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Donc, le square Phillips serait éclairé par intermittence a tout les 15 sec par un faisceau provenant de PVM si celui-ci dépassait en hauteur PVM en atteignant 200m. Le faisceau de PVM diverge de 5 deg environ, et comme le square Phillips est situé à peine un bloc à l’Est de PVM, il est certain que les unités des derniers étages en seraient éblouies à l’année longue. J’ai comme un doute que cela soit accepté au CCU... et par conséquent, il y a quelque chose qui cloche dans cette annonce à moins que le phare ne soit déplacé ailleurs que PVM pour marquer le cœur de Montréal?

C'est une brasserie, donc on n'y va pas pour y avoir une expérience culinaire hors pair. Le personnel fait son possible pour donner le service mais c'est tellement occupé, qu'il est difficile pour eux d'être attentif. La vue toutefois, en vaut la peine et il y a toujours la possibilité d'aller sur la terrasse extérieure après ou avant ou simplement d'aller sur la terrasse et de contempler la vue. On ne m'a jamais demander de commander quelque chose cependant, il ne serait pas étonnant qu'au plus fort de l'été, l'accès en soit restreint.

Aux amoureux de PVM, et en lien avec les vues qu'elle offre sur la ville...

Sauf que les pieds ressemblent à des nageoires, d'ou la perception tout à fait légitime de la grande majorité ignare sur l'origine de cette statue. Le fait de l'avoir installer au centre d'un bassin d'eau porte naturellement les gens à y associer cette image de Sirène. Néanmoins, sa relocalisation sans son bassin d'eau , lui enlève son charme dans ce désert de béton qu'est devenu la rénovation des accès de PVM malheureusement.

Donc, en théorie, le phare de la PVM va éclairer le haut du Square Phillips si celui-ci fait par exemple 200m alors que PVM en fait 188m. L'article de La Presse affaire indiquait une hauteur qui atteindrait celle de PVM, donc nettement inférieure à 200m. Si on compresse 61 étages dans 188m, ce sera nécessairement avec des appartements dont les plafonds seront plus bas pour la majorité des étages? Donc, c'est un peu de la poudre aux yeux de mentionner 200m et 61 étages? Ça demeure un projet important mais peut-être avec moins d'ampleur que le Maestria au final?

Tout à fait, il suffit de s'ouvrir les yeux :-)

C'est déjà mieux que les coop qui ont été développées ailleurs dans Griffintown et moins terne que les terrasses Windsor. En plus, on dirait qu'il y a un espace commun au 10ième, ce qui fait preuve d'un peu d'audace pour une coopérative. Alors, je ne rejète pas ce projet, c'est mieux que bien des immeubles récents dans Grinffintown. Les gens de TDC2/3, ne peuvent se plaindre car ils en sont séparés par une sortie d'autoroute et un éventuel semi-espace vert qui devraient se prolonger vers la rue Guy. Les jardins communautaires à l'Ouest de Lucine L'Allier créant une barrière physique et visuelle entre les 2 parties de ce nouveau parc. En terme de hauteur, c'est conséquent avec les terrasses Windsor en face bien que j'aurais préféré un peu plus de hauteur pour adoucir le décalage entre les TDC et les jardins Windsor en se dirigeant vers le Nord sur De la Montagne.

C'est le mieux que j'ai pu prendre en photo hier. Cela ressemble à un assemblage de pavés en forme de blocs qui auraient été collés sur les murs qui eux sont coulés en béton? Peut-être quelqu'un en sais plus sur le sujet?

Les murs intérieurs complets de la maison sont en béton coulé àa ce qui me semblait. Les pierres, constituant la finition extérieure, ont été posées après. L'effet est très beau. Voici quelques photos prises hier soir dans le bruine.

En fait ce quartier n'est pas unique. Il y en a bien d'autres avec de belles rues et des immeubles historique en manque d'amour. Une petite promenade dans St-Henri ou Pointe St-Charles, certaines parties de Westmount et on peut pousser un peu loin au nord du plateau également ou il manque un peu d'entretien. Ce n'est pas une couche de peinture qui va maintenir en vie les vieilles fenêtres en bois ou les corniches qui s'effritent. A l'instar du patrimoine religieux qui se dégradent à vue d'oeil, l'entretien est la seule solution pour conserver cet aspect. Donc, il ne s'agit d'implanter des tours pour nouveaux riches. Plusieurs de ces personnes ne le sont pas nécessairement mais on choisi plutôt d'acheter dans un immeuble récent afin d'éviter justement des coûts de rénovation. Les préjugés vont aussi dans l'autre sens... La problématique pour tout ces quartiers est de trouver des solutions financières pour faire en sorte de préserver à long terme le cachet de ceux-ci. Les projets ou l'on exige des promoteurs 15-20% de logements sociaux se réflètent à quelque part dans le prix que les gens 'riches' doivent payer pour avoir leur condo. Est-ce la bonne solution? Peut-être pour des quartiers en développement afin de favoriser cette mixité sociale tant souhaité. Cette règle a l'avantage de faire en sorte que l'investissement se fait directement dans le quartier. Ce n'est pas nécessairement ce qui serait bon ailleurs dans un quartier déjà existant. Sauf que le problème demeure, si on veut préserver ces quartiers, que proposez-vous pour assurer la pérennité de constructions datant du début du siècle dernier?

