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Normand Hamel

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Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. Datawords choisit Montréal pour poursuivre la fusion de la technologie et du multiculturel Montréal, le 25 juin 2020 - Datawords , leader mondial des technologies multiculturelles, annonce aujourd'hui, dans la foulée de la journée du multiculturalisme, l’ouverture d’un nouveau bureau à Montréal, au Québec Le groupe Datawords, qui fête cette année ses 20 ans, accompagne les entreprises dans le déploiement de leur stratégie numérique à l’international par son savoir-faire technologique, son expertise multiculturelle et sa maîtrise de l’écosystème digital. Le groupe propose une offre complète de services pour la production multiculturelle (conseil linguistique, production vidéo, localisation et déploiement de contenus omnicanaux, chatbot…). La diversité culturelle est inscrite dans l’ADN du groupe français créé en 2000 à Paris par des fondateurs issus de nationalités, de cultures et de religions différentes. Le groupe, implanté sur 3 continents et 14 bureaux à travers le monde, réunit à ce jour près de 800 collaborateurs, 50 nationalités et plus de 60 langues. Disposant d’un bureau à New-York depuis 5 ans, Datawords a choisi de renforcer et d’élargir l’ancrage du groupe en Amérique du Nord en ouvrant une nouvelle filiale au Canada. Et c’est tout naturellement que le choix s’est porté sur Montréal, ville dynamique, à la pointe de l’innovation technologique et riche d’un vivier de jeunes talents internationaux formés dans les excellentes universités locales. Cette nouvelle filiale, dirigée par Maxime Mader, a vocation à se renforcer via de nouveaux recrutements pour développer les liens avec l’écosystème local des marques et servir de plateforme pour soutenir la forte croissance du groupe sur l’ensemble des marchés canadiens et américains. Datawords accompagne d’ores et déjà de grandes marques canadiennes telles que BRP ou Maison Birks, ainsi que de nombreuses filiales locales de groupes internationaux tels que Colgate, L’Oréal ou Clarins. Le groupe Datawords a bénéficié du soutien d’Investissement Québec pour l’ouverture de ce bureau. « Nous sommes ravis d’être enfin installés à Montréal, ville cosmopolite et pleine de potentiel, ville qui nous ressemble et qui nous correspond parfaitement. Notre implantation constitue un choix stratégique pour notre groupe puisque ce nouveau bureau sera le fer de lance de la poursuite de notre développement en Amérique du Nord », déclare Maxime Mader, Directeur de Projet à Datawords Canada. « C’est avec beaucoup d’enthousiasme que nous saluons l’arrivée de Datawords à Montréal, laquelle témoigne de la solidité de l’écosystème montréalais dans le domaine des technologies. Cette implantation permettra de stimuler davantage l’essor de cette révolution technologique au Québec, en plus de créer de nombreux emplois hautement qualifiés. Nous sommes fiers d’avoir contribué à faire valoir les avantages de choisir Montréal à ce joueur-clé de l’industrie et de l’avoir accompagné dans sa démarche d’investissement chez nous », soutient Hubert Bolduc, président Investissement Québec International. https://www.investquebec.com/quebec/fr/salle-de-presse/communiques/Datawords-choisit-Montreal-pour-poursuivre-la-fusion-de-la-technologie-et-du-multiculturel.html?utm_campaign=social&utm_medium=Twitter IQ&utm_source=Twitter
  2. C'est une excellente idée d'avoir confié le projet à Provencher_Roy car comme ils ont déjà réalisé l'Îlot Balmoral cela donnera davantage de cohérence à ce magnifique quartier en plein développement.
