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Faitlemou

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Tout ce qui a été posté par Faitlemou

  1. Aménagez un beergarten, un mur d'escalade, une galerie d'art et une terrasse et je serai content.
  2. Les facteurs de résilience de l'économie Québécoise https://www.desjardins.com/ressources/pdf/pv120919f.pdf
  3. Il y a un article sur le "lost decade" économique de l'Ontario. Ils font mention de la dette ontarienne qui dépasse celle du Québec. L'article parle d'une situation complètement "unthinkable". Il y a visiblement une mentalité dans les autres provinces que si le Québec va si bien, c'est plutôt parce qu'eux ne vont pas bien.
  4. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/201910/29/01-5247544-economie-du-quebec-non-ce-nest-pas-un-accident-de-parcours.php Économie du Québec: non, ce n’est pas un accident de parcours PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE L’économie du Québec fait clairement bande à part. Des données publiées hier font état de la plus longue croissance continue depuis 22 ans, pendant que l’économie vivote ailleurs dans le monde. Que se passe-t-il ? Vous connaissez cette expression ? Je sais, elle est très familière. Dans le langage courant des Québécois, elle traduit un phénomène qui est étonnant, étrange. « Il se passe de quoi », ce sont les mots qu’a utilisés l’économiste Marc Pinsonneault, de la Banque Nationale, pour décrire la vigueur renversante de l’économie du Québec, comme l’indiquent des données publiées hier. L’indice phare, le produit intérieur brut (PIB), a enregistré une croissance pour le 10e mois d’affilée en juillet (le mois le plus récent disponible). Jamais n’y a-t-il eu une période de croissance continue aussi longue depuis que l’Institut de la statistique du Québec (ISQ) publie de telles données, en 1997. C’était il y a 22 ans. Plus précisément, le PIB a crû au rythme annuel de 3,4 % pendant cette période, après soustraction de l’inflation. Non seulement cette croissance est-elle très solide, mais en plus, elle est deux fois supérieure à celle qui a été observée dans l’ensemble du Canada (1,5 %). Ces derniers mois, voire ces dernières années, plusieurs croyaient que le boom au Québec était une anomalie, un accident de parcours, d’autant que la plupart des autres économies du Canada et du globe vivotent. Mais voilà, la vigueur ne démord pas au Québec. Si l’on prend seulement l’année 2019, le rythme annuel de croissance du PIB est de 2,8% au Québec, contre 2,6% aux États-Unis, 1,7% au Royaume-Uni, 1,4% au Canada, 1,4% en France et 0,6% en Allemagne (1). Bref, on est au sommet des économies occidentales. L’économiste Hélène Bégin, du Mouvement Desjardins, se dit fort étonnée, surtout dans le contexte de ralentissement mondial, qui freine nos exportations. « Ça reste tellement fort au Québec. Les mauvaises nouvelles mondiales ne semblent pas avoir encore d’impact sur nous. C’est comme si le Québec était une île déserte », dit-elle. Que se passe-t-il au juste ? D’abord, le Québec n’a plus à subir de douloureuses compressions budgétaires, comme c’est le cas en Ontario et en Alberta, par exemple. Cette semaine, les Albertains ont appris que le gouvernement Kenney réduira les dépenses publiques de 0,7 % par année pendant quatre ans pour atteindre le déficit zéro. Des emplois seront supprimés, des salaires seront gelés, les droits de scolarité seront dopés. Chez nous, l’ère d’austérité est passée et, quoi qu’on en dise, elle fut moins cruelle que celle qu’affrontent les Albertains et les Ontariens. En comparaison, les dépenses au Québec n’ont pas été réduites pendant les trois années difficiles (2013-2016), contrairement à l’Alberta, elles ont plutôt augmenté de 1,8 % par année, en moyenne. Et depuis, l’État a réinvesti dans l’économie et baissé les impôts. Autres facteurs : l’immobilier et l’énergie. L’Alberta, la Saskatchewan et Terre-Neuve-et-Labrador doivent se dépêtrer avec de faibles prix du pétrole et des problèmes de pipeline, tandis que l’Ontario est aux prises avec une électricité qui coûte une fortune. Le Québec est à des années-lumière de ces problèmes. Quant à l’immobilier, Montréal et le Québec n’ont pas eu à composer avec les soubresauts qu’ont connu Vancouver et Toronto, où certains secteurs ont subi des chutes de prix, fait valoir Hélène Bégin. Enfin, au Québec, les investissements sont au rendez-vous. Non seulement le secteur public investit-il — qu’on pense aux écoles, aux routes ou au