu artistique s'y concentre; les opportunités d'affaires sont aussi plus nombreuses, grâce à la masse critique de clients et de fournisseurs. Dans la fable de La Fontaine Le rat de ville et le rat des champs, on comprend facilement que les deux situations comportent des avantages et des désavantages: ce qu'on choisit (dans la mesure où c'est possible) dépend de nos préférences personnelles. C'est parfois aussi la nécessité qui dicte le choix (voir par exemple les paroles de la chanson Monsieur Marcoux Labonté). Celui qui choisit la banlieue d'une grande ville conserve une partie des avantages inhérents à celle-ci, généralement à moindre coût de logement et de taxes, mais en contrepartie il consacre plus de temps aux déplacements et plus d'argent à l'automobile. Finalement, reprenant en cela un propos tenu dans un commentaire que je faisais récemment, les coûts et les bénéfices pour la société doivent aussi être considérés, pas seulement ceux qui touchent directement l'individu.
  6. Cette pandémie avec ses effets disproportionnés sur le trafic aérien est "out of bounds", infiniment plus qu'un jour de pluie. Il n'était pas concevable de "planifier" en fonction d'un tel événement. Le gouvernement fédéral, par le biais de la Banque du Canada au besoin, est le seul qui a les poches assez profondes pour y faire face.
  7. Good point --which may explain their lack of reaction over Joly's signal. Still, the Trudeau government must thread carefully.
  8. I have heard nothing from Toronto (the medias or the GTAA --Greater Toronto Airports Authority) on whether the Federal Government shoud or would help funding the REM Station at YUL, something that Mélanie Joly somewhat implied at the press conference. (If you think she did not, how can you explain her assurance that the project will go ahead?) Personally, I could imagine that federal funding could indeed be made available for this project, but in a way that is not seen as a favour to Montréal or Québec: Ottawa transfers funds to all provinces for infrastructure projects on a fair basis (eg per capita) and lets the provinces make the decisions on their priorities; Québec then allows a portion of the federal funding toward the REM Station (in doing so, the amount available for other projects would of course be diminished). A variant would involve the Canada Infrastructure Bank, but this would require some behind-the-scenes negotiations, as the private partners would likely require rates of return that exceed ADM's capacity (or willingness) to reimburse.
  9. Je ne sais pas si c'était intentionnel (délibéré), mais comme on dit en québécois, je trouve que tu tournes les coins ronds pour étayer ton argument contre la densification. Il y a tellement d'angles dans ton message, par où devrais-je commencer? - Ne pas confondre taille (d'une agglomération) et densité. Il est normal qu'une agglomération plus populeuse (indépendamment de sa densité) attire plus d'activités industrielles et commerciales qui justifient notamment l'usage de beaucoup de camions de grande dimension, lesquels causent d'importants dommages aux routes. - La périphérie de Montréal et les autres régions du Québec, ce n'est pas la même chose. A plusieurs égards, la périphérie montréalaise partage les mêmes désavantages que la ville-centre, même si localement la population est faible et peu dense. Quant aux autres régions du Québec, elles ne sont pas toutes identiques non plus. - Le niveau de détérioration des routes n'est pas uniquement fonction de l'intensité de leur usage. La qualité (ou son manque) de la construction originale est autant sinon plus importante. Les exemples sont nombreux, regarde seulement l'état de segments de l'A-30 en Montérégie-est. Aussi, les décisions de construire correctement (ou pas, parce que initialement moins cher)) dépendent de Transport Québec (ou ses prédécesseurs), pas des municipalités desservies. - Le coût d'entretien des routes n'est qu'un élément parmi d'autres des avantages et des désavantages d'une plus grande densité. Parmi les autres considérations, on trouve la rentabilité d'une desserte convenable par transport en commun, a contrario d'une situation où l'usage de la voiture privée (parfois même deux ou plus par ménage) est une nécessité incontournable; on peut aussi penser aux coûts (per capita) des services d'éducation et de santé, qui sont suppoortés par l'ensemble de la population québécoise et non les municipalités qui en profitent. Et dans le secteur privé (la plus grande composante de l'économie), les économies d'agglomération qui vont de pair avec la taille sont presque toujours possibles seulement dans les plus grandes, malgré l'encombrement et les prix plus élevés du foncier. (on ne parle évidemment pas d'exploitation minière ou forestière). - Il est vrai que les taxes municipales sont généralement plus élevées dans une grande ville comme Montréal, qu'en périphérie et "en région". Il y a plusieurs raisons à cela, mais j'en retiens deux ici: 1) la gamme des services municipaux offerts est plus grande; 2) les petites municipalités ont longtemps bénéficié de services payés par la province, mais cela change (par exemple le service de police). - Il ne faut pas penser seulement en termes d'avantages et de désavantages pour l'individu: les conséquences pour la société d'un mode de développement permettant/favorisant un étalement urbain incontrôlé sont importantes. Visiblement, l'énumération n'est pas exhaustive, et elle n'exclut pas des cas d'exception. J'espère seulement que cela suffira à illustrer le fait qu'on ne peut pas conclure que la densité est invariablement désavantageuse.