  3. Elles ont aussi en commun l'impossibilité politique d'augmenter encore davantage les taxes et les impôts. Si l'Alberta a encore relativement peu de dettes celles-ci devraient cependant continuer d'augmenter dans les années à venir car les revenus de l'État resteront en baisse sans doute pour de longues années encore car la demande de pétrole devrait rester anémique pendant encore assez longtemps à mon avis. Pour ce qui est de l'Ontario son économie était encore jusqu'à récemment particulièrement résiliante, notamment grâce à une forte immigration. Mais sa dette continue d'augmenter année après année depuis 2009. La dette de l'Ontario pourrait même atteindre les 500 milliards d'ici la fin de l'année. Ce qui est beaucoup pour une province même lorsque les choses vont bien comme c'était le cas en Ontario depuis plusieurs années. Cependant la situation pourrait se détériorer avec la pandémie. Qui aurait pu prévoir la faillite d'Ontario Hydro en 1998? Pourtant elle n'existe plus depuis plus de 20 ans et l'Ontario a maintenant les tarifs d'électricité les plus élevés au Canada. Pendant ce temps le Québec a toujours les tarifs d'électricité les plus bas en Amérique du Nord et ses tarifs de garderies font l'envie du monde entier. On a aussi les tarifs d'assurance automobile les plus bas au Canada. Cependant nos salaires sont encore relativement bas même si la tendance est à la hausse depuis quelques années. Et bien entendu nos taxes et impôts demeurent très élevés. En résumé, le Québec ne peut pas augmenter ses impôts car ils sont déjà très élevés. L'Alberta pourrait devoir augmenter ses impôts, ou même ses taxes, mais ce serait très coûteux politiquement. Pour ce qui est de l'Ontario elle devra couper encore davantage dans ses dépenses au moment où elle aurait besoin de les augmenter pour compenser les investissements privés qui sont à la baisse. À mon avis ce sont le Québec et la Colombie-Britannique qui sont les mieux placés pour faire face à la crise économique que nous traversons. La CB a très peu de dettes tandis que celles du Québec étaient à la baisse depuis quelques années déjà. C'est d'ailleurs pourquoi le gouvernement Legault veut profiter de la situation pour accroître ses investissements dans l'économie québécoise afin de compenser la baisse des investissements privés engendrée par la COVID-19.
  4. Well, I am afraid it will, and in the wrong direction. Except pour Québec, which has had a relatively small increase in tax burden in recent years, thanks to a tight management of our finances by various governments since 2009, along with a healthy and vigorous economy. Among the largest provinces BC and Québec seem to have a promising future while Alberta and Ontario will likely be struggling with the necessity to either further increase taxes or lower services.
  5. Canada’s Rising Personal Tax Rates and Falling Tax Competitiveness, 2020 By Tegan Hill, Nathaniel Li, and Milagros Palacios In December 2015, Canada’s new Liberal government introduced changes to Canada’s personal income tax system. Among the changes for the 2016 tax year, the federal government added a new income tax bracket, raising the top tax rate from 29 to 33 percent on incomes over $200,000. This increase in the federal tax rate is layered on top of numerous recent provincial increases. Starting with Nova Scotia in 2010, through 2019 at least one Canadian government has increased the top personal income tax rate in every year except 2011 and 2019. Over this period, seven out of 10 provincial governments increased tax rates on upper-income earners. As a result, the combined federal and provincial top personal income tax rate has increased in every province since 2009. The largest tax hike has been in Alberta, where the com- bined top rate increased by 9 percentage points (or 23.1 percent), in part because the new rates were added to a relatively low initial rate. In Ontario, the combined top rate increased by 7.1 percentage points (or 15.3 per- cent); in Quebec it increased by 5.1 percentage points (or 10.6 percent). These