REM —, mais en plus, le secteur privé s’est mis de la partie. Ainsi, en 2019, les entreprises projettent d’investir 20,6 milliards de dollars, ce qui constituerait une hausse de 10,6 % par rapport à 2018, soit la plus forte depuis 2011, selon Statistique Canada. La croissance des projets d’investissements touche autant les machines et l’outillage que les immobilisations, ce qui est de bon augure pour la productivité. Le secteur public, de son côté, investira aussi 20,9 milliards en 2019, ce qui sera un peu plus élevé que l’année record de 2018. Dans les autres provinces, les investissements du secteur privé sont en faible hausse ou dans le rouge, sauf en Colombie-Britannique. Vous me direz que l’indicateur de croissance du PIB date de juillet, qu’il est publié avec quelques mois de retard et que les choses pourraient avoir changé depuis. Peut-être, mais ce n’est pas ce que les économistes voient dans leur boule de cristal. Oui, les ventes au détail et les mises en chantier n’ont pas été particulièrement vigoureuses depuis juillet, oui, le rythme de croissance de l’économie sera difficile à maintenir, mais le marché de l’emploi continue de très bien faire au Québec (voir capsules). De plus, la confiance des entreprises et des ménages québécois demeure très forte, ce qui les incitera à dépenser. En octobre, l’indice de confiance des consommateurs atteignait 164 au Québec, selon le Conference Board, très loin devant celui de l’Ontario (96), des Prairies (61) ou même de la Colombie-Britannique (122). En 2014, année de référence, l’indice était à 100 pour toutes les provinces. Pas de doute, « il se passe de quoi » au Québec. La plupart des observateurs s’échinent à regarder les données récentes pour tenter d’expliquer le phénomène. Pour ma part, je regarde plus loin dans le rétroviseur. Et constate que, ces dernières années, les Québécois ont traversé la crise de la corruption, la crise étudiante et la crise des finances publiques, qu’ils ont fini par régler, ma foi, admirablement. Va-t-on enfin le reconnaître ? Les solutions que nous avons collectivement choisies, bien qu’imparfaites, ont assaini l’ambiance et favorisé le climat social et économique. Et aujourd’hui, pendant que les autres stagnent, on avance. 1 - Au Québec et au Canada, ce taux de croissance annualisé est pour les 7 premiers mois de l’année, tandis qu’il est pour les 6 premiers mois dans les autres pays. Trois voyants au vert Une croissance « généralisée » La plupart des voyants sont présentement au vert au Québec, ce qui amène l’économiste principale de Desjardins, Hélène Bégin, à parler d’une période de croissance économique « généralisée ». Quels secteurs s’illustrent le plus ? Au cours des 10 derniers mois, le PIB réel a grimpé de 15,5 % dans le secteur minier non primaire, de 9,1 % dans le commerce de gros, de 6 % dans les mines et carrières, de 5,4 % dans l’électricité, de 4,7 % dans la gestion de sociétés et d’entreprises, et de 4,4 % dans la construction résidentielle. Onze secteurs industriels ont tiré l’économie vers le haut, soit cinq dans la production de biens et six dans les services, souligne Marc Pinsonneault, économiste à la Banque Nationale. Des milliards de surplus La bonne stature de l’économie — et les efforts de rationalisation des dépenses faits par le gouvernement précédent — se traduisent par des milliards de surplus dans les coffres de l’État québécois. Le gouvernement Legault compte profiter de cette marge de manœuvre pour redonner de l’oxygène aux contribuables à l’occasion de la mise à jour économique du 7 novembre. Parmi les mesures déjà connues, on compte la baisse des tarifs de stationnement dans les hôpitaux, qui pourrait coûter 150 millions à Québec. Le gouvernement pourrait aussi bonifier plus vite que prévu l’allocation familiale offerte pour les deuxième et troisième enfants. 133 000 nouveaux emplois Si le PIB québécois progresse à vive allure, la création d’emplois suit aussi un rythme similaire. Quelque 133 000 emplois à temps plein ont été créés dans la province depuis un an. Le taux de chômage se situait à un creux de 4,8 % en septembre, contre 5,5 % dans l’ensemble du Canada. Le taux d’emploi (76,9 %) et le taux d’activité (80,9 %) ont tous deux atteint un sommet ce même mois chez les Québécois de 15 à 64 ans. Cette vigueur a une contrepartie de plus en plus visible : il manque de main-d’œuvre au Québec. On compte 140 420 postes vacants dans la province au deuxième trimestre, soit un bond de 21 % depuis un an. — La Presse
