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nephersir7

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Tout ce qui a été posté par nephersir7

  1. En format métro léger, tu devrais dire. Le Réseau Express Métropolitain est un réseau, pas une technologie.
  2. Ça sonne comme une excuse pour s'opposer au projet. Quand on veut tuer son chien on dit qu'il a la rage.
  3. Le meilleur moyen d'alléger la charge entre Jean-Talon et Berri: prolonger la ligne jaune
  4. J'aimerais bien voir un breakdown par arrondissement.
  5. Pas facile de faire pipi au pont Champlain Le constructeur devra nettoyer et chauffer les toilettes Les toilettes du chantier du pont Champlain sont congelées et malpropres. CHRISTOPHER NARDI Jeudi, 22 novembre 2018 21:18MISE à JOUR Jeudi, 22 novembre 2018 21:18 Québec a donné deux jours au constructeur du pont Champlain pour chauffer, nettoyer et ajouter des toilettes chimiques qui sont insalubres. Les toilettes chimiques sont congelées, offrent peu d’abri au vent et sont souillées d’excréments secs sur le sol et les murs. Au point où des travailleurs doivent marcher 30 minutes afin de pouvoir utiliser une toilette chauffée avec eau courante. La gestion des toilettes par Signature sur le Saint-Laurent (SSL) sur l’un des plus grands chantiers du pays ne sent pas bon, a appris Le Journal. Au point où la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) est intervenue mercredi. Inacceptable « Les travailleurs ne devraient pas commencer le travail le matin en se demandant s’ils auront accès à une toilette décente tout au long de la journée. Ce n’est pas du tout acceptable », dénonce Simon Lévesque, le responsable de la santé et sécurité à la FTQ-Construction. « Des problématiques ont été identifiées [...], qui ont été amplifiées par l’arrivée soudaine du froid record, en ce mois de novembre. Nous sommes à apporter les correctifs qui s’imposent pour améliorer la situation pour tous les travailleurs sur le chantier », a reconnu SSL. Les problèmes ne datent pas d’hier, mais la situation s’est tellement détériorée au cours des dernières semaines qu’au moins quatre travailleurs ont refusé de se présenter au travail pendant quelques heures la semaine dernière dans l’espoir que la situation se règle. Chauffage obligatoire Face aux plaintes des travailleurs et des syndicats et les températures glaciales, cette semaine, une porte-parole de la CNESST a confirmé que cette dernière avait publié un avis de correction qui oblige Signature sur le Saint-Laurent (SSL) à faire les choses suivantes d’ici aujourd’hui : Élaborer et appliquer un plan qui assurera un nombre suffisant et bien positionné de toilettes à chasse. Nettoyer, éclairer et chauffer toutes les toilettes sur le chantier. Mettre en place des mesures de contrôle afin de s’assurer que les toilettes soient dorénavant bien positionnées, chauffées, éclairées et nettoyées. https://www.journaldemontreal.com/2018/11/22/pas-facile-de-faire-pipi-au-pont-champlain
  6. https://issuu.com/jbcom/docs/mic_v11n5_focus_quad_windsor
  7. Tout comme le gars de Devimco, dans l'entrevue qu'il a donnée ce matin: https://www.985fm.ca/nouvelles/economie/168701/projet-immobilier-de-700-millions-dans-le-quartier-des-spectacles
  8. Chouette promotion. In other news.... Maison Éthier à l'abri de ses créanciers
  9. Lasalle a une plus grande densité commerciale et d'emplois. Et puis, y'a pas juste le monde Lasalle qui utiliserait une ligne qui passerait par Lasalle. T'as aussi tout le monde qui vient de l'autre côté du pont Mercier.