increases have important consequences for Canada’s economy. In particular, high and increasing marginal tax rates—that is, the tax rate on the next dollar earned—dis- courage people from engaging in productive economic ac- tivity, ultimately hindering economic growth and prosperity. This occurs because marginal tax rates reduce the reward of earning more income and, in the case of personal income taxes, more labour income. There is general agreement in the economic literature on this point; the debate is about the magnitude of the effect. The federal and provincial increases to Canada’s marginal in- come tax rates from 2009 to 2019 have put the country at a greater competitive disadvantage for attracting and retain- ing skilled labour and, less directly, investment and entre- preneurs. Even before the changes, the country’s combined federal and provincial top marginal tax rates compared un- favourably to those in the United States and other industri- alized countries. Out of 61 Canadian and US jurisdictions (including the prov- inces, states, and Washington, DC), Nova Scotia currently has the highest combined top statutory marginal rate (54.00 percent), followed by Ontario (53.53 percent), and Quebec (53.31 percent). Nine Canadian provinces occupy the list of 10 jurisdictions with the highest top combined marginal in- come tax rates and all provinces are in the top 13. There are a total of 48 US jurisdictions with combined top tax rates that are lower than all Canadian provinces. The fact that Canada’s top tax rates are often applied to low- er levels of income than is the case in other countries further erodes our tax competitiveness. To adjust for differences in income thresholds, we compare the combined statuto- ry marginal tax rates at various income levels in Canadian dollars for each Canadian and US jurisdiction. At an income of CA$300,000, the highest threshold (with the slight excep- tion of Alberta) in which a Canadian combined top rate is applied, Canadians in every province face a higher marginal income tax rate than Americans in any US state. Results are the same at an income of CA$150,000 and Canada’s margin- al tax rates are also uncompetitive at incomes of CA$75,000 and CA$50,000. At an income of CA$300,000, the highest threshold (with the slight exception of Alberta) in which a Canadian combined top rate is applied, Canadians in every province face a higher marginal income tax rate than Americans in any US state. Results are the same at an income of CA$150,000 and Canada’s marginal tax rates are also uncompetitive at incomes of CA$75,000 and CA$50,000. Taken together, Canada’s personal income tax rates are decidedly uncompetitive compared to those in the United States. And, Canada also competes with other industrialized countries for highly skilled workers and investment. To mea- sure the competitiveness of Canada’s top tax rates, the study compares the combined top statutory marginal income tax rates with rates in 36 industrialized countries. In 2018 (latest year of available international data) Canada had the 7th highest combined top tax rate out of 36 countries. The fed- eral change to the top rate in 2016 has markedly worsened Canada’s competitive position. For instance, Canada had the 13th highest combined tax rate in 2014, before the changes in the federal top rate. Canadian governments have put the country in this un- competitive position in part to raise more revenue as they grapple with persistent deficits and mounting debt. How- ever, the tax increases are unlikely to raise as much reve- nue as governments expect since taxpayers—particularly upper-income earners—tend to change their behaviour in response to higher tax rates in ways that reduce the amount of tax they might pay. Federal and provincial governments would do well to consider reversing the trend towards high- er marginal tax rates on upper-income earners, and lower personal income tax rates. https://www.fraserinstitute.org/studies/canadas-rising-personal-tax-rates-and-falling-tax-competitiveness-2020
