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Montréal dans la ligne de mire d'Homburg

 

16 juin 2007 - 06h13

La Presse

 

Montréal, «un marché attrayant et sous-évalué», est en plein centre du radar de la firme immobilière néo-écossaise Homburg.

 

L'entreprise tenait pour la première fois son assemblée annuelle dans la métropole, hier, quelques mois après avoir acheté le Fonds de placement immobilier Alexis Nihon.

 

Homburg a depuis revendu la presque totalité des immeubles du groupe Alexis Nihon à Cominar pour 592 millions de dollars. Elle a seulement conservé quelques édifices de prestige... et 130 employés.

 

Les travailleurs seront regroupés au sein de la nouvelle filiale québécoise d'Homburg.

 

«C'est presque comme s'il y aura deux sièges sociaux: un à Montréal et un à Québec», a indiqué Richard Homburg, président et chef de la direction, pendant un point de presse après l'assemblée.

 

Le dirigeant est visiblement enthousiasmé par Montréal. Il a souligné à plusieurs reprises combien il croyait au potentiel de croissance de la métropole, vendredi. «Montréal est une ville de 3,5 millions d'habitants, de classe mondiale. Bien sûr, certaines industries déclinent, mais elles seront remplacées par d'autres.»

 

Gare Viger

 

Homburg fait partie du consortium qui a racheté l'ancienne gare Viger en mai 2006.

 

Le groupe compte investir 350 millions de dollars pour transformer l'édifice - construit par le même architecte que le Château Frontenac - en un hôtel de luxe, auquel seront jumelés des commerces, des appartements en copropriété et un vaste stationnement souterrain de 1600 places.

 

«On est confiants que ça va attirer des tas de gens à Montréal», a lancé M. Homburg.

 

Le projet sera soumis aux citoyens aujourd'hui, lundi et mardi. La Ville et le conseil d'arrondissement de Ville-Marie devront ensuite se prononcer, avant que ne soit organisée une deuxième consultation populaire.

 

Le président de Homburg ne craint pas que le futur hôtel vienne créer une surcapacité dans un quartier où de nombreux hôtels sont en construction ou ont récemment ouvert leurs portes. Selon lui, le Château Viger offrira une expérience "unique" aux touristes. Il espère même attirer un musée sur le site.

 

Michel Archambault, titulaire de la chaire de tourisme de l'UQAM, croit que l'ajout d'unités résidentielles au complexe hôtelier ajoute à la viabilité du projet.

 

«C'est une tendance lourde depuis trois ou quatre ans: le Crystal (de la Montagne), ça va être ça, Le Ritz, il semble que ça va être ça, le Plaza à New York, ça va être ça.»

 

Homburg a connu une année de forte croissance en 2006, alors que son actif s'est accru de 100%, à 2 milliards de dollars. L'entreprise possède des immeubles au Canada, aux États-Unis et en Europe.

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Après une année de croissance record, Homburg Invest présente sa stratégie d'expansion pour les années 2007 et suivantes

15 juin 2007 | CNW, CNW

 

 

MONTRÉAL et HALIFAX, le 15 juin /CNW/ - À l’occasion de son assemblée annuelle des actionnaires tenue ce matin à Montréal, Homburg Invest Inc.

 

 

 

Pour en savoir plus

 

Article connexe

 

MONTRÉAL et HALIFAX, le 15 juin /CNW/ - À l’occasion de son assemblée annuelle des actionnaires tenue ce matin à Montréal, Homburg Invest Inc. ("Homburg") (TSX: HII.A & HII.B et AEX: HII) a passé en revue ses résultats records de 2006, comme le doublement de son actif qui a dépassé 2 milliards $, et a également présenté les grandes lignes de sa stratégie d’expansion en mettant l’accent sur 2007 qui promet d’être une nouvelle année marquante.

