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Normand Hamel

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Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. Ce qui nous manque pour l'instant ce sont des photos de l'intérieur. J'ai bien hâte aussi de voir de la vie dans ces lieux où employés, étudiants et professeurs se côtoieront quotidiennement dans l'exercice de leurs fonctions. Je m'attends aussi à ce qu'il y ait beaucoup de visiteurs qui viendront de partout dans le monde pour admirer cette merveille architecturale.
  2. Ces passerelles qui passent par dessus l'entrée/sortie de chaque côté c'est génial!
  3. https://twitter.com/sfbeaulieu/status/1153111687425384448
  4. Thanks for mentioning this. I had totally forgotten this fact and I could have used this argument in my replies. That's the point I have been trying to make for sometime now. People expect results at the click of a mouse but that's not the way real life works. Personally I like to look at trends and I am quite happy with what I see about Montréal since 2015 when I (we) started to notice a remarkable turnaround in construction and economic activities. What can I say, some people like to rain on the parade while others are marching with it. As for myself I am just happy watching it.
  5. Je suis bien d'accord. On peut certainement réduire le fardeau fiscal des Québécois et j'ai l'impression que cela arrivera vers la troisième ou quatrième année du mandat du présent gouvernement. À moins bien sûr qu'il y ait une récession majeure d'ici-là. Ce qui malheureusement est de plus en plus inévitable. Et ce n'est pas moi qui le dit mais une majorité d'économistes (70%) qui prévoient une récession en 2020 ou 2021. En attendant les finances du gouvernement se portent plutôt bien et comme j'en ai discuté ici à plusieurs reprises ceux qui ont des familles à charge sont avantagés par rapport aux autres provinces et même dans l'ensemble des pays de l'OCDE. Même pour un célibataire qui aurait le choix entre aller travailler à Toronto ou Montréal il sera de plus en plus tenté de choisir Montréal, non seulement pour la qualité de vie mais aussi pour le logement et l'habitation. Si l'économie de l'Ontario se porte bien il en va tout autrement des finances du gouvernement. La raison est simple: autant les impôts sont trop hauts au Québec autant ils sont trop bas en Ontario qui souffre présentement d'un déficit structurel qui pourrait s'aggraver en cas de récession. Il y a certes la possibilité de réduire davantage les dépenses mais il y a des limites à cet exercice.
  6. The GDP growth was 3,4% in 2018, which is an extraordinary figure considering what we have been through in the last few decades. As for productivity we all agree on this and there is actually a programme in place where the government is offering direct assistance to companies that would need to modernize their equipment. And this programme comes with metrics that are monitored closely to make sure the investments are producing the expected returns. It is not the economy that is not keeping up but the salaries. And this problem goes back to the time when Montréal's industrialization was taking shape. Montréal workers were then the lowest paid in Canada and still are 150 years later. I won't delve on the reasons for this but it is a situation that might change for the better in the coming years. First, Montréal is fast becoming a tech city and that industry commands high salaries. Second, Premier François Legault is doing everything he can to change this trend and I have reason to believe he might get what he wants. After all it's what we all want.