La rénovation actuelle est archi longue et pas particulièrement attrayante. Surtout, si on considère que c’est le ´hub’ principal des lignes orange-verte et jaune: Couleur gris fade, éclairage au néon banal et qualité de finition inégale avec des tuyaux et des fils électriques apparents aux extrémités des quais. Sans parler des indications au sol qui sont graduellement dèsalignèes par rapport aux portes des wagons.... en même temps moderne mais avec pleins de détails décevants. Il faut être aveugle pour ne pas constater que le travail a bien débuter mais semble bâcler en dernier lieu. On se console en se disant que la station McGill est pire encore au niveau de sa décoration déprimante. Deux stations sans importance et peu fréquenter si on se fie a l’image qu’elles projettent. Quelqu’un connaît un bon décorateur pour aider le comité à orienter ses choix de couleurs?

Le problème des quartiers historiques, quels qu’ils soient, est celui de l’entretien de ces.facades qui subsistent l’assaut du temps et dont les frais de rénovations dépassent bien souvent les revenus disponibles. On ajoute à cela un compte de taxes qui monte plus rapidement que l’inflation en raison de la surévaluation immobilière pour aboutir à cette question fondamentale pour chaque propriétaire: est-ce que cela en vaut la chandelle et les efforts pour vaincre les nombreuses embûches administratives et les délais abusifs pour essayer d’en préserver la beauté. Entretien difficile qui décourage de nombreux propriétaires. Un problème difficile à gérer autant pour la ville que pour les propriétaires mais avec un impact visuel indéniable. L’implantation d’immeubles de plus grand envergures est-elle une partie de la solution pour préserver le reste et est-ce que l’argent de ces nouvelles taxes retournent dans le quartier? A part les règlements qui visent à protéger l’aspect des maisons, quelles sont les solutions proposées pour aider à leur entretien après des années de négligence et avant que cela ne devienne un obstacle insurmontable pour leur préservation ?

Donc, avec ou sans rénovations, le résultat au niveau de l’achalandage sera sensiblement le même...

En effet. Même complètement vitre, cet immeuble demeure un mastodonte aux formes quelques peu rébarbatives. Éventuellement, cet effet sera atténué si on construit quelques immeubles au Sud pouvant en cacher la façade et en réduire son impact visuel. Surtout du côté Sud avec les rampes de train et de marchandises dont l’empreinte fait figure d’une cicatrice à l’entrée du centre-ville.

L’ajout de quelques puits de lumières le long des allées marchandes auraient peut-être contribuer à donner cette impression de dégagement. Je comprends très bien les limites structurelles qui empêchent de modifier pleinement la hauteur disponible mais si on est capable de percer une verrière en plein cœur du centre alimentaire, on aurait pu faire l’effort de percer quelques trous supplémentaires au travers des poutres transversales dans les allées marchandes là où c’est possible. J’ai l’impression que la reconfiguration de la halle alimentaire avec une partie de son toit en verre, ne modifiera pas cette sensation d’étouffement dans les allées commerciales et par conséquent, contribuera peu a une quelconque augmentation de l’achalandage présent qui repose essentiellement sur une clientèle captive provenant des bureaux adjacents aux heures de pointe.

Excellente idée 🙏

Merci pour ce lien! C’est très intéressant. La seule chose qu’on n’adresse pas, c’est l’effet combiné de plusieurs immeubles juxtaposés et le vent au niveau de la rue. La notion de stabilité pour les grandes structures y est abordé de façon convaincante!

La ville fait son travail? Il suffît de regarder la catastrophe du CHUM avec le canyon des hauts hurlants entre le bâtiment principal et le centre de recherche sur Viger pour se rendre compte que cet aspect est loin d’etre un critère de conception dans les règlements de la ville. Les patients peinent à entrer ou sortir de l’urgence tellement l’accélération des bourrasques de vent est hallucinante à cet endroit. Il n’est pas rare de voir des gens titubes et être poussés par ceux-ci. Sans contredit, le plus mauvais exemple d’aménagement pietionnier pres d’un édifice publique et de surcroît, un hôpital....

Ça risque d’être mieux construit et plus durable qu’avant. Autant t’y faire tout de suite, car tu seras malheureux toute ta vie... et elle te nargueras tout ce temps 😉

J’admire votre optimisme et espérons qu’il se concrétise d’une manière éloquente en apportant un élément de renouvellement C’est que pour l’instant présent, l’impression qui s’en dégage ne semble pas être à la hauteur de la campagne de marketing qui dit qu’on doit attendre ...pour être époustouflé. Ma vision 3D actuelle de ces rénovations colle à une réalité qui jusqu’a présent, n’inspire pas une grande confiance sur le résultat final malgré l’ampleur qu’on veut bien lui donner. C’est donc avec réserve que j’attends de voir le résultat final.

La reconstruction de la maison Lafontaine semble bien progresser et le résultat semble prometteur si on se fie à la qualité du toit.

Je ne.vois pas comment on pourrait éliminer cette sensation d’être étouffé par un manque flagrant de luminosité. Même en essayant de gruger quelques pouces d’espace entre les poutres, ça demeure un environnement claustrophobe. Puisque c’est la mode, va-t-on rajouter des lumières del 6k pour que l’expérience client devienne une expérience chirurgicale en lieu et place de puits de lumière naturelle . Déjà qu’on a éliminé tout les arbres en surface pour dégager une belle place en béton, cet endroit devient de moins en moins attirant et tout à fait stérile au niveau de la perception?

Effectivement mais les voitures d'époque sont bien conservés avec une belle cire ou une nouvelle peinture pour rendre hommage à leur gloire passée... C'est juste que de prendre la peine de tout démonter les panneaux, on aurait pu faire l'effort de leur redonner leur éclat d'origine. La viellie voiture a beau être en parfaite forme, elle manque cruellement d'éclat :-(

Au contraire, c'est tout à fait approprié de le faire! Hydro-Québec a terminé sa remise à niveau en 2018, 2 ans APRES celui de La Presse.