  6. Photo prise sur le site de Serge St-Arneault: Espace perso de Serge.
  7. La place des Montréalaises commence à prendre forme Les travaux préliminaires visant l’aménagement de la place des Montréalaises se mettent en branle ces jours-ci autour de la station de métro Champ-de-Mars. Plusieurs étapes sont nécessaires pour créer ce nouvel espace situé près du CHUM et de l’hôtel de ville de Montréal, incluant la déconstruction du tunnel piétonnier Champ-de-Mars et de ses quatre édicules. Un nouveau lien aérien remplacera les infrastructures existantes et permettra un accès universel entre la station Champ-de-Mars et le Vieux-Montréal. La Société de transport de Montréal (STM) pilote en parallèle des travaux touchant à la membrane d’étanchéité de la station ainsi que diverses autres réparations. Rappelons que c’est l’équipe formée par les firmes Lemay, Angela Silver et SNC-Lavalin qui a remporté le concours international d’architecture de paysage pour l’aménagement de la place des Montréalaises. Celle-ci sera située sur la nouvelle section recouvrant l’autoroute Ville-Marie, à l’ouest du CHUM. Le nouveau centre hospitalier universitaire a généré d’importants investissements publics dans le secteur, alors qu’à l’est de celui-ci on refait une beauté au square Viger. L’hôtel de ville est aussi en pleine cure de jouvence. «C’est une nouvelle étape cruciale dans l’aménagement de la future place des Montréalaises, un projet de mise en valeur important pour célébrer la contribution des femmes à notre ville, réduire les effets d'îlots de chaleur au centre-ville et faciliter l’accessibilité du Vieux-Montréal et de l’hôtel de ville», a dit vendredi Éric Alan Caldwell, responsable au comité exécutif de l’urbanisme. https://www.tvanouvelles.ca/2020/07/03/la-place-des-montrealaises-commence-a-prendre-forme-1
  8. Photo datée du 30 mai dernier sur la page Facebook de l'arrondissement Outremont. https://www.facebook.com/outremont.arrondissement/photos/a.407985782740346/1349363891935859/?type=3&theater
  9. Étape 1 - Tout a commencé avec Softimage, petite entreprise d'effets spéciaux fondée en 1986 par Daniel Langlois et rachetée par Microsoft en 1994 pour la coquette somme de 200 millions US$ à l'époque. Étape 2 - Encouragé par le succès de Softimage, Bernard Landry (alors ministre des Finances) a créé en 1997 la Cité du Multimédia dans le Faubourg des Récollets, quartier à l'abandon à l'époque. Étape 3 - En 1993 Yoshua Bengio crée à l'Université de Montréal le Laboratoire informatique des systèmes adaptatifs (LISA) dont il changera le nom en 2016 pour MILA après avoir invité les spécialistes en intelligence artificielle de l'Université McGill à se joindre à ceux de l'Université de Montréal. Étape 4 - Le gouvernement de Philippe Couillard comprend tout de suite l'importance de MILA et décide de soutenir l'aventure en créant notamment le complexe O Mile-Ex en 2018. And the rest, as they say, is history. Voilà donc un (très) court résumé des principales étapes qui ont fait de Montréal un pôle international du multimédia et des technologies de l'information. Évidemment l'histoire est beaucoup plus complexe que le bref résumé que je viens de faire mais j'ai quand même tenté de retracer au meilleur des ma connaissance ce que je considère être les points tournants qui ont changé la dynamique de Montréal pour en faire une ville de haute technologie. Ci-joint une photo de Daniel Langlois lors des débuts de Softimage, accompagnée d'une seconde photo nous montrant le mythique bâtiment de la rue Saint-Laurent.
  10. Intelligence artificielle: Behavox vise les 400 employés à Montréal La firme new-yorkaise Behavox, déjà présente à Montréal depuis 2018, compte quintupler son personnel dans la métropole pour atteindre les 400 employés d’ici la fin de 2021. KARIM BENESSAIEH - LA PRESSE L’annonce qui sera faite ce lundi matin représente un engagement de quelque 35 millions de dollars pour l’entreprise spécialisée en intelligence artificielle. Les nouveaux bureaux seront inaugurés à la Maison Manuvie, boulevard De Maisonneuve Ouest « pour répondre à la nouvelle vague de recrutement de ses équipes d’ingénierie, de sciences de données et de développements