  10. LaSalle suggère un détournement de la ligne rose La mairesse de LaSalle, Manon Barbe, sonne l’alarme: il faut cesser de négliger son arrondissement dans les différents projets de transport en commun à Montréal. Elle suggère à l’administration Plante que le projet de la ligne rose soit détourné vers LaSalle pour combler les besoins. «C’est comme si on n’existait pas, a déploré la mairesse et chef de son propre parti, en entrevue avec Métro. Il faut passer par ici aussi. On est l’arrondissement avec le plus de croissance actuellement au niveau des permis de construction. On est bien situés. On est 81 000 de population. Encore faut-il nous fournir des transports actifs.» Même si elle estime que «les planètes sont alignées» pour entendre sa demande, Mme Barbe dit constamment devoir revenir à la charge pour défendre son arrondissement. «Soyons clairs. Je suis très contente que le parti de la mobilité soit au pouvoir. On le sent, on le voit, il y a un virage en mobilité, et ce ne sont pas que des paroles en l’air. Moi j’y crois», a-t-elle convenu. «Mais quand on se demande s’il y a assez de monde pour un métro dans l’Ouest, je ne comprends pas. Oui, il y en a assez. Et si on veut continuer à avoir une haute densité, il faut amener le métro dans l’Ouest. C’est simple. Ça nous prend un moyen de transport lourd pour continuer à nous encourager à changer les zonages.» -Manon Barbe, mairesse de LaSalle S’il est décidé que le projet de la ligne rose ne desserve pas LaSalle, il faudrait au moins qu’un prolongement de la ligne verte soit opéré pour traverser l’arrondissement. «Il faut une offre de services qui fait en sorte que les gens puissent habiter partout sur l’île sans se dire que ça va prendre 1h30 pour aller travailler le matin, a-t-elle envisagé. On espère toujours avoir une option, d’autant plus qu’à l’autre bout de LaSalle, on a une gare.» Pendant la séance du conseil municipal, lundi soir, la mairesse Barbe a interpelé l’administration de Valérie Plante à ce sujet. Le responsable de l’urbanisme et des transports, Eric Alan Caldwell, a rétorqué que l’administration était «ouverte» à cette idée de changer le trajet du projet de la ligne rose. De vives réactions Cette réponse a fait réagir le conseiller de Snowdon, Marvin Rotrand. Selon lui, toute cette histoire prouve une chose: le projet de ligne rose de l’administration Plante «semble très improvisé dans sa forme actuelle». «Il n’y a jamais eu d’étude d’opportunité de la proposition de ligne rose; pas d’étude de destination d’origine, ni d’étude d’utilisation potentielle, ni d’étude de rentabilité, a-t-il dit en entrevue avec Métro. Malgré le fait qu’aucun professionnel du transport en commun n’ait exprimé son appui à l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) ou au gouvernement, il demeure le rêve clé en matière de transport en commun de l’administration montréalaise.» Un fait «surprenant» pour une administration qui se dit être porteuse de projets de mobilité, dit celui qui a été évincé lundi, avec la conseillère de Projet Montréal Valérie Patreau, du conseil d’administration de la Société de transport de Montréal (STM). Tous deux ont été remplacés par l’ancien maire de Westmount, Peter Trent, et la spécialiste en mobilité de Polytechnique, Catherine Morency. L’idée de prolonger le réseau de métro «mérite pourtant de sérieuses documentations», a argué M. Rotrand. «Je comprends que le gouvernement soit sceptique. Pensez-vous que d’avoir un porte-parole comme M. Caldwell qui se lève en chambre pour dire qu’on peut détourner la ligne rose, ça va améliorer la confiance?» -Marvin Rotrand, conseiller de Snowdon élu sous les couleurs de Coalition Montréal. Ces «manques de constance et de rigueur» réduisent, aux yeux de M. Rotrand, la crédibilité de l’administration Plante auprès de Québec. «Ça signifie que nous sommes moins susceptibles de recevoir des fonds fédéraux pour des projets qui doivent être construits. C’est le provincial qui décide en dernier ressort quels projets de transport sont prioritaires dans nos demandes à Ottawa.» Pendant la dernière campagne électorale, le chef de la Coalition avenir Québec (CAQ), François Legault, a affirmé qu’il ne s’opposait pas à la construction de la ligne rose, mais que celle-ci serait «de surface» et, donc, moins coûteuse. Il s’agit d’une solution à laquelle la mairesse Valérie Plante ne s’était pas opposée, après une rencontre avec le premier ministre. http://journalmetro.com/actualites/montreal/1935578/lasalle-veut-un-detournement-de-la-ligne-rose/
  11. Ça m'amène à imaginer la possibilité que Cadillac Fairview achète le terrain, développe le projet et raccourcisse le couronnement de tes tours.