  10. Pour l'instant: une "analyse fine". Pour les mesures concrètes on verra bien ce qu'une "union" des forces gouvernementales et privées à Montréal est capable d'accomplir.
  11. 1) Je ne sais pas si ce sera inabordable (les taux d'intérêts très bas contribuent à limiter la hausse des paiements hypothécaires), mais un rétrécissement du différentiel de prix entre le centre-ville et la périphérie (proche comme lointaine) améliorera l'attractivité relative du centre-ville. 2) En effet, le marché dans les quartiers proches du centre-ville (sans en faire partie) demeure très fort. Si je ne m'abuse, le même phénomène est observé à Brooklyn en face de Manhattan par exemple. Partout, les hausses de prix pour les constructions neuves sont inévitables, à cause des effets combinés de a) la hausse des prix des matériaux; b) la perte de productivité sur les chantiers, entraînée par les exigences de distanciation; c) l'accroissement normal de la demande allant de pair avec la croissance de la population, tandis que l'offre s'avère incapable (à court terme) d'y répondre pleinement. Sans surprise, le prix des maisons existantes suit la même courbe ascendante, surtout dans les quartiers "désirables" où le potentiel d'expansion est limité: les propriétaires actuels sont peu enclins dans les circonstances à mettre leurs maisons en vente (ce qu'on voit bien dans le faible nombre de nouvelles inscriptions). A moyen terme, on peut s'attendre à ce qu'un équilibre plus normal se rétablisse entre l'offre et la demande; toutefois, cela ne veut pas dire que les prix redescendront à leurs niveaux antérieurs: dans le marché immobilier, il y a typiquement* plus de résistance à la baisse qu'à la hausse; les prix commencent par stagner avant de finalement baisser en valeur courante, si les pressions de la demande se sont dissipées. * Je connais des contre-exemples, mais ils sont explicables.
  12. In this particular case, what do you imply/ what should be the best outcome? And what do you have in mind when referring to the "usual politics"? --Perhaps a quarrel over cost-sharing and/or governance? -- Let us not forget that it is the CDPQ-i, and not the federal or the provincial government, who has a commanding lead into the whole REM project. Predictably, an extension of the REM to Dorval would have implications for ridership and operating income. And the design of the Airport Line and Station would need to be modified as well. Hopefully, the federal study has given full consideration to these factors.
  13. Pas nécessairement. Des embranchements (branch or spur) de voies ferroviaires ou de métro sont courants, et représentent la façon la plus efficiente (i.e. en prenant les coûts en considération) de desservir des secteurs où la demande est moindre que dans ceux où une ligne intégralement dédiée est requise. C'est la combinaison des trois secteurs (nord-ouest, ouest et aéroport) qui suffisait à justifier l'investissement.
  14. Je m'étais fait la même réflexion. Puisque je ne suis pas le seul, passons à l'étape suivante: pouvons-nous estimer l'heure de la journée en fonction de l'ombre produite, sachant que le soleil se lève à l'est (géographique) et que nous sommes en début septembre, mais encore à l'HAE?