de produits », explique l’entreprise dans son communiqué. « Montréal est un vivier de talents dans le secteur de l’intelligence artificielle et de l’apprentissage machine, et nous voulons le mettre en valeur, déclare Erkin Adylov, fondateur et PDG de Behavox. Ce nouveau développement soutient notre stratégie globale de commercialisation et permet à Behavox de répondre aux attentes de ses clients canadiens avec une efficacité et une attention accrues. » De « bout en bout » Le PDG s’installera lui-même à Montréal, annonce-t-on, illustration de l’importance accrue qu’on veut accorder à la métropole québécoise. Parmi les partenaires qui ont accompagné Behavox dans cet investissement, on compte Montréal International, Investissement Québec International, Manulife Investment Management et Ivanhoé Cambridge. Behavox, qui compte des bureaux à New York, Londres, Singapour et Montréal, offre une plateforme qui permet aux organisations d’exploiter leurs données avec des outils analytiques basés sur l’apprentissage machine. Elle se décrit comme étant la seule au monde à permettre l’agrégation des données « de bout en bout ». Elle a été fondée en 2014 à Londres avant de déménager son siège social aux États-Unis. En février dernier, elle a annoncé un investissement de 100 millions US provenant du conglomérat japonais SoftBank. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2020-06-29/intelligence-artificielle-behavox-vise-les-400-employes-a-montreal.php
  11. L'effervescence actuelle me rappelle les années soixante pendant lesquelles on a construit simultanément la Place Ville-Marie et la CIBC, et un peu plus tard la Tour de la Bourse. Sans oublier plusieurs autres édifices plus modestes, mais non moins spectaculaires, comme la CIL (Telus), Westmount Square, Banque Canadienne Nationale (Place d'Armes) Place des Arts, Château Champlain, Habitat 67, etc. Et tout cela plus ou moins en même temps que le métro et Expo 67! La preuve de ce que j'appellerais le Grand Retour c'est qu'on est en train de construire le REM qui à mon avis n'a rien à envier au métro de l'époque en termes d'audace.
  12. Relance post-COVID-19: Québec veut acheter des parts du Québec inc. Québec veut investir dans les entreprises québécois et prendre des intérêts dans certaines d’entre elles, dont — possiblement — le détaillant de chaussures Aldo. PHILIPPE TEISCEIRA-LESSARD - LA PRESSE C’est le plan exposé par le ministre de l’Économie Pierre Fitzgibbon dans une entrevue accordée à l’agence financière Bloomberg et qui fait l’objet d’un article paru aujourd’hui. Bloomberg est une référence internationale pour les milieux d’affaires. « Partout dans le monde, les gouvernements seront de façon générale plus interventionnistes dans l’économie, en raison du besoin de nouveaux capitaux », a-t-il dit. « Dans certains cas, nous devrons acquérir des parts d’entreprises. » Bloomberg met de l’avant le groupe Aldo — qui s’est placé à l’abri de ses créanciers, ce printemps, en raison de l’impact de la pandémie — comme investissement possible de Québec. M. Fitzgibbon a indiqué que l’État québécois avait récemment acquis des parts dans certaines entreprises, mais a refusé de les nommer, soulignant qu’il y restait minoritaire. « Avec un peu de chance, nous pourrons être remplacés par d’autres investisseurs », a-t-il ajouté. Bloomberg met largement de l’avant le fait que le Québec a été très durement touché par la pandémie, davantage que « 43 états américains » en nombre de morts. Selon M. Fitzgibbon le scénario d’un retour au confinement général est peu probable. « Peut-être que je suis naïf ou trop optimiste, mais on peut croire qu’en cas de deuxième vague, nous pourrions permettre aux gens de continuer à travailler », a-t-il dit. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2020-06-24/relance-post-covid-19-quebec-veut-acheter-des-parts-du-quebec-inc
  13. Je ne sais pas si ces photos ont déjà été partagées ici mais je viens de les trouver sur leur site web. Elles nous montrent la vue qu'auront les résidents des étages les plus élevés, d'abord en direction ouest, puis est, nord et finalement sud. http://1phillipssquare.ca/views/