  5. Et on a toujours pas de rendu final du projet?
  6. Un paquet de tours pareils dans le même range de hauteur.
  7. Seigneur la skyline est pas fini, il y a encore des tours à venir. Si vous voulez voir à quoi ça ressemble une skyline flat, allez à Vancouver.
  8. Oui oui, je dis juste que ça fait plusieurs années de suite qu'on dit que ça va ralentir et ça n'arrive pas
  9. Mesemble que ça fait 4 ans de suite qu'on dit ça
  10. Hein??? Comment un terrain qui vaut 5M$ a pus se vendre pour 44M$?????
  11. Postes vacants en hausse, mais on a quand même perdu 40 000 emplois?
  12. Quelqu'un à des potins pour le terrain en rouge? Et aussi, je crois qu'il y aurait un potentiel à développer au dessus de la section en bleu.
  13. La tour est plus intéressante, le basilaire beaucoup moins. Alors vu que, pour moi, l'expérience du piéton est plus importante que celle du gars qui admire la skyline de la rive-sud, je préfère le rendu final.
  14. https://www.journaldemontreal.com/2019/12/13/les-americains-sarrachent-sa-technologie-novatrice Les Américains s’arrachent sa technologie novatrice Annexair de Drummondville fabrique des systèmes industriels de ventilation Une usine ultramoderne de 40 millions $ sur le bord de l’autoroute 20, près de Drummondville, réutilisera 30 millions de bouteilles de plastique par an, dès son ouverture en juin 2020, pour produire du biocomposite qui remplacera l’acier. « C’est une première mondiale », communique le président d’Annexair, François Lemieux. L’entreprise de Drummondville utilisait des milliers de tonnes d’acier chaque année pour fabriquer les énormes caissons de ses systèmes de ventilation en haute efficacité énergétique HVAC, conçus sur mesure. Préoccupée par l’avenir de la planète, Annexair a développé un nouveau produit, le biocomposite, pour remplacer l’acier traditionnel, qui est le plus grand générateur de gaz à effet de serre (GES) du secteur industriel. « C’est un sujet de l’heure sur la planète présentement. On parle beaucoup des bouteilles de plastique. On a trouvé quoi faire avec ces bouteilles-là, mais de manière intelligente », fait-il valoir François Lemieux. PHOTO COLLABORATION SPÉCIALE, CAROLINE LEPAGE François Lemieux affiche fièrement sa mission sur une affiche dans l’usine. Réduire les GES de 85 % L’utilisation du biocomposite dans sa production manufacturière permettra de réduire l’émission de GES de 85 %. Des brevets ont été déposés pour ce nouveau matériel isolant, 100 % composé de bouteilles de plastique recyclées et de peaux de fibre de verre. L’évolution des travaux de recherche et développement, qui risquent de révolutionner le secteur de la construction, se tenait dans un lieu secret, à Drummondville. « On appelait ça la forteresse. Il n’y avait pas d’enseigne. Il n’y avait rien. Pendant six ans, on était là, caché, barré à clé. À l’intérieur, il se faisait énormément d’innovation mondiale », relate le président. Le lancement des caissons à base de biocomposite sera effectué en février 2020 lors de la plus importante foire de l’industrie HVAC, à Orlando, en Floride. Annexair a investi 40 millions $ pour la construction de sa troisième usine de 300 000 pieds carrés, le long de l’autoroute 20, près de Drummondville. Inspiration allemande Inspirée d’installations allemandes, cette usine « zéro acier » sera à la fine pointe de la technologie, avec son automatisation prédominante, l’intégration de la réalité virtuelle avancée et la reconnaissance d’objets au sein de la production. « On a pris le virage 4.0 et, sans prétention, on s’enligne pour être 5.0. Toutes les nouveautés industrielles, elles sont toutes bienvenues ici », expose le président. Très propre, l’usine compte 60 000 pieds carrés de fenestration et 25 grands puits de lumière afin que tous les travailleurs, peu importe où ils se trouvent, puissent