  15. Désolé, le deuxième millénaire fait partie du passé, bien que la plupart d'entre nous étions déjà nés dans ses dernières années. Quant aux années 20 dudit millénaire (1020-1029), c'est tellement lointain que le peu qu'on en sait se trouve enfoui dans les livres d'histoire. Maintenant, concernant ce projet que Canvar entreprend au moment même où tant d'incertitude plane encore sur l'avenir des centres-villes, j'en salue l'audace. La question qui m'intéresse le plus dans ce projet (et d'autres qui pourraient survenir prochainement) est la part consacrée à la fonction résidentielle: plus elle sera grande, plus elle contribuera à rétablir un équilibre entre les fonctions qui cohabitent au centre-ville, diminuant d'autant les besoins de déplacements motorisés.
  16. @Rocco On dirait que tu as le don d'ubiquité! (Je n'ai pas cité ton dernier message sur ce fil pour éviter de reproduire les mêmes images consommatrices d'espace-mémoire). Comment fais-tu?
  17. Donc, le bonheur est dans les tours! Là où tu as raison, c'est dans le "fait que tous les grands projets de tours lèvent ou sont en train de lever": disons que c'est un signe d'optimisme de la part des grands investisseurs en immobilier. Je veux bien y croire, mais je note par exemple que l'Empire State Building fut érigé en 1930-31, et que la troisième et dernière phase de l'édifice Sun Life à Montréal le fut de 1929 à 1933. Un décalage (lag) entre le moment de la décision d'investir et le moment (qui s'avère) le plus propice (fructueux, rentable) demeure une possibilité. Ceci dit, il y a des différences entre la crise économique initiée par le Krach de 1929 et la présente crise du coronavirus: les gouvernements ne sont plus aujourd'hui captifs des dogmes économiques/monétaristes qui prévalaient encore au début des années 1930, et les investisseurs pour leur part ont appris à mettre en place des amortisseurs de risque financier. Le malheur (si on choisit ce terme pour faire contraste au bonheur), ce serait que cette période d'effervescence dans la construction soit suivie d'une période de stagnation. Dans ce cas, les tours nouvellement érigées feraient un bien piteux symbole.
  18. Pénurie de main-d'oeuvre et chômage élevé peuvent coexister. Les chômeurs actuels ne sont pas nécessairement qualifiés et/ou intéressés à occuper les postes disponibles. Cet état de choses n'est rien de nouveau.. Ce qui l'est peut-être, c'est la vitesse à laquelle les transformations dans le marché du travail se produisent. Les solutions "traditionnelles" (e.g. requalification de la main-d'oeuvre via la formation professionnelle, incitations fiscales à l'emploi et à la mobilité, stimulation de la demande globale) demeurent pertinentes, mais il faudra trouver des moyens de les rendre plus efficaces. Dans d'autres cas, pour les employeurs, c'est plutôt l'automatisation de certains processus qui peut solutionner le problème de pénurie. Je voudrai aussi faire part de mon opinion à l'effet que ce ne sont pas tous les emplois actuels (maintenus ou nouvellement créés) qui sont assurés de rester. Certains dépendent de "subventions salariales" temporaires; leur maintien après la fin des subventions sera conditionné par une nette amélioration des conditions du marché dans leurs secteurs. D'autres ont surgi pour répondre à une demande accrue (possiblement temporairement) de biens ou surtout de services liés à la pandémie (par exemple les livraisons à domicile). Ce qui devrait être incontestable, c'est que la demande globale actuelle est fortement soutenue par d'importants transferts financés par des déficits budgétaires, ce qui n'est pas soutenable indéfiniment; en d'autres mots, la "santé" (toute relative d'ailleurs) de l'économie ne doit pas être jugée uniquement en fonction du niveau d'activité observée.
  19. Si on se base sur ces chiffres, tu as raison. Cependant, 1) Le volume des transactions (ou la part de l'Île de Montréal dans le total québécois) ne dit pas tout: une transaction ne représente pas une addition (ni une soustraction) à quoi que ce soit, mais seulement l'intensité d'un mouvement --des acheteurs et des vendeurs. L'évolution comparative des prix obtenus pourrait être plus significative. 2) Sur l'Île de Montréal proprement dite, il y a probablement des disparités entre les quartiers. Il faudrait voir où, et notamment si le centre se distingue positivement ou négativement des périphéries.