 

"L’année 2006 a réellement été une nouvelle année de croissance exceptionnelle. Nous avons complété 10 transactions en Europe pour un total de 835 millions $ et, en conséquence, plus que doublé notre actif qui a dépassé les 2 milliards $ à la fin de l’année", a déclaré Richard Homburg, président du conseil et chef de la direction de Homburg Invest. "Nous avons fait preuve de discipline et nous avons réussi à accroître notre portefeuille, en misant sur notre structure corporative originale qui ne met aucune limite à la croissance internationale ni à notre capacité de développer des projets. Le résultat a été un taux de croissance composé de plus de 57 % au cours des cinq dernières années", a ajouté M. Homburg.

 

Aujourd’hui, Homburg détient un portefeuille véritablement international de 136 propriétés immobilières incluant des immeubles à bureaux, de commerce de détail, industriels et résidentiels, représentant environ 14,5 millions de pieds carrés de superficies louables brutes en Europe - aux Pays-Bas et en Allemagne - ainsi qu’en Amérique du Nord - au Canada et dans le Sud des États-Unis."

 

La croissance de Homburg en 2007 et les années suivantes proviendra de sa stratégie prudente d’acquisitions axée sur l’obtention de flux de trésorerie de qualité, des transactions attrayantes de cession-bail comme celles récemment complétées avec Infineon, Philips et KPN, en Europe, et du développement de ses propriétés propres.

 

 

Forte présence canadienne

 

 

Homburg possède déjà un solide portefeuille de développement comprenant 17 projets commerciaux et résidentiels, principalement au Québec et en Alberta, qui représentent un coût prévu de développement total de 3 milliards $ au cours des huit prochaines années. Certains projets généreront des flux de trésorerie à long terme tandis que d’autres, comme des projets de condominiums, devraient générer un flux de trésorerie ponctuel à la vente.

 

Au Québec, Homburg est actif à Montréal, qu’il voit comme un marché attrayant et sous-évalué. Les deux principaux projets qu’elle y a sont des co-entreprises : l’une est un projet de condominiums de luxe de 35 millions $ (112 unités) et l’autre comprend le redéveloppement du site bien connu du Château-Viger en un grand domaine urbain comprenant un hôtel de premier ordre. Homburg prévoit terminer le projet de condominiums à l’automne 2008 tandis que le site du Château-Viger devrait être terminé en 2010.En Alberta, Homburg a environ 1,2 millions de pieds carrés d’espaces à bureaux qui devraient être terminés avant la fin de 2009 et plus de 1 000 unités résidentielles qui devraient être terminées pour la fin de 2010. De plus, Homburg possède quelque 500 acres de terrains dans la ville de Calgary qui en sont au stade de la planification de pré-développement et devraient être composés de plus de 5 000 unités résidentielles uni et multifamiliales.

 

"L’exercice 2007 a déjà connu un très bon départ. Nous avons récemment complété l’acquisition des propriétés de commerce de détail d’Alexis Nihon ainsi que les éléments de bureaux et résidentiels de la Place Alexis Nihon; nous avons annoncé une co-entreprise avec Cedar Shopping Centres au États-Unis et nous avons également annoncé l’acquisition de 63 propriétés du groupe SEB pour environ 300 millions $ CAN dans les Pays baltes (Estonie, Lituanie et Lettonie)", a ajouté Richard Homburg.

 

"Tout en réalisant notre stratégie de croissance, nous restons concentrés sur la création de valeur. En tant qu’importants actionnaires nous-mêmes, sommes en faveur de retourner aux actionnaires, sous formes de dividendes, une partie de la valeur créée comme cela a été le cas pour chacune des trois dernières années. Nous avons récemment porté notre dividende semi-annuel à 0,24 $, soit 0,48 $ sur une base annualisée, ce qui représente un rendement d’environ 8,5 % selon le cours actuel de l’action", a conclu Richard Homburg.

 

 

Élection des administrateurs et nomination des vérificateurs

 

 

Homburg a également annoncé que les actionnaires la Société ont élu Richard Homburg, Michael H. Arnold, Rudolf D. Bakhuizen, le Dr. Trevor A. Carmichael, Walter R. Fitzgerald et Edward P. Osvenny administrateurs de la Société. Les actionnaires ont également nommé Grant Thornton LLP en tant que vérificateurs de la Société.