  7. 1250 Avenue Thérèse Lavoie-Roux. https://www.facebook.com/outremont.arrondissement/photos/a.424794537726137/1110193665852884/?type=3&theater
  8. 1000 Avenue Outremont. https://www.facebook.com/outremont.arrondissement/photos/a.424794537726137/1110193665852884/?type=3&theater
  9. 439 Avenue Thérèse Lavoie-Roux. https://www.facebook.com/outremont.arrondissement/photos/a.424794537726137/1110193665852884/?type=3&theater
  10. Vue de la nouvelle place publique depuis l’atrium du complexe des sciences. Photo prise au mois de juin dernier. https://twitter.com/jflusignan/status/1138620746484322305
  11. Voici le lien pour lire le rapport au complet:
  12. L'économie de Montréal va beaucoup mieux Montréal va mieux qu’il y a cinq ans. Montréal a même accentué son importance économique par rapport au reste du Québec. Lia Lévesque - La Presse Canadienne Ces conclusions viennent de l’Institut du Québec, qui dévoile sa quatrième édition de « Comparer Montréal ». La métropole québécoise est alors comparée à 14 villes de même taille en Amérique, ainsi qu’au reste du Québec sous des aspects comme la qualité de vie, l’activité économique, la productivité et autres. Du positif La croissance économique y est beaucoup plus forte qu’en 2014, soit une croissance du PIB de 3,4 % en 2018 par rapport à 1,8 %. Parmi les points forts de Montréal, l’Institut note la croissance économique, la qualité de vie et la création d’emplois plus forte que dans le reste du Québec. « Il y a beaucoup de villes et de régions du monde dont la croissance économique est bonne, mais il y a aussi un choix, dans les dernières années, qui a été fait de secteurs d’activité porteurs, qui font en sorte que Montréal se démarque quand même assez bien » maintenant, a indiqué le coauteur de l’étude, Jean-Guy Côté, en entrevue avec La Presse canadienne. Il cite en exemple l’intelligence artificielle, les technologies de l’information et les investissements étrangers. « Le choix des industries du passé paie maintenant », a conclu M. Côté. De même, « l’innovation semble enfin décoller » avec bon nombre de diplômés en sciences, en génie, en technologies et mathématiques. En matière de qualité de vie, Montréal continue de trôner parmi les meilleures ; elle n’est devancée que par Vancouver. Suivent Minneapolis, Toronto, Portland, Denver, Seattle et San Francisco. Le faible niveau d’inégalités y est pour beaucoup, de même que la qualité de l’air et le développement du transport en commun. Le poids de Montréal Fait méconnu : en 2018, l’Institut a noté que 33 400 emplois ont été créés à Montréal, tandis que le reste du Québec a connu une baisse de 19 100 emplois. Est-ce à dire qu’un clivage commence à se dessiner entre Montréal et le reste du Québec ? « Depuis l’année passée — et même je pense, sous réserve, l’année précédente — il y a une création d’emplois qui se passe à Montréal beaucoup plus qu’ailleurs au Québec », illustre M. Côté. Montréal compte 50 % de la population, mais est la source de près de 52 % des revenus des gouvernements, souligne-t-il dans l’étude d’une soixantaine de pages. « Si les courbes démographiques et économiques restent les mêmes, l’élargissement va s’agrandir. Si Montréal continue à récolter un plus gros pourcentage de la part de l’immigration qu’actuellement, l’écart risque de s’accélérer, parce que l’immigration est quand même un moteur de la croissance économique », souligne M. Côté. À améliorer Parmi les points à améliorer, on note la productivité, la faible qualification des travailleurs et la proportion moindre de diplômés universitaires par rapport à d’autres grandes villes nord-américaines. Dans son étude, M. Côté qualifie même de « boulet » la qualification des travailleurs. Parmi les solutions qu’il identifie : lutter encore contre le décrochage et mieux former en entreprise. Pour ce qui est du nombre de diplômés universitaires, « on s’est amélioré » mais d’autres grandes villes aussi. « Les autres aussi courent très vite. » La productivité moindre continue d’être un casse-tête. « Il y a eu une légère croissance de la productivité, mais comparativement à d’autres endroits, ça ne va pas vite. On reste dans le bas du classement. On n’a pas de réponse exacte à savoir pourquoi. Une des réponses qu’on a, c’est justement la diplomation et la qualification des gens en entreprise. » L’Institut est issu d’un partenariat entre HEC Montréal (Hautes études commerciales) et le Conference Board du Canada. Pour les fins de la recherche, l’Institut collabore avec Montréal international et la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/201908/20/01-5237983-leconomie-de-montreal-va-beaucoup-mieux.php
  13. Normand Hamel

    Expos de Montréal

    Sur les évocations suivantes on voit le REM, surtout sur la deuxième.