  12. Non. Ce n'est pas la clientèle visée par ce projet.
  13. C'est un projet annulé. Il faut fusionner les nouveaux messages ici:
  14. Avoir les les mégaprojets de Turcot, de Champlain et du REM en même temps, c'est une anomalie.
  15. Escaliers mécaniques: la STM compte résilier un contrat de 24 millions Excédée, la Société de transport de Montréal (STM) donne jusqu'à la fin du mois à une entreprise pour terminer un chantier accusant deux ans de retard, faute de quoi elle résiliera son contrat de 24 millions. La STM a entrepris en juin 2016 un vaste chantier pour refaire 24 escaliers mécaniques dans sept de ses stations de métro. Aménagés dans les années 70 et 80, ceux-ci tombaient de plus en plus souvent en panne et devaient être complètement refaits. C'est l'entreprise Groupe manufacturier d'ascenseurs Global Tardif qui a décroché en 2013 le contrat de 24 millions pour remplacer ces 24 escaliers mécaniques. Mais les travaux qui devaient durer en moyenne six mois par escalier mécanique accumulent les retards depuis. Les travaux sont terminés à seulement deux stations, soit Saint-Michel et Fabre, des chantiers qui ont accusé 7 et 14 mois de retard respectivement. Mais le cas de la station Édouard-Montpetit, qui dessert l'Université de Montréal, est plus lourd. L'un de ses escaliers mécaniques est hors service depuis juin 2016, soit depuis deux ans et demi. Une affiche expliquant aux usagers la nature des travaux indiquait au départ que ceux-ci devaient être terminés en juin 2017. Mais un mois après cette date, la fin des travaux a été repoussée à septembre 2017. Puis elle a été reportée à «l'automne 2017». Mais en décembre 2017, rebelote alors qu'un nouveau report jusqu'au printemps 2018 était annoncé. À l'été, les travaux n'étaient toujours pas exécutés, si bien qu'un quatrième report a été annoncé, cette fois pour l'«automne 2018». Les travaux n'étant toujours pas terminés, la STM a envoyé hier un préavis de résiliation de contrat à Global Tardif. Le transporteur donne jusqu'au 30 novembre pour terminer les chantiers, sans quoi il mettra fin à son mandat en raison de l'«incapacité» de l'entreprise à achever les travaux. «Tout au long du projet, nous avons collaboré et agi de bonne foi pour tenter de trouver un terrain d'entente pour permettre la mise en service clientèle des escaliers dans les meilleurs délais, mais en vain. Donc, nous avons été contraints de prendre cette décision en raison de la durée anormale des travaux qui continuait de s'allonger, situation inacceptable pour les clients», affirme Amélie Régis, porte-parole de la STM. À l'échéance du délai, le transporteur entend reprendre lui-même les travaux. «Nous reprendrons en charge les chantiers en cours et visons la mise en service des escaliers d'ici la fin de 2018», poursuit Mme Régis. La STM n'a pas dévoilé avec précision hier pourquoi les chantiers accusaient tant de retard. En novembre 2017, le transporteur avait mis en cause un problème dans la production d'une importante pièce des escaliers mécaniques, soit celle permettant aux marches de s'aligner automatiquement. «Ce problème est réglé depuis plusieurs mois», précise toutefois Mme Régis. Malgré ces correctifs, l'entreprise n'a pas réussi à mener à terme les travaux. Global Tardif n'a pas rappelé La Presse hier pour expliquer les retards. Impossible de savoir quelle pénalité la STM entend imposer à l'entreprise. «Il est encore trop tôt pour se prononcer», a indiqué Amélie Régis, porte-parole du transporteur. Lors de l'appel d'offres mené en 2013, seulement deux entreprises avaient participé à l'exercice. La soumission de l'entreprise Kone avait été écartée, la STM la jugeant «non recevable juridiquement». Le contrat avait donc été accordé à Global Tardif, même si elle demandait 14% de plus que l'estimation du transporteur. Quant aux travaux de réfection effectués sur 39 autres escaliers