 

 

À propos de Homburg

 

 

Homburg, dont le siège social est situé à Halifax, en Nouvelle-Écosse, possède et développe un portefeuille diversifié de propriétés foncières incluant des bureaux, des propriétés industrielles, des appartements et des maisons au Canada, aux États-Unis et en Europe.

 

 

Déclaration d’intention

 

 

Les informations et déclarations contenues dans ce document, autres que des informations historiques, doivent être considérées comme spéculatives et reflètent la compréhension actuelle de la direction d’événements à venir et de la performance financière qui comprend certains risques et incertitudes. Les facteurs qui pourraient faire différer de façon importante les résultats réels comprennent, sans être limitatif, la situation économique en général et l’évolution du secteur de l’immobilier, la concurrence et la gestion de la croissance.

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  • 2 mois plus tard...

J'avais jamais lu cet article... très intéressant...

 

Homburg mise 400 M$ sur Montréal

23 juin 2007 | Les Affaires,

 

 

Richard Homburg est venu à Montréal la semaine dernière parler de ses projets de 400 millions de dollars (M$) dans la métropole et de sa société en pleine croissance.

 

Partageant son temps entre l'Europe et l'Amérique, Richard Homburg parle à la vitesse d'un jet traversant l'Atlantique. Il articule sa stratégie de croissance autour de trois axes : expansion de son portefeuille de propriétés produisant des revenus prévisibles et en croissance; projets de développement comme ceux qu'il mène à Montréal; acquisitions par cession-bail, principalement en Europe.

 

 

La cession-bail est une transaction par laquelle le propriétaire-occupant vend son immeuble à un tiers, puis signe avec lui un bail à très long terme à titre de locataire.

 

Le marché montréalais sous-évalué

 

À Montréal, que Richard Homburg considère comme "un marché attrayant et sous-évalué", la société possède 1,5 millions de pieds carré de centres commerciaux ayant appartenu à Alexis Nihon (Centre Laval, Sphèretech), en plus de Place Alexis Nihon, avec ses 600 000 pi2 de bureaux et ses 426 logements.

 

Environ 130 des 160 anciens employés d'Alexis Nihon sont regroupés au sein d'une filiale : Homburg Québec.

 

En parallèle, Homburg mène de front deux projets, soit celui des copropriétés Le 333 Sherbrooke Est et le réaménagement de la gare Viger. Dans les deux cas, il a pour partenaire local Telemedia, le holding familial des De Gaspé Beaubien.

 

Au 333 Sherbrooke Est, un projet de condos de luxe dans un secteur qui n'est pas connu pour ses logements cossus, il lance la phase 2 de 112 unités d'une valeur de 35 M$. Le chantier devrait se terminer à l'automne 2008.

 

La première phase du 333 Sherbrooke Est n'a pas été sans heurts, a-t-il reconnu en conférence de presse à l'issue de l'assemblée des actionnaires. "Les ventes ne levaient pas et nous n'obtenions pas le prix escompté." Plutôt que de brader les unités, il a préféré augmenter leur prix en adaptant le produit et son marketing en conséquence. "J'ai passé des annonces dans la région de New York. J'ai vendu une unité à quelqu'un de Philadelphie. Vous seriez étonnés de connaître la proportion d'étrangers parmi nos acheteurs au 333", a-t-il lancé aux journalistes. La phase 2 prévoit la construction d'une piscine suspendue au 10e étage qui liera les deux tours d'habitation.

 

Viger, nouvelle porte d'entrée de la vieille ville

 

Son second projet, le réaménagement du Château Viger, se veut plus ambitieux. Situé dans un no man's land, à l'entrée est du Vieux-Montréal, le bâtiment dessiné par Bruce Price, architecte du Château Frontenac, retrouvera sa vocation hôtelière dans le cadre d'un vaste projet de près de 1 M pi2 de superficie.