  14. Les maths, une équation montréalaise Sarah Boumedda - Le Devoir Le départ se fait à l’entrée du pavillon Président-Kennedy de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), en début d’après-midi : un petit groupe de personnes se rassemble autour de Pauline Hubert et Florence Maas-Gariépy, doctorantes en mathématiques et nos guides pour les deux prochaines heures. Ce groupe, auquel Le Devoir s’est joint cette semaine, part en balade. Destination : le coeur de la ville sous une lentille mathématique. Dans le cadre de la balade « Maths en ville », créée avec le Coeur des sciences de l’UQAM, Florence et Pauline nous ouvrent les yeux sur les mathématiques, mais pas n’importe comment. Ici, nul besoin de kit de géométrie ou de calculatrice. « On veut vous montrer les mathématiques comme un outil de logique, qui nous aide à dépasser nos perceptions premières », affirme Florence au départ du groupe. "Souvent, les gens imaginent les maths comme quel­que chose de scolaire, mais en fait, ça peut être très varié, et les mathéma­ticiens peuvent être créatifs" — Nadia Lafrenière Elle s’explique : le but n’est pas de tester la trentaine de personnes sous sa gouverne avec des questions arithmétiques, mais bien de « voir la ville à travers des lunettes mathématiques ». C’est ainsi que des concepts de la vie de tous les jours, comme mesurer le trafic automobile ou déterminer un trajet routier, prennent une dimension logique au cours de la balade. À travers chaque station où un concept mathématique est abordé, l’emplacement de la station le met en contexte dans le paysage urbain montréalais. « C’est bien, de pouvoir présenter les maths comme ça, de façon inhabituelle, dit Pauline entre deux stations d’activités. Les gens se rendent compte que les maths, c’est plus que ce à quoi ils s’attendent. » Une formule propre à chaque ville Ce concept de circuit existe dans plusieurs villes du monde, raconte Nadia Lafrenière, l’une des conceptrices, avec Stéphanie Schank, de la balade « Maths en ville ». S’étant inspirées de trajets similaires à Londres et à Oxford, entre autres, les deux doctorantes ont pris près d’un an à concevoir une formule montréalaise — car chaque balade est propre à une ville, dit-elle. « Ç’a été très long, pour être honnête ! s’exclame la mathématicienne. On récoltait des idées sur ce qu’il pourrait y avoir dans la ville de mathématique et pouvant être intéressant pour le grand public. Même si quelque chose est intéressant pour nous, si ça nécessite des connaissances plutôt avancées en maths, ce n’est pas pertinent pour une activité où on veut inviter tout le monde à participer pleinement. » Car c’est ça, le but de la balade, répète-t-elle : inviter les gens à se rendre compte que les maths, c’est bien plus que du calcul ou des formules excentriques. La ville, qui est accessible à tous, se définit ainsi comme la meilleure façon de démontrer cette position. « Ça rejoint quand même beaucoup les gens, la ville. Il y en a qui participent parce que c’est des maths, mais il y en a beaucoup qui viennent parce qu’ils s’intéressent à la ville ; c’est sûr que ce sont des choses qu’on voit tous les jours et auxquelles on ne pense jamais. » D’ailleurs, tout au long de la balade, l’activité ressemble moins à un cours mathématique qu’à un travail collaboratif entre les participants. À chaque arrêt, une question ou un problème est posé au groupe, qui tente ensuite de trouver une solution ou une explication — la portion mathématique ne vient qu’après que la réponse a été donnée. Un peu comme pour dire que, oui, il y a bien des maths dans ça aussi. « Ce que j’aime le plus, c’est quand on réussit à surprendre les gens, dit Nadia. Parfois, quand on arrive à une réponse, il y en a qui disent : “Ah, mais là, voyons ! Je n’aurais jamais pensé à ça !” Souvent, ce n’est pas [le problème] qui est trop technique ou trop difficile, c’est juste qu’ils sont surpris, et c’est ça qu’on cherche. » Plates, les maths ? Là est la beauté des mathématiques, selon Nadia : son omniprésence dans l’univers, des grandes lignes de la science aux conjectures les plus anodines et bizarres qui soient. « Les mathématiciens réfléchissent à toutes sortes de choses d’un point de vue mathématique, dit-elle. Certaines personnes se posent des questions qui ont l’air [insolites] ; pourquoi quelqu’un se poserait-il cette question-là ? Mais elles le font quand même, osent en parler après, et ça donne des choses auxquelles personne n’avait pensé. » Parfois, ces questions mènent à de grandes découvertes, et parfois (ou bien souvent), non. Mais cette curiosité du monde est ce qui motive les mathématiciens, ce que tente aussi de démontrer « Maths en ville ». « C’est un peu ça qu’on voulait faire : montrer aux gens comment les mathématiciens voient la vie. On essaie d’appliquer les choses qu’on apprend à un peu tout autour de nous. On voulait aussi montrer que les maths, c’est beaucoup plus que juste compter ou faire des divisions. Souvent, les gens imaginent les maths comme quelque chose de scolaire, mais en fait, ça peut être très varié, et les mathématiciens peuvent être créatifs. » Maths en ville - Mardi 20 août, 13 h 30, à l’entrée du pavillon Président-Kennedy de l’UQAM. Détails, tarifs et inscription: https://coeurdessciences.uqam.ca/component/eventlist/details/834-maths-en-ville.html https://www.ledevoir.com/vivre/560780/la-balade-maths-en-ville-devoile-montreal-sous-un-angle-mathematique
  15. En effet, si on ne s'y prend pas de la bonne façon pour accueillir les immigrants il s'en iront ailleurs. D'une part on leur fera perdre du temps et d'autre part cela aura coûté inutilement de l'argent au gouvernement. Un tel résultat ne serait donc pas fair ni pour l'immigré ni pour le gouvernement. Mon utilisation du mot fair n'est pas anodine puisqu'elle se retrouve dans l'acronyme composé des trois pistes de solution que j'ai proposées et auxquelles j'ai ajouté la tienne: 1- Formation de la main-d'oeuvre. 2- Automatisation des procédés. 3- Immigration de personnes qualifiées. 4- Rétention des immigrants.