voir dehors. Une vaste cafétéria offrira des repas chauds aux travailleurs, au coût d’environ 2 $. « On a fait une usine écoconcept, écoproduction, avec des biomatériaux », dit fièrement M. Lemieux. SE LANCER EN AFFAIRES DANS LE GARAGE DE SA GRAND-MÈRE François Lemieux a démarré Annexair, il y a 23 ans, dans le garage de sa grand-mère, en cherchant une solution pour améliorer la qualité de l’air et la récupération d’énergie dans les immeubles. La famille de François Lemieux possédait plusieurs immeubles commerciaux à Drummondville. Lui-même évaluateur immobilier, il consacrait ses fins de semaine à développer un système de ventilation en efficacité énergétique plus performant que ce qui existait dans l’industrie. « Mes parents m’ont donné la chance de partir cette entreprise en me prêtant des sous. Moi, j’ai décidé de faire le saut. Je me suis acheté un livre Comment partir son entreprise 101. À la page 1, c’était écrit : “faire un plan d’affaires”. J’ai commencé étape par étape, brique par brique, morceau par morceau, à apprendre ça. » Retard technologique Son analyse du marché lui a fait constater qu’en Amérique du Nord, l’industrie affichait du retard, du point de vue technologique. « Il y avait une chaise vacante pour fabriquer du top qualité, du haut de gamme. Un produit bien fait, solide, peu énergivore. Personne n’occupait cette chaise-là. Moi, je l’ai vue et j’ai décidé que ça allait être ma chaise à moi », décrit le fondateur d’Annexair. M. Lemieux s’est envolé vers l’Allemagne où il est allé se faire former par des compagnies spécialisées dans ce domaine, avec qui il a établi d’excellents contacts. La qualité de ses premiers systèmes lui a valu de conclure des contrats d’approvisionnement avec les plus gros joueurs mondiaux HVAC, soit Carrier et Trane. Ces partenariats ont propulsé la croissance d’Annexair qui est passée d’un chiffre d’affaires de 750 000 $, en 2000, à 31 millions $, en 2008. Cette année, les ventes totalisent 60 millions $ au sein de cette entreprise de 275 employés. Avec le lancement des systèmes HVAC en biocomposite, le président estime que le chiffre d’affaires annuel pourrait atteindre 300 millions $, ce qui signifierait que l’entreprise recyclerait 60 millions de bouteilles de plastique par an. GOOGLE ET FACEBOOK, LES PREMIERS CLIENTS Google et Facebook veulent être les premiers clients à se procurer les systèmes HVAC en biocomposite qui seront produits sur les chaînes de montage de la future usine. En 2018-2019, l’entreprise de Drummondville a produit le système HVAC du siège social de Facebook, dans la Silicon Valley, en Californie, reconnue pour son image écolo et ses bâtiments verts. « On vient de faire une tour de 45 étages. On est en train de faire la deuxième », illustre l’entrepreneur. M. Lemieux raconte que des dirigeants du lucratif réseau social sont venus en jet privé pour visiter les installations d’Annexair à Drummondville. Annexair est également le principal fournisseur pour les nombreux Google Data Centers qui ont vu le jour aux États-Unis. À ce jour, Annexair a fabriqué 9000 unités et 99 % d’entre elles ont été livrées aux États-Unis. Parmi ses réalisations, Annexair compte l’Université Harvard, l’aéroport international de Miami et de Myrtle Beach, le Dallas Cowboys Stadium, les sièges sociaux de Coca Cola et de Tommy Hilfiger, les bases militaires américaines jusqu’en Corée et plusieurs autres.
  15. Hehehehehehehehehehehee hahahahahahahahahahaha heheeeeeeeeeee aaaaaaaaaah ça fait drôlement du bien de lire ça!
  16. S'ils peuvent construire des tours qui vont cacher les monstruosités qui y sont, je suis pour!
  17. Ah c'est le saint patron de mtlurb alors
  18. Voici le pire secteur du Vieux-Montréal en terme de terrain vague. Seigneur que ça fait dur.
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