  20. Il me semble que ce sont les employeurs qui prendront des décisions responsables, en tenant compte bien sûr des préférences de leurs employés mais aussi d'autres considérations respectant toutefois dans tous les cas les consignes établies par le Gouvernement. Une personne qui était employée au centre-ville ne pourrait pas de sa propre initiative "revenir" si l'établissement demeure fermé/continue à fonctionner exclusivement ou largement par télé-travail. A l'heure actuelle, compte tenu des restrictions en vigueur, notamment en matière de distanciation, il serait physiquement impossible de revenir intégralement à la situation antérieure. Cela concerne les transports en commun, mais aussi l'aménagement des bureaux. Ces limitations s'appliquent également aux restaurants et aux commerces qui servent la clientèle du centre-ville. Finalement, en plus desdites limitations, les restaurants et les commerces doivent ajuster leur offre au volume de ventes qui sera possible; en ce sens, ils sont aussi à la traîne des décisions des autres.
  21. Nous sommes plusieurs déjà à envisager un "APRÈS" modérément différent mais plutôt positif pour le centre-ville. Je cite les deux dernières interventions, mais d'autres y ont contribué aussi et s'y retrouveront aisément. Mais alors? (reformulant une interrogation récente) -- En quoi une aide spéciale pour le centre-ville serait-elle nécessaire/appropriée? Ne vaut-il pas mieux laisser se faire "toutes seules" les transformations/ré-affectations d'usage qui iront de pair avec les changements permanents occasionnés par la crise actuelle? Après tout, les commerçants, restaurateurs et propriétaires de tours à bureau et leurs employés ont accès aux mêmes supports que dans les autres quartiers et les autres régions. On pourrait faire valoir que le centre-ville est plus durement affecté, mais en même temps, c'est précisément en ce lieu que les ajustements les plus visibles/les plus importants seront nécessaires. Une aide spéciale (en sus de toutes les autres) pourrait avoir l'effet pervers de retarder/inhiber les ajustements nécessaires. Par ailleurs, il faut noter que dans l'éventualité où l'intensité globale des activités au centre-ville allait diminuer de façon durable, cela aurait pour effet de baisser les valeurs locatives et les taxes qui s'y rattachent. La transformation fera quand même des "perdants", c'est dans sa nature. De tous temps, il en fut ainsi, par exemple quand la mécanisation de l'agriculture a provoqué l'exode rural, ou quand l'ouverture des frontières à des produits étrangers moins chers a entraîné la quasi disparition des entreprises locales qui occupaient les marchés (textiles, vêtements, chaussures, etc.). Ça ne sert à rien de chercher à conserver des entreprises moribondes et les emplois qui y sont rattachés. Si on pensait que l'après crise allait être identique à l'avant, on penserait autrement: on fournirait une aide temporaire. Tout tient à la vision que l'on a de l'avenir.
  22. Je te crois, mais si ça allait vraiment aussi bien, personne ne devrait se plaindre. Or on entend des cris d'alarme tous les jours. Je pense que la différence, c'est que oui il y a beaucoup de monde dans les rues, mais beaucoup moins dans les bureaux, ce qui est moins visible mais autant sinon plus important encore.
  23. 1) L'aboutissement (outcome) tel que tu le décrits m'apparaît très vraisemblable. Mais avec moins d'employés quotidiennement (à cause d'une alternance (télé-travail/ travail au bureau de l'entreprise au centre-ville), cela fera en moyenne sensiblement moins de clients potentiels, notamment pour les restaurants. Pour le "magasinage", l'impact sera probablement moins prononcé, parce qu'on ne magasine pas tous les jours. En ce sens, le c-v sera "correct". Sinon (si l'aboutissement était moins positif), quels seraient les grands perdants? 2) Qu'arriverait-il si le c-v ne recevait pas l'aide dont il aurait besoin (selon les demandeurs)? --La faillite de certains, suivie de reprises par d'autres, ou pire? Quand une tendance ou des événements font des gagnants, on n'exige pas qu'ils partagent intégralement* leurs gains avec le reste de la société; à l'inverse, quand un événement fait des perdants, est-ce que la société est tenue de les compenser intégralement? * J'ai précisé "intégralement", pour tenir compte du fait que les impôts et taxes s'approprient une partie de ces gains.
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