  16. C'est certain que du point de vue des travailleurs il n'y a rien qui presse car plus la pénurie de main d'oeuvre sera grande plus leurs chances d'obtenir des augmentations de salaire seront élevées. Cependant du point de vue des entreprises la situation est toute autre. Non seulement leurs coûts en main d'oeuvre sont appelés à augmenter significativement mais le plus grave c'est que présentement plusieurs compagnies au Québec ne peuvent pas prendre de l'expansion faute de main d'oeuvre. Il y en a même qui refusent des commandes. Il existe trois pistes de solutions sur lesquelles il faut travailler en même temps et de manière coordonnée: 1- Formation de la main d'oeuvre. 2- Automatisation des procédés. 3- Immigration de personnes qualifiées.
  17. Pardonne-moi de te contredire mais la réalité c'est que le Canada en général, et le Québec en particulier, est très en retard en termes de productivité. C'est pourquoi le gouvernement du Québec a lancé un programme spécial d'assistance aux entreprises qui désirent augmenter leur productivité en automatisant leurs procédés. Il nous reste cependant beaucoup de chemin à parcourir avant de rattraper notre retard. Cela dit, je suis confiant que nous y arriverons éventuellement, surtout que nous sommes très forts en intelligence artificielle.
  18. https://twitter.com/MTLWeatherRL/status/1147884619733377024
  19. Québec investit 25 millions $ dans la jeune firme Element AI La start-up montréalaise veut devenir un poids lourd de l’intelligence artificielle Sylvain Larocque - Le Journal de Montréal Le gouvernement Legault mise 25 millions $ US sur l’entreprise montréalaise Element AI, qui a l’ambition de devenir un leader mondial de l’intelligence artificielle, mais qui n’a encore lancé aucun produit. La firme « présente un intérêt économique important pour le Québec », peut-on lire dans le décret autorisant l’investissement en capital-actions, publié récemment dans la Gazette officielle. « Nous sommes honorés de la confiance que le gouvernement du Québec place en Element AI », a réagi l’entreprise dans une déclaration envoyée au Journal. La Caisse aussi Selon le Globe and Mail, l’investissement de Québec s’inscrit dans une ronde de financement de 100 à 250 M$ US à laquelle participe également la Caisse de dépôt et placement. Element AI a été fondée à la fin de 2016 par plusieurs Québécois, dont le célèbre professeur Yoshua Bengio de l’Université de Montréal, considéré comme l’un des pères de l’apprentissage profond. L’objectif : créer un champion canadien de l’intelligence artificielle capable de rivaliser avec des géants américains comme Google et Facebook. Lors de deux rondes menées en 2016 et en 2017, l’entreprise a recueilli 102 M$ US auprès d’investisseurs comme Microsoft, Intel, Nvidia, la Banque Nationale, la Banque de développement du Canada, Real Ventures et Fidelity Investments. Puis, en décembre 2018, Ottawa a prêté 5 M$ à Element AI. Il s’agissait d’une récolte sans précédent dans le secteur naissant de l’intelligence artificielle au Canada. Stratégie remise en question Des observateurs de l’industrie s’interrogent toutefois sur les perspectives de succès d’Element AI. L’entreprise a embauché de nombreux chercheurs de haut niveau, mais ne commercialise toujours pas de produit permettant de générer des revenus récurrents. « La feuille de route en matière de produits n’est pas claire, la seule chose qui est claire, c’est “embauchons autant de gens que nous le pouvons” », a récemment affirmé au Globe, sous le couvert de l’anonymat, un financier qui a songé à investir dans Element AI avant de se raviser. Dans ses bureaux du quartier Mile-Ex, l’entreprise emploie environ 500 personnes, dont une centaine