  14. Les camions de cuisine de rue de retour cet été, malgré la COVID-19 Huit emplacements ont été désignés pour les accueillir au centre-ville. Ce n'est pas le nouveau coronavirus qui empêchera les Montréalais de profiter cette année encore des restaurants mobiles de la métropole, qui font partie du paysage depuis 2013. En conseil extraordinaire, mardi matin, les élus de l'arrondissement de Ville-Marie ont voté en faveur du retour des camions de cuisine de rue au centre-ville à compter de lundi prochain. Huit sites ont été désignés pour les accueillir de 9 h à 23 h, soit trois de moins que l'an dernier. Les camions de cuisine de rue pourront notamment vendre des produits alimentaires près du monument à sir George-Étienne Cartier, à la place du Canada, au square Dorchester et au Village au Pied-du-Courant. Ils pourront aussi s'installer à la place d'Armes pour occuper l'espace laissé vacant par les calèches, dont les activités ont pris fin en janvier. Leur présence au centre-ville sera autorisée jusqu'au 30 septembre 2020, mais cette date pourra être repoussée au besoin. La situation résultant de la pandémie en cours nécessite le recours à des valeurs sûres pour encourager la fréquentation des lieux publics. La cuisine de rue, s'étant bâti un grand capital de sympathie citoyen, compte parmi celles-ci. - Extrait du sommaire décisionnel L'arrondissement de Ville-Marie est le premier, cette année, à donner son aval au retour des camions de cuisine de rue. L'Association des restaurateurs de rue du Québec (ARRQ) affirme toutefois être en discussion avec ceux du Sud-Ouest, de Mercier–Hochelaga-Maisonneuve, de Rosemont–La Petite-Patrie, de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension et d'Ahuntsic-Cartierville. Un été différent En raison de la pandémie de COVID-19, de nombreux propriétaires de camion-restaurant ont déjà renoncé à la saison. Mais au moins une vingtaine d'autres s'apprêtent à parcourir la ville, assure Gaëlle Cerf, copropriétaire du Grumman78 et vice-présidente de l'ARRQ. C'est certain que ça fait plaisir de ne plus avoir cette incertitude-là au niveau de la saison pour les food trucks, parce que c'est sûr qu'on était un petit peu stressés, là, a-t-elle confié à l'émission Le 15-18, mardi. Forcément, ce n'est pas au pied des tours de bureaux vides qu'on retrouvera le plus de camions de cuisine de rue cette année. Le square Victoria, par exemple, en sera exempt. Non, 2020 sera plutôt l'année des quartiers résidentiels, prédit Mme Cerf. Plutôt que d'aller nourrir les gens des bureaux du centre-ville, on va aller vers quelque chose d'un peu plus logique à notre avis, qui est plutôt d'aller participer aux événements familiaux, dans les parcs et dans les rues, pour aider un peu les gens à dynamiser un été qui s'annonce plutôt morne. - Gaëlle Cerf, copropriétaire du Grumman78 et vice-présidente de l'ARRQ Le responsable du dossier au comité exécutif, Robert Beaudry, rappelle que les mesures sanitaires d'usage devront être observées. Les propriétaires de camions de cuisine de rue devront notamment suivre les guides produits par la CNESST et s'assurer du respect de la distanciation sociale dans les files d'attente. On le voit un petit peu de la même façon qu'au niveau des terrasses extérieures et des restaurateurs en général, explique M. Beaudry. On s'attend à ce que ce soit respecté et on va s'assurer que ce soit le cas. Comme l'an dernier, l'ARRQ sera responsable de la gestion du calendrier et des camions ainsi que de la vérification de la conformité des exploitants, la Ville de Montréal ayant choisi de se décharger de ces responsabilités. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1714676/restaurants-restos-mobiles-ambulants-centre-ville-coronavirus
  15. Avez-vous conduit une auto dernièrement? Avez-vous été en contact avec quelqu'un qui a une auto? Revenez-vous d'un voyage en auto? Caricature: Serge Chapleau - La Presse
  16. Cette deuxième vague n'est certes pas celle qu'on attendait mais quand même celle que plusieurs espéraient car elle signifie l'ouverture ou la réouverture de nombreux chantiers. Et c'est ce que l'on souhaite malgré les inconvénients que tous ces travaux peuvent engendrer. Caricature: Godin - Le Devoir