 

Outre un hôtel de 200 à 220 chambres, l'investissement de 350 M$ servira à aménager des boutiques, des logements, un immense stationnement souterrain et peut-être un musée.

 

Richard Homburg et ses partenaires ont acheté 9 M$ la propriété à la Ville sans appel d'offres en 2006. Le partenaire financier du consortium est la banque néerlandaise SNS Property Finance.

 

Le scepticisme ambiant n'altère pas l'optimisme de Richard Homburg, qui dit avoir dépensé 10 M$ en études de faisabilité. Fairmont aurait manifesté son intérêt pour le Château Viger, indique-t-il. "On sait qu'Omers [la caisse de retraite des fonctionnaires municipaux de l'Ontario] a acheté depuis les hôtels Fairmont. Si je vends à Omers au taux (cap rate, ou taux global d'actualisation] qu'elle a payé les hôtels Fairmont, mon projet devient déjà intéressant", dit le volubile homme d'affaires.

 

En outre, Richard Homburg mise sur la construction de l'hôpital universitaire francophone pour dynamiser le voisinage.

 

Il croit que l'aménagement d'un stationnement souterrain pouvant accueillir 2 000 voitures et 80 autobus fera du Château Viger la nouvelle porte d'entrée de la vieille ville. Ce terminus pour les autobus touristiques amènerait des clients dans ses boutiques du quadrilatère de 260 000 pi2, au sud de la rue Saint-Antoine, entre Berri et Saint-Christophe.

 

Casser le monopole de KLM

 

Richard Homburg a exprimé sa confiance à l'égard des perspectives de développement à Montréal.

 

"Cette ville unique en Amérique du Nord se trouve à moins de 6 heures et demie de vol d'Europe. Les Européens n'hésitent pas à faire 6 à 7 heures de route pour se rendre dans le Sud de la France pour leurs vacances.

 

"Mais il faut davantage de vols directs en provenance d'Europe et cesser de faire passer les voyageurs par Toronto et New York. Les vols font pratiquement l'objet d'un monopole de la part de KLM, dont les avions sont pleins tous les jours à longueur d'année", dit l'homme d'affaires qui fait souvent la navette entre les Pays-Bas et le Canada.

 

"ll faut améliorer l'accessibilité. Je sais que le fédéral a son mot à dire là-dessus. Mais il faut essayer de faire venir plus de monde à Montréal."

 

Selon lui, l'augmentation du nombre de visiteurs ne viendra pas des États-Unis. Les visiteurs américains sont en baisse au pays depuis la montée du huard. La situation ne s'améliorera pas avec l'imposition du passeport pour traverser la frontière.

 

andre.dubuc@transcontinental.ca

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C'est le genre de personne, et le genre de mentalité qui nous manque au Québec. Il est optimiste, il semble vouloir investir dans la ville. Il veut faire changer des choses(notamment le nombre de liens directs entre Montréal et L'europe). Dommage qu'il n'y a pas des gens comme lui au Québec!

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Le jeudi 23 août 2007

 

Huit immeubles et une tour de 18 étages

 

Le projet prévoit que l'ancienne gare Viger, dont la construction remonte au XIXe siècle, aura une vocation hôtelière.

Photo Rémi Lemée, La Presse

 

Sara Champagne

 

La Presse

 

La gare Viger, cet édifice patrimonial qui ressemble au Château Frontenac, sera au coeur du plus important investissement privé à Montréal depuis la construction de la Place Ville-Marie. En entrevue avec La Presse, hier, le promoteur a levé le voile sur les détails du projet de 400 millions qui sera soumis cet automne aux élus de l'équipe Tremblay.

 

Il s'agit d'une «superstructure» de huit immeubles montée sur un espèce de basilaire, avec une tour de 60 mètres de haut, donc de 18 étages, a expliqué Cameron Charlebois, directeur général du projet pour Viger DMC International. En comparaison, le plus haut édifice projeté du futur CHUM atteint 80 mètres. Une fois construit, le complexe Viger accueillera jusqu'à 450 propriétaires résidentiels ainsi que de nombreux commerces, qui bénéficieront d'un stationnement souterrain de 1600 places.