mécaniques, la STM assure que ceux-ci ne sont pas touchés par les retards. «[Ces] travaux de réfection majeure sont réalisés à l'interne et ne sont donc pas touchés par le contrat lié à Global Tardif», assure Amélie Régis. *** DES RETARDS IMPORTANTS > Saint-Michel, ligne bleue Les travaux ont débuté en juin 2016 et ont pris fin en décembre 2017, soit avec sept mois de retard. > Édouard-Montpetit, ligne bleue Les travaux ont débuté en juillet 2016 et doivent prendre fin à l'automne 2018, selon l'échéancier actuel. > Jean-Talon, lignes orange et bleue De juillet 2016 à automne 2018, selon l'échéancier actuel. > Fabre, ligne bleue Les travaux ont débuté en janvier 2017 et ont pris fin en octobre dernier, avec 14 mois de retard. > Côte-des-Neiges, ligne bleue Les travaux ont débuté en mars 2017 et la fin du chantier est prévue à l'automne 2018, selon l'échéancier actuel. > Acadie, ligne bleue Les travaux devaient débuter le 15 octobre et doivent prendre fin en décembre 2018, selon l'échéancier actuel. > Côte-Vertu, ligne orange Les travaux ont débuté le 29 octobre 2018 et doivent prendre fin en mars 2019, selon l'échéancier actuel. https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201811/19/01-5204842-escaliers-mecaniques-la-stm-compte-resilier-un-contrat-de-24-millions.php
  16. L'image est erratique, le montage est atroce, mais le point de vue est intéressant:
  17. Ne t'en déplaise, bon nombre de baux de location ont déjà été signés.
  18. Manifestement, tu n'as pas lu les articles.
  19. It happens to the best of us ¯\_(ツ)_/¯ Compte tenu de leurs déclarations récentes, c'est pas compliqué: soit ils sont sérieux, soit ils mentent.
  20. Ce n'est pas une fantaisie de la ville, c'est un rendu produit par Carbonleo, comme le démontre le watermark sous le watermark de mtlurb C'est le rendu le plus actuel, car c'est bel et bien l'intention actuelle du promoteur. Selon nous, il y aurait un besoin entre 5000 et 7000 logements. Ce seront des copropriétés en hauteur. Il n'y aura pas de maisons unifamiliales », précise dans un entretien Claude Marcotte, vice-président exécutif de Carbonleo. Il faut toutefois demander un changement de zonage à la Ville de Mont-Royal   Les travaux de construction débuteront le printemps prochain. En parallèle, le promoteur Carbonleo présentera à la Ville de Mont-Royal ses plans pour construire de 5000 à 7000 logements en vue d'obtenir un changement de zonage. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/immobilier/201810/26/01-5201768-royalmount-veut-batir-7000-logements.php «On intégrerait le résidentiel à la périphérie [de la zone commerciale], où on prévoyait des tours de bureaux. Deux à trois tours résidentielles se substitueraient aux tours de bureaux. D’autres résidences se retrouveraient autour [de la zone commerciale] et sur l’esplanade, ainsi qu’à l’ouest du site, sur des terrains qu’on a acquis», a indiqué M. Marcotte, en parlant d’une période de deux ans pour des discussions avec les villes, les études nécessaires ainsi que d'éventuels changements de zonage. La zone vouée aux bureaux serait pour sa part déplacée ailleurs sur le site, ce qui entraînerait une densification des bâtiments prévus, alors que les architectes sont justement sur les planches à dessin. «A priori, nous sommes très optimistes, car le volet résidentiel se prête bien au projet», a soutenu M. Marcotte, faisant allusion à la lutte contre l’étalement urbain de concert avec les villes de Mont-Royal et de Montréal. https://www.tvanouvelles.ca/2018/10/25/royalmount-lajout-dun-volet-residentiel-pourrait-entrainer-la-construction-de-5000-a-7000-unites-dhabitation Par ailleurs, le nouveau schéma du projet reflète ce changement. On voit que l'empreinte des tours à bureaux précédemment projetées a été remplacée par une empreinte de tours résidentielles:
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