de détenteurs d’un doctorat. D’autres sources confidentielles ont confié au quotidien torontois que l’entreprise met plus de temps que prévu à développer des outils informatiques pour la Banque Nationale, le Port de Montréal, l’institution financière britannique HSBC et le fonds singapourien GIC. Le PDG de l’entreprise, Jean-François Gagné, assure toutefois qu’Element AI lancera sept produits d’ici la fin janvier, dont trois avant la fin de l’été. Au cours de son dernier exercice, qui a pris fin le 31 janvier, l’entreprise a affiché un chiffre d’affaires de moins de 10 M$, d’après des informations du Globe and Mail. La majorité des revenus provient de services de consultation offerts à de grandes entreprises comme L’Oréal, Hyundai, Maple Leaf et Barrick Gold. https://www.journaldemontreal.com/2019/08/05/quebec-investit-25-millions--dans-la-jeune-firme-element-ai
  20. Ormuco reçoit un coup de pouce de Québec de 4 millions Québec donne un coup de pouce de 4 millions à Ormuco, une entreprise établie à Montréal, qui fait dans l'intelligence artificielle. Lia Lévesque - La Presse Canadienne Le projet de l'entreprise évalué à 17,6 millions, la plateforme appelée Cerebro, doit permettre la création de 40 emplois hautement qualifiés dans le domaine de l'intelligence artificielle et de l'apprentissage automatique. Les détails ont été donnés lors d'une conférence de presse à Montréal, lundi, en présence du ministre de l'Économie et de l'Innovation, Pierre Fitzgibbon, du président-directeur général d'Ormuco, Orlando Bayter et des employés de l'entreprise. Ormuco s'est développée dans l'informatique de périphérie (edge computing), ou décentralisée, soit près de l'endroit où l'utilisateur se connecte, plutôt que dans l'infonuagique. Elle a conçu sa plateforme d'informatique de périphérie, estimant que l'infonuage occasionnait des délais problématiques à cause de l'éloignement. « Avec le "edge computing", les données vont être plus sécures, plus performantes, et il y aura moins de délais et elles seront dans 1000 sites à travers le Canada, pour donner ce "real time" qu'on n'a pas avec le nuage », a expliqué le PDG d'Ormuco, M. Bayter. Il a donné l'exemple d'une voiture autonome qui ne peut se permettre de délai pour « prendre la décision » d'arrêter à un feu rouge ou de freiner brusquement. La technologie de l'informatique de périphérie permet, dit-il, de prendre une décision à la même vitesse que celle d'un cerveau humain. Le ministre Fitzgibbon a jugé qu'il s'agissait là d'un prêt de 4 millions fort bien ciblé. « On parle de la création de 40 emplois de qualité ici, à Montréal, des emplois à plus de 40 $ l'heure ou 90 000 $ par année en moyenne. C'est exactement le genre d'emplois que notre gouvernement cherche à créer partout au Québec et notamment dans la métropole et ce, dans des domaines d'avenir », a-t-il souligné. Même pour des emplois aussi bien payés. M. Bayter admet que le recrutement d'employés reste un défi. Il note que sans le coup de pouce de 4 millions de Québec, le défi serait encore plus colossal. « Sans eux, ce serait très difficile d'embaucher les gens dont on a besoin pour Cerebro. » https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/201908/05/01-5236299-ormuco-recoit-un-coup-de-pouce-de-quebec-de-4-millions.php
  21. La Ville donne l'exemple: lorsque le quartier général du SPVM a été rénové le toit a été refait en blanc pour éliminer cet immense îlot de chaleur. Pour les autres édifices autour on voit la différence selon l'âge du bâtiment. Par exemple la Maison symphonique (2011) a un toit blanc tandis que la salle Wilfrid-Pelletier a toujours son toit noir d'origine (1963).
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