  17. Avec une baisse de revenus de l'ordre de 96% il est difficile d'être enthousiaste et optimiste!
  18. Deux photos datant du 16 juin dernier sur la page Facebook de La Piscine nous montrant l'intérieur du Rodier. https://www.facebook.com/LaPiscineMTL/photos/a.133940337267865/574478926547335/?type=3&theater
  19. Cette solution a déjà été envisagée. La raison pour laquelle elle n'a pas été retenue c'est parce que la trajectoire du tunnel aurait alors dû passer sous la tour de contrôle et cela posait un trop grand défi technique.
  20. C'est d'ailleurs ce que laissent entendre certains des plus grands caricaturistes du Québec: 1- Ygreck (Le Journal de Montréal); 2- Chapleau (La Presse); 3- Côté (Le Soleil).
  21. Grogne et inquiétude sur des chantiers Un grutier mis en quarantaine après avoir travaillé dans cinq chantiers différents et un ferblantier dont le diagnostic positif a mené à l’arrêt de travail de deux confrères ont suscité la grogne d’ouvriers sur deux importants chantiers de construction depuis une semaine. Tristan Péloquin - La Presse La FTQ-Construction réclame d’être davantage impliquée dans les enquêtes de la Santé publique et des employeurs afin d’éviter que ce genre de situation se reproduise à l’avenir. Dans le cas du grutier, ses symptômes ont commencé la semaine dernière, après qu’il eut travaillé à différentes occasions sur le chantier du REM. Il a éprouvé des difficultés respiratoires et s’est rendu dans une clinique, où un médecin a constaté une faible saturation sanguine en oxygène, et considéré qu’il s’agissait d’un cas « probable » de COVID-19. Au cours des jours précédents, l’ouvrier avait aussi travaillé sur le chantier de l’échangeur Turcot, ainsi que sur un autre chantier à Rivière-du-Loup. Il a immédiatement été mis en quarantaine pour 14 jours. Deux tests se sont finalement révélés négatifs, mais la situation a suscité de vives inquiétudes sur le chantier. « C’est l’enfer à gérer. Le grutier a eu des menaces d’autres travailleurs, qui l’ont appelé le soir à la maison », affirme Evans Dupuis, président de l’Union des travailleurs grutiers, affiliée à la FTQ-Construction. « C’est ce qui arrive quand on n’a pas d’information. On l’apprend entre les branches parce que les gars sont inquiets. La bagarre va pogner sur les chantiers si ça ne change pas », dit-il. NouvLR, le maître d’œuvre du chantier, dit avoir mené sa propre enquête et exclu les ouvriers qui travaillent pour le même sous-traitant en attendant les résultats de tests. « NouvLR informe régulièrement, voire quotidiennement, les syndicats de la situation de la COVID-19 sur nos chantiers, incluant les cas confirmés ou suspects, indique le porte-parole Marc-André Lefebvre. Toutefois, l’identité des travailleurs touchés par la COVID-19 est un renseignement confidentiel que nous avons l’obligation de protéger. » Syndicats normalement impliqués Les syndicats sont en temps normal directement impliqués dans les enquêtes liées aux accidents de travail sur les chantiers de construction. La Direction de santé publique et les employeurs refusent cependant de les impliquer dans les cas d’infection, pour des raisons de protection des renseignements personnels. « L’obligation de maintenir la confidentialité est le principal enjeu quand on parle d’impliquer les syndicats. On y va au cas par cas. En principe, on en divulgue le moins possible pour arriver à nos fins, mais il n’y a pas de recette unique », explique le Dr Geoffroy Denis, chef du service de médecine au travail à la Direction de santé publique. La FTQ-Construction réclame que les choses changent. « Il y a des chantiers où il faut faire une véritable chasse aux sorcières pour avoir l’information. On demande plus de transparence. Nous avons des représentants en prévention qui peuvent