 

«Nous ne sommes pas prêts à dévoiler le concept architectural, a ajouté M. Charlebois. Il faut encore y travailler. Mais chose certaine, nous allons respecter le caractère de noblesse du Vieux-Montréal.»

 

Pour transformer la gare Viger en hôtel et ériger les immeubles résidentiels et commerciaux, le promoteur a retenu les services des firmes Cardinal Hardy-Arcop, de Montréal, et Jerde, de Californie. La première firme est à l'origine de l'architecture du Casino de Montréal, tandis que l'autre a conçu le fameux hôtel Bellagio, à Las Vegas.

 

Selon M. Charlebois, il est prévu de mettre en valeur deux îlots, à l'est et à l'ouest de la gare, dans un mélange d'escaliers et de rampes, pour assurer une «porosité» piétonnière entre les rues Notre-Dame et Saint-Antoine. Au total, on construira sur une superficie de 15 000 pieds, sur des terrains situés dans le quadrilatère formé par les rues Berri, Notre-Dame, Saint-Christophe et Saint-Antoine.

 

Le projet résidentiel sera composé, à l'ouest, de résidences en copropriété avec services hôteliers, et à l'est, de condominiums dits «de classe moyenne supérieure». Il y aura aussi des maisons en rangée près de la rue Saint-Christophe. Le promoteur ajoute qu'il veut laisser une bonne place aux commerces de services de proximité, tels épicerie, pharmacie et comptoirs alimentaires.

 

Secteur historique

 

Le Conseil du patrimoine de Montréal (CPM), qui a déjà été appelé à se prononcer sur le projet, à la mi-juin, a déposé un avis préliminaire dans lequel il demandait qu'on dégage davantage l'ancienne gare Viger, qui date du XIXe siècle. Le CPM devait de nouveau se réunir, hier, pour se prononcer sur les dernières esquisses fournies par le promoteur.

 

«Les deux tiers du projet de construction sont situés dans l'arrondissement historique du Vieux-Montréal, a rappelé la présidente du Conseil, Louise Letocha. Ce que je peux vous dire pour l'instant, c'est que nous espérons que tout le projet sera considéré comme faisant partie d'un arrondissement historique, donc protégé en vertu de la Loi sur les biens culturels.»

 

La prochaine étape pour les promoteurs sera franchie demain matin, quand les élus de l'arrondissement de Ville-Marie vont transférer le projet au comité exécutif de la Ville. Il sera soumis à des audiences publiques, au mois d'octobre. Le promoteur espère ouvrir son chantier l'été prochain.

 

Déjà, des fouilles archéologiques ont eu lieu derrière la gare. Selon M. Charlebois, elles n'ont pas permis de dénicher d'artefacts historiques. D'autres fouilles devraient avoir lieu cet automne à l'endroit qui sert présentement de terrain de jeu au CPE Coeurs-de-l'île, un centre de la petite enfance qui sera déménagé, en janvier, dans le projet Angus.

 

Viger en bref

 

- Coût du projet; 400 millions, investissements entièrement privés.

- Le concept: une «superstructure» de huit immeubles, avec une tour de 18 étages, sur une superficie bâtie de 15 000 pieds carrés.

- L'ancienne gare Viger, au coeur du projet, aura une vocation hôtelière.

- Autour, deux îlots résidentiels de luxe et commerciaux seront créés.

- Début des travaux: été 2008

- Prochaine étape: audiences publiques tenues par l'Office de consultation publique de Montréal.

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Je crois que Benoit Labonté a dans l'idée de repenser completement la place face à l'hôtel. On parlait d'un jardin de scultures... Si le CHUM peut se concrétiser c'est vraiment tout un pan de Montréal qui sera redessiné à une échelle plus humaine et conviviale.

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