jouer un rôle important, tout en respectant la confidentialité. C’est un principe qu’on a aussi à cœur », dit Sylvie Vandette, conseillère syndicale au chantier du REM. La FTQ-Construction dit qu’elle a aussi besoin de cette information pour s’assurer que les travailleurs mis en arrêt de travail soient indemnisés par les bons programmes. « La COVID est une maladie qu’on connaît encore mal. Si la personne est infectée sur un chantier, c’est primordial que la CNESST soit impliquée dans le dossier dès le départ, en cas de complications dans le futur », indique Simon Lévesque, conseiller à la santé et sécurité à la FTQ-Construction. La Direction de santé publique dit évaluer cette demande. « C’est sur la table. Il y a des discussions au niveau provincial. Ce n’est pas écarté du revers de la main », dit le Dr Denis. Ferblantiers à l’arrêt malgré un test négatif Une situation semblable s’est aussi produite la semaine dernière, lorsqu’un ferblantier a aussi dû être mis en quarantaine sur le chantier d’une tour de 18 étages à Terrebonne, après avoir été infecté par un membre de sa famille. Deux de ses compagnons de travail ont reçu des tests négatifs dans les jours qui ont suivi, mais des travailleurs inquiets ont exigé qu’ils soient quand même retournés à la maison malgré ces résultats, ce à quoi le contremaître a consenti. « J’ai reçu un appel. Ça sentait la soupe chaude sur le chantier. Les gars avaient peur », dit le représentant du Syndicat international des ferblantiers, Jean-Paul Ouellet. Il insiste sur le fait qu’il a normalement une très bonne collaboration avec le maître d’œuvre du chantier, Groupe CH2015, mais estime que les syndicats auraient dû être impliqués dès le départ pour calmer le jeu. « Je ne veux pas jouer au dictateur sur le chantier. On n’est plus à l’époque du syndicalisme totalitaire des années 80. Mais je pense qu’on a un rôle important à jouer. Moi, je veux juste m’assurer que ce soit clair et que les règles soient respectées », dit M. Ouellet. Les deux travailleurs sont revenus au travail lundi. Groupe CH2015 affirme que l’incident est dû à une « mauvaise communication et une mauvaise compréhension ». « À partir du moment où les travailleurs ont bien compris ce que signifie un test négatif, la situation a été réglée », affirme la porte-parole Mylène Dupéré. https://www.lapresse.ca/covid-19/2020-06-12/grogne-et-inquietude-sur-des-chantiers
  22. Montréal: la Ville va rencontrer les propriétaires de «foodtrucks» C’est vendredi que l’Association des restaurateurs de rue du Québec pourra discuter d’un plan de réouverture pour les «foodtrucks» avec les représentants de la Ville de Montréal. Catherine Genest - Le Journal de Montréal Il s'agit d’un rendez-vous que les propriétaires de camions de nourriture de rue espèrent depuis plusieurs semaines, eux qui se disent prêts depuis longtemps à servir leur clientèle tout en respectant la distanciation sociale. En entrevue avec le «24 Heures» le 21 mai dernier, Annie Clavette du restaurant Le Gras Dur déplorait l’inaction de la Ville de Montréal. Elle ignore toujours si ses collègues et elle pourront reprendre leurs activités le 22 juin, soit en même temps que les restaurants qui ont pignon sur rue. Restée sans nouvelle de l’administration municipale depuis le début de la pandémie, Annie Clavette confirme néanmoins qu’une rencontre est prévue vendredi entre l’Association des restaurateurs de rue du Québec et les représentants municipaux. L’Association des restaurateurs de rue du Québec représente 54 membres à travers la province et la totalité d’entre eux opèrent dans la grande région de Montréal. https://www.journaldemontreal.com/2020/06/11/montreal-la-ville-va-rencontrer-les-proprietaires-de-foodtrucks
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